61 13Recit de cul : Mon voisin voyeur Corrigé et résumé par Dialogue69 le 09/06/2017Publié le 09/06/2017C’est devenu une habitude, je suis accro à la branlette. Cela a eu lieu en février de cette année, un samedi très chaud dans la ville où j’habite et où il fait toujours une chaleur accablante pendant toute l’année et comme personne était à la maison, j’étais toute nue, oubliant que la fenêtre était ouverte, cela m’agaçais et je suis allée dans ma chambre. Mon désir de me branler ne me quittait pas. Je me couchais. La fenêtre de ma chambre est immense, on peut sentir parfois une douce brise, que j’aimais, car elle caressait mes seins, ce qui faisait croître de plus en plus mon excitation. Je laissais mes jambes au dessus du lit et je les laissais toutes les deux bien ouvertes. Je sentis déjà ma chatte en manque et je commençais à frotter mon clito. Je jouis comme une folle après cette caresse que je contrôlais pour ne pas jouir et je devinais déjà ce qui allait se passer.
Je me levais, me mis à quatre pattes sur le lit et je commençais à lisser le petit trou de mon cul avec le gode, bien que je fusse encore vierge du cul. Avec les jambes bien écartées, je commençais à passer ce gode dans mon cul, ma petite chatte était déjà excitée. Cela me rendait folle, je me mis à rentrer cette énorme bite artificielle dans mon cul ouvert qui était humide et chaud. Je commençais à jouir comme une folle en imaginant que ce fut une bite d’un homme me baisant joliment, il parlait à voix basse et me caressait mes gros nichons. J’avais presque déjà joui que je retirais ce gode et je commençais à le lécher comme si je léchais une vrai bite humaine, avec mon autre main, je mis deux doigts dans ma chatte et je commençais, me caressant le clito, puis je portais mon doigt à ma bouche, le suçant l’enfonçant de nouveau. C’est fou non? Imaginez cette scène !! Lorsque je me suis levée, j’ai entendu un bruit, je regardais par la fenêtre et je vis que quelque chose bougeait dans les plantes, j’aperçus mon voisin qui me regardait avec des jumelles.
Il lavait toujours la piscine le samedi, je ne savais pas pourquoi il utilisait ses jumelles, aujourd’hui je le sais, je sais qu’il assistait Ă mes sĂ©ances de masturbation. Je faisais semblant de ne pas le voir, mais il Ă©tait excitĂ© et il se caressait la bite, ce qui m’excitait aussi. Ma chatte Ă©tait en feu. Puis il a sautĂ© par la fenĂŞtre. Il avait un beau corps. Il m’attira contre son corps, caressant mes nichons avec ses grosses mains et passait ses doigts entre les lèvres de ma chatte en disant Ă mon oreille : « Petite pute toute mouillĂ©e, quel dĂ©lice! Je sentais qu’à un moment donnĂ©, il sortirait sa bite, il mit ma main dans son short pour caresser le bout de sa bite qui Ă©tait dĂ©jĂ très raide, j’entendais ses gĂ©missements lui disant de ne pas s’arrĂŞter, chaque fois que ma main sentit la raideur de sa bite. Il ne put se retenir, il a sorti sa bite et il a commencĂ© Ă se branler, puis il enfonça sa queue dans ma bouche chaude et il a donnĂ© quelques coups, lorsque j’ai senti la pointe de sa belle bite dans ma gorge, je devins folle d’amour. Hum…Il prit ma tĂŞte dans ses mains et me baisa dans la bouche comme si ce fut une chatte. Sa bite Ă©tait très grosse, je la sentais bien dans ma bouche. Nous avons fait les mĂŞmes choses lorsque la fenĂŞtre Ă©tait ouverte. Du sexe rien que du sexe, du cul que du cul…Il m’a sucĂ© intensĂ©ment la chatte et le trou du cul…
IL laissais ma chatte bien ouverte se faire lĂ©cher par sa langue chaude et baveuse, j’aimais sentir la pointe de sa bite faire de petits ronds et je fis de mon mieux pour ne pas jouir tout de suite. Michel adorait faire le « 69″ avec moi et moi j’aimais beaucoup cette position un peu osĂ©e et que beaucoup de filles trouvent dĂ©gueulasse. Je suçais son cul et ses couilles, sa bite aussi, je la suçais amoureusement, je passais ma langue sur la pointe de sa pine, et il gĂ©missait de plaisir. Je le branlais dĂ©licatement. Je suçais ses couilles, ce qui le faisait gĂ©mir et parfois il oubliait de sucer ma chatte et mon cul, lesquels imploraient d’être pĂ©nĂ©trĂ©s par sa langue et par sa bite. Il me mit Ă quatre pattes, comme si j’étais sa petite chienne et il me lĂ©cha le minou, je sentis mon jus se rĂ©pandre sur mes jambes et il commença Ă m’enculer, mais je lui avais dit que le petit trou de mon cul ne saurait ĂŞtre pĂ©nĂ©trĂ© et il savait que je n’aimais pas me faire enculer, mais ma mentalitĂ© de salope prit le dessus, « mets la de toutes tes forces ». Il enfonça sa bite avec une violence inouĂŻe, je sentais ses couilles frapper mon gros cul.
Cela me rendait folle, je posais ma main un peu plus bas pour atteindre cette bite qui en mĂŞme temps me pĂ©nĂ©trait. Je branlais cette belle bite. Il me dit : « Ce n’est pas la bite que tu aimes, prends la chienne. Tu sens ma bite entrer…Que c’Ă©tait bon! ». Je l’entendis gĂ©mir, en mĂŞme temps. Tu veux la recevoir ma bite? « Ma bite »…Comme c’est bon de te la mettre, tu es Ă quatre pattes et je vois cette chatte brĂ»lante, grande ouverte. Tu vas la recevoir ma bite, chienne…Ah!! LĂ comme ça, sa voix me fit mouiller davantage…Hum, je gĂ©mis, sans me prĂ©occuper si quelqu’un pouvait entendre. Je sentais la bite. Puis je sentis que j’allais jouir. Je m’écriais « Baise ta salope sauvagement comme ça »…Mes gĂ©missements aidaient Ă la pĂ©nĂ©tration forcĂ©e de ma pine….LĂ …Je vais jouir. Oh! Quelle bite dĂ©licieuse…Il disait encore : « Tu aimes cette bite n’est-ce pas ? ». Celle- ci est tout Ă toi », je me masturbais toujours en voyant cette scène qui me rendait fou. En voyant ton gros cul collĂ© Ă cette bite artificielle, je dĂ©chargeais des litres de foutre…Chienne, suce ma bite avec ta bouche chaude… Comme ça, oui…Ma petite putain…Il hurla de plaisir, j’embouchais cette queue en prenant tout le liquide qui dĂ©goulinait Ă cĂ´tĂ© de ma bouche coulant sur mon cou. Ce fut la meilleure jouissance de ma vie…Il me fit jouir en suçant ma chatte et il caressa mon cul.
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