20 ans, le bel âge… 40 aussi… (1)J’ai 40 ans. Enfin presque… Marié depuis longtemps à une femme que j’aime et doté de deux charmants enfants. Je n’ai connu que ma femme et ne l’ai jamais trompée. Elle est partie pour quatre jours à Paris pour un salon. Je suis resté à la maison et j’ai pris congé pour garder les enfants. Jusque là tout va bien. Je dirais tout allait bien…Mes voisins d’en face dont les enfants gardent souvent les miens, sont partis en vacances. Leur fille de 20 ans est restée à la maison. Pour tout vous dire, elle est très très craquante, craquante comme on peut l’être à 20 ans quand on est jolie, qu’on le sait et qu’il fait chaud dehors. Ses tenues légères laissent deviner des formes rondes, fermes et épanouies, pas une silhouette de mannequin anorexique, mais une silhouette de femme aux mensurations parfaites.Le contre jour dans sa robe de coton laisse deviner des fesses superbes à peine cachées par un string minimaliste. Le tissu se tend sur des seins en pommes que n’entrave aucun soutien-gorge. Pour ne rien gâcher, son sourire laisse deviner des dents parfaites, ses yeux verts d’eau illuminent un visage harmonieux surmonté d’une pagaille de cheveux blonds éclaircis par le soleil. Malgré son goût pour la plage, elle conserve une carnation claire à peine ambrée de bronzage. Vous l’avez compris, elle hante mes fantasmes, et dans le court moment précédent l’endormissement, si c’est la peau de ma femme que je touche, c’est d’elle que je rêve, et mes rêves sont loin d’avoir l’innocence de l’enfance.Hier soir elle est passée à la maison chercher la paye de son dernier baby-sitting. Elle a embrassé les enfants et, comme chaque fois m’a fait la bise pour me dire bonjour. Quoique, pas tout à fait comme chaque fois. Nos regards se sont croisés et un léger trouble a voilé ses yeux verts. Elle a posé sa main sur mon bras et son baiser, juste au coin de mes lèvres a été légèrement plus appuyé que nécessaire. J’ai senti sur mon bras la pointe d’un sein libre sous le tee-shirt laissant apparaître le nombril. Lorsqu’elle s’est reculée, son regard a plongé dans le mien. Les mamelons dressés sous le tee-shirt laissaient peu d’équivoques. Je lui ai murmuré :— À tout à l’heure !Elle a baissé les yeux et j’ai cru voir sa joue rosir alors qu’elle tournait les talons.Une fois les enfants endormis, je suis sorti et j’ai traversé la rue. La porte de son jardin était ouverte. Je suis entré en souhaitant qu’aucun voisin ne me voit. J’ai ouvert la porte de la maison, elle était là dans la pénombre. Je me suis avancé, nos regards se sont pris, nos bouches se sont approchées. D’abord légère, la caresse s’est prolongée, nos haleines se sont mélangées, sa langue s’est frayée un chemin entre mes lèvres. Son ventre s’est collé au mien. Je l’ai enlacée. Nos corps se sont soudés. Mes mains sont parties explorer ses formes. La courbe de la hanche, un sein palpitant, nos langues vissées l’une à l’autre, la chute de ses reins, la peau frémissante sous la caresse… Ma main est passée sous la courte jupe, et j’ai caressé ses fesses fermes. Son souffle s’est accéléré. Nous avons desserré notre étreinte juste assez pour atteindre la table du salon. Toujours enlacés, je l’ai soulevée pour l’asseoir. Le petit string en dentelle est tombé à terre pendant qu’un sein parfait sortait de l’échancrure du tee-shirt. J’ai longuement embrassé le mamelon ambré, gorgé de désir.Sa main a empoigné ma chevelure et m’a guidé vers là où je souhaitais aller. Son sexe ourlé d’une toison blonde presque translucide était ouvert, luisant d’humidité, offert sous la minijupe. Son clitoris dressé appelait mes lèvres. Longuement j’ai bu le plaisir à son sexe, d’abord à petits coups légers, puis au fur et à mesure que son excitation montait, ma langue est devenue plus pointue, plus curieuse, plus nerveuse accompagnant les gémissements qui sortaient de sa bouche toujours plus fort. N’y tenant plus, toujours en la léchant, de la base de l’anus jusqu’au clitoris, je me suis débarrassé de mon pantalon, et d’un coup de rein, j’ai planté dans sa chatte mon sexe brûlant, dans lequel je sentais battre mon cœur à tout rompre. Nous avons joui ensemble, dans un long gémissement de bonheurs emmêlés.Dans le moment de paix qui suit la jouissance, nous nous sommes mis nus tous deux, nous caressant longuement et tendrement, partant à la découverte de nos corps. Nous nous sommes jetés sur le premier lit rencontré. Je ne saurais dire combien de temps cela dura. Soudain, autour de mon sexe qui reprenait vigueur, j’ai senti la plus douce des caresses. Ses lèvres fines avaient entouré mon gland et, tout doucement, elle se mit à me sucer, s’arrêtant parfois pour agacer du bout de sa langue les parties les plus sensibles. Au comble du plaisir, je la fis pivoter pour que son cul s’offre à moi. Longuement, je lui léchais les lèvres et m’attardais sur le cercle élastique de son anus. Au fur et à mesure de la caresse, pénétrant toujours plus avant le cercle interdit, je sentais au rythme de ses lèvres toujours oeuvrant autour de mon sexe, que, si cette caresse l’intimidait, elle y découvrait malgré tout une source d’excitation inconnue pour elle. Son trou se faisant de plus en plus chaud et accueillant, je me résolu alors à y enfoncer l’index. Accompagnant un léger va-et-vient par une caresse appuyée du clitoris sans cesser les jeux de langue, je ne tardais pas à l’amener une nouvelle fois à la jouissance. Lâchant mon sexe, elle se mit à califourchon sur moi, renversée, les seins dressés fièrement, et par de petits mouvements du bassin, elle me fit pénétrer doucement au plus profond de son ventre. Toujours la caressant, je lui laissais prendre le rythme qui convenait au savant mélange de plaisir, de honte et de douleur que constitue une première sodomie. Lorsqu’enfin, elle atteignit ce mystérieux équilibre et se laissa aller toute à son plaisir, je pus alors me relâcher et inonder les profondeurs de son ventre d’un jet puissant.Nous fîmes encore plusieurs fois l’amour tantôt doucement en chuchotant des mots tendres, tantôt avec furie criant des paroles crues. À l’aube, repus de bonheur, ivres de jouissance, nos sexes douloureux de tant d’amour, je l’embrassais tendrement pour regagner la maison avant le réveil des enfants. Ouvrant un œil pétillant malgré le cerne qui le soulignait, elle me dit :40 et 20