168 20Recit X : chez mona Corrigé et résumé par Dialogue69 le 17/07/2019Publié le 17/07/2019Hello les lecteurs Je m’appelle Baptiste, j’habite dans la région bordelaise et je vais vous raconter une petite expérience sexuelle qui m’est arrivée le mois dernier, quand je lis tous vos témoignages je me dis que le mien risque d’être assez classique mais il est véridique et il m’a bien excité au demeurant. J’ai une quarantaine d’années et je vis dans une grande agglomération, ma appartement est en plein centre ville dans une rue très marchande et en face de chez moi, il y a une petite boutique de vêtements. Boutique qui ne paye pas de mine appelée chez Mona. En général des vêtements féminins, donc pas vraiment le lieu où j’aurais pensé entrer un jour. Sauf que rapidement, la boutique s’est mise à recevoir des colis et à en envoyer, vous connaissez tous ce service, et vu que je ne suis pas adepte de la poste, j’ai rapidement poussé la porte de la boutique pour envoyer un produit, je suis alors tombé sur la vendeuse, la seule vendeuse et sans doute proprio de la boutique. Lise. Alors au départ, nous nous sommes échangés des banalités, mais je suis venu et revenu très souvent, si bien qu’on a commencé à rire ensemble de mes multiples envois et réceptions. Lise avait à peu près 30 ans, les cheveux bruns légèrement ondulés, les yeux marrons, assez fine. Elle ne s’habillait pas sexy, à l’image des produits qu’elle vendait, mais deux trois fois quand elle se retournait je remarquais qu’elle avait un super joli cul, habilement moulé dans des jeans slims qui lui allaient trop bien. Je remarquais aussi l’alliance à la main gauche, ce qui bien entendu me tenait à distance, même si de base je ne suis pas très entreprenant. Il n’y avait en général pas de séduction abusive entre nous, mais nous aimions nous faire des compliments et surtout rire ensemble….
Et puis il y a eu ce matin là , le magasin n’ouvrait qu’à 10h30 mais je passais devant à 10h00 et j’avais un colis à récupérer, je tentais d’ouvrir la porte car les lumières étaient allumées, et elle s’ouvrait simplement. Je me disais donc que le magasin ouvrait sans doute plus tôt que sur l’affiche, et j’entrais à l’intérieur en l’appelant. Personne. J’allais donc quitter les lieux quand j’aperçus un mouvement dans la pièce du fond. Il faut savoir qu’il y avait une vitre teintée derrière le comptoir, et que derrière cette vitre une pièce où Lise entreposait les colis, ou tout simplement son stock. Je ne sais pas pourquoi mais à ce moment là j’eu peur que Lise fasse un malaise car elle ne répondait pas, et je pris mon courage à deux mains et je pénétrais dans l’arrière boutique… et à vrai dire Lise ne faisait pas un malaise du tout…. Je tombais nez à nez avec… une séance de plaisir solitaire. Lise était à genoux sur un fauteuil, dos à moi, et elle était tout simplement en train de se doigter la chatte. Elle avait retiré son jean mais gardé son tee shirt, et elle se doigtait avec passion, trois doigts dans sa chatte bien trempée qu’elle activait avec rapidité. Tout en écoutant de la musique dans ses écouteurs, ce qui expliquait qu’elle n’avait pas répondu. Elle avait sans doute oublié de fermer la porte et, tranquillement, elle se donnait du plaisir, touchant sa poitrine à travers son tee shirt et gémissant de plus belle. J’avais bien entendu envie d’elle, c’est la première fois qu’un truc comme ça m’arrivait et j’avais envie de m’approcher pour la baiser, tant ce cul était désirable et sa chatte aussi. Mais comment faire ? bah tout simplement il a fallu qu’elle se retourne, et elle est tombée sur moi.
Elle a poussé un cri de surprise, arrachant ses écouteurs et moi j’ai reculé d’un pas, m’excusant d’avoir poussé la porte. Nous sommes restés là , à nous regarder, rouges de honte, puis Lise a eu la plus bandante des réactions, elle m’a demandé de venir la rejoindre, après avoir fermé la porte cette fois ci. Je courais le faire et je la retrouvais… elle avait retiré son tee shirt, et me dévoilais sa poitrine menue, mais absolument splendide ; puis elle reprit la même position, m’offrant sa croupe qu’elle bougeait lentement pour m’exciter davantage. Nul besoin de vous dire que je ne résistais pas, même si elle avait une alliance, je venais derrière elle et je commençais à embrasser son corps, sa nuque son cou, son dos et je descendais sur son dos, tout en malaxant ses seins de mes mains. Pendant ce temps, elle ôtait mon pantalon, le faisait descendre et libérer ma queue bien raide de mon caleçon. Elle me branlait doucement pendant que je continuais mes caresses, et rapidement j’avais moi aussi mes doigts dans son intimité brulante. Elle se mit à me sucer doucement, je sentais ses lèvres chaudes englober ma bite, et sa chaleur m’inonder pendant qu’elle me pompait la queue. Puis, elle relâcha son emprise et me laissait me mettre derrière elle, je passais ma queue sur son clito et je la pénétrais doucement, entrant dans ses chairs moite en gémissant. C’est la plus douce des levrettes que j’ai vécu à ce jour, je la pris lentement, intensément, mettant mes mains sur ses seins, la prenant bien profondément et nous gémissions ensemble, comme si nous avions baisé tant de fois ensemble, je parcourais son corps avec mes mains, puis j’agrippais ses hanches pour la baiser plus rapidement, je lui donnais des coups de boutoir et elle se tournait vers moi, grimaçant de plaisir, me demandant de la faire jouir, qu’elle avait envie de jouir avec moi, que je jouisse en elle de toute mes forces. Ses paroles m’excitèrent plus encore et j’accélérais le mouvement, je la pilonnais sans m’arrêter et je sentis qu’en nous monter la jouissance ; elle jouit en premier et je la rejoins, crachant mon foutre dans sa chatte sans la prévenir. Nous restions ainsi, l’un dans l’autre, profitant du moment…
Quel beau moment ensemble, j’espère pouvoir recommencer….
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