RĂ©sumĂ© de l’épisode prĂ©cĂ©dent : Lise n’apprĂ©cie pas le choix de Jean-Marie fait par Paula, sa sĹ“ur jumelle. Elle essaie de torpiller le coupole. Cela occasionne une rencontre qui la fait changer de point de vueUn vendredi soir, Bernard, qui fait partie des Amis du Louvre, a proposĂ© Ă Lise de venir avec lui, car ce soir-lĂ , entre 18 h et 22 h, il peut se faire accompagner d’un invitĂ©. Elle a acceptĂ© avec enthousiasme, car cela fait des annĂ©es qu’elle n’y a pas mis les pieds et son chĂ©ri lui a dĂ©crit avec enthousiasme les nouveaux amĂ©nagements. Au moment de partir vers le musĂ©e, il l’entraĂ®ne dans la chambre, ouvre un tiroir du semainier et l’embrasse.— Bon ! Pour ce soir, il faut te prĂ©parer un peu.— Qu’est-ce qu’il faut comme prĂ©paration pour aller au musĂ©e ?— Ce n’est pas pour le musĂ©e qu’il faut te prĂ©parer.— C’est pourquoi alors ?— Pour après.— Pour après ?— Oui, en rentrant, je vais t’enculer.— Quoi !— Je vais t’enculer.— Tu plaisantes ! Jamais…— Si je me rappelle bien…,Il sort du tiroir le plug d’initiation anale et du lubrifiant et les prĂ©sente Ă Lise— … tu n’avais rien eu contre et tu avais mĂŞme eu l’air de ne pas dĂ©tester. Tu voudrais refuser d’essayer avec moi.Bernard a hĂ©sitĂ© avant d’avancer cette demande, mais ayant eu confirmation tout au long de la semaine que Lise aime plutĂ´t se faire un peu bousculer, il s’est dit que cela devrait plaire Ă sa chĂ©rie d’être un peu plus poussĂ©e dans ses retranchements.Lise ouvre la bouche, mais aucun son n’en sort. Il la prend par le bras et la fait se retourner en lui donnant une claque sur les fesses.— Retire ton pantalon.Elle veut revenir face Ă lui, il l’en empĂŞche :— Allez, ton pantalon !Il ponctue son injonction d’une nouvelle tape sur le postĂ©rieur de la demoiselle.— Toi alors, murmure-t-elle en commençant Ă dĂ©faire sa ceinture.Quelques secondes plus tard, elle se retrouve nue de la taille aux pieds.— À genoux… Bien cambrĂ©e… Écarte tes fesses.Ă€ chaque fois elle obĂ©it sans discuter. Il prend le lubrifiant, en oint l’objet et l’anus de Lise. Ses doigts et le plug titillent l’endroit, avant qu’il n’enfonce ce dernier. L’intromission est fort aisĂ©e.— C’est passĂ© comme lettre Ă la poste. Reste comme tu es, on va prendre le calibre du dessus.Elle reste. Il retourne vers le tiroir, prend le second plug qu’elle avait testĂ© et le lubrifie. Il extrait ce qu’il vient d’introduire pour le remplacer par le nouveau « jouet ». Ça rentre plus difficilement, Lise grimace un peu, mais y met beaucoup de bonne volontĂ©.— Et voilĂ , c’est au chaud. Habille-toi, le musĂ©e nous attend.Comme elle reprend son pantalon, il l’embrasse et lui dit :— Mets une jupe, c’est plus seyant.Elle en prend une dans la penderie et va pour mettre son slip. Il l’arrĂŞte :— Ce n’est pas la peine, c’est mieux sans.— Qu’est-ce que tu ne me fais pas faire ! rĂ©pond-elle en reposant l’accessoire.— Rien de plus que ce que tu veux bien, lui rĂ©torque-t-il en souriant.La jupe enfilĂ©e, ils sortent et se dirigent vers le bus. Une fois assise, Lise se tortille. Le gode qui occupe son cul n’est pas des plus favorable Ă cette position, surtout avec les cahots et les trĂ©pidations. En plus, le conducteur conduit brusque. Aussi prĂ©fère-t-elle se soulever lĂ©gèrement pour soulager son fondement. Elle n’est pas mĂ©contente quand ils descendent, mĂŞme si ça lui fait bizarre de se trimbaler les fesses Ă l’air avec un plug dans l’anus, au milieu des gens. Plus la visite avance, plus elle se sent fiĂ©vreuse, surtout que son chĂ©ri profite de salles peu frĂ©quentĂ©es des cĂ©ramiques grecques et romaines pour passer la main sous sa jupe pour manier l’objet.Ă€ un moment elle remarque dans le reflet d’une vitrine un couple dans leurs âges qui les observe en chuchotant. Elle retire la main de Bernard :— ArrĂŞte, on nous regarde.— Si ça les gĂŞne, ils n’ont qu’à regarder ailleurs et s’ils apprĂ©cient, pourquoi les frustrer d’un petit plaisir qui ne nous coĂ»te rien, rĂ©torque-t-il en reprenant possession des lieux dont il vient d’être Ă©loignĂ©.Si elle rougit, elle ne dit mot et le laisse faire. Ils poursuivent leur visite. Deux salles plus loin, Bernard remarque :— Ils nous suivent. Le spectacle a dĂ» leur plaire. Ils espèrent probablement que l’on reprenne. On leur donne satisfaction ?Le regard de Lise quitte l’amphore attique Ă figures noires qu’ils regardaient pour se concentrer sur le reflet du couple qui zieute dans leur direction. Elle plutĂ´t grande, bien charpentĂ©e, une poitrine assez forte, mais avec un visage fin encadrĂ© de longs cheveux noirs. Assez court vĂŞtue. Lui, Ă peine plus grand, le visage et les Ă©paules carrĂ©es, les cheveux châtains ras. Un frisson lui parcourir l’échine, des sentiments contradictoires s’entrechoquent dans son esprit et elle s’entend rĂ©pondre presque Ă sa propre surprise :— Ne les dĂ©cevons pas.Bernard, lui, n’est pas vraiment surpris de la rĂ©ponse, mais il a prĂ©fĂ©rĂ© malgrĂ© tout ne pas agir sans l’approbation de sa chĂ©rie. Il s’empresse de repasser la main sous la jupe en la soulevant largement. Complaisamment Lise s’arrange pour que les voyeurs aient le meilleur angle de vue sur son postĂ©rieur. Ça les inspire, pris par l’émulation, Monsieur passe, lui aussi, la main sous la jupe de Madame pour s’y activer.Quand Lise et Bernard se retournent, l’autre couple aussi pour se plonger dans la contemplation d’un cratère en cloche apulien. Au moins en thĂ©orie, mais en rĂ©alitĂ© pour observer eux aussi le reflet des amoureux. Monsieur flatte la croupe de sa compagne et celle-ci d’un geste rapide, pour lui permettre un accès plus aisĂ© Ă ses trĂ©sors intimes, retire son slip qu’elle enfourne dans son sac Ă main. Un peu plus tard elle en sort une poignĂ©e pour les selfies qu’elle suce avant de le donner Ă son compagnon qui s’empresse de lui enfiler dans la chatte. Par la suite, elle accueille aussi ce gode improvisĂ© dans son cul.Jusqu’à la fermeture, les deux tandems se suivent, Ă©tant tantĂ´t voyeurs, tantĂ´t exhibitionnistes. Ă€ la fermeture, ils se retrouvent de concert Ă la sortie. L’homme dit :— Nous vous souhaitons une bonne fin de soirĂ©e.— À vous aussi, rĂ©pond Bernard. Elle a dĂ©jĂ commencĂ© sous les meilleurs auspices. Une visite au Louvre rĂ©vèle souvent bien des surprises.— C’est vrai et aujourd’hui nous avons Ă©tĂ© gâtĂ©s. Dommage que certaines expositions ne soient pas permanentes.— Rien n’est parfait.Sur un au revoir gĂ©nĂ©ral, chaque couple retourne vers ses foyers, chacune des dames avec un occupant dans le cul.Se retrouvant seuls, Bernard et Lise restent un moment silencieux. La jeune femme finit par rompre le silence.— C’était de la folie, qu’est-ce qui nous est passĂ© par la tĂŞte. Et s’ils avaient fait un scandale ? Et si d’autres s’étaient aperçus de notre petit manège ?— Ils n’ont pas fait de scandale. Rassure-toi, contrairement Ă toi, qui Ă©tait trop occupĂ©e Ă regarder l’autre couple, je surveillais les alentours et les quelques personnes qui ont repĂ©rĂ© notre « petit manège » comme tu dis se sont Ă©loignĂ©es, sans s’offusquer, certaines ont mĂŞme pris leur temps.— Tu as vu que des gens s’en sont aperçus et tu as continuĂ© sans rien dire.— Et ça aurait changĂ© quoi ? Et puis tu avais l’air de tant apprĂ©cier, aussi bien de mater la fille se faire peloter et la suite que d’être matĂ©e Ă faire la mĂŞme chose, que je n’ai pas voulu que tu sois frustrĂ©e.— Mais…— Mais quoi ? Je ne te croirais pas si tu osais nier que ça te plaisait.— Et pourquoi s’il te plaĂ®t ?— Pourquoi ? Tu oublies que mes doigts ont pu constater que tu Ă©tais bien excitĂ©e par la situation.— C’est… c’est vrai, j’étais troublĂ©e.— TroublĂ©e seulement ?— Oui, j’avoue, ça m’excitait.— Quand on mouille comme tu mouillais ce n’est pas contestable.— Mais, ce n’est pas le tout de m’avoir Ă©chauffĂ©e, il va falloir que tu assures pour me calmer.— J’en ai bien la ferme intention.— Au fait, il faudra retourner au Louvre, je n’ai pas toujours Ă©tĂ© très attentive aux Ĺ“uvres.— Pas de problèmes, ce sera quand tu veux.Un baiser interrompt la discussion. De retour chez eux, après un passage par la salle de bain, ils se retrouvent dans la chambre. Quand Bernard rejoint Lise, cette dernière est Ă quatre pattes les fesses vers la porte. Elle y a le feu, pense-t-il. Il ne s’occupe pas du plug qu’elle a remis en place après ses ablutions. Il s’agenouille derrière elle et, sachant que la belle est dans les meilleures dispositions, la pĂ©nètre d’un coup sans prĂ©ambule. MalgrĂ© sa sensualitĂ© bien orientĂ©e, Lise est surprise de la soudainetĂ© de l’abordage. Surprise, mais aucunement dĂ©sapprobatrice. Bien au contraire, elle s’accorde rapidement au rythme de ce pieu qui la fouaille.Elle se mord les lèvres pour ne point ameuter les voisins. Pour Paula et Jean-Marie, cela ne poserait pas de problèmes, surtout que parfois sa sĹ“ur se montre peu discrète lorsqu’elle baise dans la salle Ă manger qui est la pièce la plus proche, mais il y a ceux du dessus ou du dessous et dans le silence de la nuit… DĂ©jĂ que ceux d’en dessous avec le bruit du lit doivent se douter de leur occupation.Bernard lime longuement sa bien-aimĂ©e avant de se vider dans la chatte brĂ»lante, sans apprĂ©hension puisque Lise prend maintenant la pilule. Ă€ peine se retire-t-il que la jeune femme se retourne pour attraper son sexe et lui prodiguer une fellation. Il faut dire qu’après la première pipe, il n’a guère eu Ă la prier pour qu’elle rĂ©cidive, et avec de moins en moins de rĂ©ticence. Maintenant c’est mĂŞme avec enthousiasme qu’elle pratique.Et le rĂ©sultat est tangible. Bernard interrompt la vorace :— Remets-toi Ă quatre pattes.Elle s’arrĂŞte illico pour prendre la pose demandĂ©e.— C’est bien, tu es une bonne fille obĂ©issante.Il ponctue ce « compliment » d’une claque sur les fesses, avant d’entreprendre de retirer le plug de son nid. Lise ne moufte pas et reste en position, se contentant de prĂ©ciser :— Je me suis lavĂ©e Ă fond.— Tu l’as retirĂ© et remis ?— Oui.— PrĂ©voyante.— Je n’ai pas oubliĂ© ce que tu m’as promis. Alors…MalgrĂ© les bonnes dispositions dont fait montre sa chĂ©rie, Bernard ne tente pas une entrĂ©e en fanfare telle qu’il l’a exĂ©cutĂ©e pour l’autre voie. Il prend du lubrifiant, badigeonne sa queue et en tartine l’anus offert en le titillant. Il va pouvoir, en voyant les rĂ©actions positives Ă ses agaceries, passer Ă l’action. Il s’ajuste et pousse doucement en la tenant par les hanches. Bien que le chemin ait bien Ă©tĂ© prĂ©parĂ©, Lise se sent distendue. La queue de Bernard est plus grosse et plus longue que le leurre qu’elle a accueilli entre ses fesses la fin de journĂ©e durant, mais elle reste stoĂŻque croupe tendue. Tourment et plaisir se mĂŞlent. Le conduit se dilate lentement pour accueillir l’envahisseur. Elle ressent chaque millimètre de la pĂ©nĂ©tration. Elle a l’impression que cela ne finira jamais, pourtant le ventre de Bernard finit par arriver en contact avec ses fesses. Elle ferme la bouche qu’elle gardait ouverte depuis qu’il avait commencĂ© Ă la sodomiser.Elle avale sa salive. Bernard ne bouge pas. Le temps semble suspendu. C’est Lise qui la première bouge, elle se tortille un peu. Voyant qu’elle dĂ©sirerait que l’action reprenne, Bernard veut, comme elle a l’air d’apprĂ©cier, la chahuter un peu :— Tu la sens bien ma queue dans ton cul ?— Oui.— Tu la sens comment ?— …— Tu sens que je te la mets bien profond, jusqu’à la garde ?— Oh oui.— Quel effet ça te fait ?— … Ça m’enflamme le cul.— Eh bien, ça t’enflamme peut-ĂŞtre le cul, mais ça te fait frĂ©tiller. Tu dois aimer ça alors ?— Oui.— Qu’est-ce que tu aimes ?— … J’aime avoir ta queue dans mon cul.— D’avoir une queue dans ton cul, tu sais ce que ça fait de toi ?— Oui… une enculĂ©e, ça fait de moi une enculĂ©e… Continue… encule-moi.Ce disant, elle remue de plus en plus son popotin en se caressant la chatte. MalgrĂ© un encouragement aussi explicite, Bernard se montre circonspect. Il sort doucement son sexe de l’anus, avant d’y replonger de la mĂŞme manière. Il fait ainsi des allers et retours amples, mais doux. La brĂ»lure s’estompe lentement alors que l’agrĂ©ment croit, elle demande d’une voix altĂ©rĂ©e :Peu après le changement de rythme, elle rĂ©clame :Bernard s’empresse d’obĂ©ir. Il la ramone sans retenue, la projetant en avant Ă chaque incursion dans le cul de la belle. MalgrĂ© la rudesse de la charge et l’échauffement de ses reins, Lise ne proteste pas. MalgrĂ© la gĂŞne, elle apprĂ©cie d’être ainsi pourfendue. Elle finit par exploser dans un râle de contentement. D’entendre sa chère et tendre prendre ainsi son plaisir le fait se rĂ©pandre dans ses entrailles.Ils s’écroulent sur le lit et mettent un moment Ă reprendre leur souffle et leurs esprits :— Tu m’as mis le cul en feu…— C’est un feu que tu n’avais pas l’air de vouloir voir Ă©teindre.— Non ! C’était bon.— Tu m’aurais dit que ça t’était dĂ©sagrĂ©able, je ne t’aurais pas crue. Et maintenant que la voie est ouverte, il ne faudra pas la laisser se refermer.— Oui… Enfin on verra…— HĂ© bien on va voir. Suce-moi !— Maintenant ! Tu veux me…— Oui, maintenant.— On pourrait attendre un peu…— Pourquoi attendre. Allez suce.— Euh…— Pas de heu… SuceSans plus discuter, elle va pour se mettre Ă l’ouvrage, brusquement elle se rappelle que le sexe de Bernard Ă©tait il y peu encore plongĂ© dans son cul. Elle un mouvement de recul.— Tu sors de…— Suce !— Mais…— Pas de simagrĂ©es… Suce !Comme au ralenti, bien que fronçant le nez, elle le prend entre ses lèvres et se met au travail, avec circonspection au dĂ©but, puis avec de plus en plus d’entrain.— Tu vois ce n’est pas si difficile.De nouveau bien raide, il l’arrĂŞte et la fait remettre Ă quatre pattes en s’écartant les fesses. Il remet du lubrifiant et s’engage dans la voie Ă©troite avec circonspection, ne voulant, quoique qu’il en dise, se montrer trop brusque, et que si la chose s’avère trop dĂ©licate Ă Lise, il puisse s’arrĂŞter Ă la première demande. Celle-ci ne vient pas et de nouveau il se trouve entièrement fichĂ© en elle. Il marque une pause avant de lentement la pistonner. La voyant accompagner le mouvement, ses inquiĂ©tudes s’envolent et il y met de plus de vigueur. Lise suit. Ce second round se passe aussi bien que le premier.Après avoir rĂ©cupĂ©rĂ© et cette fois-ci un passage par la case salle de bain, ils s’endorment enlacĂ©s, non sans que Bernard n’ait auparavant oint de pommade apaisant le lieu qu’il vient d’inaugurer.MalgrĂ© cela le lendemain matin, cette partie de l’anatomie de Lise est fort sensible. En la voyant se dĂ©placer avec prĂ©caution, Bernard demande :— Ça va ?— J’ai le cul en marmelade.— Je suis dĂ©solĂ©, rĂ©pond-il pris de remords.— Ne le sois pas. Moi, je ne regrette rien, ça valait la peine.— Il faudra peut-ĂŞtre en rester lĂ .— Non, maintenant que la voie est ouverte, ce serait idiot de ne pas continuer, mais on attendra un peu avant de recommencer… Enfin pas de trop quand mĂŞme.— Tu te dĂ©vergondes.— Ce n’est pas pour te dĂ©plaire. Tu m’y pousses.— J’avoue… Toi non plus ce n’est pas pour te dĂ©plaire que l’on te pousse un peu. Je ne sais si je me trompe, mais je me demande si inconsciemment tu n’attendais pas que ça que quelqu’un t’incite Ă te conduire comme une petite salope dans l’intimitĂ©.Lise ouvre la bouche, la referme et reste songeuse et silencieuse. Bernard se demande s’il a bien fait de livrer si abruptement ses rĂ©flexions qui peuvent paraĂ®tre un jugement.— C’est vrai que j’accepte de faire des trucs que je n’aurais jamais cru faire il y a encore peu et j’aurais regardĂ© de haut celles qui acceptaient de les faire… Je reconnais que ce n’est pas pour me dĂ©plaire et d’y ĂŞtre poussĂ©e, malgrĂ© mes a priori, y participe.— Je ne suis pas psychologue et ne le prends pas mal, mais je me demande parfois si tu n’as pas un petit cĂ´tĂ© maso et aimes te faire un peu dominer dans tes relations de couple, qu’avec les autres garçons que tu as frĂ©quentĂ©s, ça n’a pas marchĂ©, car ils manquaient trop d’initiative et te laissaient mener la barque ce qui devait te frustrer un peu.Lise le regarde fixement, l’air pensive :— Humm… En y rĂ©flĂ©chissant bien… Ouais, peut-ĂŞtre… HĂ© bien, il va falloir voir si tu as raison et si oui jusqu’à quel point.Bernard ne s’attendait pas Ă ce genre de rĂ©ponse et en reste un peu pantois :— Heu…— Maintenant que tu as ouvert la boĂ®te de Pandore, il faut continuer pour avoir des rĂ©ponses ; oui ou non et jusqu’oĂą on peut aller. Je suis sĂ»re que tu trouveras quelques petits jeux pour tester tout ça.Lise rit presque en voyant l’air Ă la fois incrĂ©dule et gĂŞnĂ© de Bernard. Elle l’embrasse :— Je compte sur toi.— C’est… c’est vraiment ce que tu veux ?— Oui. Je ne veux pas mourir idiote.— En ce cas, mais si quelque chose ne va pas, dis-le tout de suite.— Tu peux compter sur moi. On pourrait mettre au point un code.— Un code ?— Oui un code plus explicite que des protestations qui peuvent faire partie du jeu… Hum… Par exemple, si je te vois hĂ©siter et qu’il n’y a pas de problème je dis heu… feu vert, si je dis feu orange, on peut continuer, mais sans pousser trop et si je dis feu rouge arrĂŞt immĂ©diat. C’est d’accord.— Bon d’accord— Si on dĂ©jeunait maintenant.Le petit-dĂ©jeuner pris, ils se retrouvent avec Paula et Jean-Marie pour aller faire des courses. Tandis qu’ils se dirigent vers les magasins, Paula remarque :— Tu marches bizarre.Après un moment d’hĂ©sitation, Lise, par provocation et pour voir la rĂ©action de sa sĹ“ur, de Jean-Marie, mais aussi de Bernard, rĂ©pond de manière dĂ©gagĂ©e :— C’est parce que Bernard m’a enculĂ©e hier soir.Lise jubile en voyant la tĂŞte de ses interlocuteurs.— Quoi ? dit Paula qui doute de ce qu’elle a entendu— Je disais que Bernard m’a enculĂ©e hier soir et c’était une première pour moi. Et toi, est-ce que Jean-Marie t’encule ?Revenus de leur surprise les deux hommes se retiennent de rire de voir l’air effarĂ© de Paula qui vire au rouge et ouvre et ferme la bouche comme un poisson tirĂ© hors de l’eau. Lise insiste, ravie du trouble de sa jumelle :— Il t’encule ou pas ?— Si Jean-Marie… m’encule… !— Alors ? C’est oui ou c’est non, il n’y a pas d’autres alternatives.— Heu…— Mais encore.Paula jette un regard Ă©perdu Ă Jean-Marie. Celui-ci assez amusĂ© fait un petit geste d’impuissance Ă sa compagne. Celle-ci se reprend un peu et se dĂ©cide Ă rĂ©pondre :— Non, Jean-Marie ne m’encule pas.— Tu devrais lui demander.— À te voir marcher, ça ne donne pas vraiment envie.— C’est parce que j’ai voulu y aller trop fort pour une inauguration. Tu verras en Ă©tant bien prĂ©parĂ©e et en y allant plus en douceur que je ne l’ai fait, tu n’auras pas de problèmes et tu ne le regretteras pas. Tu entends, Jean-Marie, quand tu enculeras ma sĹ“ur, de la dĂ©licatesse, sauf si elle en demande un peu moins bien sĂ»r.— Tu vas un peu vite.— De quoi as-tu peur ? De t’éclater ? allez, dites qu’au moins vous essayerez. Jean-Marie, tu voudras bien ?— Euh… Si Paula est d’accord, oui.— Paula Ă toi… du courage, trouillarde, tu vois, Jean-Marie est d’accord.— Je n’aime pas ĂŞtre forcĂ©e.— Moi non plus, tu me connais, mais il y a des circonstances oĂą ĂŞtre un peu poussĂ©e n’est pas si dĂ©sagrĂ©able.— C’est toi qui dis ça !— Oui, tu vois et tu peux me croire. Alors ?— Alors… et toi Bernard, c’est vrai que tu as poussĂ© ma frangine et qu’elle a aimé ?— Oui aux deux.— Euh… Bon, alors c’est OK, on essayera.— Tu verras, tu ne le regretteras pas.— Si on s’occupait des courses maintenant, conclut Bernard.Le soir après s’être bien fait baiser, Lise demande Ă son chĂ©ri :— Tu crois qu’il l’encule ?— Je ne sais pas. Elle n’avait pas l’air enthousiaste.— Moi non plus au dĂ©but et puis… Bon on les invite demain matin Ă prendre le petit-dĂ©j. Et on verra bien.— Vilaine curieuse.— C’est ma sĹ“ur jumelle.Dans l’autre appartement, après quelques exercices gĂ©nĂ©siques apprĂ©ciĂ©s, Jean-Marie qui n’avait jamais osĂ© ni mĂŞme vraiment pensĂ© demander la chose Ă sa chĂ©rie, n’est après tout pas mĂ©content de l’intervention de sa « belle-sĹ“ur » et de la promesse qu’elle a arrachĂ©e Ă Paula de l’essayer. Aussi, voyant qu’elle n’a pas l’air de mettre le sujet sur le tapis, n’hĂ©site-t-il pas lui Ă la faire :— Alors, on essaye ?Point ne lui est besoin de prĂ©ciser quoi, Paula comprend très bien. Sans trop y croire, elle espĂ©rait que tout ça passerait Ă la trappe. Éluder ou ne pas Ă©luder ? VoilĂ la question. D’un cĂ´tĂ©, elle n’est pas vraiment tentĂ©e, de l’autre, sa sĹ“ur risque de la tanner. Aussi, après une courte rĂ©flexion, prĂ©fère-t-elle se lancer dans l’expĂ©rience. Après tout pourquoi pas, elle peut toujours interrompre Ă tout moment. Au moins elle aura essayĂ© et sa chère sĹ“ur n’insistera pas lourdement. C’est malgrĂ© tout avec un enthousiasme limitĂ© qu’elle concède :— OK, on y va. Je vais me laver et je reviens.Quelques minutes plus tard après avoir procĂ©dĂ© Ă des ablutions approfondies :— Et voilĂ , propre comme un sou neuf. Ă€ toi de jouer, mais n’oublie pas ce qu’a dit Lise : bien prĂ©parer et en douceur.— Y a-t-il des fois oĂą je n’en ai pas fait preuve ?— C’est vrai !Paula reste un instant silencieuse avant d’enchaĂ®ner :— Mais Ă entendre Lise, je me demande si un peu moins de douceur serait si dĂ©plaisant.Jean-Marie n’en revient pas. Sa chĂ©rie jusqu’à prĂ©sent, certes ardente, mais avec beaucoup de retenue, vient de lui suggĂ©rer de faire montre de plus de brutalitĂ©. Merci, Lise, pense-t-il avant de rĂ©pondre :— Ce que tu voudras, ma chĂ©rie. Et si on s’occupait de ton cul.— En douceur encore.— Pas de soucis. Mets-toi Ă quatre pattes.Il s’occupe longuement et dĂ©licatement du petit trou, commençant par mettre une bonne dose de lubrifiant. Il l’agace longuement. Voyant Paula se dĂ©tendre, il introduit l’index qui rentre sans difficultĂ©. EncouragĂ©, il poursuit en l’entrant, le sortant, l’agitant. Paula n’émettant pas de protestation, il se risque Ă ajouter le majeur en plus. Celui-ci rejoint son frère sans guère d’embarras. Jean-Marie joue de ses deux doigts comme il avait jouĂ© avec un. L’anneau de la belle se desserre sous la caresse de plus en plus ample. Il faut dire qu’elle y met beaucoup de bonne volontĂ© en se cambrant et Ă©cartant ses fesses.Devant d’aussi bonnes dispositions, le jeune homme juge qu’il est temps d’entrer dans le vif du sujet. Un peu de lubrifiant sur sa queue, il s’ajuste et pousse en douceur, comme convenu. Et ça entre. Il s’enfonce dans les intestins de sa chĂ©rie et finit par lui dire :— Ça y est. Tout est entrĂ©. Ça va ?Pour celle-ci, c’est certes un peu dĂ©licat, mais elle s’attendait Ă pire, aussi rĂ©pond-elle :— Ça va, on continue.Il se met lentement en mouvement. Elle s’habitue Ă cette intrusion et lâche mĂŞme une de ses fesses pour porter la main Ă sa chatte et se masturber. Tout comme sa sĹ“ur la veille, c’est elle qui finit par demander :— Plus vite… Plus fort…Son chĂ©ri s’exĂ©cute avec empressement. Il ne s’attendait pas Ă autant de fougue, après tant de rĂ©ticences. DĂ©cidĂ©ment il est des cas oĂą l’influence de sa sĹ“ur peut ĂŞtre positive. Il l’encule avec de plus en plus de vivacitĂ© sans que Paula s’en plaigne. Il finit par se vider en elle et est Ă©jectĂ© de l’accueillant fourreau. Elle continue Ă s’astiquer la moule jusqu’à prendre son pied les fesses toujours tendues.Revenue sur terre, force lui est de constater que son fondement est assez sensible. Jean-Marie, rencardĂ© par Bernard, a prĂ©vu une petite crème apaisante dont il tartine gĂ©nĂ©reusement la zone nĂ©vralgique. Paula s’endort l’opĂ©ration Ă peine terminĂ©e. Son chĂ©ri la rejoint après ĂŞtre allĂ© ablutionner.Le lendemain matin, ils sont arrachĂ©s aux bras de MorphĂ©e par le tĂ©lĂ©phone. C’est Lise qui les appelle pour petit-dĂ©jeuner. Ils se doutent que cette invitation n’est pas tout Ă fait dĂ©sintĂ©ressĂ©e. En marchant vers l’autre appartement, Paula sent sa rosette un peu endolorie. Bien qu’elle s’efforce d’avancer normalement, Lise remarque, bien sĂ»r, que sa dĂ©marche n’est pas tout Ă fait naturelle :— Alors vous avez expĂ©rimenté !?C’est plus une affirmation qu’une interrogation. Paula rĂ©pond sans hĂ©sitation.— Oui, on n’a pas voulu mourir idiots.— HĂ© bien, tes impressions.— Ça chauffe.Se tournant vers Jean-Marie, Lise le sermonne presque :— Tu t’es conduit comme un sauvage. J’avais dit en douceur.— J’ai fait en douceur, se dĂ©fend-il, c’est Paula qui a demandĂ©, elle a voulu suivre tes traces.— Si elle a rĂ©clamĂ© autant que Lise, tu as dĂ» lui mettre fort et profond, intervient Bernard. Parce que Lise elle a presque implorĂ© pour que je dĂ©fonce son petit cul. N’est-ce pas ma chĂ©rie ?La susdite chĂ©rie qui voulait mettre sa sĹ“ur dans l’embarras en la forçant Ă commenter son expĂ©rience ne s’attendait pas Ă l’intervention de Bernard et c’est elle qui se met Ă rosir Ă la grande joie de sa jumelle. Elle n’a pas le temps de parler, Jean-Marie est plus rapide qu’elle :— Paula, ça a Ă©tĂ© la mĂŞme chose. Elles ne sont pas jumelles pour rien.— Si Paula est comme Lise, il faudra un peu la bousculer, elle aimera ça.— Bernard ! s’exclame Lise— Quoi ! N’est-ce pas la vĂ©rité ? C’est mĂŞme toi qui, pas plus tard qu’hier soir, m’as demandĂ© de tester ton possible penchant maso.— Son penchant maso ! s’exclame Paula. Tu m’avais cachĂ© ça, Lisou.— Je n’ai rien cachĂ© du tout !— Si, tu l’avais cachĂ©, mais sans le savoir. La première personne Ă qui tu le cachais, si ça se vĂ©rifie, c’est toi, poursuit Bernard, car tu Ă©tais enfermĂ©e dans tes opinions et tes certitudes, sans songer Ă voir que l’on pouvait penser ou agir autrement sans ĂŞtre un imbĂ©cile ou un obscurantiste rĂ©actionnaire. On peut et il est mĂŞme prĂ©fĂ©rable d’avoir des convictions, mais elles ne doivent pas enfermer dans un carcan. Surtout dans la vie quotidienne.— C’est parler d’or, approuve Jean-Marie.Les jumelles prĂ©fèrent changer de conversation.Durant la semaine, certes Bernard encule une nouvelle fois Lise, mais il se demande ce qu’il pourrait faire pour la « tester ». L’idĂ©e lui vient, le samedi matin suivant, quand sa chĂ©rie laisse tomber un bol qui s’écrase avec fracas sur le sol. Après qu’ils aient Ă©pongĂ© et balayĂ©. Comme elle va pour aller s’habiller, il la retient :— Je trouve que tu casses beaucoup. Un verre, une assiette, aujourd’hui un bol, Ă ce rythme-lĂ nous n’aurons bientĂ´t plus de vaisselle, tu ne fais pas assez attention Ă ce que tu fais.Lise le regarde, Ă©tonnĂ©e, mais avant qu’elle n’ait pu rĂ©pliquer, il enchaĂ®ne :— Il faut faire quelque chose pour que tu sois plus attentive.Ce disant il s’assoit et l’attrapant par le bras l’entraĂ®ne sur ses genoux. Il trousse prestement sa nuisette dĂ©voilant son charmant postĂ©rieur, sur lequel il applique une claque. Lise pousse un « Oh ! » de surprise. Quand la seconde arrive, elle commence Ă se dĂ©battre, si on peut appeler ça se dĂ©battre, car elle ne cherche pas vraiment Ă se dĂ©gager. D’autres suivent. Ce n’est que plus de cinq bonnes minutes plus tard que l’averse cesse. Le postĂ©rieur de la demoiselle a bien rosi. Il la remet sur ses pieds :— J’espère que maintenant tu feras plus attention. Allez, je te pardonne, tu peux me sucer.La fessĂ©e a fortement Ă©moustillĂ© Lise. Lorsque celle-ci s’achève, son intimitĂ© est plus qu’humide, bref cela ne lui a pas dĂ©plu. Elle s’agenouille docilement et extrait le sexe du pyjama, elle va pour se mettre Ă l’œuvre.— Tu oublies quelque chose !Sa chĂ©rie le regarde sans comprendre.— Et les bonnes manières !Lise a une lueur et c’est avec un dĂ©licieux embarras qu’elle murmure :— Merci, Bernard.— Que dis-tu, je n’ai rien entendu ?— Merci, Bernard.— J’ai l’impression qu’il va falloir que je m’occupe de ton Ă©ducation. Tu peux y aller.Elle se met Ă le sucer consciencieusement. Elle n’a guère d’effort Ă faire pour le mettre au garde-Ă -vous. Il la relève et la pousse vers le plan de travail. Elle retire prestement sa nuisette avant de s’appuyer bien cambrĂ©e, en Ă©cartant les jambes. Il regarde, fascinĂ©, le derrière colorĂ©, se disant que les penchants de sa chĂ©rie sont aussi surprenants qu’inattendus. Il n’aurait jamais imaginĂ©, après ce qu’il avait entendu dire de la demoiselle par sa jumelle et Jean-Marie, qu’elle puisse se rĂ©vĂ©ler ainsi dans le privĂ©. DĂ©jĂ leur première rencontre l’avait stupĂ©fiĂ©, mais maintenant… Il caresse dĂ©licatement l’endroit, ce qui fait frissonner Lise d’impatience. Il fait un peu durer, avant de la saisir par les hanches et de la pĂ©nĂ©trer doucement. Elle pousse un long soupir de satisfaction.Il continue moderato, mais devant les trĂ©moussements de la donzelle, il comprend qu’il faut changer de tempo et passer Ă allegro. Cette Ă©volution est apprĂ©ciĂ©e et Lise laisse clairement entendre son contentement. C’est alors que Bernard aperçoit les restes du dĂ©jeuner, une association d’idĂ©es lui donne une inspiration. Il repense au film Le dernier tango Ă Paris et Ă la scène entre Marlon Brando et Maria Schneider. Il pend un peu de beurre avec ses doigts, l’applique Ă l’endroit idoine et dans la foulĂ©e sort sa queue de la chatte pour la plonger, sans plus de prĂ©ludes, dans l’anus. Lise est surprise de cette entrĂ©e en fanfare. Elle se cabre. Il se demande s’il n’y est pas allĂ© un peu fort et atteint les limites, mais il est vite rassurĂ©, point de « feu rouge ». Sa chĂ©rie retend les fesses en lâchant un :— Oh oui ! encule-moi !Point ne lui est besoin que l’on rĂ©pète l’invite. Il la sodomise allègrement jusqu’à se vider dans son fourreau de braise. Un passage par la salle de bain s’impose. Ă€ peine a-t-il fini de se nettoyer que Lise se met Ă genoux pour le pomper. Visiblement elle n’aurait rien contre un second service. Devant autant de bonne volontĂ©, il est tout prĂŞt Ă la satisfaire. Il le sert sous la douche. Elle a droit Ă une sĂ©ance de ramonage et de malaxage de sa poitrine qui la font de nouveau prendre son plaisir. Bien que son postĂ©rieur la chauffe, elle maintient son programme avec Paula.L’après-midi les jumelles vont faire du shoping, les hommes prĂ©fèrent les laisser entre elles, ce n’est pas le genre d’exercice qu’ils affectionnent particulièrement. Plus prosaĂŻquement ils vont faire des courses pour la semaine. Après avoir hantĂ© les magasins plus de trois heures, elles dĂ©cident de ne pas rentrer et d’appeler leurs chĂ©ris pour qu’ils viennent les rejoindre pour manger au restaurant. En attendant leur venue, elles vont prendre un thĂ©. Alors qu’elles sirotent leur breuvage, Lise se lance dans un rĂ©cit circonstanciĂ© de son petit-dĂ©jeuner. Paula est de nouveau Ă©bahie et doute de la sincĂ©ritĂ© du rĂ©cit, pensant que sa sĹ“ur fait de la provocation. Pour la convaincre de la vĂ©racitĂ© de ses dires, Lise l’entraĂ®ne vers les toilettes. Et lui fait contempler son postĂ©rieur encore fort rougi du traitement de la matinĂ©e. La sceptique est convaincue, convaincue et troublĂ©e, sa sĹ“ur ne manque pas de s’en apercevoir.Lorsque leurs chĂ©ris arrivent, ces dames montrent leurs trouvailles que ces messieurs admirent comme il se doit. Ils en sont presque au dessert, quand Bernard dit alors :— En dĂ©barrassant la table, après le dĂ©jeuner, Lise a lâchĂ© un bol qui s’est cassĂ© et tout le thĂ© s’est rĂ©pandu sur le sol. Elle avait dĂ©jĂ cassĂ© un verre et une assiette peu de temps avant. Elle fait les choses Ă la va-vite. Enfin après la fessĂ©e que je lui ai administrĂ©e, j’espère qu’elle fera plus attention.Lise n’est pas surprise de la sortie de son chĂ©ri, elle s’est arrangĂ©e pour Ă©changer quelques mots en apartĂ© avec lui quand il est arrivĂ©, pour lui demander de ne pas se montrer discret. Elle observe avec intĂ©rĂŞt les rĂ©actions de Paula et Jean-Marie. Si la première dĂ©jĂ au courant n’est plus surprise, le garçon lui ouvre de grands yeux :— La fessĂ©e ! Tu lui as donnĂ© la fessĂ©e.— Quand une fille est aussi peu attentive Ă ce qu’elle fait, il faut la remettre dans le droit chemin.— Ça m’a remis les idĂ©es en place et fait prendre conscience de mon manque de soin dans ce que je fais. Après, pour me montrer qu’il ne me tenait pas trop rigueur de ma maladresse, il m’a autorisĂ© Ă la sucer,— Il t’a autorisĂ©e ! rĂ©pète Jean-Marie, incrĂ©dule.— Oui et après il m’a baisĂ©e et comme dans Le dernier tango, il a pris du beurre et m’a enculĂ©e.— Si ça t’aide Ă progresser…— Ça peut peut-ĂŞtre en aider d’autres, conclut Lise en coulant un regard en biais vers sa sĹ“ur.Cette dernière, confuse, rougit lĂ©gèrement et prĂ©fère changer de conversation.De retour Ă la maison, Lise, Ă©tourdie par sa journĂ©e ne met guère de temps Ă s’endormir. Paula et Jean-Marie se montrent plus câlins. Si ce dernier s’endort rapidement après la joute, elle met plus de temps Ă rejoindre les bras de MorphĂ©e, le comportement de sa sĹ“ur la perturbe.Le lendemain, durant le petit-dĂ©jeuner, elle reste troublĂ©e et pensive. Comme elle se lève, elle fait glisser de la table son verre de jus d’orange qui s’écrase avec fracas. Elle s’exclame en fixant Jean-Marie :— Oh ! Je suis vraiment trop maladroite.Il la regarde. Pour lui, guère de doutes, cette chute ne doit pas avoir grand-chose ni avec une maladresse, ni avec le hasard. Il sourit. Sa chĂ©rie a Ă©tĂ© inspirĂ©e par le rĂ©cit de sa sĹ“ur et en reproduit les prĂ©mices. HĂ© bien si c’est ce qui la tente, il va en poursuivre la rĂ©alisation. Il la sermonne. Elle prend un air contrit de petite fille prise en faute. Il l’attrape et la couche sur ses genoux. Paula, comme Lise, n’oppose pas de rĂ©sistance et lorsque la fessĂ©e s’abat sur son postĂ©rieur, ses gigotements ne sont pas destinĂ©s Ă s’y soustraire. Quand il la relève, directement elle s’accoude Ă la table et tend la croupe. Sa chatte bien humide l’accueille avec empressement. Il la baise et elle aime.Tandis qu’il la lime, il repense Ă la fin de l’histoire de Lise et Bernard. Il s’empare du beurrier, prend une noix, la dĂ©pose sur l’endroit appropriĂ© et change de trou. La pĂ©nĂ©tration est rude pour Paula qui chouine :— Ça brĂ»le…— Tu veux faire comme ta sĹ“ur… alors il faut assumer, rĂ©pond-il en continuant de l’enculerElle assume, cesse toute rĂ©crimination, au bout de quelques allers et retours tend mĂŞme les fesses en se mettant Ă se caresser. Quand il se vide et la libère, elle reste quelques secondes inerte, elle se redresse et se retourne vivement vers Jean-Marie :— Espèce de brute…Il est contrit et s’apprĂŞte Ă faire un mea culpa en expliquant qu’il croyait rĂ©pondre Ă son dĂ©sir. Elle se suspend alors Ă son cou et poursuit :— … je t’aime !— Je t’aime, rĂ©pond-il presque mĂ©caniquement, reconnaissant Ă peine en la jeune femme qui se serre contre lui, la Paula d’il y a encore deux semaines.La mĂ©tamorphose de son aimĂ©e le laisse incrĂ©dule. Il ne s’y attendait nullement et rien ne le laissait prĂ©sager. Certes il ne va pas se plaindre, mais il se demande jusqu’oĂą elle voudra aller, car pour dire vrai, il ne se sent pas vraiment une âme de dominateur. Attendre et voir et cela inclus Lise, car le comportement des jumelles semble Ă©troitement liĂ©.Ă€ peine sortent-ils de quelques ablutions bien nĂ©cessaires que le tĂ©lĂ©phone sonne. Bernard propose de faire un petit tour Ă vĂ©lo dans le Bois de Vincennes en manière d’apĂ©ro. Vu son postĂ©rieur, Paula ne se sent pas trop pour la bicyclette, mais elle encourage son chĂ©ri Ă y aller, mĂŞme si elle reste Ă la maison. Tandis que les deux cousins discutent entre eux du circuit qu’ils veulent faire, elle en profite pour tĂ©lĂ©phoner Ă sa sĹ“ur pour lui demander de laisser les hommes entre eux et lui tenir compagnie pour discuter. Son chĂ©ri, bien qu’il soit en pleine conversation, l’entend. Il ne doute guère du sujet de discussion.Quand Bernard et Lise arrivent, Jean-Marie explique :— DĂ©solĂ© pour le tour Ă quatre, mais Paula a rĂ©ussi Ă se montrer aussi maladroite que Lise, Ă croire qu’elles se sont donnĂ© le mot. Alors j’ai dĂ» me rĂ©soudre moi aussi sĂ©vir. Évidemment, avec le cul qu’elle a, elle a jugĂ© que le vĂ©lo n’était pas l’exercice idĂ©al.— Jean-Marie ! s’exclame Paula en rougissant.— HĂ© bien, quoi n’est-ce pas la vĂ©rité ?Paula ne dit mot, mais opine.— Alors, toi aussi ? intervient Lise.Elle ne doute aucunement que sa jumelle n’ait pas Ă©tĂ© maladroite par hasard. Cette chère Paula a voulu l’imiter et tester la fessĂ©e, comme elle avait testĂ© l’enculage, sauf que cette fois-ci, elle n’a pas eu besoin de la pousser, c’est Ă son initiative. Elle poursuit :— Fais voir un peu comment tu es.— Que je… ? rĂ©pond Paula interloquĂ©e.— Oui, fais voir. Si c’est Ă cause de Bernard, ne t’inquiète pas. Nous sommes jumelles, tes fesses sont les mĂŞmes que les miennes, alors il les connaĂ®t.Paula hĂ©site un court instant, puis lentement soulève sa jupe. Elle ne porte pas de culotte.— Tu as les fesses bien rouges. Je comprends que le vĂ©lo… Penche-toi et Ă©carte un peu les jambes.Paula dĂ©licieusement embarrassĂ©e se plie aux injonctions de sa sĹ“ur. Celle-ci caresse le postĂ©rieur et Ă©carte les deux globes et voit que ce qu’elle soupçonnait se rĂ©vèle exact :— Ah ! Tu as eu la totale. Tu t’es fait enculer.— Oui, murmure Paula, sans bouger— Bon ! Messieurs, nous ne vous retenons pas plus longtemps. Si nous ne voulons pas dĂ©jeuner Ă quatre heures de l’après-midi, il faut que vous y alliez.Ces « messieurs » obtempèrent et vont prendre leur vĂ©lo. Une fois ceux-ci partis, Lise demande Ă sa sĹ“ur :— Est-ce la peine que je te demande si tu l’as fait exprès ?— Pas vraiment.— Alors tes impressions ?— C’est excitant !— Tu trouves aussi. Je n’aurais jamais cru ! Tu sais, Bernard m’a dit que j’avais peut-ĂŞtre un cĂ´tĂ© maso. Je lui ai demandĂ© de me tester d’oĂą la fessĂ©e.— Avec une certaine confirmation.— Oui, je dois reconnaĂ®tre qu’il a plutĂ´t bien vu. Visiblement nous avons les mĂŞmes penchants.— Qu’as-tu l’intention de faire maintenant avec Bernard ?— Je ne sais pas. Je verrai bien. Et toi, tu devrais en parler avec Jean-Marie.— Je ne sais pas. De toute manière, les cousins doivent causer de nous après l’histoire des fessĂ©es.— À propos de causer, je ne t’ai pas racontĂ© ma visite au Louvre.Lise se lance alors dans un rĂ©cit dĂ©taillĂ© de sa dĂ©ambulation dans le musĂ©e et jeu d’exhibe avec l’autre couple. Cela Ă©moustille fortement Paula.De leur cĂ´tĂ©, les garçons, tout en pĂ©dalant, parlent de leur chĂ©rie. Ils concluent qu’elles doivent avoir une tendance maso et/ou soumise. Bernard prĂ©cise que Lise lui a demandĂ© d’essayer pour voir. Et avec la fessĂ©e, il a vu. Ça se confirme. Jean-Marie dit qu’il devrait, mĂŞme si Paula n’a rien dit explicitement, la « tester ».Quelques jours passent, sans que rien de spĂ©cial ne se passe, quand les deux couples reçoivent une invitation Ă une soirĂ©e costumĂ©e et masquĂ©e. Bernard suggère que les jumelles soient costumĂ©es en panthère et les garçons en dompteur. Il peut se charger de trouver les dĂ©guisements. AdoptĂ©. Le surlendemain il emmène tout le monde dans un premier magasin pour les tenues de dompteur et bien qu’il y en ait de panthère, ils vont dans un second.Quand ils arrivent, ils entrent par l’arrière et entrent directement dans une pièce oĂą les attendent deux costumes. Bernard annonce :— Je pense qu’ils sont Ă votre taille. Le tissu est lĂ©ger, extensible et thermo je sais plus quoi, vous n’aurez ni trop chaud, ni froid. Essayez-les, vous avez des cabines derrière.Elles les prennent et se dirigent vers l’endroit indiqué— C’est vrai que c’est lĂ©ger, constate Paula.Le costume est assez facile Ă enfiler, mais elles doivent appeler Ă l’aide pour la fermeture dans le dos. Lorsqu’elles ressortent en panthère, le costume leur sied Ă merveille. Bernard a bien jugĂ©.— Il est très bien ce dĂ©guisement, remarque Paula, mais il ne faut pas avoir besoin d’aller aux toilettes et il manque la queue et la tĂŞte.— Tout cela est prĂ©vu. Vous n’avez pas fait attention, mais comme pour les bĂ©bĂ©s il y a la possibilitĂ© d’ouvrir Ă l’entrejambe.— Et le slip on fait comment ?— Il ne faut pas en mettre. D’ailleurs le costume se porte sans sous-vĂŞtements, aussi bien culotte que soutien-gorge. Viens Lise, on va faire voir Ă ta sĹ“ur.Le couple disparaĂ®t dans la cabine. Elle retire le costume, puis sa lingerie et remet le dĂ©guisement, non sans avoir regardĂ© l’entrejambe et constatĂ© la possibilitĂ© d’ouverture. Elle demande :— Pourquoi y a-t-il un trou avec un bourrelet— Pour pouvoir mettre la queue.Quand ils ressortent, Paula et Jean-Marie n’ont pas attendu et sont allĂ©s opĂ©rer dans l’autre cabine. Ils rĂ©apparaissent peu après. Les costumes fort moulants ne cachent rien de leurs formes. Leurs tĂ©tons transparaissent nettement, heureusement le tissu doublĂ© au niveau du bas-ventre, se montre un peu moins rĂ©vĂ©lateur. Paula s’inquiète:— N’est-ce pas un peu… ?— Pas du tout, la rassurent les cousins. C’est parfait comme ça.Lise qui ne s’offusquait apparemment pas de sa tenue collante demande :— Et la queue ?— Ah oui, la queue ! J’oubliais la queue. Tourne-toi.Elle se tourne, il ouvre le dos et lui demande de dĂ©faire le haut. Elle le fait et le tissu pend sur ses jambes. D’un sac il sort une magnifique queue en fourrure, ou au moins en bonne imitation. Il en passe l’extrĂ©mitĂ© dans le trou qu’elle avait remarquĂ©.— Ça ne tiendra jamais, ça foutra le camp tout le temps.— Attends ce n’est pas fini, dit-il en sortant un tube.— Tu vas mettre de la colle !— Mais non, sois patiente.Il fouille Ă nouveau dans le sac.— VoilĂ la fixation, dit-il en l’exhibant devant les yeux ronds de l’assistance— Avec ça ! s’exclame Lise— Oui. Ce devrait bien tenir, c’est ce qui sera le plus efficace. D’ailleurs on va vĂ©rifier ça tout de suite.Elle reste les bras ballants— Allez, l’encourage-t-il.Lentement elle se tourne, il fixe par un système de cliquet le cĂ´ne Ă la queue, il ouvre le tube et demande Ă sa chĂ©rie :Elle obĂ©it. Il oint de lubrifiant l’anus et le plug qui complète l’appendice caudal. Il agace et taquine le petit trou, avant d’y enfoncer dĂ©licatement l’objet. Celui-ci finit par ĂŞtre absorbĂ©.— Et voilĂ , dit Bernard, rajuste ton costume que l’on voit un peu l’effet que cela fait.Elle le remet, il l’aide Ă le refermer, fouille dans son sac, en sort une cagoule qu’il lui passe et l’accroche au costume.— Et voici une fort avenante panthère Ă la queue bien fixĂ©e.— À moi, rĂ©clame Paula.Jean-Marie s’empresse de venir l’aider et elle se retrouve bientĂ´t costumĂ©e comme sa sĹ“ur.Comme la fiesta n’est que dans plusieurs semaines, il dĂ©cide de ne pas l’attendre et de provoquer un peu Lise. Un matin il lui dit :— Ce soir, ce serait bien un dĂ®ner aux chandelles.— C’est une bonne idĂ©e.Le soir quand elle rentre, Bernard a un air navrĂ©Â :— Je suis dĂ©solĂ©, le dĂ®ner aux chandelles est compromis. Je n’ai pas de bougeoirs pour les bougies, elles sont trop grosses, dit-il en montrant de la main l’objet de son problème qui a cinq centimètres de diamètre, alors que le bougeoir ne peut en accueillir que de trois.— Ce n’est pas grave, ce sera pour une autre fois.Il prend un air pensif— Quoique, il y a peut-ĂŞtre une solution.— Laquelle ?Il lui explique. Elle reste un moment songeuse, sourit :— OK. C’est une bonne idĂ©e et comme ça tu auras ton dĂ®ner aux chandelles.Elle va chercher un tabouret haut, qu’elle met Ă la place de sa chaise, y ajoute un coussin, se dĂ©shabille et posĂ©ment s’installe dessus Ă plat ventre, les fesses au ras de la table.Il prend une bougie qu’il entreprend, après l’avoir oint de lubrifiant, d’enfoncer dĂ©licatement dans le cul de Lise. Quand une bonne dizaine de centimètres ont disparu, il lui fait rectifier la position pour que la bougie soit bien droite et l’allume. Comme il va pour s’installer Ă table :— Merci, ma chĂ©rie, tu fais un bougeoir charmant… il y a un inconvĂ©nient…— Lequel ?— C’est que je me retrouve seul Ă table. C’est bĂŞte… Je devrais inviter ta sĹ“ur et Jean-Marie. Qu’en penses-tu ?— C’est une bonne idĂ©e, rĂ©pond-elle presque sans hĂ©sitation.Une minute plus tard, les invitĂ©s arrivent et restent un moment en arrĂŞt en rentrant dans la pièce. Bernard explique :— Nous avions prĂ©vu un dĂ®ner aux chandelles, mais les bougeoirs Ă©taient trop Ă©troits, alors Lise s’est dĂ©vouĂ©e pour que je l’aie, mais du coup je me retrouvais tout seul Ă table, c’est pourquoi on a dĂ©cidĂ© de vous inviter. Asseyez-vous.Ils prennent place. Bernard va chercher des asperges. Il prend un godet d’un diamètre un peu supĂ©rieur Ă celui de la bougie. Il l’enfonce dans la chatte de Lise d’une bonne dizaine de centimètres n’en laissant dĂ©passer que trois ou quatre, et y verse de la vinaigrette.Comme il s’assoit. Paula qui sort du rĂŞve oĂą elle semblait plongĂ©e :— On n’y voit rien.— C’est vrai, mais si j’allume ce n’est plus un dĂ®ner aux chandelles— Il faut mettre d’autres bougies.— DĂ©solĂ©, mais il n’y a pas d’autres bougeoirs.— Je vais arranger ça.Elle se lève, va chercher un autre tabouret, qu’elle met Ă la place de sa chaise, se dĂ©shabille et s’installe comme sa sĹ“ur.— En voilĂ un deuxième. Jean-Marie, il ne te reste plus qu’à y mettre la bougie.Il ne se le fait pas dire deux fois. Non seulement il met la bougie, mais aussi un autre rĂ©cipient pour la vinaigrette. Aussi les jumelles sont Ă Ă©galitĂ©. Ces messieurs mangent très solennellement les asperges, les trempant dans les sauciers si particuliers.Après un quart d’heure, les jumelles commencent Ă s’agiter, leur position est assez inconfortable. Ce voyant, Bernard a une idĂ©e. Il prend deux bougies, les chauffe prudemment et rĂ©ussit Ă les plier presque Ă angle droit. Cela fait, il retire les occupants des trous des sĹ“urettes et leur demande de se lever. Il renfile alors les bougies courbĂ©es dans les « chandeliers » et les allume. Lise et Paula apprĂ©cient de pouvoir avoir une position moins inconfortable, ainsi que plus de libertĂ© de mouvement. Elles en profitent pour Ă leur tour manger les asperges, malgrĂ© la lumière qui Ă©claire leur dos.Les cousins se remettent ensuite Ă table pour le poulet au Riesling. Ces dames le dĂ©gustent ensuite, avec toujours une lumière aussi incertaine. Formages et sorbets suivent le mĂŞme rituel. Quand le repas s’achève, les bougies sont presque consumĂ©es jusqu’à la pliure. Bernard, taille en biseau la base de bougies avant de retirer celle qui garnit sa belle. Il fait s’allonger, puis replier sur elle-mĂŞme Lise de manière que les jambes soient le plus Ă©cartĂ©es possible, les fesses pointent vers le plafond. Il se met Ă la branler. Elle apprĂ©cie et sursaute Ă peine quand il lui plante Ă nouveau une bougie dans le cul. Il prend ensuite deux des bougies taillĂ©es et entreprend de lui introduire dans la chatte. Sous la poussĂ©e les chairs se distendent. Dix centimètres qui entrent, mĂŞme si c’est progressivement, c’est quand mĂŞme un peu dur Ă avaler. Lise ouvre la bouche, mais aucun son, aucune protestation n’en sort. Quand tout est bien fichĂ© solidement, il s’agenouille et l’embrasse en lui disant :— Tu es un brave petit chandelier.Il allume ensuite les trois mèches.— On y voit mieux maintenant.Paula a reluquĂ© l’opĂ©ration presque hypnotisĂ©e. Lorsqu’elle est finie, ne voulant pas ĂŞtre en retrait après sa sĹ“ur, elle tend les fesses vers Jean-Marie. Une fois qu’il a retirĂ© la bougie, elle prend la mĂŞme position que sa jumelle. Pas de problème pour la bougie dans le cul, mais pour les deux dans la chatte, elle a plus de mal. Elle serre les dents, ne voulant se dĂ©gonfler. Si Lise l’a fait, elle le fera… et elle le fait. Tandis que son chĂ©ri met le feu Ă ce qu’il vient d’enfoncer, elle pense que c’est toujours Lise qui fait en premier, qu’elle a l’air de ne faire que suivre. Il faudra qu’avec Jean-Marie ils prennent des initiatives et ne pas toujours ĂŞtre Ă la remorque. Les jumelles restent ainsi un bon quart d’heure le temps que les cousins sirotent leur thĂ©. Ils extraient les bougies, car cela commençait Ă beaucoup goutter et risquait de tomber dans leur vagin. Pas top.La sensation de vacuitĂ© quand sa chatte est libĂ©rĂ©e, donne une idĂ©e Ă Paula. Cette fois c’est elle qui va ĂŞtre Ă l’initiative. Elle tend Ă Jean-Marie le flacon de lubrifiant et se met Ă quatre pattes, Ă©carte largement les jambes et se cambre :— Mets-moi la main.— Que je te mette la main ?— Oui, vas-y !Jean-Marie est hĂ©sitant, il craint de blesser sa chĂ©rie.— Alleeeez… Vas-y, ce n’est pas en porcelaine, insiste-t-elle.Bien qu’un peu rĂ©ticent, il accède aux dĂ©sirs de sa chĂ©rie. Il inonde la future zone des opĂ©rations et sa main de liquide. Il commence Ă caresser l’endroit, qui il est vrai a Ă©tĂ© bien dĂ©tendu par les bougies. Point ne lui est besoin de forcer pour que trois doigts disparaissent. Il y ajoute donc un quatrième et les enfonce jusqu’à la naissance du pouce. Il fait quelques va-et-vient. Paula reste fesses tendues sans broncher, ce que voyant Jean-Marie groupe tous ses doigts en faisceau et les prĂ©sente Ă l’entrĂ©e de la grotte d’amour. Il entre prĂ©cautionneusement dans la chatte. Paula est comme en apnĂ©e tant elle retient son souffle. Elle sent ses chairs se distendre. Toute sa conscience se concentre sur cette main qui inexorablement se fraie un chemin. Elle a l’impression qu’elle va exploser et est sur le point de demander Ă Jean-Marie d’arrĂŞter, quand il cesse sa progression, elle interroge :— Il y en a encore beaucoup Ă entrer ?— Non. Tu as toute la main.— Toute ! s’exclame-t-elle presque Ă©tonnĂ©e de sa performance.— Jusqu’au poignet.Elle va pour dire qu’elle ne pensait pas un jour se faire fister, mais sa sĹ“ur, qui a regardĂ© toute l’opĂ©ration Ă la fois Ă©bahie et fascinĂ©e l’en empĂŞche en s’exclamant :— Waouh ! C’est pas vrai ! On me l’aurait dit, je ne l’aurais pas cru.— Tu devrais essayer, c’est une sensation…Elle ne peut finir sa phrase. Jean-Marie commence Ă ressortir sa main. Elle a le souffle coupĂ©, elle a l’impression que son vagin se retourne. Lise reste pensive un moment, mais elle ne veut pas rester en retrait, jusque-lĂ les initiatives lui revenaient. Elle prend le lubrifiant, le tend Ă Bernard et se place Ă cĂ´tĂ© de Paula, dans la mĂŞme pause.— À toi de jouer.— Tu es sĂ»re ?— Oui, si Paula l’a fait…Les deux garçons pensent que l’émulation des jumelles les pousse Ă vouloir aller toujours plus loin dans le dĂ©vergondage et la lubricitĂ©. Ils ne s’en plaignent pas, mais il ne faudrait pas que ça devienne risquĂ© et dangereux.Bernard se met Ă l’œuvre, tandis que Paula, qui ne veut pas perdre une miette du spectacle, demande Ă son chĂ©ri de sortir complètement. Lise passe par les mĂŞmes phases que Paula, en amplifiĂ©, car la main de son chĂ©ri est d’un calibre supĂ©rieur Ă celle de son cousin. Elle eut volontiers jetĂ© l’éponge, mais ne veut pas avoir l’air de se dĂ©gonfler après sa sĹ“ur. Elle serre les dents et attend stoĂŻquement l’annonce que toute la main est engloutie par sa chatte. Et trouve que c’est long. Quand enfin le message attendu arrive, elle pousse un profond soupir, ne se doutant pas que le retrait lui causerait autant de sensations.Elle pense que c’est fini, mais Paula se met sur le dos Ă ses cĂ´tĂ©s en demandant :— Remets-la-moi. Je voudrais voir.Jean-Marie s’exĂ©cute, sans hĂ©sitations cette fois-ci. Lise imite de nouveau sa sĹ“ur :— Remets-la-moi, aussi.Ainsi les sĹ“urs regardent leur chatte gober la main de leur chĂ©ri. Ayant vu, Paula demande :— Allez, touillez un peu…Ils touillent tous les deux. Bien que Lise n’ait rien demandĂ©, elle ne se rĂ©crie pas. Non seulement ils touillent, mais bientĂ´t sortent la main, serrent le poing et le font pĂ©nĂ©trer dans l’antre bĂ©ant, d’un coup… Ces demoiselles ne protestant pas contre ce farouche traitement, ils rĂ©cidivent, alternant remuements au fond de la chatte, entrĂ©es et sorties en fanfare. Les deux sĹ“urs s’habituent Ă ce rude rĂ©gime qui finit par ne pas leur dĂ©plaire.Quand les garçons cessent, en voyant leur compagne commencer Ă fatiguer, elles ont un peu le con en marmelade, aussi, apprĂ©cient-elles qu’ils les enculent. ÉmoustillĂ©s par la soirĂ©e, ils y vont de bon cĹ“ur.Lise et Paula, rompues se couchent et s’endorment sans mĂŞme avoir le courage de se rafraĂ®chir. Bernard et Jean-Marie, moins Ă©prouvĂ©s font, quant Ă eux, un passage par la salle de bain.Le lendemain, ils sont les premiers Ă Ă©merger.— Bonjour, dit Jean-Marie— Bonjour. Bien dormi ?— Comme un loir. Et toi ?— Aussi.— Alors que penses-tu de la soirĂ©e d’hier ?— Surprenante.— Et mĂŞme plus. Elle qui Ă©tait plutĂ´t timorĂ©e il y a peu. Je n’aurais jamais imaginĂ©, mĂŞme dans les rĂŞves les plus fous, que Paula puisse accepter de se faire enfiler des bougies allumĂ©es par tous les trous, avant de demander Ă se faire fister et en plus elle a eu l’air d’aimer ça. Lise n’aurait pas Ă©tĂ© lĂ , je pense qu’elle n’en aurait pas fait la moitiĂ©.— Je pense comme toi. Elles sont en compĂ©tition en quelque sorte. Si elle le fait, je le fais et j’en rajoute une couche. Mais j’avoue que Lise me surprend presque plus que Paula, car c’est elle qui a en quelque sorte « amorcĂ© la pompe ». Quand on connaĂ®t son militantisme, son attitude peut sembler quasi incomprĂ©hensible.— Elle est en contradiction ou a renoncĂ© Ă ses convictions.— Non ! s’exclame Bernard. Elle continue d’avoir ses convictions, mais elle n’est plus corsetĂ©e pas elles. Elle a compris plusieurs choses. Ne discuter qu’avec des gens qui pensent comme vous ne fait pas progresser. Je peux d’autant mieux en parler, car moi aussi j’ai eu cette tendance.— Je me rappelle… jusqu’à ta rencontre avec Ariane.— Ensuite elle a compris que sa conduite dans l’intimitĂ© n’a rien Ă voir avec la politique. Ses petits copains voyaient en elle une sorte d’icĂ´ne qui les impressionnait. En dĂ©finitive elle les dominait… et elle s’ennuyait, car dans le domaine intime ce n’est pas sa nature profonde. Quand elle est sortie de ses schĂ©mas, a Ă©tĂ© un peu bousculĂ©e, ça l’a troublĂ©e, mais elle y a pris un certain plaisir et mĂŞme un plaisir certain.— Une rĂ©vĂ©lation en quelque sorte.— Et, comme en toute chose d’ailleurs, elle ne fait pas les choses Ă moitiĂ©. Ă€ partir de là …— Jusqu’à entraĂ®ner Paula dans son sillage, enfin… au dĂ©but, car maintenant on ne sait plus laquelle entraĂ®ne l’autre. Actuellement elles sont dans la surenchère, mais elles se calmeront.— Ouais peut-ĂŞtre.— Il finira bien par y avoir une limite.— Assez philosophé ! On s’occupe du petit-dĂ©j. J’ai une petite faim. Tu prĂ©pares le thĂ©, je m’occupe des croissants.Bernard enfile un survĂŞtement pour aller Ă la boulangerie. Ă€ son retour les jumelles n’ont toujours pas Ă©mergĂ©. Elles apparaissent une poignĂ©e de secondes plus tard, en mĂŞme temps. Un sixième sens a dĂ» les avertir de l’arrivĂ©e des viennoiseries. Les couples s’embrassent tendrement avant de saluer les autres membres de l’assemblĂ©e et tous s’attablent, discutant du temps, de l’exposition sur Toutankhamon qu’il faut aller voir, de choses et d’autres sans qu’allusion soit faite Ă la soirĂ©e, jusqu’à ce que Paula :— Au fait Lisou et ta chatte ? Je ne sais pas toi, mais moi j’ai l’impression qu’elle est passĂ©e Ă la moulinette.— Je dirais plutĂ´t au batteur, mais il faut assumer, après tout c’est toi qui as demandĂ©.— Oh, mais je ne me plains pas.— Je te crois volontiers, car tu as plutĂ´t eu l’air d’apprĂ©cier la soirĂ©e du dĂ©but Ă la fin.— Comme toi d’ailleurs.— Je ne le nie pas. Et vous messieurs qu’en pensez-vous de cette soirĂ©e ?— Étonnante, rĂ©pond Bernard.— Vous ne vous attendiez pas Ă ce que vos petites femmes soient aussi salopes.— J’avoue.— Moi aussi, renchĂ©rit Jean-Marie. Tu m’as Ă©patĂ© Paula, je ne pensais pas que tu puisses… euh… t’enflammer ainsi.— Ça te dĂ©plaĂ®t ?— Je n’ai pas dit pas ça. Je ne soupçonnais pas que tu avais de telles… euh capacitĂ©s.— Alors tu aimes…— Que ma chĂ©rie ait des fantaisies, oui.— Et toi Bernard, demande Lise ?— J’aime bien quand il y a des surprises. Un peu de fantaisie ne nuit pas et je dirais mĂŞme est nĂ©cessaire dans un couple. Je ne parle, bien sĂ»r, pas seulement que du sexe.— Pas seulement, mais…À ce moment Paula en se levant se heurte Ă Lisa et renverse le fond de son verre de jus de fruit sur Jean-Marie. Elle prend un air de gamine prise les doigts dans le pot de confiture :— Oh que je suis maladroite.Ă€ son attitude et Ă la manière dont elle a parlĂ©, il n’est aucunement besoin Ă son chĂ©ri d’être grand clerc pour comprendre. Aussi sans hĂ©siter l’attrape-t-il par le bras.— Ce n’est pas possible d’être aussi maladroite, tu ne fais vraiment jamais attention.Il l’attire sur ses genoux et trousse sa nuisette sans que la demoiselle ne se dĂ©batte, ni mĂŞme proteste. C’est Lise qui s’en charge :— Ce n’est pas juste, je l’ai bousculĂ©e.— Alors tu as ta part de responsabilitĂ©, dit Bernard, qui saisit tout de suite que sa chĂ©rie veut partager le sort de sa sĹ“ur.— J’avoue.— Alors…Elle se retrouve, sur les genoux de Bernard, dans la mĂŞme position que Paula. D’un mĂŞme mouvement, les cousins appliquent sur les derrières dĂ©nudĂ©s une solide fessĂ©e qui ne cesse que quand les derrières ont pris une jolie coloration rose soutenu. Ils les remettent debout. Paula s’appuie alors sur la table sans rabattre sa nuisette et remarque d’un air innocent :— Tiens, on n’a pas encore rangĂ© le beurre, il est toujours sur la table.Tous comprennent qu’elle ne verrait point d’inconvĂ©nient Ă ce que son cul subisse une autre forme d’outrage. Jean-Marie se montre prĂŞt Ă satisfaire Ă son dĂ©sir. Il prend du beurre, elle Ă©carte ses globes, il enduit la rondelle de sa bien-aimĂ©e.Bien Ă©videmment, Lise, ne voulant pas ĂŞtre en reste, trousse sa chemise de nuit qu’elle avait rabattue et tend les fesses vers Bernard, qui comme son cousin accède aux aspirations de sa chĂ©rie.Ces demoiselles se retrouvent donc cĂ´te Ă cĂ´te, croupe tendue Ă se faire enculer, confirmant ainsi les subodorassions de leurs chĂ©ris. Ils ne les libèrent qu’après s’être vidĂ©s dans leur intestin. Chaque couple rejoint sa salle de bain pour des ablutions bien mĂ©ritĂ©es, mais on a l’impression que Lise et Paula marchent sur des Ĺ“ufs, tant leur dĂ©marche est prĂ©cautionneuse, mais il faut bien avouer qu’elles ont mis leur entrejambe et leur cul Ă forte contribution depuis la veille au soir.Les jours suivants sont plus calmes. On baise plutĂ´t pĂ©père, ce qui n’empĂŞche nullement d’y prendre grand plaisir.Viens le jour de la soirĂ©e costumĂ©e. Avant l’enfilage de leur dĂ©guisement, elles ont droit Ă l’enfilage de leur fondement, afin de prĂ©parer le terrain Ă la pose de l’appendice caudal. Ces demoiselles en sont tout Ă©moustillĂ©es, aussi ne prĂŞtent-elles guère attention Ă leur costume. Si elles avaient Ă©tĂ© plus attentives, avant de passer leur manteau, elles auraient remarquĂ© que la doublure au niveau du bas-ventre a Ă©tĂ© retirĂ©e et qu’en consĂ©quence leur anatomie se laisse plus que deviner. Leur petit coussinet duveteux est nettement discernable, et leur moule… moulĂ©e.Ce n’est qu’à l’arrivĂ©e que Lise s’en aperçoit en regardant Paula. Elle s’écrit :Paula se regarde, puis sa sĹ“ur :Lise va pour accuser les garçons, quand brusquement il lui revient qu’au cours de l’essayage les costumes avaient Ă©tĂ© un peu tachĂ©s et que lorsqu’elle Ă©tait allĂ©e les chercher Ă la teinturerie avec quelques autres affaires, il y avait deux espèces de slips fendus. Elle s’était mĂŞme demandĂ© comment Paula avait pu acheter de telles horreurs. Elle comprend maintenant qu’ils faisaient partie du costume et que le teinturier avait dĂ» les retirer pour nettoyer plus facilement et ne les avait pas remis. Elle explique Ă la compagnie.— On retourne fissa Ă la maison, dit Bernard en se dirigeant vers la sortie.Paula, qui se faisait une fĂŞte de cette soirĂ©e et ne veut pas la voir rĂ©duite Ă portion congrue, l’arrĂŞte :— Attends ! On en a au mieux pour une heure et demie et dĂ©jĂ qu’on n’est pas en avance. Alors on va faire avec. Avec les dĂ©guisements et les masques, on ne nous reconnaĂ®tra pas.Lise est Ă moitiĂ© convaincue. Sa jumelle Ă peut-ĂŞtre raison en disant que l’on ne les reconnaĂ®tra pas, mais Jean-Marie et Bernard, malgrĂ© les masques, certainement un peu plus. Et elle connaĂ®t pas mal de gens.— Et de toute manière on s’en fiche, n’est-ce pas Lisou ?MalgrĂ© ses rĂ©ticences Lise ne veut pas jouer les rabat-joie. Aussi se rĂ©signe-t-elle. Elle se rassure en voyant que personne ne semble remarquer le peu de choses que dissimule leur costume. La faible lumière et beaucoup danser de slow y ont grandement aidĂ©.Tout au moins, jusqu’à ce que Lise, qui a un peu bu, soit inspirĂ©e par des gens qui font un numĂ©ro de jonglage propose :— On va faire un numĂ©ro de dressage.Elle pousse tout le monde vers la piste. Tout en feulant, elle grimpe sur une table en entraĂ®nant sa sĹ“ur abasourdie, avant que quiconque puisse lui rappeler le peu d’opacitĂ© de son costume.Tous les regards se tournent vers eux et des applaudissements Ă©clatent. Paula et les cousins ne peuvent que suivre le mouvement. Pendant dix minutes les sĹ“urs grognent, feulent, miment des attaques, font des sauts et acrobaties, dirigĂ©es par leurs dompteurs Ă l’aide d’aiguillon. L’assistance Ă tout le loisir d’admirer la plastique si peu dissimulĂ©e des jumelles. Lorsqu’ils saluent, les bravi sont nourris et enthousiastes.— Toi qui voulais que l’on ne nous remarque pas trop avec nos costumes un peu lĂ©gers, lance Paula quand ils ne sont plus le point de mire de l’assemblĂ©e.— J’avais oubliĂ©, mais on a eu du succès.— C’est sĂ»r tout le monde a pu zieuter notre anatomie— Allez, ce qui est fait est fait, c’est fait et ce n’est pas une catastrophe, intervient BernardLes jumelles en conviennent de concert et chacun d’aller danser.Après ĂŞtre allĂ©e faire un petit pipi, Lise pense que la fente du costume est bien pratique et après un temps qu’elle peut mĂŞme servir Ă autre chose qu’aller aux toilettes.ÉmoustillĂ©e par cette idĂ©e, en sortant elle entraĂ®ne Bernard dans le parc vers un bosquet plus isolĂ©. Une fois arrivĂ©e, elle s’agenouille et sort la queue de Bernard qui s’écrie :— Quelqu’un peut passer !Elle se fiche de l’avertissement comme de l’an 40 et entreprend de le pomper avec beaucoup de conviction, enfin avec suffisamment pour qu’il ne s’inquiète pas plus avant. L’ayant mis au garde-Ă -vous, elle dĂ©gage son entrecuisse et se met Ă quatre pattes. Il ne barguine pas, s’agenouille derrière sa belle et sans plus de manière se plante dans la chatte Ă©panouie. Il la ramone avec vigueur depuis quelques minutes quand une voix un peu avinĂ©e Ă©clate :— Vise un peu, comme elle est bien domptĂ©e la panthère.— Pour sĂ»r, elle est bien dressĂ©e…— DressĂ©e Ă tendre le cul.Lise sursaute et va pour se redresser, mais Bernard l’en empĂŞche en lui murmurant :— Je t’avais prĂ©venue, maintenant tu assures.Elle assure et continue de se faire tringler mĂŞme lorsque le cercle des spectateurs augmente jusqu’à dĂ©passer la quinzaine et mĂŞme peut-ĂŞtre la vingtaine. Après que Bernard dĂ©charge, elle se retourne et entreprend de lui nettoyer son service trois-pièces Ă grands coups de langue avant de le ranger dans le pantalon, sous les acclamations de l’assistance.— Après cet « exploit », il vaut peut-ĂŞtre mieux ne pas s’attarder, suggère Bernard— Tu as raison, on rĂ©cupère Paula et Jean-Marie et on y va.Paula qui voulait pleinement profiter de la soirĂ©e, jusqu’à l’aube, râle un peu, mais lorsqu’on lui explique le pourquoi de ce dĂ©part anticipĂ© elle en reste baba :— Mais comment ? Tu as retirĂ© ton costume.— Non ! Je te rappelle qu’il y a une ouverture.— C’est vrai, mais moi je n’y ai pensĂ© que pour pisser, dit Paula avec une pointe de regret dans la voix. Alors comme ça tu t’es fait baiser devant vingt personnes. Tu voulais faire un nouveau numĂ©ro.— Pas vraiment. En me rajustant aux toilettes, comme j’étais un peu Ă©moustillĂ©e, ça m’a donnĂ© une idĂ©e. Un trou, ça peut servir dans les deux sens. J’ai entraĂ®nĂ© Bernard dans un coin isolĂ©.— J’ai trouvĂ© que le coin n’était pas si isolĂ© que ça, mais Lise Ă©tait très motivĂ©e. Alors ce que femme veut…— C’est vrai, mais quand les deux premiers gus sont arrivĂ©s, tu m’as empĂŞchĂ©e de me relever.— Oui. Je t’avais prĂ©venue du risque. Alors après, il faut assumer ce que l’on fait.— Et j’ai assumĂ©.— Et avec beaucoup d’assurance.Après cette soirĂ©e mĂ©morable, quelque temps passe plus calme. Les fĂŞtes de fins d’annĂ©e approchent. Les jumelles accompagnent leur chĂ©ri Ă la messe de minuit oĂą elles n’avaient pas mis les pieds depuis leur enfance. Leurs parents en sont bien Ă©tonnĂ©s, comme ils le sont du choix des compagnons de leurs filles. Les deux familles se retrouvent pour le rĂ©veillon. Celui-ci se passe au mieux, le courant passant bien entre elles.