Je suis Roxanne, épouse de Sylvain. Nous sommes un couple libertin de 55 ans et je vous raconte dans mes récits comment il y a une trentaine d’années nous avons décidé de vivre une vie de plaisirs sexuels, ensemble ou séparément, mais toujours avec l’approbation de l’autre.Mon mari travaille dans une Compagnie Aérienne et pour notre semaine de vacances, un de ses collègues nous a proposé de venir dans une villa que ladite Compagnie met à sa disposition, en sa qualité de responsable régional, au bord de la mer dans un pays africain.Nous avons sauté sur l’occasion et c’est avec empressement que nous avons répondu par l’affirmative à cette proposition.Le collègue en question, Jean-Luc, nous a également invités au restaurant samedi soir pour mieux se connaître, car si Sylvain m’a décrit maintes fois la prestance et les aventures de son collègue, ce dernier ne m’a jamais vue autrement que sur des photos que mon mari lui a montrées.— Aguiche-le, me dit Sylvain, mais n’en fais pas trop pour qu’il désire te découvrir plus lors de ces vacancesJ’opte donc pour une longue robe portefeuille noire très classe, des bas Dim Up noirs et, ma robe étant très échancrée, un joli soutien-gorge noir en fine soie transparente.Je prends des poses de mannequin devant ma glace et je peux voir que sur certaines positions les pans de ma robe peuvent s’écarter et laisser apparaître mes cuisses au-dessus des bas.En me penchant en avant, le décolleté de ma robe permet de voir la quasi-totalité de mes seins prisonniers de leur enveloppe de soie.Ces poses, et ce qu’elles permettent de voir ont chauffé ma libido… Une paire de chaussures à hauts talons, et hop, je suis prête.Sylvain ne peut retenir une exclamation de plaisir en me voyant devant lui.— Que tu es belle, ma chérie, je suis le plus veinard des hommes ! me dit-il en me caressant les fesses. Et hop, nous voilà partis pour le dîner avec son collègue.Jean-Luc nous attend devant la porte du restaurant et, nous voyant arriver, s’empresse de venir à notre rencontre.— Sylvain, tu as une femme charmante, dit-il à mon mari, en m’embrassant la main.J’aime le côté très gentleman raffiné de Jean-Luc. Cela doit plaire à beaucoup de femmes.— Merci, Jean-Luc ! dis-je en jouant la femme pleine de retenue et légèrement timide. J’ai même réussi à rosir sous le compliment.Il faut dire que Jean-Luc est très beau gosse : grand (180 cm, à vue de nez), chevelure brune épaisse peignée avec attention (certainement brushing méticuleux), yeux bleus et super sourire (séances de dentiste régulières). Il est habillé avec classe, costume bleu marine et chemise blanche.Le parfait homme du monde qui sait parler aux dames.Sylvain m’a confié que beaucoup de femmes de l’entreprise raffolaient de sa classe et que beaucoup d’entre elles avaient essayé d’obtenir des faveurs plus intimes. Lorsque j’ai questionné mon mari pour savoir si certaines avaient réussi à en obtenir, il m’a répondu assez froidement.— Je ne sais pas, mais contente-toi pour le moment de le faire saliver… il sera toujours temps après de voir !!!!Jean-Luc nous fait entrer dans la salle de restaurant et un serveur vient immédiatement à notre rencontre. À ces gestes et paroles, je vois que Jean-Luc est un habitué de ce restaurant haut de gamme. Les « bien sûr Monsieur », « comme d’habitude, Monsieur, dans la petite salle du fond », etc. attestent de sa grande connaissance des lieux.Nous nous retrouvons dans une petite salle à l’écart, juste devant de magnifiques jardins. Je me sens merveilleusement bien. Les deux hommes devisent sur des sujets concernant leur compagnie et moi j’admire la décoration de cette salle. Pour prendre le champagne en apéritif, le maître d’hôtel nous a installés dans un petit salon ; trois fauteuils face à face et une table basse au milieu.En m’asseyant face aux hommes, ma robe s’est entrouverte et j’ai noté le bref regard intéressé de Jean-Luc. Mon mari m’ayant demandé d’être plutôt soft, j’ai lentement remis en place les deux pans écartés tout en souriant pudiquement.Je suis redevenue le centre d’intérêt de Jean-Luc, qui déclare à mon mari :— Sylvain ta femme est vraiment très charmante, c’est un honneur pour moi de vous avoir à ma table.Je rentre dans le jeu et, simulant une fausse pudeur, je réponds :— Oh, Jean-Luc, vous êtes un vil flatteur.Je baisse les yeux en me tortillant sur mon fauteuil comme une femme timide, et Jean-Luc rajoute :— Mais non, ma chère Roxane, je le dis comme je le pense… vous êtes splendide, j’aime beaucoup votre façon de vous habiller également.Mon mari qui suit notre conversation me fait un clin d’œil, me faisant comprendre que tout ceci est bon pour notre invitation en vacances, et j’essaye de faire monter encore d’un cran le désir de Jean-Luc en lui déclarant :— Vous êtes aussi très bel homme, Jean-Luc, et j’aimerais vous connaître encore mieux.À son sourire, je vois que ma remarque a flatté son ego, qu’il est prêt à aller plus loin. Mais l’entréedu maître d’hôtel interrompt nos civilités.Jean-Luc nous demande :— Que voulez boire, mes amis, pour fêter notre connaissance ? Champagne ?Nous acquiesçons et, à son geste, un serveur apparaît avec coupes et bouteille.Lorsqu’il me sert, je me déplace légèrement en avant et je constate que mon décolleté bâille, laissant une belle vue sur ma poitrine emprisonnée dans la dentelle de soie noire. Le serveur reste un moment accroché à cette vision, plus que nécessaire certainement, ce qui fait dire à Jean-Luc, après qu’il se soit éloigné :— Ah la restauration, quel beau métier !Lui non plus n’a pas été dupe et, frustré de ne pas en avoir profité, il lève son verre et nous trinquons dans la bonne humeur.Pour passer à table, Jean-Luc, en homme courtois et galant, recule mon siège et m’invite à m’asseoir. Ce faisant, sa main frôle le haut de mes fesses, ce qui n’est pas pour me déplaire.— Merci, lui dis-je avec un beau sourire.— Le plaisir est pour moi, lâche-t-il, avec un double sens évident.Toutes ces petites péripéties ont bien sûr amusé Sylvain qui, faisant celui qui est loin de tout ça, énumère toujours des problèmes professionnels, ce qui semble pour l’heure être loin des pensées de Jean-Luc.Nous voici tous les trois installés autour d’une table ronde, Sylvain à ma gauche et Jean-Luc face à moi. Les plats s’enchaînent et sont de très très bonne qualité. Jean-Luc me fait goûter des vins qui sont de vrais délices et j’avoue que la tête me tourne un peu.À un moment, Jean-Luc fait tomber sa serviette. Exprès ou pas exprès ? Avant qu’il ne puisse se baisser pour la ramasser, notre serveur se précipite ; le pauvre mérite bien une récompense et il peut avoir une vision complète de mon entrejambe où ma culotte de soie est encore plus suggestive de mon excitation que mon sexe nu !— Voilà Monsieur, je vous en amène une autre, dit le jeune serveur, les joues rosies d’excitation.Voyant le stratagème de Jean-Luc tombé à l’eau, je me dis qu’il faudra qu’il trouve autre chose s’il veut jouer les voyeurs. Le coup d’œil que j’adresse à Sylvain lui prouve que je suis à la lettre ses recommandations de faire monter très progressivement le désir dans le bas ventre de son supérieur.À la fin du repas, Jean-Luc nous demande :— Et si nous finissions cette sympathique soirée par un drink chez moi ? J’habite à deux pas d’ici.Hypocritement, je lui réponds :— On ne va pas vous déranger, il n’est pas trop tard ?Jean-Luc rétorque :— Mais non, mais non pas du tout. D’ailleurs, j’ai encore deux ou trois trucs à voir avec Sylvain.— Dans ce cas d’accord, lui dis-je, mais permettez-moi auparavant de faire un saut aux toilettes, j’ai besoin de rectifier légèrement mon maquillage.— OK, chère Roxanne, on vous attend dans le hall d’entrée, dit Jean-Luc.Je m’empresse de rejoindre les toilettes pour effectivement remettre un peu d’ordre à ma coiffure mais aussi avec un état d’esprit plus coquin pour retirer ma culotte, en me disant :— Jean-Luc, ce soir tu n’auras rien de ce que tu pouvais espérer, mais tu auras en tête et… ailleurs, une telle excitation que tu seras bien obligé de mettre la main à la pâte (si j’ose dire)… en attendant peut-être mieux à une prochaine occasion (peut être en vacances dans ta somptueuse résidence d’expatrié).Nous sommes tous les trois dans la rue maintenant et, effectivement, à quelques centaines de mètres, nous arrivons devant un immeuble cossu où demeure Jean-Luc lorsqu’il est à Paris.— J’habite au dernier étage, vous verrez, de mon balcon, la vue sur la tour Eiffel est splendide.Nous prenons l’ascenseur et, dans mon dos, mon mari me caresse doucement les fesses, presque pour me dire « sois cool, souviens-toi de ce que je t’ai dit ». Devant moi, le parfum de Jean-Luc est très euphorisant, que c’est bon de se sentir désirée.Au septième étage, nous sortons de l’ascenseur, et Jean-Luc nous fait pénétrer dans son appartement.Luxueux, avec une décoration raffinée, spacieux et bien agencé ; comme me le dit quelquefois mon mari « ça sent le pognon ici », mais je sais que nous sommes là pour préparer nos prochaines vacances et que je dois inciter notre hôte à vraiment en avoir envie, tout en étant soft dans ma provocation.Jean-Luc nous demande :— Que voulez-vous boire, ma chère Roxanne ? J’ai un armagnac fabuleux ou un très bon whisky, et toi Sylvain : whisky ?— Nous sommes plutôt whisky, répond Sylvain.Pendant que je m’assois dans le canapé, mon mari est devant la fenêtre et contemple la superbe vue.Jean-Luc est penché face à moi pour nous remplir les verres et, à ce moment-là , j’écarte lentement les jambes comme par mégarde, tout en me retournant vers mon mari. Je suis sûre que la vue que j’offre à Jean-Luc va le poursuivre pendant un bon moment. J’imagine qu’il se délecte de ma légère toison fauve, de ma vulve avec des lèvres extérieures bien charnues, laissant juste apparaître mon clito bien dressé. En imaginant ce qu’il voit, je sens mon sexe s’humidifier, je suis sûre que des perles de bonheur luisent déjà . Je me retourne en refermant les jambes et, effectivement, Jean-Luc est figé dans sa position de voyeur super excité. Il a du mal à se reconcentrer sur le dosage du whisky et me lâche en se raclant la gorge :— Vous en avez assez ? … ou vous en voulez plus. Double sens amusant. Je lui réponds en questionnant mon mari et en frôlant l’hypocrisie :— Qu’en penses-tu chéri, j’en ai assez ? Sylvain me rétorque de manière tout aussi troublante :— Comme tu veux, ma chérie, mais après il va falloir assurer.— OK Jean-Luc, merci, mais je ne suis pas trop habituée donc deux doigts me suffiront.— Comme vous le voulez, ma chère.Nous nous délectons tous les trois de ces phrases à double sens qui, dans un premier temps, nous émoustillent. Nous dégustons nos boissons, j’allais dire sagement. Puis nous évoquons notre venue aux prochaines vacances dans la villa de Jean-Luc, nous sommes tous les trois ravis de ce projet qui est prévu dans une quinzaine de jours. Jean-Luc nous met l’eau à la bouche en décrivant les lieux, la gentillesse de son personnel et sa disponibilité à tous points de vue, et il insiste bien « À TOUS POINTS DE VUE… », ce qui laisse inaugurer bien des plaisirs.À une question de Sylvain concernant l’appartement dans lequel nous nous trouvons pendant les périodes où il est à l’étranger, Jean-Luc rétorque :— Pas de problème, j’ai fait installer des caméras dans toutes les pièces qui, pendant mes absences, sont gérées par des sociétés de surveillance. Et il nous montre celle du salon.Pendant toutes ces discussions j’ai été très sage : pas d’exhib de mon entrejambe, pas de provocation outre mesure, que des sourires de connivence, et Jean-Luc voyant la soirée s’écouler demande à mon mari de l’accompagner dans son bureau pour régler deux/trois dossiers en cours. Il me dit de les attendre au salon, que leur absence ne durerait au maximum qu’un petit quart d’heure, et qu’ils seraient de retour avant que je finisse mon whisky.À leur départ, je me demande bien comment pouvoir émoustiller la libido de notre hôte et il me vient à l’esprit la présence de la caméra. Je me dis que si Jean-Luc veut du spectacle il pourra toujours visionner l’enregistrement et se faire une idée de ce que pourrait être son cadeau dans quinze jours.Je me positionne bien en face de l’objectif sur le canapé, je remonte lentement ma robe, les yeux dans l’œil de la caméra, ma langue passe et repasse lentement sur mes lèvres.Je me soulève légèrement pour ne pas être assise sur ma robe, les jambes grandes ouvertes, sans culotte, je fais glisser très lentement mon majeur tout le long de mon sexe, mes grandes lèvres s’écartent d’elles même laissant apparaître mon bourgeon, mon doigt coulisse maintenant de haut en bas déclenchant des montées de cyprine, je le laisse pénétrer légèrement à l’intérieur jusqu’à masser doucement mon clitoris. Les yeux toujours face à la caméra, j’écarte à deux mains ma vulve pour que mon voyeur espéré puisse en admirer la totalité. Hummm que c’est bon !Je commence à enfoncer un doigt d’avant en arrière, ma chatte est noyée de mon jus maintenant. Mon bassin accompagne les mouvements de mon doigt, il me faut plus qu’un doigt et un deuxième puis un troisième me pénètre de plus en plus fort, de plus en plus vite, de plus en plus loin. Je suis une vraie lionne qui rugit à présent son plaisir. AHHH, ça va venir, je sens la jouissance qui monte, qui monte. Mes cris deviennent plus forts, je me tords de plaisir devant cette caméra. Putain que c’est bon ! Je coule, le coule, j’ai même presque envie de pisser tellement c’est bon.Enfin le spasme libérateur et je m’écroule en arrière sur le canapé. OUIIIIII, je jouis.Après deux minutes de récupération, je fais un énorme bisou en direction de la caméra puis je réajuste ma robe et je reprends une attitude plus bourgeoise.Je finis ma boisson et c’est à ce moment que les deux hommes réapparaissent.— Pas trop long, ma chère, me dit Jean-Luc.— Non, non, lui dis-je, j’ai pu en profiter.Tout en espérant que lui aussi pourra également en profiter après notre départ.Voyant l’heure avancer, Sylvain nous donne le signal du départ en déclarant :— Bon Jean-Luc, on va te laisser, et avec Roxanne on te rejoint à Abidjan dans quinze jours pour passer des moments qui, je pense, seront inoubliables.Le baise-main d’au revoir de Jean-Luc est plein de promesses, surtout de la façon dont Jean-Luc renifle mon odeur intime encore très présente sur mes doigts.Je suis sûre que sa nuit va être très chaude, et que certainement ses draps s’en souviendront.De notre côté, nous sommes très excités à l’idée de ce qui pourra se passer là -bas, mais ceci vous sera décrit dans un autre récit, chers amis, si vous le voulez bien.