A 35 ans, marié, je sais depuis de longues années que je suis aussi attiré par les hommes. Disons, plus particulièrement, par le sexe des hommes, disons plus simplement les bites…Oui, les bites, mais pas les hommes… c’est à dire, l’idée d’embrasser un homme, par exemple, me dégoûte. Mais l’idée de voir un sexe, de la toucher, de le masturber, de le sucer… hummmm !!!!Ado, j’ai comme beaucoup eu des relations « homos » avec des copains. Masturbation réciproque, fellation (très peu), « touche-pipi ». Disons que j’ai été très tôt très attiré par les bites.Depuis, m’étant marié, je fantasme beaucoup sur les mecs (en fait, sur les bites !) : photos, films, dialogues sur le net, etc…Evidemment, les rencontres ont été très rares : impossible de trouver un homme « bi », qui se contente de masturbation et de fellation, sans caresses ou autres bisous. À chaque fois, j’ai du fuir devant les ardeurs incontrôlables de mes rencontres.Et comme souvent, c’est quand on s’y attend le moins que tout arrive, et c’est mon histoire.Depuis un an, je vais régulièrement faire du sport dans un « club ». Mais pas un repaire homo du tout. Ambiance très familiale, plutôt haut de gamme. Je fais notamment des cours de muscu où il n’y a presque que des femmes (les mecs préfèrent les machines à muscu bestiale), et quelques hommes. Je me retrouve toujours avec l’un d’entre eux, si bien que nous avons fini par échanger quelques banalités. Lorsque le cours est terminé, nous nous retrouvons systématiquement dans les vestiaires, où je ne peux m’empêcher de mater le plus discrètement possible les sexes de mes voisins. Evidemment, je matais également le sien, et plus le temps passait et plus j’aimais le regarder. Au bout de quelques semaines, j’ai remarqué que mon « partenaire » prenait un malin plaisir à rester plus longtemps nu, surtout après sa douche. Bien souvent nous n’étions que deux dans ces vestiaires collectifs, et ces fois là, son jeu était encore plus visible.La réponse du berger à la bergère est classique. Aimant moi même assez montrer mon sexe, je ne me privais pas de le laisser me mater aussi. Malgré son alliance, je voyais bien qu’il n’était pas insensible non plus. Le problème, c’est qu’à partir du moment où j’ai compris que notre jeu était réciproque, j’ai commencé à avoir des érections assez rapidement. Et lui aussi… Puis un jour, je le vois partir aux toilettes, après notre petite séance de j’te mate / j’te montre. Me doutant bien de ses intentions, je m’empresse de rentrer dans les toilettes d’à côté. Mais aucun moyen de le voir. Je ne peux que l’entendre se masturber, puis exprimer le plus doucement possible sa jouissance. Je jouis dès que je l’entends, et sors des toilettes quelques secondes après lui. Sous son pantalon, je devine la bosse caractéristique de son sexe en demi-érection. Nous nous rhabillons, et je sors en premier, après avoir lancé un « bonne soirée » le plus anonyme possible… puis je me suis masturbé encore une fois en pensant à son sexe, dans ma voiture avant de rentrer…Le cours suivant, la tension était vraiment forte. J’avais de plus en plus envie de son sexe, et je ne pouvais plus détacher mon regard de son short. Et il semblait faire de même…Me devançant, il s’empresse de descendre aux vestiaires, et il est déjà nu lorsque je rentre, et il me frôle en passant devant moi pour aller prendre sa douche. Je ne tiens plus!J’ai la bonne surprise en arrivant dans les douches de constater qu’il n’avait pas fermé sa porte. (D’habitude, tout le monde ferme la porte de sa cabine : les vestiaires sont communs, mais les cabines de douches sont fermées)…Evidemment, je m’empresse de choisir la cabine face à la sienne. Il se savonnait doucement, très doucement. Trop doucement pour que cela soit naturel. Je bandais déjà, et osais à peine me tourner pour le regarder de face. Puis petit à petit, nous avons commencé à nous masturber chacun de notre côté, faisant glisser nos bites dans nos mains savonneuses. Nous nous mations fixement. Je me cambrai pour mieux lui montrer mon sexe et il faisait de même. Tout cela sans un mot… N’y tenant plus, je finis par lui demander si je pourrais toucher son sexe. Il me répondit que oui, mais pas là parce qu’on pourrait nous surprendre… Je lui propose alors de descendre au parking et de me retrouver dans ma voiture. J’avais le coeur qui battait à 100 à l’heure.Dans la pénombre du parking, il m’a littéralement sauté sur la braguette. Je n’avais pas remis de slip, et lui non plus d’ailleurs… nous étions trop pressés. Sortant mon sexe, il s’est jeté dessus pour me sucer.Je lui offrais avec plaisir tout en fouillant son pantalon pour découvrir enfin son sexe gonflé de désir, ne demandant qu’à être libéré.A mon tour, je me jetais sur lui, pour le sucer et le masturber.Nous avons joui dans la main l’un de l’autre, éclaboussant nos habits de sperme.Puis nous avons recommencé presque tous les soirs de cours… le passage aux douches se faisait beaucoup plus rapidement, et nous nous retrouvions au parking.Mais cet été, il est parti à Toulouse. Depuis, je ne vis plus qu’avec mes souvenirs, et je me masturbe souvent en y repensant .J’aimerai retrouver un partenaire pour ces jeux très « softs », mais en attendant, je continue à mater les bites dans le vestiaire !