J’étais tranquillement assis dans mon canapé en dégustant un Jack-Coca d’une main et un bon spliff de l’autre. J’étais seul chez moi en ce jour de mon quarantième anniversaire. Je n’avais rien de prévu et n’avais pas souhaité d’une grande fête avec mes amis, je les adore, mais leurs vies familiales me renvoient à ma propre solitude. Dans les vapeurs de mon whisky, je songeais à la cam que j’allais faire plus tard dans la soirée, sachant déjà sur quelle camgirl mon dévolu allait être jeté. J’avais à mon grand dam mes petites habitudes, ma vie sexuelle se résumant à ces petites séances exhibition-voyeurisme sur ordinateur. En effet, ça faisait un peu plus de trois ans que je n’avais pas eu le plaisir de goûter à une femme et de partager son affection. Et même avant ça, mes relations furent toujours erratiques.Faut dire que mon physique est on ne peut plus banal : homme d’environ 190 cm avoisinant le quintal. J’ai les cheveux mi-longs châtain clair tirant sur le gris ainsi qu’une barbe poivre et sel que j’entretiens régulièrement chez le barbier. J’ai un visage qu’on dit mignon et qui montre directement ma gentillesse. Mes yeux sont vert-de-gris et donnent à mon regard un brin de mystère. Je suis bedonnant et ne me sens pas sexy du tout, et surtout, je manque cruellement de confiance en moi, ce qui explique selon moi mon manque de réussite dans mes conquêtes féminines.J’en étais là dans le bilan de ma vie quand, soudain, la sonnerie de la porte retentit et me fit sursauter.— Qui a été assez bête pour venir jusqu’ici ? baragouinai-je dans ma barbe en me levant pour aller ouvrir, traînant les pieds. Une voix féminine retentit avec un : — Dépêche-toi, Koubi, ça caille dehors… Je te rappelle qu’on est en novembre. Tout de suite, en reconnaissant cette voix, un sourire illumina mon visage. C’était celle de Ju, ma meilleure amie, mais elle ne pouvait pas être là, car elle m’avait dit être de sortie ce soir-là.À peine la porte ouverte, j’entendis un « surprise ! » retentissant, et une ombre me sauta au cou pour me faire les bises et me dire « Joyeux anniversaire ! ».— Quel plaisir de te voir ! dis-je en la détachant délicatement de mon cou, mais je te croyais…— … de sortie ? m’interrompit-elle. Oui, mais ce n’est pas très loin, alors je me suis dit que, te sachant seul chez toi, j’allais venir te voir. Mais je ne reste qu’une petite heure… guère plus.— Ne serait-ce que dix minutes, j’aurais déjà été heureux et honoré. Allez, viens t’asseoir ! Je t’offre un whisky ?— Juste un doigt !— Tu ne veux pas un whisky d’abord ? citant les Nuls dans la Cité de la peur, réplique qui fit mouche et lui tira un sourire espiègle.— T’es con !— Oui, je sais, huhu !Sur ces paroles, nous nous assîmes l’un en face de l’autre dans le canapé en semi-tailleur, une jambe sur le canapé, l’autre dans le vide. Ce fut dans cette position que je remarquai seulement l’habillement de mon amie. Elle portait une mini-jupe de style écossais blanche et grise, des chaussures à talons noires, un haut en dentelle noir au travers duquel on pouvait apercevoir un soutif rouge… Et Diable qu’elle était sexy dedans !— Tu m’excuseras si parfois je te fixe, mais c’est la première fois que je te vois habillée de façon si sexy et provocante et je dois dire que ça te va divinement bien, tu es ravissante.Ce compliment lui fit monter le rouge aux joues.La musique tournait doucement, nous discutions tranquillement dégustant notre verre et un mégot, mais mon regard était immanquablement attiré, malgré moi, par la zone d’ombre entre les jambes de mon amie, surtout qu’elle semblait se trémousser sur place comme si elle était nerveuse. J’espérais avoir une vision fugace de sa culotte, même si je savais ne pas avoir le droit de regarder c’était plus fort que moi.— Qu’essaies-tu de voir, Koubi, en me fixant comme ça à cet endroit ? Normalement, un gentleman ne ferait pas ça, il me regarderait dans les yeux.— Je sais, mais je suis faible ! Tu sais que ça fait très longtemps pour moi, et faut dire que dans cette tenue tu es irrésistible, alors, forcément, je n’arrive pas à résister.— Petit malin, va ! On va voir si tu ne sais pas résister ! Va t’asseoir sur la chaise là-bas !— Mais euh, non, je ne veux pas aller au coin ! dis-je en riant à gorge déployée, mais m’exécutant quand même.Pendant que je m’installais sur la chaise, elle toucha mon ordinateur, préparant quelque chose avec un sourire en coin.Après, je la vis prendre mon téléphone, le mettre face à moi en mode caméra, et elle retourna cliquer sur la souris, ce qui fit commencer une chanson : « Hey Sexy Lady » de Shaggy.Dès les premières notes qui retentirent, elle s’avança vers moi en faisant bouger son bassin en rythme.C’était une musique très sensuelle et sexy.— Comme ça, monsieur voudrait bien voir ma culotte ! dit-elle d’une voix chaude que je ne lui connaissais pas.— Ah, ben, euh…— Chut ! Tais-toi et profite du spectacle ! Ce que je fis – et de bon cœur –, car elle était magnifique à regarder.Son corps bougeait au rythme de la musique, elle tournait autour de moi, jouant avec le bas de sa jupe, le montant légèrement puis, avant d’arriver à sa culotte, le redescendant. Puis, sensuellement, elle quitta son haut et dévoila à la lumière tamisée ce soutif rouge deviné plus tôt.Je ne pouvais la quitter des yeux. Elle se déplaçait telle une chatte en chaleur et, déjà, dans mon pantalon, mon chibre réagissait et se mettait à durcir. Elle le remarqua de suite et poussa un petit rire appréciateur.Soudain, elle m’enjamba, me tournant le dos, jambes écartées, et s’assit sur mes genoux. Je ne pouvais voir le trésor ainsi dévoilé, mais pensais au téléphone qui enregistrait tout et me dit qu’elle l’avait oublié… Je rêvai quelques secondes au plaisir que j’aurai à voir cette vidéo. Puis je revins subitement au moment présent quand elle se mit à onduler son postérieur bien ferme sur mon membre très à l’étroit dans mon jean.En se relevant, Ju fit descendre lentement sa jupe, laissant apparaître deux globes blancs séparés par la ligne rouge de son string assorti au soutif, avant qu’elle finisse à genoux au sol en position de levrette et se mette à twerker. Un spectacle magnifique que ce cul ainsi offert à ma vue !Je n’en revenais pas ! Ma meilleure amie me faisait un effeuillage pour mon anniversaire, et Dieu que j’en avais rêvé de cet instant dans mes moments de solitude masturbatoire. J’essayai de poser mes mains sur ses hanches, mais elle me dit avant de se lever : — Pas touche ! Juste avec les yeux !Oh qu’elle était rayonnante, en lingerie, juste devant moi !Toujours en dansant, elle se retourna vers moi, retirant son soutif, mais cachant ses seins avec un bras, fit quelques pas de danse chaloupés et leva les bras au ciel, ce qui exposa sa fière poitrine aux tétons dardant comme des missiles, montrant ainsi l’excitation que de faire cette danse pour moi lui procurait. Et moi, j’étais bouche bée d’admiration devant un tel spectacle. Deux beaux seins tressautants au rythme de la musique, c’était juste fabuleux à regarder.La chanson arrivait doucement sur sa fin quand, très délicatement, elle fit descendre le dernier rempart à sa nudité complète, me dévoilant enfin son petit minou totalement épilé. Et quand retentit la dernière note, elle fit tournoyer son string et me le jeta au visage. — Cadeau, me dit-elle, je sais que tu les aimes… Pas besoin de me le voler celui-là ! Je l’attrapai au vol, sentis qu’il était bien humide sous mes doigts, et l’approchai de mon visage pour en humer aussitôt les divins effluves qui s’en dégageaient. C’est fou comme j’aime cette odeur !Nue, elle se retourna puis alla vers le téléphone pour couper la caméra en disant : — Ce qui va suivre n’a pas besoin d’être filmé.Et là, dans ma tête, ce fut un feu d’artifice : qu’allait-il m’arriver ? La suite ? Rester privé ? Arrête de te poser des questions et profite !Pendant ce temps, elle s’était rapprochée de moi pour susurrer à son oreille : — Tu ne touches toujours pas ! Et là, elle s’accroupit, genoux écartés, m’exposant ainsi son bijou rose nacré d’où je pouvais voir briller son excitation. Kaelle posa ses mains sur la braguette de mon jeans et le déboutonna sauvagement, tira le pantalon vers le bas et ainsi elle vit deux choses : que je portais un string rouge éclatant et que je bandais tellement que mon gland était déjà à l’air libre. Cette vision lui tira un petit rire, mais ne l’arrêta pas pour autant. Elle empoigna ma bite dressée et commença à me masturber doucement en me regardant dans les yeux, observant le plaisir qu’elle me procurait.Puis elle mit mon sexe turgescent entre ses seins, me prodiguant une branlette espagnole, et un coup de langue à chaque fois que ma bite était à proximité de sa bouche. Elle fit durer ce petit jeu deux ou trois minutes puis, sentant que j’étais au bord de la jouissance, elle me prit en bouche et commença de lents va-et-vient. Elle entama une série de montées et de descentes très lentes, sa main gauche caressant mes boules. Elle semblait prendre un malin plaisir à me déguster avec une lenteur calculée, progressant centimètre par centimètre, alternant aspirations et léchouilles, et ce avec une sensualité telle que j’avais réellement du mal à respirer et à penser à autre chose qu’aux mots : « Oh, mon Dieu ! Mon Dieu ! … Est-ce que c’est réellement en train de m’arriver ? »— Attention, soupirai-je, je vais craquer.À peine ces mots entendus, elle accéléra le rythme et ce qui devait arriver arriva. Mon corps se déchira en deux. Des volcans s’ouvrirent et crachèrent jusqu’au ciel des torrents de lave incandescente… Du moins, ce fut exactement l’impression que cela me fit… ! Plus modestement, et en réalité, ma semence gicla à grands jets dans la bouche de ma meilleure amie qui, bien loin de se retirer, maintint ma bite comme si elle avait décidé de ne plus jamais la lâcher. Quand elle eut tout recueilli, elle se releva, me montra sa récolte buccale comme dans un hentai, avala tout avant de me rouler une pelle magistrale, nos deux langues s’enroulant sauvagement.— J’espère que tu as apprécié ton cadeau, me dit-elle en se rhabillant.— Reste encore un peu, please, je n’ai même pas pu te rendre le bien que tu m’as fait.— Encore bon anniversaire, mais désolée, je dois partir. Ne t’inquiète pas, ce n’est que le début, je vais t’apprendre à séduire pour que tu ne subisses plus cette solitude qui te détruit tant.— Merci, tu ne peux pas savoir comme ce que tu m’as offert est important pour moi, je t’en serai éternellement reconnaissant. C’était le plus beau cadeau de ma vie !— Allez, sois pas triste, on se revoit très vite et tu m’expliqueras ton string, car ça m’intrigue !— Avec plaisir ! Nous rigolâmes tous les deux alors que je la raccompagnai jusqu’à sa voiture. Et là, nous nous embrassâmes avec une passion que je n’avais encore jamais ressentie.Ju monta dans son véhicule, ferma la portière et démarra.Je la regardai partir en lui envoyant plein de baisers volants avant de retourner dans ma grotte profiter de mon euphorie.