Le printemps
Ce matin je devais partir bosser tôt mais quelques rendez vous ce sont annulés. J’en profite donc pour faire du shopping, je me rends dans une boutique pour essayer quelques vêtements.
Proposée le 13/01/2020 par Marcialus Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FFLieu: EssayageType: Fantasme
Le printemps,Ça y est, c’est le printemps. Les beaux jours se profilent. Le soleil chasse un à un les chagrineux petits nuages pour laisser la place à cette douce luminosité printanière. Ce que j’adore avec l’arrivée du printemps, c’est cette ambiance pré estivale qui annonce les prochains barbecues, les coups en terrasse avec les copine et surtout, me délester de ce blouson et enfin ressortir mes robes et enfin me sentir belle. Ce matin, j’ai vraiment eu du mal à me trouver de quoi m’habiller malgré avoir bien profiter des soldes. Ça tombe bien, je n’ai pas de rendez vous avant midi. Je vais faire un tour au centre commercial et faire les boutiques. Arrivée sur les lieux, je passe chez Pimkie, Sinequanone, Naf Naf mais pas grand chose ne me plaît pour l’instant. Une jolie vitrine m’interpelle. Je jette un coup d’œil et j’aperçois un petit magasin de vêtements pour femmes.Je décide de rentrer. Une vendeuse m’accueille avec un grand sourire, je le lui rend aussitôt. Je commence à regarder. Je flashe sur une magnifique robe verte, sur un pantalon noir et beau petit haut. Je file au fond du magasin, m’engouffre dans le renfoncement perpendiculaire à la surface de vente et m’enferme dans une cabine. Je me déshabille et commence par essayer le pantalon et le petit haut. Je sors pour me regarder dans la glace. Je me vois et je me trouve élégante. Je vois une magnifique blonde, cheveux longs, grande, affinée, élancée, athlétique (je vois à quel point les séances de trampoline font leur effet sur mon corps). Le haut est vraiment sympa sur moi, il est assez fin et met bien ma petite poitrine en valeur et le pantalon noir me fait un cul à couper le souffle (pas de doutes, ces trois séances de trampoline sont vraiment nécessaires voire obligatoire pour le bien être de mon postérieur, il faut que je pense à remercier le prof). Pour l’instant, parfait. Je me retourne pour regagner la cabine. J’aperçois la vendeuse arriver vers moi et me lance quelques compliments sur mon essayage en me disant que le pantalon m’allait « Vraiment » comme un gant, que la taille était parfaite. Son visage s’illumine. Son sourire est magnifique et me met en confiance. « Allez, j’achète » me dis je. Je retourne dans ma cabine, ferme le rideau, enlève le tout et enfile cette robe verte. Je ne suis pas encore devant le miroir mais ça annonce du lourd.« Oh putain! Elle est canon! ». Cette robe est splendide. Un beau décolleté, cintrée, elle s’arrête juste au dessous des genoux. Je fais un tour sur moi même et je vois un léger dos nu. Je me trouve canon dans cette robe. Apparemment, je ne suis pas la seule à être de cet avis.
_DĂ©jĂ que le pantalon vous allait super bien mais lĂ avec cette robe vous entrez dans une autre dimension. Attendez moi je reviens tout de suite.
La vendeuse revient avec une petite ceinture. Elle s’approche et se tient derrière moi. Je nous vois toutes les deux dans la glace. Je la vois mettre la ceinture autour de ma taille. Je sens son corps le long du mien, son souffle sur ma nuque, j’en ai des frissons. Nos regards se croisent à travers le reflet et ils en disent. Je sens mon pouls s’accélérer, mon cœur palpiter, j’ai de plus en plus chaud et je suis de plus en plus nerveuse, un stress mêlé d’adrénaline, limite au bord du vertige. Je sens mes tripes se déchirer. C’est rare que je ressente ça. Mais là , sentir cette vendeuse derrière moi, cette jolie brune au sourire ravageur, aux yeux d’une profondeur incroyable. J’ai envie d’elle. Et à en juger son souffle que je sens sur ma nuque je ne suis pas la seule à ressentir ce degré d’excitation et de désir car je le sens, il s’intensifie. Je n’en peux plus, je ne tiens plus. Quasi incontrôlable, je saisis ses mains, me retourne et l’embrasse. Elle ne lutte pas et colle ses lèvres sur les miennes avec une intensité folle.
Puis ce sont nos langues qui viennent danser l’une contre l’autre tel un une salsa sur un Paso Doble. Elle est dĂ©licieuse, douce et fougueuse. Elle me pousse vers l’arrière jusqu’à ce que je bute sur ce miroir dans lequel s’est Ă©levĂ©e l’intensitĂ© qui nous anime maintenant. Je la sens contre moi. Nous continuons de nous embrasser. Elle quitte ma bouche pour rejoindre la nuque et c’est toute ma colonne vertĂ©brale qui se raidit sous les frissons intenses. Sa bouche file tout droit vers mon dĂ©colletĂ©. Elle se met Ă genoux, soulève ma robe, descends ma culotte, l’enlève. Je n’en peux plus je suis aux portes d’un orgasme. La voilĂ qui rattaque une partie de mon corps. Cette partie qu’elle vient de dĂ©livrer de son bout de tissus. Ah non, oh mon dieu! Je sens ses lèvres pulpeuses, humides et chaudes pile sur mon entre jambe. Je tends mon bassin vers l’avant, les jambes Ă minima Ă©cartĂ©es comme pour lui offrir ce qu’elle veut. De mon cĂ´tĂ©, je ne peux rĂ©sister, je ne peux lutter, alors Ă quoi bon. Autant se laisser faire, et elle se dĂ©brouille Ă merveille, surtout avec sa langue exploratrice. Je me retourne et me cambre le plus possible. Je relève ma robe et je sens la vendeuse m’agripper le cul des deux mains et enfourner sa tĂŞte entre les deux parties les plus charnues de mon corps. Je sens qu’elle se rĂ©gale, qu’elle dĂ©guste et que ça doit ĂŞtre tellement bon pour elle qu’elle a des Ă©lans comme pour me bouffer littĂ©ralement l’arrière train. Oh putain! OH MY GOD! Elle vient de m’enfourner deux doigts. Mon corps se plie davantage pour les recevoir jusqu’à cet endroit magique qui me dĂ©clenche Ă coup sur un… Ah! Ah Oui! Putain mais c’est trop bon. C’est la troisième fois que je jouis en moins de 5 minutes. Je suis comme en trans. Le visage Ă©crasĂ© sur ce miroir, une de mes mains pressant un de mes seins me laissant totalement dĂ©vorer. Oh non! Mais que fais ce doigt qui me pĂ©nètre par derrière. Je suis totalement cernĂ©e, prise par tous les orifices. Je jouis une fois de plus et je m’écroule. Je n’en peux plus…Je reprends mon souffle, du moins j’essaie. J’ouvre les yeux et je regarde ma partenaire avec ces yeux vitreux remplis de bonheur, d’extase et du plaisir que je viens de prendre. Nos regards se croisent et nous nous sourions bĂŞtement. Je l’invite Ă m’embrasser. C’est Ă moi maintenant de m’occuper d’elle…© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
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