Je m’appelle Grégory. L’histoire que je vais vous raconter s’est passée alors que j’avais quarante-six ans. J’étais en pleine période d’un divorce difficile, malgré les excellentes relations conservées avec mon épouse. Pour résumer, je dirais que j’étais au creux de la vague, errant en boîtes de nuit, culbutant tout ce qui passait à portée sans aucun état d’âme, lorsque j’ai retrouvé par hasard ma première épouse, Mylène, une ravissante blonde, pétillante comme le sont les filles du Pacifique.Elle aussi semblait un peu paumée et j’appris qu’elle était également en train de divorcer. C’est tout naturellement, le choc des retrouvailles aidant, que nous nous sommes retrouvés chez elle à essayer de nous réconforter mutuellement. Chacun étant libre de toute attache, il nous arrivait fréquemment de nous rencontrer au restaurant puis de terminer la soirée en tout bien tout honneur, le plus souvent chez moi car Mylène adorait profiter de la piscine que malheureusement son appartement ne lui permettait pas de posséder.Un soir où il faisait particulièrement chaud, elle émit le souhait de piquer une tête dans l’eau afin de se rafraîchir et faire passer les effets de la crème de banane, digestif dont elle avait un peu abusé. Bien entendu je l’invitai à faire comme si elle était chez elle. Elle lança alors tout de go :— Comme je n’ai pas de maillot, je te prends au mot. Ce sera donc string et soutien-gorge, en te rappelant que j’avais vingt-trois ans lorsque nous nous sommes quittés et que j’ai un peu vieilli depuis.Ravi, je la regardai faire glisser sa jupe puis son chemisier pour se diriger rapidement dans l’eau. Les projecteurs sous-marins diffusaient un puissant éclairage me permettant de voir distinctement sa silhouette alors qu’elle s’ébattait en toute confiance. Je l’observais amusé, pensant en moi-même :Qui aurait pensé que vingt-deux ans plus tard, on se retrouverait, elle presque nue et moi en train de la mater du bord de ma piscine ?Nous étions presque des enfants lorsque nous avons fait l’amour pour la première fois. Elle avait seize ans et moi dix-sept. Lorsque nous nous sommes quittés, nous n’étions guère plus vieux, du haut de nos vingt-trois et vingt-quatre ans.Je pouvais voir à sa silhouette que ses hanches avaient forci. Ses seins également mais tout cela n’était pas de nature à la rendre moins appétissante, au contraire, du moins pour un homme de mon âge. Certes sa peau n’était plus celle de ses vingt ans mais malgré tout…Elle me tira de mes pensées en s’approchant près du bord pour me parler, éclairée de plein fouet par un des projecteurs.— Allez, viens me rejoindre ! L’eau est trop bonne et la nana qui s’y trouve n’est pas mal non plus.— Si la nana n’est pas mal alors j’arrive.Je me débarrassai prestement de mes vêtements et sautai à l’eau pour la rejoindre, toujours en pleine lumière. Je m’approchai d’elle et lui dis que j’étais comme Saint Thomas qui ne croyait que ce qu’il voyait. Ce faisant, je me plaçai de côté afin de continuer à profiter de l’éclairage pour détailler son corps.Je voyais ses aréoles à travers la dentelle plaquée sur ses seins. Son string transparent me permit de voir qu’elle n’avait plus sa petite toison blonde aux poils si fins qu’on les voyait à peine. Elle vit mon regard s’approprier son corps, le rouge lui monta aux joues en réalisant que ses dessous ne masquaient plus rien. Elle pivota et s’éloigna vers une zone moins éclairée, me présentant sans le vouloir son magnifique fessier.— Ouaahhhhh, superbe fessier que je vois là ! Merci.— Greg, tu me mates. Je sais bien que tu m’as vue des centaines de fois mais ça me gêne. Et puis maintenant j’ai des fesses et des hanches énormes. À part mes seins, je ne suis plus bandante.Sans avoir à lui mentir, je la rassurai, lui assurant que depuis mon célibat, j’avais culbuté pas mal de petites jeunettes mais que ce que je venais de voir n’avait rien à leur envier et qu’elle me faisait toujours autant d’effet.— C’est sincère ce que tu me dis, où t’as simplement envie de culbuter ton ex comme une de ces petites jeunettes, comme tu dis ? Enfin juste tirer un bon coup, quoi !— Allons, tu me connais assez bien pour savoir que je ne suis pas aussi calculateur. Quoique, à la réflexion, on s’entendait bien pour la bagatelle et chacun y trouvait son compte, n’est-ce pas ?— Ça, c’est bien vrai. Après toi j’ai connu des mecs, des vrais cons, machos et en plus même pas capables de se rendre compte que j’étais restée sur ma faim. Combien de fois j’ai pensé à t’appeler, simplement pour me faire monter aux rideaux de temps en temps.— J’y crois pas ! C’est dingue que tu me dises ça, car pour moi c’était pareil, surtout quand je tombais sur une nana qui s’y prenait mal pour me faire une gâterie ou qui ne voulait pas qu’on lui touche sa petite rondelle.Sans nous en rendre compte, nous nous étions rapprochés l’un de l’autre. Mylène se fit câline en me demandant si c’était bien vrai que je ne voulais pas simplement tirer un coup. Je la pris dans mes bras pour la rassurer en lui disant que si elle n’avait besoin que d’un peu de tendresse, c’était ok pour moi ; puis je la fis basculer sur le dos, afin de caler sa tête sur mon épaule et la maintenir ainsi, me déplaçant lentement comme pour la bercer dans l’eau. J’en profitais pour caresser son dos et ses flancs.Je la sentis se détendre, se laisser aller, s’abandonner. Elle murmura :— C’est bon d’être dorlotée. Ça faisait longtemps, tu sais.— Je sais, je connais ce besoin moi aussi.On resta un bon moment comme ça, à l’écart du temps. Mylène me dit :— Tu sais, je n’ai plus jamais rencontré un mec capable de me faire l’amour comme toi. C’est toi qui m’as fait jouir en me sodomisant, tu te souviens. Mon ex n’aimait pas ça. Pendant des années nada, nothing, rien du tout de ce côté. J’ai vraiment été frustrée.— Moi je t’avoue que j’y ai souvent pensé. Glisser mon gland sur ton anneau pendant que tu commençais à te caresser le bouton, puis m’enfoncer en toi, coulisser jusqu’à voir ton anneau rester ouvert dans l’attente de mon retour, c’était une image forte que j’ai encore en moi.Je la sentis frémir de la tête aux pieds. Je savais que ce n’était pas à cause du froid mais je voulais me l’entendre dire. Aussi je fis mine de m’inquiéter si elle avait froid. Elle me rassura en m’affirmant qu’il n’était nullement question de froid mais plutôt du contraire, m’avouant, comme si je ne le savais pas, que mes paroles lui avaient remémoré des sensations fortes. Par contre, elle voulait bien qu’on sorte pour discuter tranquillement de tout ça.Je sortis le premier et lui tendis un drap de bain. Sans se cacher, elle enleva son string devant moi, puis son soutien-gorge et commença à se sécher en me demandant mon aide. Il faut dire que le tissu trempé ne cachait rien de ses atouts. Je me plaçai derrière elle et commençai à la frictionner, ce qui déclencha des soupirs de satisfaction. Rapidement, je laissai glisser le drap de bain à ses pieds puis caressai son dos, ses flancs et descendis vers ses fesses. Elle se retourna pour me faire face et :— Greg, qu’est-ce que tu fais ? Arrête parce que sinon je ne réponds plus de rien. J’en meurs d’envie, alors n’en profite pas.— C’est toi qui décides. J’ai une folle envie de te faire un gros câlin.Elle plongea ses yeux dans les miens en disant :— Bon d’accord, fais comme tu le sens. J’espère qu’on n’aura pas à le regretter.Puis elle se tourna pour me présenter son dos et laisser mes mains continuer ce qu’elles avaient commencé. Mes doigts se mirent à parcourir son corps, explorant chaque parcelle de sa peau, déclenchant des gémissements de plus en plus significatifs lorsque j’approchais de ses fesses, de son ventre ou de ses seins si sensibles.Je la tournai alors vers moi pour prendre en bouche les tétons l’un après l’autre et lécher voluptueusement les aréoles presque aussi claires que sa peau. Puis je me laissai glisser à ses pieds et déposai des baisers sur son ventre tandis qu’elle appuyait sur ma tête pour m’inviter à descendre visiter sa petite chatte.— Je vois que tu t’épiles entièrement maintenant. Avant, tu ne voulais pas.— Oui, mais j’avais tort. C’est tellement bon une bonne langue travailleuse qui glisse sur la peau.Le message était clair. Je posai mes mains sur ses fesses pour l’attirer contre moi, contre mon nez que j’enfouis entre les grandes lèvres très développées chez elle. Après l’avoir humée à pleins poumons, je sortis ma langue que j’appliquai bien à plat tout autour de sa chatte pour la lécher, me rappelant combien elle aimait cette sensation d’être lapée comme s’il s’agissait de la langue d’un animal. Elle ne put s’empêcher de m’encourager :— Aaahhhh ! J’avais oublié comme tu faisais ça bien ! C’est trop bon. Mon bouton trépigne d’impatience.Comme elle me le demandait, je glissai ma langue entre ses lèvres tandis que, d’elle-même, elle les écartait pour me faciliter l’accès.— Ah ouiiiiiii ! J’ai les jambes en coton. Il faut que je m’allonge ou que je m’appuie car sinon je vais m’affaler.Sans arrêter de lui brouter le minou, je lui indiquai le transat juste derrière elle. Elle n’eut plus qu’à s’asseoir puis se laisser basculer en arrière. J’en profitai pour lui soulever les jambes au niveau des cuisses puis les pousser vers sa poitrine. Elle comprit ce que je voulais et fit passer ses bras sous ses cuisses pour attraper ses chevilles en tirant vers elle. De cette manière, elle était écartelée, la chatte et le cul offerts à toutes mes envies.Je recommençai à la lécher en élargissant mon champ d’action et en préparant tout particulièrement son petit anus comme elle me l’avait réclamé. À chaque fois que ma langue s’insinuait dans l’anneau, le forçant à s’ouvrir pour me laisser la pénétrer, elle poussait des petits cris, des « oui », des « aaahhh », sans équivoque sur l’envie de se faire mettre par le cul.Sans plus attendre, je me redressai et pointai mon vit à l’entrée de sa chatte. La tête relevée, en appui sur ses coudes, elle regardait mon dard, impatiente, désireuse de sentir ses chairs s’ouvrir pour accueillir un sexe connu. Je poussai doucement en cherchant son regard. Dès le début de l’intromission, elle leva les yeux pour les plonger dans les miens, scrutant mon plaisir, comme moi je cherchais à lire dans ses yeux son propre plaisir de sentir mon vit la perforer.— C’est bon, Greg ! Ma chatte reconnaît ta queue, sens comme elle l’accueille en la serrant fort.— Hummmm. Ça faisait longtemps. Tu es toujours aussi bonne. J’ai hâte de tester ton petit cul.— Ne te gêne pas. Tu sais que j’adore être sodomisée. C’est toi qui m’en as rendue dingue. Tu profitais de la petite gourde que j’étais. Salaud, va !— Tiens, prends ça !Je sortis en hâte de sa chatte dégoulinante et bien lubrifiée, pour m’enfoncer sans coup férir quelques centimètres au-dessous. Mylène accusa l’assaut en poussant un petit cri rauque m’affirmant :— Ça fait un moment qu’on n’est pas passé par là à part mes doigts. Je dois me réhabituer mais ne t’en fais pas, j’aime toujours autant.— Moi aussi, j’aime toujours autant. Ton p’tit cul mérite le déplacement. Tu as dû en faire jouir des queues par ici.— Ahhhh, tais-toi, ça m’excite trop que tu me parles comme à une salope qui se ferait défoncer le cul à la moindre occasion.— Ose me dire que ce n’est pas un de tes fantasmes, de te faire sodomiser par une bonne flopée de mâles qui attendraient leur tour à la file indienne.— Oh ouiiiiiii, Greg, continue. J’avoue, j’adorerais me faire défoncer à la chaîne jusqu’à en perdre connaissance. Parle encore, toi qui me connais si bien. Dis-moi des choses cochonnes, je sens que je vais jouir comme avant.— Oui ma chérie, après moi, il y a une autre grosse bite, plus grosse que la mienne qui attend son tour. Elle attend que je jouisse pour te perforer à son tour.— Aaaah Greg, salaud ! Je jouis. Je jouiiiiiiiissss !En laissant échapper un grand cri rauque, elle se ramassa sur elle-même, tirant de toutes ses forces sur ses cuisses avec les avant-bras tandis qu’elle malmenait son bouton d’amour de son index pour prolonger sa jouissance. Les contractions de ses sphincters provoquèrent ma propre jouissance. Dans un dernier coup de reins, je libérai au plus profond de ses entrailles mon premier jet. Je bougeais à peine pour laisser exploser les suivants et profiter au maximum des vagues se propageant de la base de ma queue vers ma nuque et inonder mon cerveau tout entier, annihilant toute volonté autre que celle de jouir.Dès le dernier spasme, je me laissai descendre sur mon ex, en appuyant un peu plus sur ses cuisses. Elle me laissa faire et, en me tendant ses lèvres, me dit :— Salaud, va ! Tu aimes toujours autant dominer. Ne crois pas que je sois dupe lorsque tu appuies comme tu le fais pour que je garde les cuisses ouvertes.— C’est vrai, j’aime bien que tu restes comme ça, la chatte ouverte, offerte à mon regard. C’est un peu comme si tu te donnais un peu plus.Je l’embrassai alors à pleine bouche tandis qu’elle se contentait d’ouvrir toute grande la sienne, pour que je puisse en disposer comme je le voulais.Cette petite séance fut suivie de nombreuses autres jusqu’à ce que Mylène rencontre un prétendant sérieux.