RĂ©sumĂ© de l’épisode prĂ©cĂ©dent : Delphine et JĂ©rĂ´me ont passĂ© un cap. Après avoir rĂ©ussi leur dĂ©fi de s’exhiber, ils se dĂ©cident Ă partir enfin en vacances.Deux semaines sont passĂ©es, c’est le jour du dĂ©part. Ils prennent la route du sud dans la petite Corsa de Delphine. Au volant, elle est vĂŞtue d’une petite robe, de petites sandales Ă paillettes et d’un chapeau de paille assez large. Toutes vitres ouvertes, ils Ă©coutent de la musique dont le volume couvre les brouhahas de l’air qui s’engouffre dans la voiture.— Et cet endroit donc ? Tu as plus de prĂ©cisions ?Delphine, surprise par cette question, doit la jouer fine.— C’est un petit camping tout simple et pas très frĂ©quentĂ© d’après Amandine. Il y a des emplacements pour les caravanes et camping-cars, des gens qui dorment sous des tentes et des mobile homes. Tu vois, ça a l’air tout simple.— Et Amandine donc, tu la connais depuis longtemps, j’ai cru comprendre ?— Oui, depuis la seconde, nous Ă©tions dans la mĂŞme classe, puis nous ne nous sommes plus quittĂ©es. Elle faisait de la gymnastique Ă l’époque, elle avait un bon niveau et je me suis inscrite Ă son club, mais entre nous, il y avait un tel Ă©cart que je n’ai pas continuĂ©.— Tiens, Zazabelle vient de m’envoyer un message : elle va nous y rejoindre ce soir. Elle habite Ă Annecy et pour elle, c’est moins loin. Je me demande si son prĂ©nom c’est bien Isabelle après tout, je ne lui ai jamais demandé !— Bien sĂ»r que c’est Isabelle, je ne vois pas ce que cela pourrait ĂŞtre d’autre !En fin d’après-midi, ils arrivent enfin. La rĂ©gion valait le dĂ©placement, car le cadre est superbe. LĂ , juste en bas, le lac d’Esparron qui traverse les gorges du Verdon s’étend Ă perte de vue. Le lieu est superbe. Des balades en canoĂ© sont possibles et Ă titre gracieux pourvu que vous soyez clients du complexe. Il y a mĂŞme des vĂ©los en location.Tout sourire Ă la vue de cet endroit idyllique, ils se prennent la main. Delphine n’en mène tout de mĂŞme pas large et redoute la rĂ©action de JĂ©rĂ´me lorsqu’il dĂ©couvrira que ce lieu est naturiste. Devant l’accueil, Delphine envoie un texto Ă sa copine Amandine pour l’avertir de leur arrivĂ©e et ils rentrent dans le local.La rĂ©ceptionniste est une jolie jeune femme d’une petite vingtaine d’annĂ©es. Sans doute une Ă©tudiante travaillant ici pour la saison. Elle est blonde aux cheveux longs avec des yeux bleus azur. Elle porte un petit dĂ©bardeur Ă fines bretelles sans soutien-gorge. Elle leur explique qu’elle joue Ă©galement le rĂ´le de serveuse dans le petit restaurant-snack situĂ© Ă cĂ´tĂ© du terrain multisport. Cette demoiselle est vraiment très jolie et très accueillante. Elle a rapidement remarquĂ© qu’elle avait affaire Ă des novices, donc elle leur explique les règles de nuditĂ© Ă respecter partout dans une zone matĂ©rialisĂ©e au marqueur rouge sur le plan dĂ©taillĂ© du parc. Ă€ cet instant-lĂ , JĂ©rĂ´me tousse d’incomprĂ©hension.— Comment ça : « règles de nudité » ?Au mĂŞme moment, un couple arrivant derrière eux les interpelle.— Youhou, Delph ! Trop contente de te voir enfin, ma poulette !Surpris, ils se retournent. Une jolie trentenaire blonde aux cheveux attachĂ©s en queue de cheval tenant dans sa main son mari ou son conjoint. La fille porte un parĂ©o très lĂ©ger et un peu transparent, et le type un petit short de training, torse nu. Delphine reprend ses esprits et, toute souriante, fait les prĂ©sentations.— JĂ©rĂ´me, je te prĂ©sente ma copine de toujours, Amandine, et voici son copain Fred.JĂ©rĂ´me leur adresse un sourire de circonstance, mais ne comprend toujours pas ce qu’il est en train de vivre. Amandine s’approche de lui et l’enlace comme un « hug » Ă l’amĂ©ricaine comme s’ils se connaissaient de longue date. Il sent les seins très fermes d’Amandine se plaquer contre son torse. Puis c’est au tour de Fred de lui jouer le mĂŞme cinĂ©ma. JĂ©rĂ´me attire Delphine un peu Ă l’écart et lui demande des explications, les yeux Ă©carquillĂ©s de constater qu’Amandine est cul nu, dos Ă eux.— Tu m’expliques ? On est oĂą là  ?Le moment tant redoutĂ© par Delphine est arrivĂ©. Elle dĂ©glutit douloureusement.— Eh bien, je t’ai peut-ĂŞtre oubliĂ© un petit dĂ©tail. En fait, Amandine vient ici depuis qu’elle a seize ans avec ses parents. Mais sa mère doit se faire opĂ©rer, la pauvre. Tu te rends compte ? Elle n’a que cinquante-deux ans. En plus, ils ont payĂ© le prix fort pour avoir leur mobile home de toujours et bref, Amandine m’a proposĂ© de venir dans le mobile home de ses parents pour moitiĂ© prix. Ça arrange tout le monde, tu vois ? Et nous, on est enfin en vacances en amoureux ! Enfin, pas pour longtemps, parce que ta Zazabelle va se pointer tout Ă l’heure.— Un lieu naturiste ? En effet, c’est un « PETIT » dĂ©tail !Il s’est approchĂ© de l’oreille de Delphine afin que ses murmures puissent ĂŞtre parfaitement audibles.— Et je te signale que je ne suis peut-ĂŞtre pas totalement prĂŞt Ă m’exhiber Ă poil en public comme ça avec ce que tu sais ! Surtout avec ta copine et… OH MON DIEU ! Zazabelle ! Comment je vais lui annoncer ça, moi ? Pour la première fois qu’on va se voir, elle va devoir se mettre Ă poil, elle aussi ! Punaise, quelle galère !Amandine s’approche d’eux et comprend la panique qui commence Ă s’installer. Elle constate que Delphine n’a rien dit Ă son nouveau petit copain et elle tente de dĂ©dramatiser la situation.— Il ne faut pas vous en faire, nous sommes tous passĂ©s par lĂ la première fois. Vous verrez tous les deux, au bout de dix minutes vous allez vite vous habituer et vous allez vous rĂ©galer ! Allez, les tourtereaux, suivez-moi, je vous accompagne au mobile home.Bras dessus bras dessous, Amandine et Delphine les devancent, lui et Fred. Amandine, cul nu sous son parĂ©o, indique qu’à partir de cette ligne rouge sur le sol, les vĂŞtements ne sont plus admis. Pour eux, Ă©tant donnĂ© qu’ils sont de nouveaux arrivants, ils sont exceptionnellement exemptĂ©s. Amandine et Fred, eux, retirent leurs vĂŞtements, ils se retrouvent donc totalement nus et poursuivent leurs explications. JĂ©rĂ´me lutte pour ne pas trop reluquer les fesses nues d’Amandine qui sont juste devant lui.Delphine et JĂ©rĂ´me ont pris possession de leur mobile home et Amandine et Fred ont eu la bonne idĂ©e de les laisser passer leur première soirĂ©e d’adaptation. Une fois seuls, ils se mettent nus et, Ă©tant ensemble, cette formalitĂ© est simplifiĂ©e. JĂ©rĂ´me est cependant inquiet et stressĂ© Ă l’idĂ©e de devoir tenter de contrĂ´ler ses Ă©rections qui arrivent parfois de façon intempestive. Comme un sixième sens, Delphine ressent son trouble et tente de me rassurer.— Ça va bien se passer, ne t’inquiète pas. Et puis, des mecs qui bandent dans ce genre d’endroit, c’est certainement très frĂ©quent. Je doute que tous les hommes ne puissent pas rester de marbre devant certaines plastiques avantageuses ! En parlant de plastique, les nichons d’Amandine sont superbes ! Tu savais qu’elle se les Ă©tait fait refaire ?— Je pense l’avoir devinĂ©. Ça se voit qu’ils ne sont pas naturels, car trop fermes et très ronds. Mais ils ont une taille parfaite, c’est vrai.Trois heures plus tĂ´t, Isabelle ne cesse de regarder sa montre. Elle dĂ©teste ĂŞtre en retard. Elle finit par quitter son poste Ă l’hĂ´pital et file rapidement se changer dans les vestiaires. Elle prend soin de s’assurer que personne ne rĂ´de dans les parages lorsqu’elle retire sa blouse, puis son pantalon blanc typique des infirmières. Elle enfile un tee-shirt assez ample sous les bras, dĂ©voilant parfois son soutien-gorge bleu dans l’échancrure. Encore une fois, elle s’est enfilĂ© un plug anal ce matin et le conserve bien au chaud dans son fondement. Elle enfile son petit bermuda en jean qu’elle apprĂ©cie particulièrement, car lui dĂ©voile la naissance de ses fesses, conservant dessous son string ficelle assorti Ă son soutien-gorge. Sa grosse valise dĂ©jĂ mise dans le coffre de sa voiture depuis le matin mĂŞme, la voilĂ prĂŞte Ă partir pour les gorges du Verdon, lieu que lui a indiquĂ© JĂ©rĂ´me.Ă€ moins de trente kilomètres du camping, elle s’impatiente d’arriver enfin et de faire la rencontre de JĂ©rĂ´me. Depuis qu’il lui a rĂ©vĂ©lĂ© sa relation naissante avec Delphine, elle s’est mise en tĂŞte de tenter de le conquĂ©rir. C’est sa manière Ă elle de se mettre en mode « chasse Ă l’homme ». Les mecs faciles, ce n’est pas excitant. Elle a eu le temps de prendre soin d’elle, elle est rasĂ©e totalement, et de très près, exposĂ©e au soleil tous les jours avec son nouveau maillot de bain deux-pièces lui allant Ă ravir, elle a pris pas mal de couleurs et est prĂŞte Ă faire sa belle sur la plage.En arrivant Ă son tour sur le parking du camping, elle est agrĂ©ablement surprise par le paysage grandiose. Le soleil a dĂ©jĂ entamĂ© sa phase finale du coucher, donnant un ciel orangĂ© du plus bel effet. Elle envoie un texto Ă JĂ©rĂ´me pour lui indiquer qu’elle est enfin arrivĂ©e.Le mobile home est rangĂ© et prĂŞt Ă accueillir Zazabelle, ils profitent de leur terrasse en regardant le coucher de soleil en attendant son arrivĂ©e. Un texto lui arrive enfin.— AĂŻe ! La voilĂ arrivĂ©e ! Je fais quoi ?— Eh bien, va la chercher, gros bĂŞta !— Comment ? Ă€ poil ? Elle va se barrer en courant si elle me voit !— Enfile un truc vite fait et fais comme Amandine et Fred tout Ă l’heure. Gentiment, tu vas lui expliquer que tu n’étais pas du tout au courant des règles du camping et tu mettras la faute sur moi. Ça se passera bien !Isabelle aperçoit au loin un homme arriver dans sa direction. Au premier abord, il a l’air mignon, mais est-ce bien JĂ©rĂ´me ? De lui, elle n’a vu qu’une photo du devant de sa combinaison de travail particulièrement bien remplie. Celui qui s’approche est châtain, les cheveux très courts, 1,80 m avec une silhouette assez athlĂ©tique sans trop de muscles, rasĂ© de près et habillĂ© en tee-shirt et en short. Ses espadrilles aux pieds dĂ©notent avec le personnage, mais cela lui va bien après tout.Plus que quelques mètres, elle en est maintenant certaine, c’est bien lui.— Bonsoir, tu es Zazabelle ?— Oui, enchantĂ©e, enfin, moi, c’est Isabelle en fait, mais tu l’avais sans doute deviné ! EnchantĂ©e de faire enfin ta connaissance en vrai !Ce premier contact la rassure. Il a une voix apaisante et son sourire ravageur. Elle sent son lĂ©ger parfum subtil lorsqu’il s’approche d’elle pour lui faire une bise. Il lui prend sa valise et sur le trajet les menant Ă l’accueil, il s’arrĂŞte en se retournant vers elle.— Je ne vais pas y aller par quatre chemins, nous sommes ici par un concours de circonstances. La meilleure copine de Delphine, Amandine, a omis de prĂ©ciser que cet endroit est en fait pour les naturistes. Lorsque nous sommes arrivĂ©s ici tout Ă l’heure et que nous avons appris la nouvelle, nous avons fait la mĂŞme tĂŞte que tu es en train de faire lĂ maintenant. Oui, je sais, ça tĂ©tanise !Isabelle reste bouche bĂ©e. Elle ne s’attendait vraiment pas Ă cette nouvelle. Ă€ cet instant, elle aimerait prendre ses jambes Ă son cou et s’enfuir le plus vite possible de ce cauchemar. Cependant, elle est en mission pour elle-mĂŞme et elle ne compte pas abandonner au premier obstacle. Elle dĂ©glutit et prend son courage Ă deux mains.— En effet, pour une surprise, c’est une surprise ! Et avec Delphine, vous vous y ĂŞtes mis ?— Amandine et son mec nous ont accompagnĂ©s au mobile home. Eux, ils dorment dans une tente plus loin dans le camping. Ils nous ont laissĂ©s seuls pour qu’on puisse s’adapter entre nous. Nous allons les rejoindre au petit resto du camping pour dĂ®ner. En fait, nous n’avons donc que deux heures d’avance sur toi, pas plus !— Évidemment, je ne te cacherais pas que si j’avais su ça, je ne serais jamais venue, car moi, me mettre Ă poil devant tout plein de gens, dĂ©jĂ que je ne le fais pas quand je suis chez moi Ă©tant seule, et ça il me semble que je te l’ai dĂ©jĂ dit, mais bon, il faut bien se lancer un jour ! Et ça fait quoi de se retrouver Ă poil comme ça ?Ils continuent leur progression vers le mobile home tout en croisant ici et lĂ , des hommes, des femmes, des couples, des vieux et des plus vieilles, ainsi que des familles entières. Isabelle est surprise et ne sait plus oĂą donner de la tĂŞte. JĂ©rĂ´me lui murmure.— Essaie de les regarder dans les yeux et essaie de ne pas trop fixer leurs… enfin, tu m’as compris !Sur le trajet, il lui explique les règles de nuditĂ© Ă bien respecter partout dans le camping. Piscine, terrains de sport et restaurant compris. Elle est surprise qu’au final, mĂŞme dans les lieux improbables, la nuditĂ© soit de mise. Elle se demande vraiment si elle osera pratiquer un sport totalement Ă poil, elle qui a des seins un peu volumineux. Ă€ la ligne rouge, il s’arrĂŞte et lui explique qu’à partir d’ici la nuditĂ© est de mise.— Mon Dieu, je viens de voir cinq bites totalement diffĂ©rentes là  ! Tu as vu celle du vieux lĂ -bas comme elle se balance ? C’est horrible ! Et toutes ces chattes Ă l’air, je panique là  !— Je sais bien, ça m’a fait pareil Ă moi aussi, dĂ©tourne le regard et admire plutĂ´t le paysage, tu verras, on s’y habitue vite.— Et pourquoi, toi, t’es pas Ă poil ? On peut rester habiller du coup ?— Non, lĂ c’était juste pour t’accueillir. Les fringues Ă cette Ă©tape-lĂ sont autorisĂ©es pour les nouveaux arrivants, mais maintenant que tu as franchi la ligne rouge, tu n’y couperas pas. Tiens, voilĂ , on y est.Isabelle sait qu’elle doit se reprendre et ravaler son stress si elle veut le conquĂ©rir. Elle doit lui montrer qu’elle est courageuse et n’a pas froid aux yeux.JĂ©rĂ´me ouvre la porte, Delphine qui Ă©tait installĂ©e sur la terrasse les rejoint, totalement nue.— Salut et bienvenue, moi, c’est Delphine, Delph, si tu prĂ©fères.— Eh bien moi, c’est Isabelle ou Isa, mais je suppose que tu l’avais deviné !Elle regarde le corps de sa rivale et la trouve jolie, mais diffĂ©rente d’elle. Brune, les cheveux au carrĂ© mi-longs, elle est un peu plus grande qu’elle. Ses seins sont plus petits et un peu affaissĂ©s. Ses arĂ©oles sont brunes et assez petites et ses tĂ©tons un peu pointus. Ses jambes sont très longues et elle remarque la forme en V de sa toison brune peu fournie qui dĂ©voile lĂ©gèrement sa fente au travers. Elle se doute bien que lorsque Delphine se rapproche de lui Ă cet instant, c’est pour le but de marquer son territoire. C’est normal et elle reste fair-play. Delphine claque dans ses mains soudainement.— Allez, hop hop, Ă poil tout le monde ! Amandine et Fred vont nous attendre au resto !Isabelle se dĂ©cide rapidement et tout en continuant leur discussion, elle commence Ă retirer ses vĂŞtements le plus naturellement possible.— Qui sont Amandine et Fred ? J’ai cru comprendre qu’elle Ă©tait une de tes copines ?Son dĂ©bardeur puis son soutien-gorge tombent rapidement au sol. JĂ©rĂ´me l’observe du coin de l’œil et sans ĂŞtre un spĂ©cialiste, il estime que ses seins, ressemblant Ă deux jolis melons parfaitement naturels, les arĂ©oles moyennes, couleur peau assez claire, il estime que ses seins doivent faire un bonnet C ou D.— Amandine est ma meilleure copine d’enfance, nous nous sommes rencontrĂ©es en cours au lycĂ©e et Fred, c’est son mec.Lorsqu’Isa provoque la chute de son bermuda en jean, elle prend soudainement conscience d’un oubli majeur et il est trop tard pour s’arrĂŞter. Elle retire son string en espĂ©rant que son plug anal ne sera pas visible. Étant dos Ă elle, JĂ©rĂ´me remarque l’absence totale de poil sur sa chatte et son petit trou lorsqu’elle se penche en avant. LĂ , il dĂ©couvre le plug insĂ©rĂ© dans son anus. Il n’en croit pas ses yeux se rappelant les discussions parfois Ă©rotiques qu’ils ont eues quelques fois sur internet, Isa lui avouant aimer s’en insĂ©rer dans son fondement.Lorsqu’elle se retourne, son regard parcourt son corps nu qui ne cesse de se fixer sur son membre très allongĂ©. Depuis le temps qu’elle se l’était imaginĂ© dans sa tĂŞte, elle est comblĂ©e de dĂ©couvrir un tel engin. Pour ne pas le mettre mal Ă l’aise, elle dĂ©tourne le regard et fait comme si cette situation Ă©tait normale.Delphine lit l’admiration dans les yeux d’Isa et dĂ©cide d’accĂ©lĂ©rer les choses.— Bien ! Les prĂ©sentations faites, nous allons pouvoir penser Ă aller manger. Je viens d’avoir Amandine, ils nous attendent au petit resto du camping alors, allons-y !ChaussĂ©e de ses sandalettes Ă paillettes pour l’une et de ses tongs pour l’autre, les filles discutent cĂ´te Ă cĂ´te en devançant JĂ©rĂ´me qui essaie de ne pas regarder leurs culs qui le prĂ©cèdent. La tentation est pourtant bien trop forte pour ne pas en profiter, alors il admire le mouvement harmonieux de ces fesses qui se dandinent. Celui d’Isa, qu’il dĂ©couvre enfin, montre deux jolis globes un peu plus ronds que ceux de Delphine et qui semblent plus fermes. Isa a pris soin de retirer son plug anal discrètement avant de partir, prĂ©textant devoir aller aux toilettes. Cela le fait sourire et il tente par tous les moyens de contrĂ´ler un dĂ©but d’érection au plus mauvais moment, car ils arrivent au petit restaurant.Il ne passe donc pas inaperçu avec son pĂ©nis allongĂ© et pendouillant dans tous les sens, tel le pendule d’une armoire comtoise qui se balance d’une cuisse Ă l’autre. Cependant, les gens attablĂ©s ne prĂŞtent pas attention Ă eux, ni mĂŞme Ă lui. Lorsqu’ils prennent place, Amandine sourit Ă Delphine d’un air approbateur.— Eh bien alors ! Vous en avez mis du temps !— C’est ma faute, je suis arrivĂ©e un peu en retard. Le temps que JĂ©rĂ´me et Delphine m’indiquent les règles du camping, et ensuite le temps de me dĂ©shabiller, nous voilĂ enfin !— C’est ta première fois dans un camping naturiste ?Isa acquiesce tout en regardant Delphine et JĂ©rĂ´me afin de connaĂ®tre Ă©galement leur expĂ©rience.— Oui, c’est la première fois pour nous trois !Ă€ cet instant, l’hĂ´tesse d’accueil du camping qui a changĂ© de casquette et de tenue s’approche de leur table. Totalement nue, elle leur distribue les cartes des menus. Le regard des trois nouveaux arrivants se pose de concert sur son magnifique corps menu, avec des seins moyens aux arĂ©oles rose foncĂ©, des mamelons assez bombĂ©s et des tĂ©tons aplatis. Sa toison blonde est un peu broussailleuse et au travers des poils blonds, ses petites lèvres dĂ©passent des grandes. Cette demoiselle vraiment très jolie.— Bon alors ! Ça y est ? Vous ĂŞtes bien installĂ©s ?Amandine est affalĂ©e un peu en arrière sur sa chaise en toile et semble particulièrement Ă l’aise avec sa nuditĂ©. Isa s’interroge sur le pourquoi d’une telle envie de pratiquer le naturisme.— Comment en es-tu venue Ă faire du naturisme, Amandine ? Tu en fais depuis longtemps ?— Eh bien, lorsque j’avais quinze ans et mon frère, StĂ©phane, dix-sept ans, mes parents Ă©taient partis tous les deux avec la caravane que nous avions Ă l’époque et avaient rĂ©servĂ© ici sans savoir que l’endroit Ă©tait pour les naturistes. Ă€ leur retour chez nous, ils nous ont expliquĂ© oĂą ils Ă©taient et Ă©taient finalement ravis. Ă€ cette Ă©poque, j’étais super pudique, tu te souviens, Delph ?Delphine hoche de la tĂŞte, captivĂ©e par le rĂ©cit.— L’annĂ©e suivante, ils nous ont annoncĂ© Ă moi et mon frangin qu’ils aimeraient retourner ici, mais plutĂ´t en mobile home, car nous avions revendu la caravane. Évidemment, nous devrons ĂŞtre du voyage. Avec mon frangin, je ne vous dis pas comme nous Ă©tions mal Ă l’aise Ă l’idĂ©e de devoir nous mettre Ă poil ensemble et aussi devant nos parents. Du coup, n’étant pas du tout Ă l’aise Ă me mettre nue, je ne le faisais jamais, mĂŞme seule dans ma chambre, je me suis intĂ©ressĂ©e Ă regarder toutes sortes de reportages sur le naturisme sur internet. Le constat Ă©tait unanime, car tout le monde trouvait ça gĂ©nial, avec un sentiment de libertĂ©, personne ne se juge, ni se regarde de façon sexuelle, bref, le rĂŞve !Delphine rajoute.— Je me souviens lorsque tu m’as parlĂ© de ces prochaines vacances en question, tu Ă©tais super stressĂ©e.— Exact ! Puis un soir, Ă une semaine du dĂ©part, j’ai revisionnĂ© une Ă©nième vidĂ©o sur mon lit et me suis dĂ©cidĂ©e Ă Ă©laborer un programme qui se voulait ĂŞtre progressif. Phase numĂ©ro un, dormir Ă poil pour la première fois et rester toute nue dans ma chambre. Une fois toute nue, je suis restĂ©e comme ça au-dessus de mon lit et ai eu l’envie bizarre de faire des exercices de gym comme ça, et il devait ĂŞtre minuit ou quelque chose comme ça. Dans ma chambre, j’ai une barre murale pour m’entraĂ®ner aux Ă©tirements, alors je commence Ă Ă©tirer largement mes jambes Ă l’équerre lorsqu’au mĂŞme moment, ma mère rentre dans ma chambre. Elle avait vu ma lumière sous ma porte.L’hĂ´tesse s’approche Ă cet instant pour prendre leurs commandes et se poste entre Isa et JĂ©rĂ´me. LĂ , elle marque un temps de rĂ©action et semble hĂ©sitante, voire gĂŞnĂ©e, lorsque son regard se pose sur le sexe de JĂ©rĂ´me. Elle leur annonce finalement fièrement et avec un large sourire les suggestions et, toute guillerette, leur conseille :— Au menu de ce soir, ça tombe bien ! je vous propose une jolie saucisse de Morteau avec deux grosses pommes de terre en garniture, c’est menu franc-comtois ce soir !Ils se regardent et sont pris d’un fou rire rĂ©vĂ©lateur qui entraĂ®ne Ă©galement la jeune serveuse. Amandine poursuit son histoire passionnante.— Lorsque ma mère est entrĂ©e, j’étais super gĂŞnĂ©e, car, imaginez-vous, j’avais ma chatte tout ouverte ! Ma mère a Ă©tĂ© extra et m’a complimentĂ©e lorsque je lui ai dit la raison pour laquelle je m’étais mise Ă poil. Elle m’a encouragĂ©e Ă poursuivre mon programme les jours suivants jusqu’au dĂ©part, et que surtout, mon frangin lui aussi trouvera son rythme. Le lendemain après-midi, Ă©tant seule comme souvent, j’ai dĂ©cidĂ© de tester ma phase deux : dĂ©ambuler dans toute la maison et mĂŞme dehors dans notre jardin qui n’a pas de vis-Ă -vis. Je me sentais si Ă l’aise que j’ai fini par m’endormir sur le canapĂ©.La serveuse semble intĂ©ressĂ©e par ce qu’elle entend de l’histoire d’Amandine et reste un peu Ă l’écart, tenant une carafe d’eau dans sa main.— Mon frangin est arrivĂ© bien plus tĂ´t que prĂ©vu, un de ses cours avait dĂ» ĂŞtre annulĂ©, je ne me souviens plus, bref, comme Ă son habitude, il aime jouer Ă la console qui est forcĂ©ment dans le salon. Je vous laisse imaginer la suite ! Il s’est affalĂ© dans le gros fauteuil et Ă©tant donnĂ© que j’étais allongĂ©e sur le canapĂ©, il ne m’a pas vue tout de suite. J’ai sursautĂ© et me suis assise d’un coup. Je ne vous dis pas la tĂŞte qu’il a fait de me voir Ă poil pour la première fois de sa vie ! J’ai fait celle qui s’en foutait et qui devait paraĂ®tre super Ă l’aise d’être comme ça et je ne me suis pas cachĂ©e du tout, bien au contraire. Le traitant de poule mouillĂ©e s’il ne le faisait pas lui aussi. Il a fini par se foutre Ă poil aussi. Il Ă©tait super mignon, le con, en plus et il s’est mis Ă bander devant moi ! C’était d’ailleurs la première bite que j’ai vue bander de ma vie, celle de mon frangin, vous vous rendez compte ? VoilĂ , ça a dĂ©marrĂ© comme ça.La serveuse se rapproche et tout en posant la carafe d’eau sur la table, elle complimente Amandine pour son courage lui rĂ©vĂ©lant que pour elle, le naturisme Ă©tait une façon de vivre de ses parents depuis sa naissance. Bien plus facile donc pour elle Ă pratiquer.Le repas terminĂ©, Amandine et Fred leur souhaitent une bonne nuit et ils retournent tous les trois Ă leur mobile home.Confortablement installĂ©s dans des transats molletonnĂ©s, ils profitent de la chaleur du soir. Seule une petite ampoule les Ă©claire. Il est vraiment très agrĂ©able de rester nu ainsi et assez rapidement la conversation dĂ©vie sur l’histoire d’Amandine qu’ils ont trouvĂ©e très excitante finalement. Ă€ leur tour, les filles se racontent leurs anecdotes et semblent parfaitement s’entendre. Tout en les Ă©coutant discuter, JĂ©rĂ´me les observe, mais n’insiste pas sur leur intimitĂ© pour ne pas reprovoquer un dĂ©but d’érection jusqu’alors parfaitement maĂ®trisĂ©e. Mais cela est sans compter ce qu’Isa s’apprĂŞte Ă faire.Depuis quelques minutes, alors qu’elles continuent Ă se dĂ©voiler, une guĂŞpe leur tourne autour et s’approche dangereusement du sexe de JĂ©rĂ´me. Sans vraiment le vouloir, car concentrĂ©e Ă sa narration et surtout par rĂ©flexe, Isa fait mine de balayer de la main la vilaine bestiole et s’approchant de trop près de son pĂ©nis, sa main le heurte Ă plusieurs reprises tels des va-et-vient qui le projettent dans tous les sens, comme elle l’aurait fait pour nettoyer une saletĂ© dessus. Le mouvement de celui-ci est assez comique, car très assoupli et malgrĂ© tout assez allongĂ©, il finit par se dresser par Ă -coups. Lui qui Ă©tait fier de le laisser sagement posĂ© sur le haut de ma cuisse, le voilĂ qu’il se met Ă bander.Isa se confond en excuses.— Elle t’a piqué ? Je suis vraiment dĂ©solĂ©e ! J’ai une crème spĂ©ciale dans ma trousse de toilette… Ne bouge pas, je reviens ! Moi, je suis allergique, alors, les piqĂ»res, ça me connaĂ®t !Il n’a pas le temps de dire le moindre mot que la voilĂ partie comme une furie. Elle s’en veut de peut-ĂŞtre l’avoir condamnĂ© Ă mort, allez savoir ! Lorsqu’elle revient quelques secondes après, ses seins se secouent dans tous les sens. Elle se met accroupie Ă cĂ´tĂ© de lui, les yeux remplis d’admiration par ce qu’elle voit. Son pĂ©nis est dĂ©sormais au garde-Ă -vous d’une longueur spectaculaire.— Bon sang ! Euh, tiens, fais-le toi-mĂŞme, je ne vais pas te mettre de la crème sur ta bite quand mĂŞme et Delphine ne serait pas trop d’accord !— Je n’ai pas eu le temps de te le dire, car tu es partie Ă la vitesse de l’éclair, mais je ne crois pas qu’elle m’ait piquĂ©.— On ne sait jamais, ça ne peut pas te faire de mal de toute façon, allez, crème-moi ton engin !Il s’exĂ©cute sous le regard de Delphine qui est morte de rire intĂ©rieurement. Elle est vraiment bien, cette Isa, tout compte fait.Arrive le moment de l’organisation pour les nuits Ă venir. Delphine propose.— Je suggère que nous dormions ensemble, Isa et moi dans le lit de la chambre. Toi, en tant que galant homme, tu vas nous laisser le lit qui est bien plus confortable que le canapĂ© en skaĂŻ.Étant enfermĂ©s dans leur mobile home, rien ne pouvait les empĂŞcher de se rhabiller, mais se sentant finalement Ă leur aise, nus, cette pensĂ©e ne leur est mĂŞme pas venue.Au milieu de la nuit, Isabelle, allongĂ©e dans le lit quelle trouve particulièrement peu confortable, se rĂ©veille doucement avec une envie terrible de pisser. Ce n’est pas seulement une impression, mais le matelas s’affaisse bien dans son centre et, de ce fait, elle se retrouve inexorablement en contact avec le corps de Delphine. Pour elle, ressentir le corps d’une autre aussi proche la trouble. Elle n’a jamais dormi nue avec une autre fille. Elle regarde Delphine qui a pris plus de la moitiĂ© du lit et qui dort profondĂ©ment le drap posĂ© sur son ventre, ses petits seins parfaitement visibles. Elle les trouve jolis, ses petits nichons.En deux enjambĂ©es, elle se retrouve dans la pièce de vie. Le sol grince sous ses pas, mais cela ne rĂ©veille pas JĂ©rĂ´me. Sa respiration rĂ©gulière se fait entendre. Elle remarque dans l’obscuritĂ© que son drap ne le recouvre plus totalement et que son pĂ©nis au repos repose lourdement sur le haut d’une de ses cuisses. Elle en est certaine, si Delphine n’avait pas Ă©tĂ© avec eux dans ce mobile home, elle se serait jetĂ©e goulĂ»ment dessus. DĂ©cidĂ©ment, elle apprĂ©cie vraiment le naturisme.Les w.c. se trouvent dans la petite salle de bain faisant face Ă la chambre et tout proche du canapĂ© oĂą il dort. La proximitĂ© Ă©tant quasi immĂ©diate, Isa ne souhaite pas allumer la lumière pour ne pas rĂ©veiller tout le monde. Elle laisse donc l’unique rideau censĂ© fermer la salle de bain ouvert en grand. Le rideau du salon entrouvert laisse passer la lumière du rĂ©verbère. Une fois assise sur la cuvette, elle constate qu’elle peut ĂŞtre vue aussi bien par lui que par Delphine. C’est tout de mĂŞme très gĂŞnant, mais excitant Ă la fois une telle situation engageant son intimitĂ©.Avant de lâcher son urine, elle les observe attentivement une dernière fois, afin de dĂ©celer le moindre regard sur elle. Leurs tĂŞtes sont pourtant tournĂ©es vers elle et elle hĂ©site Ă Ă©carter ses cuisses, exhibition dont elle a rĂŞvĂ© tant de fois. Elle en meurt d’envie pour voir ce que ça fait et intĂ©rieurement, elle en viendrait Ă espĂ©rer qu’un d’eux puisse la mater. Elle se dĂ©cide et Ă©carte largement les cuisses de façon très provocatrice puis elle se met Ă uriner. Le jet qui jaillit siffle et est très audible, elle n’avait pas pensĂ© Ă ce dĂ©tail. Cela la trouble, mais cela ne lui dĂ©plaĂ®t pas du tout, bien au contraire. Elle prend confiance en elle et aimerait vraiment qu’ils puissent la mater maintenant. Elle se souvient de la fois oĂą elle avait surpris son frère pisser devant elle lorsqu’ils Ă©taient allĂ©s se balader en forĂŞt, il y a quelques annĂ©es. Se pensant masquĂ©e par un buisson, elle avait tout vu. Il avait sorti sa queue toute molle par sa braguette et avait tirĂ© sur le prĂ©puce afin de dĂ©voiler le gland. Cette vision avait Ă©tĂ© très excitante et très troublante Ă l’époque, car c’était la première fois qu’elle voyait une queue en vrai. Ils Ă©taient dans leur pĂ©riode d’adolescence et cela l’avait marquĂ©e. Elle se rappela que cette pĂ©riode fut le commencement de ses envies d’exhibitions et de voyeurisme avec son propre frère, mais cela est une tout autre histoire.Reprenant ses esprits et revenant Ă l’instant prĂ©sent, elle Ă©carte ses grandes lèvres très largement. L’intĂ©rieur de son vagin doit ĂŞtre visible Ă prĂ©sent. Elle s’exhibe pour la première fois ainsi et trouve ce moment d’une intense excitation. Déçue, elle constate qu’il dort toujours, mais elle est presque certaine que Delphine, elle, a ouvert les yeux et la regarde dĂ©sormais. Alors, faisant mine de rien, elle continue son petit jeu d’exhibition. Elle essuie lentement sa chatte Ă plusieurs reprises en passant bien sur son clitoris Ă la fin. LĂ , elle ressent une forte excitation qui la saisit. Lorsqu’elle se couche enfin, Delphine lui sourit et lui murmure en lui tapotant une fesse.— Je t’ai vu, petite coquine, quelle belle chatte !— Chuut ! DĂ©solĂ©e j’avais une envie de m’exhiber !— Comme je te comprends ! J’ai adoré !CollĂ©es l’une contre l’autre, les deux nouvelles amies s’endorment ainsi.Le lendemain, ce sont les rayons du soleil posĂ©s sur son visage qui rĂ©veillent Delphine. Le rideau avait mal Ă©tĂ© fermĂ©. Elle se lève et prend l’initiative d’aller chercher du pain Ă la petite boulangerie du camping. La fraĂ®cheur du matin la saisit, mais elle s’y habitue. Ses seins rĂ©agissent rapidement et ce brutal changement de tempĂ©rature les fait pointer avec fermetĂ©. Elle s’est rapidement faite Ă sa nuditĂ© et le fait de croiser des inconnus ne la dĂ©range plus. Elle a d’ailleurs le sentiment que personne ne la regarde vraiment.ArrivĂ©e Ă proximitĂ© de l’accueil du camping, elle remarque deux demoiselles qui semblent enregistrer une story sur leur tĂ©lĂ©phone portable. Elles sont encore tout habillĂ©es et semblent dĂ©sorientĂ©es, rigolant entre elles sans arrĂŞt. Leurs regards se croisent et les deux jeunes femmes s’approchent d’elle.— Veuillez nous excuser, mais nous sommes un peu perdues. On nous a remis un plan sur internet qui devrait nous emmener Ă notre mobile home, mais ça fait trois fois qu’on tourne en rond. C’est notre première fois dans un camping naturiste, nous faisons une story et nous relevons un dĂ©fi de nos abonnĂ©s.— Ah, enchantĂ©e, moi c’est Delphine et moi aussi je fais ce genre de vidĂ©o, j’ai moi aussi une chaĂ®ne sur YouTube et j’essaie des fringues.— Dites donc, c’est pas trop chelou de voir plein de bites tout le temps ? Nous, ça nous effraie un peu ! Rien que de penser devoir se balader la chatte Ă l’air, on flippe Ă mort !Delphine se dit que si ces deux tourterelles Ă©taient amenĂ©es Ă croiser JĂ©rĂ´me, elles tourneraient de l’œil sans aucun doute.— Je suis comme vous, c’est aussi ma première fois, nous sommes arrivĂ©s hier avec mes amis. On s’habitue vite et finalement, hormis quelques regards par-ci par-lĂ , je n’ai pas le sentiment d’être matĂ©e sans arrĂŞt et je ne ressens pas de sexualisation dans leurs regards. Ce que je vous conseille de faire, c’est de vous mettre Ă poil le plus rapidement possible, ensuite, allez dans cette direction, votre mobile home devrait se trouver sur la droite.— Vous pouvez tenir le portable et nous filmer, mais sans montrer nos corps, vous cadrez juste la tĂŞte, hein ? On voudrait finir cette sĂ©quence lĂ -dessus.Delphine s’exĂ©cute et filme dans la continuitĂ© de la vidĂ©o qui n’a pas cessĂ© d’enregistrer. Elle redonne ensuite l’appareil aux deux demoiselles devenues totalement nues. Elle leur sourit lorsqu’elles partent.Dans le mobile home, Isabelle Ă©merge aussi et se lève Ă son tour. JĂ©rĂ´me s’étire et ne semble pas avoir remarquĂ© que son drap laissait dĂ©passer le bout de son sexe en totale Ă©rection. Isabelle le remarque.— Eh bien alors ? C’est l’érection matinale ?— Oui, dĂ©solé !Il se confond en excuses, mais après tout, Isa n’est pas nĂ©e de la dernière pluie et sait parfaitement que les hommes ont ce genre de rĂ©actions au rĂ©veil. Cela ne semble pas lui dĂ©plaire, bien au contraire, car elle ne cesse de jeter des coups d’œil dessus de façon rĂ©gulière.Au mĂŞme moment, Delphine est de retour, les bras chargĂ©s de croissants et d’un pain frais. JĂ©rĂ´me les rejoint autour de la petite table ronde dans le salon, le membre raide. Les filles commencent Ă s’y habituer, mais pour Isa, c’est encore de la fascination.— Mon pauvre ! Ce doit ĂŞtre une drĂ´le de sensation de te trimbaler avec un machin pareil ! Ça ne te fait pas mal ?— Eh bien, un peu, Ă vrai dire. La peau du pĂ©nis est tellement tendue qu’elle me tire sur le frein et c’est surtout lĂ que je ressens un peu de gĂŞne.Il lui montre du bout de l’index.Delphine s’affaire Ă faire un peu de rangement pendant ce temps-lĂ tandis qu’Isabelle rentre dans sa peau d’infirmière et en tant que professionnelle en mĂ©decine, elle se met Ă inspecter de près le pĂ©nis et constate la tension du frein en question.— C’est sans doute parce que tu n’es pas circoncis. Il faudrait que tu fasses une frĂ©nulectomie qui consiste tout simplement Ă couper le frein reliant la peau de ton prĂ©puce Ă ton gland, tu vois juste ici.Isa effleure avec dĂ©licatesse et avec prĂ©cision le frein en question avec le bout de son index. Elle regarde avec des yeux Ă©carquillĂ©s le membre tendu d’une taille qu’elle n’aurait jamais pu imaginer. Comment un tel baraquin peut-il pĂ©nĂ©trer une petite chatte comme la sienne. Elle remarque qu’une petite goutte de sĂ©crĂ©tion vient d’apparaĂ®tre par le mĂ©at situĂ© au sommet de son gland, signe d’une excitation Ă©vidente. Que donnerait-elle Ă cet instant pour le lui lĂ©cher ?Delphine rĂ©apparaĂ®t sans avoir remarquĂ© la proximitĂ© du visage d’Isa de la queue tendue. C’est le moment pour elle d’intervenir. Lui tapotant les fesses.— Et si on allait se balader ? On pourrait aller faire du canoĂ© et se baigner si l’eau n’est pas trop froide ? Remarque pour toi, JĂ©rĂ´me, ce sera idĂ©al que l’eau fraĂ®che refroidisse tes ardeurs ! Amandine et Fred nous rejoindront dans l’après-midi.Cette zone bien moins frĂ©quentĂ©e, car difficile d’accès, a Ă©tĂ© pour eux l’occasion idĂ©ale de s’habituer Ă leur nuditĂ© en plein jour, dans cet environnement de nature pure. Isa semble dĂ©sormais très Ă l’aise et ne cesse d’exprimer la joie qu’elle ressent d’être ici, nue avec eux.— Jamais je n’aurais pu faire ça avec mes parents et mon frangin, mais avec vous, finalement, c’est le top d’être Ă poil dehors.Courageux, JĂ©rĂ´me a Ă©tĂ© le seul Ă s’aventurer totalement dans l’eau. La sensation perçue sur tout son corps fut exquise et cela fait plusieurs heures qu’il ne bande pas, ce qui est très agrĂ©able et un vĂ©ritable exploit.En remontant par un autre chemin en fin d’après-midi, Amandine et Fred les rejoignent. En passant devant le terrain de volley, une famille avec trois adolescents se faisant des passes les interpelle.— Une partie Ă cinq contre cinq ? Ça vous dit ?— Pourquoi pas, après tout !JĂ©rĂ´me, forcĂ©ment, ne passe pas inaperçu avec son balancier au repos, mais toujours volumineux. Les trois inconnus Ă©carquillent les yeux lorsqu’ils remarquent la lourdeur des rebonds que fait celui-ci lorsqu’il court ou saute en l’air. La mère de famille est troublĂ©e et semble ĂŞtre fascinĂ©e par ce qu’elle voit de lui. Pour elle, cela ne fait aucun doute, il a sans doute eu recours Ă de la chirurgie esthĂ©tique. Elle-mĂŞme en est une adepte, car elle s’est fait refaire les seins Ă deux reprises, certes un 90 E, ça se remarque, mais c’est surtout la taille de ses deux pastèques ultra-fermes qui fascine la gent masculine en gĂ©nĂ©ral.Isa Ă©met une petite rĂ©ticence et murmure :— Ça va ĂŞtre chaud de faire du sport pour moi !— Pourquoi ça ?— Bah, avec mes nichons, ils vont se balader dans tous les sens !— On s’en fout, allez, viens !Amandine empoigne le bras d’Isa et tout en pĂ©nĂ©trant sur le terrain :— Regarde, moi c’est un 90 D tout en silicone, avec ça ils ne bougent plus !Durant toute la partie, les protubĂ©rances mammaires et autres membres gĂ©nitaux se sont secouĂ©s, baladĂ©s, remuĂ©s, dandinĂ©s dans tous les sens. Cela donnait un rythme animĂ© Ă la piètre partie indigne qui se jouait lĂ .— Vous avez Ă©tĂ© des adversaires redoutables, jeunes gens ! Et entre nous, bravo pour la chirurgie !Le soir venu, ils dĂ©cidèrent de rester au mobile home. Inconfortablement installĂ©s dans le canapĂ© en skaĂŻ, ils tentent de trouver un programme intĂ©ressant Ă la tĂ©lĂ©. En zappant sur la 6, c’est le film « La petite Lili » avec Ludivine Sagnier qui est choisi.— Qu’est-ce qu’on est mal assis lĂ -dedans !— Et je vous confirme que je ne dors pas non plus de la meilleure des manières, mais bon, c’est pour une semaine !JĂ©rĂ´me se tortille contre l’accoudoir depuis une petite demi-heure. Celui-ci lui compresse les cĂ´tes.Isa, elle, installĂ©e entre lui et Delphine, commence Ă ressentir des crampes depuis une petite demi-heure. Cependant pour rien au monde elle ne voudrait laisser sa place. Son attirance envers JĂ©rĂ´me est pour elle une Ă©vidence. Il est drĂ´le, attentionnĂ© et a un physique très excitant. Elle ne cesse de regarder du coin de l’œil le pĂ©nis qui se tend lentement et par Ă -coups. IntriguĂ©e par ce qu’elle voit, elle s’interroge sur la raison d’une telle montĂ©e d’excitation de sa part. Il est vrai que ce film montre souvent l’actrice vedette totalement nue et pourtant, pour elle, cela ne justifie pas un dĂ©but d’érection. Cela n’est pas pour lui dĂ©plaire, bien au contraire, elle est fascinĂ©e. Ă€ moins que ce soit le contact de son sein tout contre son bras, car Ă©tant aussi serrĂ©s, leur contact est permanent. En temps normal, elle se serait prĂ©cipitĂ©e pour dĂ©tacher ce contact avec son sein, mais lĂ , bien au contraire, elle est excitĂ©e par cette proximitĂ©. Tout son corps se rĂ©veille et elle sent ses tĂ©tons pointer.Au mĂŞme moment, Ă l’autre bout du camping, ChloĂ© vient de terminer son service. Ses parents qui possèdent le camping ne seront pas au lit avant au moins deux bonnes heures, le temps pour eux de finaliser le nettoyage du restaurant. Comme Ă son habitude, elle aime dĂ©ambuler dans les allĂ©es du camping Ă la nuit tombĂ©e. Elle aime observer discrètement ce qui se passe derrière les fenĂŞtres souvent entrouvertes. Il est rare que des choses intĂ©ressantes se passent ici. Elle a repĂ©rĂ© un jeune couple arrivĂ© ce matin, mais malheureusement, ils sont dans une tente et cette dernière est hermĂ©tiquement fermĂ©e. Une fois, sa meilleure, elle avait Ă©tĂ© tĂ©moin d’une partie de jambes en l’air entre un couple dans un mobile home. Elle avait tout vu et c’était la première fois qu’elle s’était masturbĂ©e dehors, en les regardant. Depuis, elle aimerait revivre cet instant, s’avouant Ă elle-mĂŞme une forte tendance au voyeurisme.Revenant Ă l’instant prĂ©sent, elle s’arrĂŞte devant la porte-fenĂŞtre du mobile home n° 11, celui des deux nanas et du mec qui, elle se souvient maintenant, avait une bite hors normes au restaurant. Tout le monde avait rigolĂ© lorsqu’elle avait annoncĂ© le menu du jour. Ça, pour une saucisse de Morteau, je n’étais pas loin de la vĂ©rité ! Quelle bite il avait, ce type ! se dit-elle. Discrètement, alors que la porte est entrouverte et les rideaux pas totalement fermĂ©s, elle observe les trois pensionnaires affalĂ©s dans le canapĂ© en skaĂŻ, debout sur la terrasse. LĂ , elle peut Ă©galement entendre leurs conversations.— Si tu veux, Isa, essaie de t’allonger, tu seras sans doute mieux ! Pose ta tĂŞte sur le ventre de JĂ©rĂ´me et pose ton cul sur mes cuisses. Nous deux, on pourra se dĂ©coller des accoudoirs, car on se les prend dans les hanches, c’est horrible.Isa ne se laisse pas prier. Elle imagine qu’elle devrait avoir le visage Ă quelques centimètres de la queue encore molle, mais très allongĂ©e sur le cĂ´tĂ©. Elle se relève donc afin de leur permettre de se dĂ©caler. Ce faisant, et heureusement, ils n’ont pas remarquĂ© la tache de cyprine posĂ©e Ă l’endroit oĂą elle Ă©tait assise. Elle voit JĂ©rĂ´me s’installer pile dessus.— Qu’est-ce que c’est que ça ?Isa devient rouge pivoine.— Oh, certainement un peu de transpiration ! DĂ©solĂ©e !Isa se rĂ©installe, honteuse d’avoir souillĂ© le canapĂ© avec sa propre mouille et surtout, qu’il l’ait remarquĂ©e. Cependant, le savoir en contact avec ses sĂ©crĂ©tions l’excite Ă©normĂ©ment. La voilĂ dĂ©sormais bien mieux ainsi, sa tĂŞte posĂ©e au niveau de son nombril. Le bras de JĂ©rĂ´me encore relevĂ©, elle prend l’initiative de le poser pile sous ses deux melons lĂ©gèrement aplatis. Impossible pour elle d’être mieux installĂ©e. Si le paradis existe, elle ne doit pas ĂŞtre très loin.Delphine, elle, a pu se dĂ©caler de l’accoudoir et a dĂ©sormais les fesses d’Isa sur ses cuisses et une vue imprenable sur sa chatte lisse. Finalement, chacun est totalement satisfait de cette nouvelle rĂ©organisation. Elle n’est pourtant pas lesbienne, mais avec Amandine, elles ont souvent jouĂ© Ă des jeux Ă©rotiques ensemble, mais cela aussi est une autre histoire. Avec l’épisode de la nuit prĂ©cĂ©dente, Isa s’était exhibĂ©e sur la cuvette des toilettes, une certaine complicitĂ© est bien prĂ©sente entre elles.Cela fait quelques minutes qu’ils font mine de regarder le film qui se joue dans la tĂ©lĂ©. Ă€ ce stade, personne ne pourrait dĂ©crire ce qu’il se passe rĂ©ellement dans le scĂ©nario, chacun observant discrètement son voisin.Isa se fout Ă©perdument du film. Que donnerait-elle Ă cet instant pour rentrer en contact avec la queue ? Elle n’est pourtant pas loin du tout. Mou et très allongĂ©, il est orientĂ© sur le cĂ´tĂ© et posĂ© sur sa cuisse gauche. Elle s’imagine que si la queue se mettait droite, et donc en Ă©rection, lĂ , Ă coup sĂ»r, son visage rentrerait en son contact. Elle en viendrait mĂŞme Ă espĂ©rer que l’actrice s’affiche totalement Ă poil de face ou joue une scène torride pour faire accĂ©lĂ©rer le processus. Ses yeux rivĂ©s sur le membre, elle patiente et l’observe. Après quelques secondes, elle a l’idĂ©e de repositionner ses cheveux mi-longs. Il est probable que leur contact fasse peut-ĂŞtre rĂ©agir le pĂ©nis. Elle le fait Ă plusieurs reprises afin de taper un plus juste sur le gland Ă moitiĂ© visible sous le prĂ©puce.Ce petit jeu excite Isa dont les battements du cĹ“ur se sont emballĂ©s. Ses mains sont moites et elle tremblote un peu, comme parcourue de frissons. Elle en rage de ne pas avoir rĂ©ussi sa manĹ“uvre. Bande, mais bande, bon Dieu ! se dit-elle.La douceur des cheveux sur son sexe est très agrĂ©able. Il regarde le visage d’Isa et en dĂ©taille chaque centimètre. Il remarque qu’ayant sa tĂŞte tournĂ©e vers la tĂ©lĂ© et ses cheveux relevĂ©s, il distingue un petit tatouage reprĂ©sentant une petite licorne. Il ignorait qu’elle en eut un. Ayant peut-ĂŞtre ratĂ© d’autres tatouages ailleurs, ses yeux se mettent Ă glisser sur son corps. Isa est vraiment très jolie et diffĂ©rente de Delphine. En regardant ses seins, il se rend compte qu’ils sont la quasi-copie de ceux de l’actrice. Et dire qu’il a le bras posĂ© pile sous les deux melons. Il fait tout son possible pour ne pas provoquer une Ă©rection subite. Il rĂ©alise que la tĂŞte d’Isa ne se trouve finalement qu’à quelques centimètres de son pĂ©nis. Il prie alors tous les Dieux pour ne pas bander, car, quelle honte ce serait pour lui, et surtout, comment rĂ©agirait Delphine ?Cette dernière n’est pas vraiment concentrĂ©e par ce qui se joue sur l’écran, mais plutĂ´t ce qui se passe autour d’elle. Elle prend conscience que dans sa position, Isa n’est qu’à quelques centimètres de la bite de son JĂ©rĂ´me et elle imagine ce qu’elle peut ressentir Ă cet instant. Pour elle, il est impossible qu’Isa reste de marbre face Ă une telle situation de proximitĂ©. Elle n’avait pas tort de penser cela, car fixant la chatte de sa voisine posĂ©e juste lĂ , devant ses yeux, elle distingue de la cyprine luire entre ses grandes lèvres rasĂ©es. Cette vision lui provoque Ă elle aussi, une montĂ©e d’excitation.Ă€ ce stade-lĂ , tous les trois sont comme des adolescents Ă la dĂ©couverte du corps de l’autre, intimidĂ©s, tĂ©tanisĂ©s, ils tentent de se contrĂ´ler, ne sachant comment rĂ©agir. Chacun a une envie folle de rentrer en contact plus prononcĂ© avec les parties intimes de l’autre. Leurs cĹ“urs se sont emballĂ©s, battant Ă l’unisson.Isa se dĂ©cide et lance les premières grandes manĹ“uvres. Elle fait mine de se tortiller sur elle-mĂŞme et de façon un peu maladroite, mais il faut l’avouer très heureuse, elle positionne sa main gauche tout contre les testicules. Elle fait mine de ne pas avoir remarquĂ© le contact du haut de ses doigts tout contre les bourses totalement lisses et douces comme une peau de bĂ©bĂ©.JĂ©rĂ´me voit cette main et ces doigts rentrer en contact avec ses boules. Cela lui provoque une accĂ©lĂ©ration cardiaque indescriptible. Il est en apnĂ©e.Delphine vient de poser son regard sur la main de sa voisine et la voit se poser Ă cet endroit. Ce geste lui paraĂ®t naturel et non maĂ®trisĂ©. Elle s’imagine ĂŞtre Ă la place d’Isa Ă cet instant et en deviendrait presque jalouse.Ce qu’Isa espĂ©rait tant commence Ă arriver peu Ă peu. Elle entend les battements du cĹ“ur de JĂ©rĂ´me s’emballer puis instantanĂ©ment, elle regarde son pĂ©nis qui se met Ă sursauter lentement, par Ă -coups. En grossissant, et depuis sa position initiale, il entame sa trajectoire. Il rentre en contact avec son front que son gland qui se dĂ©calotte peu Ă peu et parcourt en se frottant telle une caresse. Il termine sa progression au contact de son nez. L’odeur de son pĂ©nis l’enivre. Ă€ cet instant, elle se sent mouiller comme jamais, le cĹ“ur au bord des lèvres. Plus d’un an qu’elle n’avait pas Ă©tĂ© en contact avec une bite. Elle n’ose plus bouger de peur que son excitation se remarque. Elle a toujours mouillĂ© de façon assez abondante lorsqu’elle est vraiment excitĂ©e, mais lĂ , elle espère juste que ses sĂ©crĂ©tions vaginales ne couleront pas sur les cuisses de Delphine. Quelle honte ce serait.Son pĂ©nis est dĂ©sormais dressĂ©. JĂ©rĂ´me est au bord de la syncope, n’ayant pas su ou pu maĂ®triser son Ă©rection. Il croise le regard d’Isa et lui Ă©met un sourire de complaisance puis se tortille Ă son tour afin de tenter de dĂ©caler le pĂ©nis de son visage. Il craint tout simplement une mauvaise rĂ©action de Delphine Ă cette situation très Ă©rotique. De plus, une mauvaise manĹ“uvre risquerait de dĂ©placer son pĂ©nis devant sa bouche. Isa pourrait mal le prendre, car cela pourrait porter Ă confusion.Isa n’en peut plus. Elle voudrait tant prendre cette queue Ă©rigĂ©e dans sa main. Elle rĂ©flĂ©chit au meilleur prĂ©texte. Après quelques secondes, elle se dĂ©cide et dĂ©cale sa main, jusqu’alors toujours posĂ©e tout contre les testicules et la pose sur le pĂ©nis, le maintenant fermement sur le cĂ´tĂ©.JĂ©rĂ´me est surpris et est au bord de la panique.— DĂ©solĂ©e, mais elle me gĂŞne un peu ! J’ai du mal Ă voir la tĂ©lĂ© tellement elle est grosse. Comment ça se fait qu’elle se soit mise Ă se dresser tout d’un coup ?— Attends, je vais la tenir ! Je suis vraiment dĂ©solĂ©, je ne sais pas pourquoi je me suis Ă bander, peut ĂŞtre Ludivine Sagnier Ă poil sans arrĂŞt, je ne sais pas.— Mouais ! Vous, les mecs, dès que vous voyez une paire de nibards, c’est la montĂ©e du chapiteau direct ! T’inquiète, je m’en occupe, ça ne me gĂŞne pas de te la tenir. Ça fait plus d’un an que je n’ai pas touchĂ© une bite ! Ça ne te dĂ©range pas Delph, j’espère ?— Pas du tout, fais comme tu le sens, et je te comprends ! Lorsque j’ai rencontrĂ© JĂ©rĂ´me, j’étais dans la mĂŞme situation que toi, plus d’un an sans voir de queue. La maintenir comme tu le fais va vite le calmer.Delphine sait pertinemment que c’est l’effet contraire qui va se passer.Ayant eu l’accord de Delphine, Isa repositionne un peu mieux sa main qui vient de se positionner au pire endroit possible pour lui, directement sur son gland totalement dĂ©calottĂ© Ă l’extrĂŞme. Elle se souvient certainement de ses aveux lors d’une de leurs discussions sur internet sur la sensibilitĂ© très importante qu’il a Ă ce niveau prĂ©cis de son pĂ©nis. Il lui avoue que, systĂ©matiquement, depuis que son sexe a pris une nouvelle dimension due aux gĂ©lules miracles qu’elle-mĂŞme lui avait conseillĂ©es, il Ă©jaculait souvent de façon incontrĂ´lĂ©e.Delphine de son cĂ´tĂ© sourit. Elle ne peut pas en vouloir Ă Isa qui n’a jamais eu d’intention de lui chiper son JĂ©rĂ´me. Ă€ cet instant, elle s’étonne d’avoir des idĂ©es coquines de plus en plus prĂ©sentes, car il faut qu’elle se l’admette, elle meurt d’envie d’une partie de jambes en l’air Ă trois. Le fait qu’elle s’amuse Ă tripoter sa queue correspond aux premiers prĂ©liminaires finalement.Isabelle jubile. Elle tient enfin dans sa main cette queue tant convoitĂ©e depuis des mois. Sa phase de conquĂŞte avance parfaitement selon ses plans.Continuant de plaquer le pĂ©nis tendu Ă l’extrĂŞme, elle est surprise et ravie de ressentir les sursauts caractĂ©ristiques d’une queue qui tente de forcer son Ă©rection. La force Ă©mise par cette queue est prodigieuse, c’est comme si elle voulait se libĂ©rer de son entrave. Isa savoure ce moment si Ă©rotique. Elle imagine quelle torture cela doit ĂŞtre pour lui. Elle prend un malin plaisir Ă faire durer ce supplice. Elle se sent mouiller comme jamais Ă cet instant et sent ses tĂ©tons pointer.Sa main remue lĂ©gèrement depuis quelques minutes, comme si elle frottait le gland avec sa paume. Elle souhaite vĂ©rifier ses dires et espère ĂŞtre rĂ©compensĂ©e par une Ă©jaculation prĂ©coce. Elle a toujours Ă©tĂ© fascinĂ©e par les Ă©jaculations masculines. Soudain, elle reprend ses esprits, car elle ressent des secousses dans sa main puis un liquide visqueux venir l’imbiber. Leurs regards se croisent, JĂ©rĂ´me lui fait comprendre discrètement de ne pas alerter Delphine.Isa lui sourit et savoure ce moment unique de complicitĂ© avec lui et elle continue son manège, appliquant le mĂŞme rythme, la main visqueuse de sperme. Elle le regarde Ă nouveau et tout en lui souriant, elle tente de le mettre aux supplices lorsque sa main se rapproche de sa bouche pour lĂ©cher sa paume dĂ©goulinante de son sperme, puis la repositionne, entamant des gestes de va-et-vient sur toute la longueur de sa tige. Isa se lèche les babines avec gourmandise. Cette situation est si Ă©rotique qu’elle n’en peut plus, elle a tellement envie de le sucer, lĂ , maintenant qu’elle a goĂ»tĂ© son sperme. Le sien a un goĂ»t beaucoup moins amer et chlorĂ© que ceux de ses autres amants. Elle dĂ©cèle une petite pointe salĂ©e et un lĂ©ger goĂ»t de menthe qui n’est vraiment pas dĂ©sagrĂ©able.Delphine n’en rate pas une miette. Elle est excitĂ©e comme jamais et se sent mouiller abondamment. Elle ne peut s’empĂŞcher de poser sa main droite sur le bas-ventre d’Isa et l’autre sur ses cuisses. D’instinct, Isa les Ă©carte lĂ©gèrement. Delphine contemple cette chatte qui s’entrouvre et luisante de cyprine. Elle n’a jamais Ă©tĂ© attirĂ©e par les femmes, mais lĂ , la situation est vraiment particulière.Le cĹ“ur d’Isa s’accĂ©lère lorsqu’elle sent les doigts de Delphine caresser son ventre et en mĂŞme temps ses cuisses. Elle se concentre alors sur cette main gauche qui se dirige lentement vers sa fente. Elle se sait trempĂ©e comme jamais et elle ressent une sensation orgasmique exploser dans tout son ĂŞtre. Sa respiration s’accĂ©lère brutalement et elle ne peut empĂŞcher un petit gĂ©missement. Sans se maĂ®triser, elle Ă©carte un peu plus ses cuisses. Elle se sent totalement vulnĂ©rable Ă cet instant.Les deux mains de Delphine se rejoignent au mĂŞme endroit. Les doigts de sa main gauche rentrent en contact avec le clitoris, tandis que ceux de son autre main s’imprègnent de cyprine abondante.— Eh bien ! Dans quel Ă©tat tu es, ma pauvre ! Tu es toute trempĂ©e, dis-moi !Isa se fige lorsqu’elle la voit porter ses doigts imbibĂ©s de ses sĂ©crĂ©tions Ă sa bouche. Elle ne sait pas comment elle doit rĂ©agir.Delphine refait la mĂŞme manĹ“uvre plusieurs fois et finit par la pĂ©nĂ©trer avec deux de ses doigts.Isa ne rĂ©siste plus. Les doigts de Delphine en elle, la queue dans sa main, c’en est trop. Elle se sent dĂ©jĂ sur le point de jouir, mais arrive Ă se contenir.— Allez, je ne peux plus rĂ©sister, j’ai trop envie de sucer ta grosse bite.Elle se dĂ©cale lĂ©gèrement et oriente le gland devant sa bouche. Elle entreprend de le lĂ©cher dans un premier temps, puis elle finit rapidement par le mettre entièrement dans sa bouche. Encore imbibĂ©e de sperme, elle savoure son sperme qui effectivement a bien un goĂ»t très agrĂ©able.Les filles tellement excitĂ©es n’en peuvent plus. Elles se sont rapidement mises d’accord, Isa sera Ă genoux entre les jambes de JĂ©rĂ´me, elle continuera de le sucer, pendant que ses fesses seront relevĂ©es, permettant Ă Delphine de lui lĂ©cher les deux orifices dĂ©voilĂ©s.— Quelle chatte tu as ! Tu mouilles sacrĂ©ment, dis donc !— J’suis tellement excitĂ©e depuis 1 h, j’en pouvais plus ! Lèche-la-moi, lèche-la-moi !Delphine s’applique comme pour elle-mĂŞme. C’est la première fois qu’elle lèche une chatte et goĂ»te une autre cyprine que la sienne.Sur la terrasse, ChloĂ© n’en croit pas ses yeux ni ses oreilles. Cela fait plusieurs minutes qu’elle s’est introduit trois doigts dans son vagin, au travers de son pubis broussailleux, caressant avec son autre main ses jolis seins moyens.JĂ©rĂ´me, lui, caresse les cheveux d’Isa en lui donnant le rythme Ă adopter pour cette belle fellation qu’elle a entamĂ©e. Chacun est actif et concentrĂ© sur sa tâche et il ne peut s’empĂŞcher d’encourager les filles Ă poursuivre ainsi.— Tu aimes ça sucer des bites, hein, Isa ! Et toi, Delph ? Tu aimes bouffer son cul de salope ?Delphine s’interrompt et prĂ©fère immĂ©diatement dissiper tout malentendu auprès d’Isa.— C’est sa manière Ă lui de nous encourager. Continue de le sucer, ton cul est trop bon !— J’avais compris, t’inquiète ! En tout cas, quelle queue il a, le salop !— Oui, mon chĂ©ri, nous sommes toutes les deux, deux grosses salopes, des putes et des traĂ®nĂ©es ! Des mangeuses de bites !Rapidement, Isa n’en peut plus.— J’ai trop envie de la sentir dans ma chatte, baise-moi !ChloĂ© assiste Ă cette baise d’enfer. Elle voit le fameux JĂ©rĂ´me prendre en levrette cette Isabelle, pendant que Delphine, elle, se trouve le cul au-dessus du visage de sa copine qui lui lèche la chatte. Delphine se pelotant les seins gĂ©nĂ©reusement. ChloĂ© l’imite.Delphine veut elle aussi sa part et dĂ©cide de se mettre elle aussi dans la mĂŞme position qu’Isa, le cul en l’air, juste Ă cĂ´tĂ© de sa comparse.— Viens, mon chĂ©ri, dĂ©fonce-moi le petit trou ! Encule-moi !ChloĂ© est au bord de la jouissance. Le visage crispĂ© de Delphine lorsqu’il la pĂ©nètre dans son anus l’interpelle. Elle semble tellement souffrir, mais tellement y prendre de plaisir qu’elle active ses va-et-vient dans sa chatte. Qu’elle aimerait ĂŞtre Ă sa place Ă cet instant ! Elle qui n’a baisĂ© que deux fois dans sa jeune vie.JĂ©rĂ´me n’en peut plus et se crispe. Delphine le ressent et se dĂ©gage de son emprise.— Il va venir, IL VA VENIR !La scène est comique, car les filles sont Ă genoux Ă cĂ´tĂ© de lui et attendent leur dĂ». ChloĂ© Ă©carquille les yeux. Toutes les deux le branlent avec frĂ©nĂ©sie, la queue se secouant dans tous les sens, leurs langues largement tendues attendant sa dĂ©livrance. Elle remarque que les deux filles ont introduit leurs doigts dans leurs chattes respectives, les « floc floc » caractĂ©ristiques se faisant entendre de plus en plus et couvrant les siens. Delphine se met Ă peloter les seins d’Isa en attendant.— J’adore tes nibards ! Je veux les mĂŞmes !— Et ils sont 100 % naturels ! Tire-moi les tĂ©tons, j’adore ça !Sentant venir sa jouissance, les yeux de JĂ©rĂ´me se posent sur la porte-fenĂŞtre dont les rideaux n’étaient pas totalement fermĂ©s et il semble avoir vu la jeune serveuse qui se tient juste lĂ , totalement nue. La lumière du salon Ă©tant allumĂ©e, il peut parfaitement la voir de face. Il ignore depuis combien de temps cette voyeuse les observe, mais elle les a sans doute entendus alors qu’elle faisait sa ronde. Elle ne semble pas avoir remarquĂ© qu’il l’a vue, car elle continue Ă se peloter le sein droit, tout en caressant son clitoris au travers de son buisson blond.Soudain, au mĂŞme moment, sans doute par excès d’excitation Ă regarder cette voyeuse les observer, c’est une explosion de sperme qui suit. Les visages des filles reçoivent une première grosse partie, puis bouches grandes ouvertes, elles avalent un maximum du jus abondant. Elles continuent de le branler, les jets se succèdent. Isa qui tient le pĂ©nis dans sa main l’oriente tantĂ´t sur son visage, tantĂ´t sur celui de Delphine. Elles jubilent de plaisir, Isa en est mĂŞme hystĂ©rique et se donne Ă fond pour sĂ©duire dĂ©finitivement JĂ©rĂ´me. Elle espère qu’il la prĂ©fĂ©rera, elle, dans les actes sexuels.— Mon Dieu ce n’est pas croyable tellement il y en a, j’veux t’avaler, j’adore ton sperme, encore, ENCORE !ChloĂ© est au bord de l’implosion, Isa enfourne la queue imbibĂ©e de sperme dĂ©goulinant dans sa bouche et l’enfonce mĂŞme Ă fond dans sa gorge. ChloĂ© jouit Ă plusieurs reprises et elle en redemande alors elle se rĂ©introduit quatre doigts dans la chatte et se tire le tĂ©ton droit afin d’imiter Delphine et elle n’est pas au bout de ses surprises.Isa y met tout son cĹ“ur et le branle de façon acharnĂ©e, maltraitant le pĂ©nis rougi par les frottements. Les derniers jets finissent sur leurs seins. Isa est aux anges.— J’ai toujours aimĂ© m’enduire les nichons de sperme ! J’adore ça !Toutes deux s’amusent Ă s’étaler mutuellement un maximum de la semence sur leurs corps. Toutes deux se pĂ©trissent littĂ©ralement les seins sans mĂ©nagement.Delphine, excitĂ©e comme jamais, veut leur montrer Ă quel point elle est excitĂ©e Ă cet instant. Elle s’assoit sur la table basse du salon, Ă©carte très largement ses cuisses puis avec ses doigts, Ă©carte ses lèvres afin de leur montrer son vagin rempli de cyprine dĂ©goulinante. Isa, en Ă©tat de transe, l’imite et toutes les deux exhibent leur intimitĂ©.— Regarde, Delph, comme je mouille ! Jamais je n’avais montrĂ© ma chatte comme ça, comment tu la trouves ? La tienne est superbe !— J’adore ! Je vois tout Ă l’intĂ©rieur, une vraie chatte de salope !ChloĂ© n’en croit pas ses yeux. Elle observe Delphine qui se doigtait jusque-lĂ et tellement excitĂ©e elle est sur le point de jouir. Tout Ă coup, elle voit Delphine se cambrer, les pieds sur le sol, les cuisses Ă©cartĂ©es Ă son maximum, tous ses doigts en elle, elle finit par gicler de longs jets de liquide transparent ressemblant Ă de l’eau. Les jets se succèdent tel un geyser. Delphine râle et gĂ©mit bruyamment. Ses doigts alternent des va-et-vient dans sa chatte puis frottent rapidement son clitoris. Ă€ chaque fois qu’elle s’interrompt, les jets puissants et abondants sortent de ses entrailles. Elle en met partout.Isa est stupĂ©faite et admirative de voir autant de liquide gicler Ă une telle distance. Elle voudrait l’imiter et se doigte elle aussi Ă un rythme effrĂ©nĂ©. ChloĂ© n’en rate pas une miette n’osant plus cligner de l’œil depuis une bonne heure. Il ne manquerait plus qu’elle aussi se mette Ă inonder leur porte-fenĂŞtre.— J’veux gicler aussi, j’veux gicler aussi !Isa supplie sa copine de l’initier.— Replie tes deux doigts comme ça et branle-toi bien sur le haut dans ta chatte. Tu vas sentir une envie de pisser, laisse-toi aller et ça devrait faire ça.Un nouveau jet surpuissant jaillit au mĂŞme moment. Delphine s’écroule d’épuisement. Elle observe et admire Isa qui tente de l’imiter. Elle l’encourage Ă continuer puis prend l’initiative en introduisant ses doigts Ă elle. C’est maintenant Delphine qui branle Isa.— Ça vient ! ÇA VIENT ! Ă” MON DIEU !Isa gicle Ă son tour, elle en est hystĂ©rique de bonheur. Ses jets sont incontrĂ´lĂ©s et imprĂ©cis. Elle arrose Delphine qui est sur la trajectoire. Elle semble avoir compris le mĂ©canisme et s’amuse de plus belle Ă se vider elle-mĂŞme, ayant introduit ses propres doigts.JĂ©rĂ´me n’en croit pas ses yeux et les voit toutes les deux jouer comme des adolescentes. Il se dit qu’elles se sont bien trouvĂ©es, ces deux-lĂ . Il regarde Ă nouveau la fenĂŞtre, la serveuse n’en rate pas une miette et semble, elle aussi, vouloir en faire de mĂŞme, car elle s’acharne sur son clitoris. JĂ©rĂ´me lui sourit.— PUTAIN, C’EST TROP BON !Isa n’en finit plus de gicler et enfin, elle finit par s’écrouler sur le dos dans les flaques Ă©paisses. Finalement, ils sont tous trois dans un Ă©tat pitoyable, le mobile home aussi. La jeune serveuse a fini par filer, sans doute ira-t-elle achever de se finir une fois rentrĂ©e chez elle.Les filles se relèvent, dĂ©goulinant de substances difficiles Ă identifier.Ils finissent par se coucher peu après, Ă©puisĂ©s et vidĂ©s dans leurs lits respectifs. Et dire que la semaine ne fait que commencer…