Mardi 6 juillet – vendredi 9 juillet. Un peu de calme.Le dĂ©but de semaine est très calme après l’effervescence de la semaine prĂ©cĂ©dente. Cela nous permet Ă Dominique et moi de reprendre un peu nos activitĂ©s sportives et le mercredi soir je vais impromptu dĂ®ner, seul, chez Maman. Elle m’invite la semaine suivante avec Anne et les filles Ă venir dĂ®ner un soir. Il ne se passe donc rien de marquant, sauf pour Gwendoline qui connaĂ®t quelques problèmes d’indisposition liĂ©s Ă sa grossesse Ă laquelle s’ajoute probablement le stress de l’attente de ses rĂ©sultats universitaires. Ă€ mon avis elle doit dĂ©jĂ en avoir bon nombre, mais je respecte la consigne et n’en parle pas. Pour rester dans ce domaine studieux, Dominique quant Ă elle laisse tomber le droit pour prĂ©parer le concours de… vĂ©tĂ©rinaire. Ce changement de cap Ă 180° me laisse pantois, d’autant qu’elle n’a pas choisi un cursus aisĂ©. Pour elle qui n’avait pas l’air mariĂ©e avec les Ă©tudes, je suis dubitatif, mais je garde mes rĂ©flexions pour moi. Peut-ĂŞtre simplement le droit vers lequel son père l’avait poussĂ©e, ne l’inspirait pas et que maintenant elle va ĂŞtre motivĂ©e.Une dĂ©cision est prise. Nous irons tous rendre visite Ă M. Saint Lescure Ă son bureau lundi prochain, s’il est lĂ bien sur, mais sans l’avertir Ă l’avance, et advienne que pourra. Je lance Ă©galement un autre sujet de discussion, celui du logement. En effet mon appartement s’il encore correct pour notre mĂ©nage Ă trois, sera trop juste avec des enfants, il va falloir viser plus grand, d’autant que Dominique a fermement l’intention de suivre la voie ouverte par sa mère et sa sĹ“ur. Mais nous attendrons un peu pour mettre un autre bĂ©bĂ© en route, afin que son accouchement ne soit pas trop proche de ceux d’Anne et Dominique. D’ailleurs avec des enfants, surtout quand ils grandiront, notre petit arrangement ne sera pas Ă©vident. Un papa, des mamans, ça va ĂŞtre atypique, tout au moins pour des français. Inch’allah comme diraient ceux qui pour qui cette situation est plus naturelle. Cela me fait penser en parlant de religion que je ne suis pas près de pouvoir communier.L’agenda de fin de semaine s’annonce lui un peu plus chargĂ©. Pour samedi soir, GaĂ«lle, dĂ»ment prĂ©venue par Gwendoline de la disposition des photos prises lors de sa visite, nous invite Ă dĂ®ner chez ses parents en prenant soin de prĂ©ciser que ceux-ci seraient absents. J’ai l’impression que ça ne va pas ĂŞtre triste. Quant au dimanche midi c’est VĂ©ronique qui nous invite pour une pendaison de crĂ©maillère.Le jeudi soir nous faisons un gros câlin Dominique et moi, quand brusquement elle me demande :— Pourquoi ne me demandes-tu pas d’essayer ?— Heu… demander quoi ? essayer quoi ?— De… enfin de m’enculer. Tu le fais avec Maman et Gwendo.J’en reste un peu Ă©bahi. Il y a de l’émulation entre ces dames.— Parce qu’enculer les filles n’est pas une idĂ©e fixe et que cela peut leur ĂŞtre dĂ©sagrĂ©able et mĂŞme douloureux. Si ta sĹ“ur, inspirĂ©e des photos qu’elle avait dĂ©couvertes, ne me l’avait pas demandĂ©, je ne pense pas que je lui aurais proposĂ©, au moins dans un avenir proche. Quant Ă ta mère c’est son rĂ©cit de pensionnat qui m’a donnĂ© des idĂ©es canailles. Mais si ça te tente…Ça la tente, elle me demande mĂŞme de faire prendre l’air Ă mes appareils photos. Je lui sers le petit discours de conseils auquel Gwendoline avait dĂ©jĂ eu droit. Avec le mĂŞme rĂ©sultat, un petit sĂ©jour de la demoiselle Ă la salle de bain. Ă€ son retour je l’allonge sur le lit. Je m’agenouille devant elle, prend ses jambes sur mes Ă©paules et lui prodigue un cunnilingus endiablĂ©, Ĺ“uvrant des lèvres, de la langue et mĂŞme un peu des dents. De temps Ă autre ma langue s’égare sur sa rosette. Celle-ci devient l’objet d’une attention plus soutenue. Si ce n’est ma langue, c’est mon doigt qui s’en occupe. Dominique ondule de la croupe Le terrain est maintenant bien souple. Nous allons pouvoir passer Ă la phase deux. Elle se met Ă quatre pattes. Un peu d’huile d’amande douce. Il faudra que je songe Ă en renouveler le stock, on en fait une grosse consommation ces derniers temps. Je pointe ma virilitĂ© vers son cul et pousse doucement. Cela rentre difficilement. Ça y est le gland est disparu. Je me rends compte que ma chĂ©rie est entrain de mordre les draps. Je suggère d’arrĂŞter lĂ pour aujourd’hui, mais d’une voix hachĂ©e, elle m’adjure de continuer. Bien qu’elle y mette toute sa bonne volontĂ©, la pĂ©nĂ©tration est malaisĂ©e. Son cul m’accueille enfin dans mon entier. Je lui annonce la nouvelle avant de me retirer dĂ©licatement. Elle n’insiste pas pour poursuivre. Je l’embrasse. Elle a les larmes aux yeux. Cette inauguration lui a Ă©tĂ© beaucoup plus pĂ©nible qu’à sa sĹ“ur. Elle m’explique que ça la brĂ»lait, mais que maintenant cela va mieux. MalgrĂ© ces dĂ©buts plus que dĂ©licats, elle ne renonce pas et parle dĂ©jĂ des prochaines fois et, elle aussi, de l’utilisation d’un gode pour s’habituer Ă la sodomie. Je la câline encore un peu, avant de la laisser s’allonger et d’aller me nettoyer.Ă€ mon retour, avant que je range mon matĂ©riel photo, elle s’empare de l’instrument, qui vient pourtant de la faire souffrir, mais encore plutĂ´t Ă son avantage, pour le porter Ă ses lèvres en murmurant que le pauvre avait Ă©tĂ© frustrĂ©. Elle s’applique Ă le rassĂ©rĂ©ner. Ses lèvres, courent le long de la hampe, embrassent les bourses, gobent le gland et mĂŞme plus. Cela me fait penser au film de GĂ©rard Damiano, « Gorge profonde » avec Linda Lovelace, sorti il y a environ quatre ans et dont il avait Ă©tĂ© beaucoup question. Ma chĂ©rie ne m’avale pas entièrement, cependant elle fait montre en la circonstance d’une capacitĂ© d’absorption qu’elle ne m’avait pas dĂ©voilĂ©e jusque lĂ . Sa langue aussi est de la partie. Quand elle sent que j’arrive Ă bout de rĂ©sistance, elle serre vigoureusement la base de ma verge. Après une pause, elle repart de plus belle, menant cette fois-ci l’action jusqu’à ton terme. Elle s’éloigne un peu pour recevoir dans sa bouche et sur ses lèvres les jets blanchâtres de ma semence, ce qui me donne l’occasion de quelques photos en plus de celles de l’inauguration de son petit trou et de ses performances buccales, qui devraient ĂŞtre intĂ©ressantes. Je porterais les bobines de ces derniers jours dès demain chez le photographe. Le lendemain justement, en allant travailler, nous avons eu une grosse frayeur. Tandis que nous attendions le mĂ©tro un quidam s’est emmĂŞlĂ© les crayons et m’a bousculĂ© comme la rame arrivait. Heureusement, avec l’aide de Dominique je n’ai pas perdu l’équilibre, car il est peu recommandĂ© d’essayer de prendre un mĂ©tro qui est portes fermĂ©es et qui roule.Samedi 10 juillet midi. Un dĂ©jeuner expĂ©diĂ©.Nous venons de fermer la porte sur le dernier lecteur avant la pause dĂ©jeuner. Comme je suis dans la cuisine pour boire un verre d’eau, Dominique me surprend lâchement par derrière. Elle me prend par la taille et se serre contre moi. Je sens ses seins contre mon dos. Elle m’embrasse dans le cou. Quand elle relâche un peu son Ă©treinte, je me retourne et nos bouches se retrouvent pour un long baiser. Elle me murmure Ă l’oreille :— J’ai fait une sottise.Je ne dis rien et attends la suite. Elle se recule un peu :— Ce matin j’ai oubliĂ© de mettre un slip.Elle retrousse sa jupe pour me faire constater de visu la vĂ©racitĂ© de ses dires. Et dire que de la matinĂ©e je n’avais rien remarquĂ©. Elle enchaĂ®ne :— Je confesse ma faute. Je suis une vilaine fille, mais je suis prĂŞte Ă rĂ©parer.Je la vois venir avec ses gros sabots, en consĂ©quence de quoi je la laisse venir. Après avoir vainement attendu une intervention de ma part, elle se dĂ©cide Ă reprendre :— Heureusement, par le plus grand des hasards, je crois avoir ce qu’il faut…Elle farfouille dans son sac et en sort quelques bouts de tissu, quelques dĂ©cimètres de chaĂ®nette, un petit cadenas et deux godes. Elle me tend le tout en me regardant d’un air innocent. Je m’en saisis en commentant mezzo voce :— Un pur hasard.— Il nous faut dans la vie faire la part du hasard. Tout dĂ©pend du hasard et la vie est un jeu— Tu te laisses habiter par les muses.Elle ne met quelques instants avant de pouffer. Elle a très bien pigĂ© l’art de dĂ©caler les sons, d’autant qu’elle me rĂ©pond, en ouvrant mon pantalon pour en faire sortir mon sexe :— Les beaux-arts sont un plaisir des Dieux, mais cela ne m’empĂŞche pas d’aimer le chic de la botte, mĂŞme en cette saison.Elle le gratifie de quelques gâteries, avant de se retourner et de s’appuyer sur la table. Je la dĂ©shabille et passe lentement ma main entre ses cuisses. Sa chatte suinte dĂ©jĂ abondamment. Devant d’aussi bonnes dispositions, je ne m’embarrasse pas d’autres prĂ©liminaires, je la pĂ©nètre d’un seul coup. Elle ne s’y attendait pas et a un lĂ©ger sursaut, avant de se cambrer un plus encore et d’ouvrir le compas de se jambes. Je la saisis par la taille, la baise. Son rythme s’accorde au mien, elle vient au-devant des coups qui la transpercent, mĂŞme ses halètements sont synchro. Le mouvement de ses fesses, l’ondulation de son bassin, le piston qui entre, sort et fouille son intimitĂ© me fascine. Son con ruisselle inondant ses cuisses et mes bourses. Sa croupe s’agite maintenant de mouvements dĂ©sordonnĂ©s, brusquement elle se raidit, ravalant un cri qui se transforme en un long gĂ©missement rauque. Je continue Ă la ramoner, je sens que cela vient, je me retire et arrose entre ses fesses.Je l’empĂŞche de se redresser, utilisant ce que je viens d’y rĂ©pandre, je lui caresse la pastille, y aventurant un doigt. Je ne perçois pas de rĂ©actions nĂ©gatives, j’insiste longuement, avant de m’emparer du plus petit des godes posĂ© sur la table. Je complète le lubrifiant naturel d’un peu d’artificiel dont elle a pris la prĂ©caution de se munir. J’ajuste l’objet et l’enfonce lentement. Ma chĂ©rie Ă un petit mouvement, mais elle me demande de continuer. Elle retire ses bras sur lesquels reposait sa tĂŞte. Sa poitrine s’écrase sur la table. Elle prend ses fesses Ă deux mains pour les Ă©carter et dĂ©gager encore mieux le petit trou habituellement dissimulĂ©. Quand tout a disparu, je demande Ă nouveau comment ça va. Elle me rĂ©pond que ça chauffe, mais rien de comparable avec la première fois. Elle en est ravie. Je ne veux pas doucher son bel optimisme en lui faisant remarquer que ma queue, sans me vanter, est d’un calibre supĂ©rieur Ă ce que je viens de lui planter dans le cul. Mais c’est tout mĂŞme bon signe. Elle me demande de le bouger. Je le fais tourner, entrer, sortir. Bien qu’elle continue Ă tendre les fesses en les maintenant Ă©cartĂ©es, il m’apparaĂ®t que cela ne lui est pas des plus agrĂ©ables. MalgrĂ© tout, quand je lui suggère d’arrĂŞter pour aujourd’hui et de poursuivre un autre jour, elle refuse. J’enfonce donc le gode bien au fond, je m’empare du second et l’enfile dans son orifice encore libre. LĂ pas de difficultĂ©s. Je nettoie les lieux avant de poser les chaĂ®nettes et leur parure de tissu. Nous nous habillons pour sortir dĂ©jeuner hâtivement.Samedi 10 juillet soir. Un dĂ®ner dĂ©sirĂ©.Avant de nous rendre chez GaĂ«lle, nous passons chez le photographe, rĂ©cupĂ©rer les photos dĂ©posĂ©es la veille, puis je vais acheter quelques fleurs. Quand nous arrivons chez la copine, Gwendoline est dĂ©jĂ lĂ . GaĂ«lle me saute au cou comme une vieille mĂ©daille ou plutĂ´t comme une jeune mĂ©daille, m’embrasse et demande, illico, Ă voir ses photos. Je les Ă©tale sur la table, d’abord celles prises dans la salle de bain, puis celles prises dans la chambre. Laissant mon bouquet en plan, elles se penchent dessus. Ça glousse beaucoup du cĂ´tĂ© de ces demoiselles. Les commentaires sur leur prestation vont bon train. Il faut reconnaĂ®tre que les clichĂ©s sont fort Ă©moustillants. Les chutes de reins sont somptueuses et les chattes oĂą des mains, autres que celles de leur propriĂ©taire s’égarent, ne le sont pas moins. Ă€ propos de mains qui s’égarent, une des miennes va se perdre sous la jupe de Gwendoline. Je ne suis pas le seul Ă ĂŞtre Ă©moustillĂ© par ce qui est exposĂ© sur papier glacĂ©. Quand j’atteins ma chĂ©rie dans ses Ĺ“uvres vives, l’endroit est bien humide. Ă€ la manière dont elle avait Ă©cartĂ© les cuisses et s’était cambrĂ©e en sentant mon intrusion, je m’en doutais un peu. Mais rapidement, Ă ma surprise, ma chĂ©rie se dĂ©gage, passe de l’autre cĂ´tĂ© de la table et finit par sortir de la pièce. Elle revient deux minutes plus tard et reprend sa place en me bousculant lĂ©gèrement. Quelques instants plus tard, elle rĂ©cidive d’un coup de postĂ©rieur. Si tout Ă l’heure je lui ai mis la main aux fesses, maintenant c’est elle qui me met les fesses Ă la main. Je ne rĂ©siste pas plus qu’elle n’avait rĂ©sistĂ©. Je comprends immĂ©diatement le pourquoi de sa sortie. Plus aucun obstacle ne s’interpose entre mes doigts et sa chatte, son slip est passĂ© Ă la trappe. Elle s’appuie sur la table, les jambes bien Ă©cartĂ©es et les reins cambrĂ©s. Ma main s’active, je la sens frĂ©mir. Elle qui jusque lĂ se montrait plutĂ´t disserte, ne dit plus rien. Elle lâche un soupir couvert par les rires de GaĂ«lle et Dominique, qui ne se rendent compte de rien. Elle chancelle un peu et s’appuie plus lourdement sur la table. Elle prend une grande inspiration, se tourne vers moi, m’adresse un magnifique sourire avant de m’envoyer un baiser du bout des lèvres et de reprendre sa place dans les commentaires des photos. Je m’éclipse Ă mon tour quelques instants pour aller me laver les mains qui en ont bien besoin, surtout l’une d’entre elle.Après s’être longuement intĂ©ressĂ©es Ă leurs exploits, immortalisĂ©s sur papier glacĂ©, je pensais que les trois amies, penseraient Ă mon petit estomac qui commence Ă crier famine, le repas de midi avait Ă©tĂ© rapide et lĂ©ger. C’était sans compter sans Gwendoline. Cette dernière s’est rappelĂ©e que nous devions passer prendre des photos en venant et elle demande Ă les voir. Ă€ dire vrai, je l’avais subodorĂ©, Ă©tant donnĂ© qu’à première vue mes deux chĂ©ries n’ont pas l’air d’avoir de secrets pour leur amie. Aussi avais-je eu la prudence de mettre de cĂ´tĂ© les photos concernant leur mère pendant le trajet. C’est malgrĂ© tout Ă regret que je les sors pour les exposer Ă l’assistance en commençant par celle avec Gwendoline. DĂ©s que son regard tombe dessus GaĂ«lle pousse un « Oh » avant d’enchaĂ®ner :— Tu te fais enculer !— Ben…— Tu as bien voulu ?… Qu’elle impression ça fait ?… Ce n’est pas douloureux ?… Bernard est un sacrĂ© coquin de demander ça…Elle parle et pose des questions en rafale sans mĂŞme attendre les rĂ©ponses, tant ce qu’elle dĂ©couvre la surprend et l’excite. Profitant d’un moment oĂą elle reprend son souffle, Gwendoline lance :— Bernard est un peu coquin et mĂŞme un peu plus, mais ce n’est pas lui qui a demandĂ©, C’est moi.GaĂ«lle en reste un moment stupĂ©fiĂ©e avant d’enchaĂ®ner :— C’est toi qui a demandĂ© Ă te faire enculer ! Qu’est-ce qui t’a poussĂ© Ă le faire ?— C’est en voyant…Sentant venir la gaffe oĂą elle va dire que c’est voyant les photos oĂą j’enculais sa mère que l’idĂ©e lui Ă©tait venue, je lui donne un discret coup de pied dans les chevilles, ce qui lui coupe la chique et poursuis Ă sa place :— …un vieux livre polisson. Comme quoi apprendre Ă lire aux filles n’est pas complètement inutile, cela peut parfois leur donner des idĂ©es.L’œil de GaĂ«lle tombe sur les photos de Dominique, subissant le mĂŞme traitement :Dominique enchaĂ®ne :— Oui moi aussi, j’ai demandĂ© Ă Bernard de m’enculer. J’avais aussi vu le… livre. Ça n’avait pas fait tilt et puis Gwendo m’en a parlĂ©, ça m’a dĂ©cidĂ© d’essayer aussi.RĂ©pondant aux interrogations de leur rousse amie, mes deux chĂ©ries expliquent qu’au dĂ©but ce n’est pas très agrĂ©able. Dominique prĂ©cise que c’était plutĂ´t douloureux. Mais elles pensent qu’il ne faut pas s’arrĂŞter Ă une inauguration difficile. Avant de condamner, il faut procĂ©der Ă d’autres essais, en s’efforçant de prĂ©parer au mieux le terrain. Bien sur GaĂ«lle demande ce qu’elles entendent par prĂ©parer le terrain et Gwendoline d’expliquer l’utilisation des godes. L’amie s’étonne de la manière dont on peut les faire tenir en place et ma blonde chĂ©rie de dĂ©crire la « culotte Bernard » .Comme je le sentais venir depuis un moment, après que GaĂ«lle ait posĂ© des questions sur l’objet, Dominique retrousse sa jupe et lui montre Ă quoi cela ressemble in situ. GaĂ«lle se montre si captivĂ©e par la chose qu’in fine la jupe se retrouve sur un dossier de chaise et que les mains de l’amie l’inspectent en dĂ©tail, Ă©prouvant les chaĂ®nettes, jaugeant les tissus, manĹ“uvrant les deux godes. La visite se prolongeant Dominique a le souffle qui devient court, ce que voyant l’autre insiste et me demande, soit disant pour mieux voir la fabrication, de l’ouvrir. AmusĂ© j’obtempère. Bien sur, elle ignore les chaĂ®nettes qui tombent Ă terre avec un lĂ©ger bruit mĂ©tallique, et continue de manipuler les instruments qui occupent les trous de ma chĂ©rie. Ainsi travaillĂ©e, Dominique ne reste pas de marbre. Sa respiration devient saccadĂ©e, elle s’agrippe Ă mon bras. Heureusement d’ailleurs, car ses jambes flĂ©chissent, comme elle lâche un soupir rĂ©vĂ©lateur. Comme GaĂ«lle a touillĂ© sa chatte et son cul avec le mĂŞme allant, je me dis que du cĂ´tĂ© de ce dernier, c’est plutĂ´t bon signe. Satisfaite du rĂ©sultat obtenu l’amie se redresse et me fait un clin d’œil en disant :— Ta as eu lĂ une idĂ©e intĂ©ressante. En tout cas les sĹ“urettes ont l’air de ne pas hĂ©siter Ă l’expĂ©rimenter et visiblement c’est concluant. En as-tu d’autres dans les neurones ?J’ai l’inconscience de rĂ©pondre que ce n’est pas impossible et me voilĂ pressĂ© de questions. Après avoir tentĂ© de garder le silence, je finis par capituler, me rendant compte que tant que je me tairais j’avais peu de chance de voir arriver le dĂ®ner. J’explique donc que j’ai pensĂ© Ă une petite coquille qui se placerait au-dessus de leur petit bouton et un petit ressort maintiendrait appuyĂ© sur celui-ci une bille dont les vibrations Ă chaque mouvement devraient avoir des effets Ă Ă©tudier. Ces demoiselles se dĂ©clarent prĂŞtes Ă se dĂ©vouer pour jouer les cobayes et m’incite vivement Ă passer Ă la phase prototype. Enfin, après de rapides commentaires sur les prouesses buccales de Dominique, nous passons enfin Ă table. Le reste de la soirĂ©e se passe plus calmement, mĂŞme si les conversations ont parfois un cĂ´tĂ© un peu surrĂ©aliste Ă proscrire formellement aux oreilles chastes. L’heure est dĂ©jĂ bien avancĂ©e quand nous retournons vers nos pĂ©nates.En rentrant dans la maison, devant la porte de l’immeuble, un pot de fleur s’écrase sur le trottoir. Ă€ 20 cm près c’était sur ma tĂŞte qu’il s’écrasait. Ces demoiselles sont en Ă©moi. Je les rassure, je n’ai pas une Ă©gratignure. Je me garde de faire des commentaires mais, n’en pense pas moins. Après l’aventure du Bois de Vincennes et l’incident du mĂ©tro, sans ĂŞtre parano, c’est le genre de coĂŻncidences qui me laisse songeur. Je vais tĂ©lĂ©phoner Ă mon parrain et lui exposer mes doutes, pour ce genre de choses, il devrait m’être de bon conseil. Ă€ la maison Sekhmet n’est pas derrière la porte piaffant d’impatience, miaulements de reproche Ă la gueule, Gwendoline ayant eu la sagesse de lui donner Ă manger avant de partir chez GaĂ«lle.Dimanche 11 juillet midi. FĂŞte d’installation.Après une bonne nuit de sommeil je me rĂ©veille en pleine forme. Dominique dort encore et sur le canapĂ© Gwendoline aussi. J’en profite pour sortir tĂ©lĂ©phoner Ă mon parrain, un ancien collègue de papa. Il est 10 h00, c’est une heure raisonnable. C’est sa femme qui dĂ©croche. Elle m’explique qu’il n’est pas lĂ , mais encore Ă son bureau. Que si je lui tĂ©lĂ©phone j’en profite pour lui rappeler qu’ils sont invitĂ©s Ă dĂ©jeuner. Je promets. Je sais pourtant que j’ai davantage de chance de trouver parrain au bureau que chez lui, mais je pensais qu’un dimanche matin… Je compose le numĂ©ro du bureau.— Service de documentation extĂ©rieure. Bonjour— Bonjour. Je dĂ©sirerais parler au gĂ©nĂ©ral Du Vergier de La Rochejacquemain, de la part de Bernard La Contrie.Après quelques clics et autant de bourdonnements :— Alors on se rappelle que l’on a un parrain. Ça fait bien deux mois que tu ne m’as donnĂ© signe de vie.— Mea culpa. Mais…— Je sais. Il y a quelques nouveautĂ©s dans ta vie.— C’est Maman qui a vendu la mèche.— J’ai rencontrĂ©, par hasard, quelqu’un qui te connais. Nous avons un peu parlĂ© et j’ai ainsi eu de tes nouvelles.— Ha ! Et qui est-ce ?— …— Je vois, dĂ©formation professionnelle, on ne trahit pas ses informateurs.— Tu as raison. Ce sont de mauvaises habitudes Ă ne pas prendre.Nous parlons quelques minutes des changements survenus dans ma vie, de Dominique et Gwendoline. Quand j’en viens aux doutes qui m’assaillent. Il me dit que je dois me faire des idĂ©es, mais qu’il va quand mĂŞme voir et il me donnera des nouvelles. Pourtant j’ai l’impression que le nom de mon beau-père l’a troublĂ©. Après quoi il me demande quand je compte lui prĂ©senter mes dulcinĂ©es. Sachant que son emploi du temps est du genre chargĂ©, je lui demande quand il a une chance d’être disponible. Cela se rĂ©sume à … demain soir. Rendez-vous est donc pris pour dĂ®ner chez lui.En rentrant Ă la maison, après ĂŞtre passĂ© chez le boulanger prendre quelques croissants, je trouve mes deux chĂ©ries levĂ©es. Nous prenons notre petit dĂ©jeuner. Je leur annonce l’invitation de mon parrain pour le lendemain soir. En rĂ©ponse Ă leurs questions, je leur explique qu’il a servi avec mon père en Italie durant la seconde guerre mondiale, puis en Indochine et en AlgĂ©rie, jusqu’à ce que Papa quitte l’armĂ©e pour se lancer dans les affaires. Il est mariĂ© et a six enfants : Patrick l’aĂ®nĂ© fĂŞte ses 30 ans cette annĂ©e, Alain, 27 ans, Mathilde 25 ans, Delphine, 23 ans, Nathalie 21 ans et la cadette OphĂ©lie 15 ans. Nous vaquons Ă quelques tâches mĂ©nagères, avant de nous rendre Ă la paroisse pour l’office dominical. Nous ne voyons pas mon ami le père Bernier, ce n’est pas lui qui cĂ©lèbre ce matin. En sortant, nous passons chez le fleuriste avant de nous rendre Ă la pendaison de crĂ©maillère de VĂ©ronique.Le passage par la case Ă©glise fait que nous arrivons bons derniers. Ă€ notre entrĂ©e, VĂ©ronique se prĂ©cipite vers nous et me saute au cou, avant de saluer, mais avec moins d’enthousiasme mes deux chĂ©ries. Dire qu’elle est enchantĂ©e de son nouveau travail et de son emmĂ©nagement serait en dessous de la vĂ©ritĂ©. Elle me prĂ©sente son frère Charles et sa petite amie Louise, deux de ses copines : Nathalie, accompagnĂ©e de son coquin Laurent et Suzanne. Je connais le reste de l’assemblĂ©e, mes trois copains et leurs compagnes, Carole, Anne et six employĂ©s de la boutique venus pour trois d’entre eux avec leur conjoint. Ça fait pas mal de monde et pas mal de bruit, d’autant qu’une sono est branchĂ©e pour que l’on puisse danser.Anne nous entraĂ®ne ses filles et moi dans endroit plus calme pour pouvoir nous parler. Elle nous apprend que son mari est de nouveau parti depuis la veille pour le Proche Orient et que ce n’est pas encore tout de suite que les filles et moi pourrons avoir un entretien avec lui. Mais le plus important n’est pas lĂ . Avant son dĂ©part, Anne et lui ont eu une discussion. Elle n’était pas au courant de son dĂ©collage quand elle l’avait lancĂ©e. Elle lui a annoncĂ© qu’elle Ă©tait enceinte. Si la discussion fut relativement brève, elle n’en fut pas moins violente. Bien que n’étant pas lui-mĂŞme un modèle de fidĂ©litĂ©, Pierre Saint Lescure ne concevait pas que sa femme l’imite. Il s’était emportĂ©, avait parlĂ© rĂ©pudiation (sic). Seuls les arguments calmement Ă©noncĂ©s par Anne (les quatre enfants qu’il avait eu avec ses secrĂ©taires et surtout les actions qu’elle dĂ©tient en propre de sa chère sociĂ©tĂ©), avait amenĂ© son mari Ă mettre de l’eau dans son vin. Ă€ son dĂ©part, il Ă©tait toujours aussi furieux, mais avait Ă©tĂ© contraint de cesser ses menaces et de lui admettre la mĂŞme libertĂ© qu’il s’était octroyĂ© Ă lui-mĂŞme. Officiellement ils restent un couple uni. Mais Anne se mĂ©fie et redoute quelques coups bas. Aussi fera-t-elle malgrĂ© tout attention Ă ses faits et gestes. Elle nous annonce aussi que le lendemain midi elle a invitĂ© Oncle Georges. De son vrai nom Georges Doucadal, C’est Ă cet ancien compagnon de la rĂ©sistance que son beau-père avait demandĂ© de veiller sur elle. Il fait de plus partie du Conseil d’administration de la SociĂ©tĂ© dont il possède 10% des parts.Notre absence ayant quelque peu durĂ©, nous rejoignons le reste de la troupe. Je m’approche du buffet avec plaisir car je commençais Ă avoir l’estomac dans les talons. Je vois qu’Anne est encore secouĂ©e par la brutalitĂ© de l’affrontement avec son Ă©poux. Je l’entraĂ®ne sur le palier, un peu hors du bruit, pour lui remonter le moral. Nous descendons ensuite dans la cour car elle dit qu’elle Ă besoin de prendre l’air. Nous y sommes Ă peine depuis une minute, qu’elle jette autour d’elle un regard attentif, me prend la main et m’entraĂ®ne vers l’escalier du sous-sol. Il m’apparaĂ®t qu’elle a une idĂ©e bien prĂ©cise de la manière dont je peux lui remonter le moral. ArrivĂ©s en bas, je ne la fais pas languir. Nous Ă©changeons un baiser. Je soulève son bustier et dĂ©voile sa poitrine. Je la caresse. Mes lèvres remplacent ma main, tandis que cette dernière s’égare sous sa jupe. Cette fois-ci encore je constate qu’elle juge le slip comme un accessoire… accessoire. Vu la manière dont elle inonde mes doigts, cette fine lingerie aurait vite ressemblĂ© Ă une serpillière. Les choses Ă©voluant plutĂ´t favorablement, je dĂ©cide de passer Ă la vitesse supĂ©rieure. Je la culbute sur la table, sors mon dard et le plante dans l’endroit ad hoc. Des bras et des jambes, elle s’agrippe Ă moi. Elle est dans de si bonnes dispositions, qu’elle ne met pas une minute Ă prendre son pied. Elle relâche son emprise avant de me repousser doucement. Je recule un peu frustrĂ©. Elle se redresse, me donne un baiser avant de s’agenouiller et de se mettre Ă me pomper avec Ă©nergie. Je rĂ©siste un peu avant de rendre les armes. Nous remettons rapidement de l’ordre dans nos tenues et rejoignons l’étage.Je croise les doigts pour que notre escapade n’ait pas Ă©tĂ© remarquĂ©e. Ouf ! Apparemment non.Je me laisse entraĂ®ner Ă danser. Dominique est dans son Ă©lĂ©ment, elle ne manque pas de partenaires bien que la gente masculine soit sous reprĂ©sentĂ©e. Heureusement qu’avec nombre de danses modernes on se trĂ©mousse seul, cela me permet de faire des pauses. Lors de l’une d’elle, je me trouve Ă cĂ´tĂ© de Carole. Après avoir hĂ©sitĂ© je lui demande comment ça se passe du cĂ´tĂ© des piqĂ»res d’orties. Grâce Ă la crème, seul le premier jour a Ă©tĂ© vraiment dĂ©licat. Maintenant ça va tout Ă fait bien. Après m’avoir rĂ©pondu, je vois qu’elle aussi hĂ©site un peu. Elle finit par se lancer. C’est au sujet de sa sĹ“ur. Elle est prĂ©fère me prĂ©venir :— Je pense que ma sĹ“ur est amoureuse de toi.— Hein ! Es-tu sure ?— Oui. Elle s’est vouĂ©e de passion pour toi. Elle parle toujours de toi avec ferveur. Tu n’as pas cherchĂ© Ă la sĂ©duire. Cependant, rends-toi compte, après qu’elle ait organisĂ© une expĂ©dition punitive contre toi, non seulement tu ne l’as pas livrĂ©e aux flics ni mĂŞme cherchĂ© Ă te venger, mais en plus tu l’as tirĂ©e des ennuis qui se profilaient avec ses copains, tu lui as fourni non seulement un travail mais aussi un logement. Le tout comme ça, sans contrepartie, sans rien demander. C’est la première fois qu’elle rencontre quelqu’un ainsi, qui ne cherche pas Ă exploiter les situations Ă son avantage, qui est simplement gentil.— Pourtant, Dominique, Gwendoline… elle sait…— Bien sur ! Mais, d’une part, savoir que quelqu’un n’est pas libre n’a jamais empĂŞchĂ© de l’aimer et d’autre part je pense qu’elle ne s’avoue pas ses sentiments.VoilĂ une complication dont je n’avais pas vraiment besoin.— J’espère qu’une première pĂ©riode d’exaltation passĂ©e, cela va se tasser et qu’un gentil garçon trouvera le chemin de son cĹ“ur.— Ce sera difficile elle ne jure que par toi, n’importe quel autre sera transparent.— Ne pourrais-tu aider Ă lui ouvrir les yeux, Ă me faire perdre mon aurĂ©ole. Je ne suis pas un saint.— Je ne sais pas si je serais très convaincante. Vois-tu, si la situation Ă©tait diffĂ©rente, que tu ne sois pas en main, il n’y aurait pas Ă me pousser pour que je tombe dans tes bras. Je m’en rends parfaitement compte, mais j’ai dix ans de plus que VĂ©ro, et je sais peut-ĂŞtre un peu mieux voir les choses, les accepter comme elles sont et les relativiser. MĂŞme si avec mon cher ex-patron ça n’a pas Ă©tĂ© flagrant.Avec un sourire charmeur elle me lance avant de rejoindre les danseurs.— Mais j’essaierais. Et ne fais pas cette tĂŞte lĂ . Ce n’est pas si terrible que les gens t’aiment, c’est mieux que l’inverse.Je dois encore faire une drĂ´le de bobine. Il faudra que je surveille un peu plus mes expressions, j’ai l’impression que des fois on lit en moi trop facilement. Je retourne danser. Maintenant que j’y porte un peu plus attention, je me rends compte que VĂ©ronique me dĂ©vore du regard et viens vers moi dĂ©s que possible. Autant que faire se peut, je m’efforce de mettre de la distance entre nous. MalgrĂ© tout je ne peux l’éviter Ă©ternellement. Je lui accorde deux danses en m’arrangeant pour que cela soit des rocks et non des slows. Aujourd’hui Gwendoline se montre nettement plus sage que lors de son anniversaire. Il faut dire qu’elle est aussi nettement plus sobre. La fĂŞte se prolonge dans la soirĂ©e. Il est 10h00 largement passĂ©es quand nous prenons congĂ©. Au moment des au-revoir Notre hĂ´tesse me saute Ă nouveau au cou en se confondant en remerciements. Anne retourne chez elle pour superviser le repas du lendemain. Nous l’accompagnons jusqu’à sa porte avant de rentrer Ă la maison.Je suis claquĂ©. Tandis que les filles donne Ă manger au fauve, je me douche et vais me coucher. Je m’endors instantanĂ©ment malgrĂ© mon intention d’attendre ma chĂ©rie.Lundi 12 juillet : journĂ©e invitation.Quand je me rĂ©veille, je suis seul dans le lit. Dans la salle Ă manger, mes deux chĂ©ries prennent leur petit dĂ©jeuner. Je les embrasse et me joints Ă elles. Il parait que je dormais tellement bien qu’elles n’ont pas eu le courage de me rĂ©veiller. Une fois prĂŞts, nous partons chez leur mère. Comme il est tĂ´t, nous dĂ©cidons de nous y rendre Ă pied. En passant près des Invalides, nous faisons une petite halte sur le banc ombragĂ© d’un square. Je suis en train de rĂŞvasser, quand je sursaute. Une main s’est posĂ©e sur mon entrejambe. C’est celle de Dominique. Le temps que j’atterrisse, elle a dĂ©jĂ sorti ma queue.— Tu es folle !— Il n’y a que nous.Souffle-t-elle avant de ne plus pouvoir parler, car elle vient de me gober, et en jeune fille bien Ă©levĂ©e elle ne parle pas la bouche pleine. Elle s’active avant de laisser la place Ă sa sĹ“ur. J’essaie de les raisonner. Mais visiblement je dois manquer de conviction, puisqu’elles continuent d’œuvrer alternativement. En voyant sa sĹ“ur m’avaler presque entièrement, confirmant ainsi son don de gorge profonde, Gwendoline essaie de l’imiter, mais elle rĂ©ussit beaucoup moins bien. Elle a un ou deux hoquets qui m’inquiètent. Je me vois mal avec son petit dĂ©jeuner en garniture de sexe, mais fort heureusement cela passe. Elles y mettent de l’ardeur, considĂ©rablement d’ardeur. Elles arrivent Ă bout de ma rĂ©sistance. Je les avertis que ça va venir. C’est Dominique qui m’a en bouche quand je pars. Elle avale tout et avant de la ranger dans mon pantalon elle nettoie consciencieusement ma queue Ă coups de langue. Durant toute l’opĂ©ration, je jetais quelques regards alentour pour repĂ©rer d’éventuels gĂŞneurs. J’échange un baiser avec chacune de ces deux coquines, avant que nous reprenions notre chemin. Et Gwendoline de conclure :— C’est dommage de ne pas avoir eu les appareils photo.ArrivĂ©s, les filles ouvrent avec leur clĂ©. Après avoir embrassĂ© Anne, nous passons au salon en attendant « Oncle Georges ». Elle a fait prĂ©parer par la cuisinière un repas froid, servi en une seule fois, pour ne pas que les grandes oreilles des domestiques traĂ®nent pendant le repas.On sonne. La bonne introduit un monsieur distinguĂ©, qui ne fait pas ses soixante dix ans passĂ©s. Anne et les filles l’embrassent. La bonne est sortie quand Anne nous prĂ©sente :— Bernard La Contrie, bibliothĂ©caire, celui qui a trouvĂ© la clĂ© du cĹ“ur de mes filles. Georges Doucadal, compagnon de rĂ©seau de mon beau-père et d’AndrĂ©e, ancien directeur de la SociĂ©tĂ© et surtout ami fidèle.Chacun dĂ©clare qu’il est enchantĂ© et il me donne une franche poignĂ©e de main accompagnĂ©e d’une tape amicale sur l’épaule. Nous prenons l’apĂ©ritif au salon. Nous discutons de choses et d’autres avant qu’il me demande comment nous en sommes arrivĂ©s Ă notre trio. En passant sous silence bien sur le rĂ´le d’Anne, nous lui en narrons le comment des deux sĹ“urs et moi. L’arrivĂ©e de Dominique Ă la bibliothèque, les heurts, mĂŞme la fessĂ©e, la rĂ©conciliation. La venue de Gwendoline pour travailler, qui s’attache Ă moi car sa sĹ“ur ne l’avait pas mise au courant de nos relations. La dĂ©ception quand elle nous surprend Ă nous embrasser (Je remplace par cette version soft, le fait qu’elle m’avait dĂ©couvert en pleine action avec sa mère) Le coup de vase et l’arrangement dĂ©cidĂ© Ă l’hĂ´pital. L’histoire de la fessĂ©e le fait sourire et il s’étonne que Dominique n’ait pas eu une rĂ©action plus abrupte. Elle lui explique le pourquoi de la chose. Il conclut ce rĂ©cit en affirmant qu’il savait que les sĹ“urs avaient du caractère et ne se laissaient pas arrĂŞter facilement quand elles voulaient quelque chose. Mais que lĂ elles avaient encore rĂ©ussi Ă l’étonner.Nous passons ensuite Ă table. Au cours du repas, Ă un moment on mentionne le dĂ®ner chez mon parrain le soir, de fil en aiguille, il s’avère qu’« oncle Georges » l’a connu pendant la guerre. Quand la zone oĂą il rĂ©sidait a Ă©tĂ© libĂ©rĂ©e, il a rejoint une unitĂ© combattante ou mon parrain Ă©tait capitaine. Il y a aussi connu mon père qui y Ă©tait commandant. Mon nom lui avait bien dit quelque chose, mais il n’avait pas fait le rapprochement. Je lui apprends que papa, après avoir quittĂ© l’armĂ©e en 1960 pour se lancer dans les affaires est mort en Afrique en 1963. Quant Ă parrain il est maintenant gĂ©nĂ©ral au SDECE. Je dois lui transmettre ses amitiĂ©s.Après les souvenirs, Anne se lance dans les choses sĂ©rieuses. Elle annonce les dernières nouvelles, l’agression dont j’ai Ă©tĂ© victime et qui l’avait organisĂ©e, la grossesse de Gwendoline et dans la foulĂ©e qu’elle aussi est enceinte et pas de son mari. Elle narre sa dernière entrevue orageuse avec celui-ci. Oncle Georges ne condamne, ni n’approuve, il comprend. Il connaĂ®t bien le fils de son ami qui dĂ©laisse sa femme, mais voit dans ses secrĂ©taires un vivier dans lequel il n’a qu’à puiser et oĂą il sème des bâtards. Il s’attendait mĂŞme Ă ce qu’Anne aille voir ailleurs plus tĂ´t. Mais il n’est pas Ă©tonnĂ© des rĂ©actions de Monsieur Saint Lescure, car comme beaucoup de coureur, il est jaloux. Il enrage d’autant plus qu’il n’est pas en position de force et cerise sur le gâteau ses filles se rĂ©voltent contre lui et sa maĂ®tresse assistante prĂ©fĂ©rĂ©e le plaque. Par contre il ne s’attendait pas Ă l’expĂ©dition punitive, mais n’est pas surpris qu’il ait songĂ© Ă essayer de m’acheter, car il ne pense que par l’argent et au pouvoir qu’il donne.Après ces considĂ©rations, Oncle Georges me fait parler de moi. Quand je lui dis que je m’apprĂŞte Ă devenir conservateur de bibliothèque. Il imagine très bien mon beau-père piquant une crise en apprenant que non seulement une mais ses deux filles soient tombĂ©es amoureuses d’un fonctionnaire sans fortune. Je fais remarquer que si je suis fonctionnaire, je ne suis pas sans le sou. Mon père ayant assez bien rĂ©ussi dans les affaires après son dĂ©part de l’armĂ©e, Ă sa mort l’hĂ©ritage n’était pas nĂ©gligeable et il a Ă©tĂ© complĂ©tĂ© par celui d’une tante qui avait un poste important dans la banque. Et c’est une part de ces hĂ©ritages qui m’a permis d’investir dans la boutique. Dominique intervient alors, en parlant avec Carole (entre parenthèse, cela fait bien rire Oncle Georges que l’ex assistante travaille maintenant pour moi), elle a appris que ce que j’appelle la boutique, c’est non seulement le magasin qu’elles connaissent, mais aussi deux unitĂ©s de fabrication, une en banlieue et l’autre Ă Strasbourg, le tout employant près de 120 personnes. Anne enchĂ©rit :— Et tu possèdes un quart de tout cela !— À dire vrai, c’est un peu plus de la moitiĂ©, mes amis n’ayant pas pu investir autant. Mais au dĂ©part ce n’était pas aussi important. L’affaire s’est beaucoup dĂ©veloppĂ©e depuis la reprise. Mes copains sont pleins d’idĂ©es. Ma contribution Ă l’édifice, autre que financière, a Ă©tĂ© de les mettre en rapport et de servir d’intermĂ©diaire avec d’anciennes relations de papa dans l’armĂ©e et en AfriqueOncle Georges me regarde d’un Ĺ“il intĂ©ressĂ© quand je parle des relations paternelles, avant d’enchaĂ®ner :— Et cela ne reprĂ©sente qu’une part de l’hĂ©ritage !J’explique qu’au dĂ©part j’avais investi en quatre parts Ă peu Ă©gales : la boutique, des actions, de l’immobilier, dont mon logement et des placements monĂ©taires. Maintenant la boutique et les actions (je ne me suis pas trop mal dĂ©brouillĂ© Ă la bourse) reprĂ©sentent Ă peu près un tiers de mes investissements chacun et les deux autres, Ă peu près 20% chacun.— Dire que Pierre est persuadĂ© que vous ĂŞtes un gueux qui court après l’argent, c’est trop drĂ´le.La fin du repas se passe en discussions moins personnelles. Quand l’invitĂ© part il reste encore deux bonnes heures avant l’heure d’arrivĂ©e chez mon parrain. Tandis que nous continuons de deviser Anne, Gwendoline et moi, Dominique s’éclipse. Une dizaine de minute plus tard, elle m’appelle pour que je l’aide. Quand je rentre dans sa chambre, je devrais peut ĂŞtre dire son ex-chambre, sortant visiblement de la douche, elle est en peignoir devant une armoire ouverte.— Que penses-tu que je doive mettre ?C’est le genre de question piège. Je parcours les vĂŞtements et opte pour robe jaune, lĂ©gère, devant lui arriver Ă mi-cuisse. Elle doit trouver mon choix judicieux car elle sort l’objet. Elle retire alors son peignoir. Elle ne porte qu’un slip. Pas n’importe quel slip, celui fait de sa blanche main. Ne l’ayant pas vue emmener de la maison un sac suffisamment grand pour contenir les deux godes qui occupent leur place, j’en conclus qu’elle a du le porter depuis ce matin. DĂ©signant son harnachement :— Je ne me suis aperçu de rien. Ça ne t’a pas gĂŞnĂ©e de le porter toute la journĂ©e ? Surtout que nous avons Ă©tĂ© beaucoup assis.— Non ça a Ă©tĂ©. Après un silence elle ajoute en rosissant :— C’est pour prĂ©parer mon petit trou.Elle s’approche, m’embrasse longuement en se serrant et en me caressant au niveau de la braguette. Ma queue se met au garde Ă vous. Constatant que je suis dans de bonnes dispositions, elle me murmure avec un petit air canaille :— On a un peu de temps devant nous.Avant que je rĂ©ponde, elle me cloue les lèvres d’un nouveau baiser et dĂ©fait mon pantalon. Je ne peux rĂ©pondre, mais je partage son avis. Nous nous retrouvons rapidement sur le lit pour un 69 endiablĂ©. Sachant ce qu’elle dĂ©sire, j’insiste sur sa rosette. J’entends un bruit, mais je suis trop occupĂ© pour y prĂŞter attention. En l’entendant de nouveau, je dresse la tĂŞte pour voir Gwendoline munie d’un appareil photo. C’est le bruit du dĂ©clencheur qui a attirĂ© mon attention.— Continuez. Faites comme si je n’étais pas lĂ .Elle en a de bonnes. Cela refroidit un peu mes ardeurs. Je prĂ©fère ĂŞtre en quatre yeux pour ce genre de jeux. Dominique qui s’est aperçue de l’effet que l’arrivĂ©e de sa sĹ“ur a sur moi me quĂ©mande d’une voix enjĂ´leuse :— Elle a raison. Oublie-la. Continue s’il-te plait.Elle-mĂŞme se remet Ă l’ouvrage avec dĂ©termination. Je me laisse entraĂ®ner. Mais le clic-clac de l’obturateur me rappelle la prĂ©sence de Gwendoline et cela me trouble quelque peu. Dominique se met Ă quatre pattes sur le lit, glissant au passage dans ma main un petit flacon d’huile d’amande douce. L’invite est on ne peu plus claire, la voie usuelle Ă©tant dĂ©jĂ largement et naturellement lubrifiĂ©e. C’est donc Ă la voie Ă©troite que je m’attaque. Après une prĂ©paration minutieuse, je pointe mon sexe vers ce qui lui est offert. Il rentre doucement. Je me rends vite compte que malgrĂ© ses efforts Dominique a du mal Ă absorber l’objet. Elle insiste pour que je poursuive. Je continue donc un peu, mais rapidement, je prĂ©fère arrĂŞter les frais. Quand je la redresse, son vissage est baignĂ© de larmes. Je la prends sur mes genoux et la câline en lui disant qu’il faut mieux ne pas insister outre mesure, ne rien brusquer, je ne vois pas le plaisir Ă la retrouver en pleurs. Ni pour elle, ni pour moi. Sa sĹ“ur, qui a laissĂ© tomber son appareil, se joint Ă moi pour la consoler, lui faisant remarquer entre autre que si elle a du mal Ă se faire enculer, par contre pour sucer elle est championne, elle ne sait pas comment elle peut autant m’avaler sans avoir des nausĂ©es. Avec tout ça l’heure a tournĂ©, il est temps de partir. Dominique met un slip conventionnel, son fondement Ă©tant un tant soi peu douloureux. L’autre se trouvant relĂ©guĂ©, loin de son nid douillet, dans un sac.S’étant rendue compte de ma rĂ©action plutĂ´t fraĂ®che Ă son entrĂ©e en scène, Gwendoline argumente que se doutant que sa sĹ“ur m’avait attirĂ© pour un moment câlin, elle voulait nous faire la surprise de prendre une sĂ©rie de photo. Elle pensait que ce serait bien si je n’avais pas Ă m’occuper de l’appareil en mĂŞme temps que d’elle. Bon passons.C’est Isabelle la maĂ®tresse de maison qui nous ouvre. Nous lui offrons les fleurs que nous avons achetĂ©es en venant. Nous passons directement Ă table. En plus de mon parrain et de sa femme quatre de leurs enfants sont lĂ Â : Alain d’un an plus âgĂ© que moi, militaire comme papa, profite d’une permission pour rendre visite Ă la famille, Delphine, Nathalie et la cadette OphĂ©lie. L’aĂ®nĂ© Patrick est actuellement attachĂ© d’ambassade en Turquie. Quand Ă Mathilde elle termine sa formation d’officier dans l’ArmĂ©e de l’air. C’est OphĂ©lie, du haut de ses 15 ans, qui pose, malgrĂ© les gros yeux de son père, les questions quand Ă notre situation Ă mes petites chĂ©ries et Ă moi. Nous servons le mĂŞme rĂ©cit qu’à nos autres relations. In fine Patrick fait remarquer qu’on devrait interdire Ă ses sĹ“urs de continuer Ă me frĂ©quenter, pour ne pas qu’elles tombent dans les filets d’un redoutable sĂ©ducteur. Nathalie fait alors remarquer qu’il n’a rien Ă lui interdire, qu’elle succombe Ă qui elle veut. Pour que les filles s’intĂ©ressent autant Ă ma petite personne, il doit bien y avoir des raisons. Il s’en suit une pseudo dispute entre Patrick et ses sĹ“urs. Delphine clos la discussion en disant qu’hĂ©las elle doute que Dominique et Gwendoline acceptent des nouvelles dans la communautĂ©. Je n’oublie pas de transmettre les salutations d’Oncle Georges Ă Parrain. Il s’ensuit l’évocation de quelques souvenirs de guerres. Il faudra que je songe Ă organiser les retrouvailles des deux hommes. Bref la soirĂ©e se passe de la plus agrĂ©able manière. Les sĹ“urettes ont conquis parrain et sa famille et rĂ©ciproquement.L’heure est dĂ©jĂ bien avancĂ©e quand nous rentrons. Je m’occupe de l’estomac du fauve, quand je rejoins le lit Gwendoline dort dĂ©jĂ , il ne reste plus qu’à l’imiter.Mardi 13 juillet.Cette semaine est une bonne semaine. Demain c’est congĂ©. Dominique et moi partons pour cette journĂ©e de travail. Avant d’arriver, tandis que je m’arrĂŞte chez le buraliste pour acheter des timbres, elle se rend chez le marchand de journaux pour acheter une revue. Comme je traverse la rue en biais pour la rejoindre, un bruit de moteur me fait tourner la tĂŞte. Une voiture vient de virer au carrefour sur les chapeaux de roue. Elle fonce sur moi. En une fraction de seconde j’évalue la situation. Je ne suis pas dans les clous. Les voitures en stationnement m’empĂŞchent de rejoindre les trottoirs. Je saute, mon premier pied sur le capot, puis le second sur le toit. Ça y est ! Je passe au-dessus du vĂ©hicule. Non. Mon pied se prend dans la barre de toit. Je suis dĂ©sĂ©quilibrĂ©. Mon saut se termine en vol planĂ© incontrĂ´lĂ©. Le sol se prĂ©cipite sur moi.Ă€ suivre…