Chaleurs et saveurs de Provence (1)
Un jeune couple vient passer ses vacances d’Ă©tĂ© au coeur des beautĂ©s de la Provence. Très bien mis en condition par ce cadre, les deux amoureux tiennent Ă jouir pleinement et librement de multiples sensations. Et le voisinage de leur villa va leur offrir des opportunitĂ©s de plaisirs nouveaux.
Proposée le 10/08/2020 par Le Gourmandiseur Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: GroupesLieu: Vacances, voyagesType: Roman
Premier jour :
Nous avions loué une petite villa en Provence pour nos vacances d’été.
Nous sommes arrivés sur les lieux dans l’après-midi, au plus fort de la chaleur. C’était du côté de Moustier et du très beau lac de Sainte-Croix.
Notre résidence était tout à fait agréable : paysage magnifique, piscine devant la terrasse, grand jardin ombragé et la plus grande sérénité alentour.
Mais la fatigue du voyage nous commandait de nous reposer avant tout. Dans la chambre, Cécile s’est laissée tomber comme une masse sur le lit, à plat ventre. Dans son mouvement brusque, sa jupe courte s’est relevée et laissait voir entre les plis de ses fesses et de ses cuisses le petit bourrelet de tissu de son string rose dont la ficelle disparaissait au creux de son sillon… C’était très attrayant, mais j’avais autant besoin qu’elle de marquer une pause et je me suis assis, sur l’oreiller, le dos contre le mur. J’ai fermé les yeux.
Après un long moment de somnolence je fus réveillé par le frôlement de sa main qui s’insinuait le long de ma jambe, passait dans l’ouverture que faisait la largeur de mon short sur mon entrecuisse et qui laissait entrevoir que je ne portais rien dessous. Cécile, toujours allongée, me regardait et sa main vint me caresser tendrement les couilles, pour ensuite glisser sur ma bite qui commençait à se dresser. Elle décalotta mon gland suintant entre son pouce et son index, et elle se mit à me branler lentement. Elle avait complètement relevé sa jupe : sa ronde croupe rebondie était irrésistible. Sans plus attendre je me suis levé, j’ai fait tomber mon short. Je me suis placé derrière elle et j’ai posé ma queue toute droite et bien raide entre ses fesses. Je me suis d’abord branlé un moment comme ça. Elle remuait en rythme et finit pas se mettre à quatre pattes : « Prends-moi. » J’ai plongé d’un trait mon glaive jusqu’au fond de son vagin brûlant et gorgé de suc.
La fatigue a parfois un effet très positif pour la durĂ©e du coĂŻt. Après neuf heures de route, je me souviens de l’avoir bourrĂ©e sur ce lit tellement longuement qu’elle en a eu la chatte toute rouge et dilatĂ©e comme une pute qui se qui se fait emmancher par une dizaine de types en rut. Et quand j’ai vidĂ© tout mon foutre en elle, elle s’est retournĂ©e pour reprendre son souffle, tout en ne dĂ©rogeant pas l’une de ses habitudes favorites : plonger ses doigts dans sa vulve pour y recueillir mon sperme et s’en rĂ©galer… Après quelques petites courses pour tenir le week-end, et après avoir mangĂ© sur la terrasse, nous avons dĂ©cidĂ© de profiter de la piscine, au soleil couchant…
Cécile tenait à se changer seule, m’annonçant qu’elle me réservait une petite surprise, un petit cadeau qui devait me faire plaisir.
Et quant Ă moi : elle voulait que je sois nu.
J’ai vite accédé à sa requête, et j’ai donc attendu au bord de l’eau. Quelques minutes plus tard, elle est revenue enfin… En effet, pas de meilleur cadeau pour moi : elle portait un maillot de bain torride où tous les appâts de sa beauté étaient mis en valeur d’une manière carrément obscène ! Un haut très fin qui retenait tout juste ses lourds et généreux seins, dont on voyait plus de la moitié nue et dont les pointes formaient un relief saillant très précis. Mais le bas n’était pas de reste : très échancré, le triangle devant, très étroit, couvrait uniquement la surface un peu bombée de sa vulve ; et derrière, un simple fil vertical qui disparaissait entre ses fesses sublimes. J’étais totalement subjugué ! Mais je regardais quelques instants tout autour de moi, même si je savais bien que personne ne pouvait nous voir.
Les effets de son apparition furent rapides : j’avais ma bite qui se dressait et se raidissait.Elle a pris tout son temps autour de la piscine, nous prĂ©parant un planteur en prenant des postures aguicheuses comme l’aurait fait une de ces escort-girls qui font fantasmer les hommes… Elle est passĂ©e sous mon nez, l’air de rien et est entrĂ©e dans l’eau. Je me suis assis au bord, les jambes dans l’eau… un peu fraĂ®che pour moi. Elle a plongĂ© pour ressortir juste devant moi. Elle a saisi aussitĂ´t ma queue :
– Te voilĂ de nouveau bien dur, mon chĂ©ri ! C’est mon petit maillot qui te fait de l’effet ? mais je suis sĂ»re que si c’était une autre fille, ça te ferait certainement bander aussi…
– J’avoue que je ne sais pas comment je rĂ©agirais. Mais on ne voit pas de nanas comme ça dans les piscines communales ! Sinon…
– Sur les plages, de fois…
– Oui. Et c’est vrai. Ça m’est dĂ©jĂ arrivĂ© de ressentir quelque chose.
– Et alors ?
– Je me suis allongĂ© sur le ventre… pour Ă©viter de faire scandale.
– Il y aussi les plages de nudistes. Il parait que ça baise allègrement sur ce plages-lĂ . On devrait peut-ĂŞtre essayer un jour.
– Why not ? Mais c’est parfois des nanas en simples bikinis qui peuvent ĂŞtre excitantes.
– Ah… on dirait que c’est un souvenir prĂ©cis, ça. Raconte un peu.
Elle me lustrait gentiment la queue pendant notre conversation.
– Je m’étais placĂ© dans un coin tranquille. Tu sais que j’évite les endroits bondĂ©s. Il y en a qui aime ça, mais moi…
– T’arrĂŞtes pas…
– Toi non, plus… c’est trop bon.
– Et donc ?
– Une nana plutĂ´t jeune, plus jeune que moi, une vingtaine d’annĂ©es, s’est installĂ©e, un moins de deux pas de moi. Un maillot tout simple, mais particulièrement moulant, sĂ»rement trop petit pour elle.
– Elle Ă©tait bien foutue ? Tu t’es rincĂ© l’œil, mon salaud !
– Bah… une belle fille, tu regardes. Et on aurait vraiment dit dans ses attitudes qu’elle faisait exprès.
– Tu parles !
– Si, je t’assure… Mais ne va pas trop vite…
– D’accord. Je ne veux pas que tu viennes maintenant. Raconte.
– Quand elle se mettait sur le ventre, c’était en plaçant ses fesses vers moi et pas vers la mer. Et son maillot, comme je t’ai dit, super moulent et trop court… Ça lui remontait tellement entre les cuisses qu’on voyait sortir des bouclettes noires de sa toison.
– Et toi, tu n’as pas regardĂ© ailleurs, je m’en doute.
– Je me suis mis Ă bander… Et d’un seul coup elle s’est retournĂ©e sur le dos, elle Ă pliĂ© ses jambes, les genoux vers le haut. Le relief sa vulve Ă©tait complètement visible. Et moi, mon maillot ne pouvait pas cacher mon Ă©rection. Je me suis dit qu’il valait mieux que j’aille dans l’eau. Et c’est qu’elle se redresse et me regarde. Elle me dit comme ça « C’est moi qui te fais bander ? » J’ai bien cru que j’allais me faire engueuler, mais pas du tout. Elle sorti ses seins. Magnifiques, bien fermes et qui pointait.
– La salope !
– Elle s’est titillĂ© le sein gauche et avec l’autre main elle a Ă©cartĂ© le tissu de son maillot entre ses cuisses, me montrant sa chatte broussailleuse et s’est touchĂ© le clito.
– Qu’est-ce que tu as fait ? T’avais sĂ»rement très envie d’aller lui sentir la chatte !
– Elle m’a demandĂ© de sortir Ă l’air ma queue.
Cécile sentait la fin proche de mon récit et s’est mise à me branler beaucoup plus fort.
– Et alors ? Ensuite ?
– Elle s’est rapprochĂ©e et m’a saisi ma bite de la main droite pour me branler en mĂŞme temps qu’avec son autre main elle se masturbait.
– Elle t’a fait jouir comme ça ?
– Oui… oui… J’ai tout envoyĂ© sur son ventre !
Et Cécile aussi a reçu alors toutes mes grosses giclées, mais sur sa figure.Deuxième jour :Revenant en fin de journée d’une superbe ballade, nous avons voulu parcourir toute la propriété, qui s’étendait loin au-delà de la piscine.
Cécile m’avait excité tout au long de notre excursion en ayant pris soin de ne rien porter sous sa petite robe légère. Elle avait profité de toutes sortes d’occasions pour me laisser voir à l’impromptu sa chatte ou son cul, mais je n’avais pas eu le droit de toucher. J’avais quand même de temps en temps pu lui caresser les seins.Maintenant qu’on marchait dans le parc, entre les arbres fruitiers, les arbustes odorants, je ne me gênais pas de soulever sa robe afin de voir se balancer sa belle paire de fesses.
Nous atteignons bientôt le bout de notre terrain, fermé par un grillage. Là , nous découvrons la propriété voisine. A une trentaine de mètres, une piscine aussi. Au bord, orienté vers nous, un transat, éclairé par des flambeaux. Une femme, nue, dans la quarantaine, est étendue dessus, les jambes largement écartées. Il y a deux hommes avec elle, un de chaque côté, debout, et elle est en train de leur sucer leurs queues avec voracité !
– Euh… Oui… Je crois, CĂ©cile, qu’on est tombĂ© sur le tournage d’un fil de cul.
– Non, j’en ai pas l’impression. On a des voisins partouzeurs.Nous n’avons pas hĂ©sitĂ© pas beaucoup Ă profiter de notre situation de voyeurs. La chaudasse aux longs cheveux noirs et ondulĂ©s tenait dans chaque main une de ces deux bites d’un gabarit impressionnant qu’elle pompait avidement, et c’était trop excitant pour bouder son plaisir. CĂ©cile posa sa main sur le devant de mon short. « Eh bien, je vois que ça te fait bander, mon cochon ! »
Elle me dĂ©boutonna et sortit aussitĂ´t ma bite qui se tendit comme un pieu. « Une troisième queue entre en scène… » Ă€ genoux devant moi, mais placĂ©e judicieusement pour pouvoir jeter un Ĺ“il sur la partie qui se jouait Ă cĂ´tĂ©, CĂ©cile s’est mise aussitĂ´t Ă me pomper avec au moins autant d’ardeur que notre voisine. La douce ferveur de sa bouche amoureuse, l’habiletĂ© de sa langue qui amusait mon gland, longeait toute la longueur de mon phallus, et le spectacle qui s’offrait Ă nous, tout ça ne pouvait que faire monter ma sève assez vite et me fait bientĂ´t exploser ! CĂ©cile introduisit entre mes fesses un doigt dans l’œillet tout en sueur de mon fion… Je ne pouvais plus me retenir !
Un déferlement de foutre remplit la bouche de ma jolie suceuse, qui avala tout au fur et à mesure. Je fis mon possible pour ne pas crier malgré l’intensité extraordinaire de ma jouissance. « Tu avais les couilles bien pleines, mon chéri ! »
Mes jambes n’avaient plus de force et je me suis baissé, pour me reprendre mon souffler, à quatre pattes. Mais Cécile n’en avait pas fini avec moi : elle en a profité pour enfoncer plus loin son majeur dans mon anus et me chatouiller le rectum. Comme elle avait senti que j’étais mûr pour aller encore plus loin, Cécile n’a pas eu de mal à me mettre le feu au cul et je ne pouvais opposer aucune résistance aux soins experts qu’elle me donnait. Mais plus elle insistait sur cette sorte de point-G des hommes qu’est notre prostate, j’avais peur de me mettre à pousser des râles de bête qui dénonceraient notre présence. Cécile colla une main sur ma bouche quand je me suis mis à jouir et que mes fesses remuaient au rythme saccadé des spasmes que mon orgasme anal provoquait.C’est à genoux l’un contre l’autre qu’on regarda la voisine se faire asperger la figure et les seins des multiples jets de sperme que les deux bites lançaient l’une et l’autre.
On pensait la partie finie, mais un couple est entré alors en scène. L’homme et la femme étaient nus, et ils avaient certainement profité du spectacle depuis un endroit que l’on ne pouvait pas voir. La femme se pencha sur la « voisine » et l’embrassa langoureusement, puis elle a léché avec application les traits de semence dont elle était couverte. L’homme, quant à lui, bandait ferme. Une des deux autres hommes vint le sucer. L’autre se régalait
Quand tout fut avalé par les soins de sa vicieuse amie, la voisine changea de position : à quatre pattes sur le transat, le cul en l’air. L’homme éloigna celui qui savourait sa bite et est venu d’un trait l’enfoncer dans la fente qui s’offrait à lui. Sa compagne s’est placée devant, enjambant le transat et elle a empoigné la chevelure de la voisine qui se faisait bourrer violemment et qui lui a donc dévoré la chatte en même temps.
En voyant ça, Cécile s’est penchée soudain en avant, les épaules dans les bruyères et me montrant son cul, irrésistible :
– C’est super chaud ! Regarde-moi cette salope comme el en veut ! J’en peux plus, je me mouille les cuisses ! Baise-moi aussi ! DĂ©fonce-moi !
Je lui saisis la croupe entre mes mains et m’introduisis en elle.© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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