Ma premiere expérience sexuelle s’est déroulée juste avant mon 18ème anniversaire. Je m’en souviens comme si c’était hier. Je revois tous les gestes, toutes les paroles, entends encore tous les bruits, les râles et les gémissements…. Les miens bien sûr, mais aussi ceux de mes partenaires. Et oui, ils ont été deux à prendre ma virginité. Deux à prendre mon enfance et à me faire devenir une jeune femme.C’était un jour de printemps, rien de spécial ou de romantique. Je me balladais avec mon petit copain, un type d’une vingtaine d’année, très gentil, tendre, et qui tenait à moi. On était bien, il faisait bon. On s’arrêtait de temps en temps sur les marches d’un immeuble pour s’embrasser, se caresser. Et chaque fois, je sentais la bosse de son pantalon durcir de plus en plus fortement.J’étais vierge, mais pas idiote ! Je savais ce qu’il ressentais, et j’aurais aimé lui faire plaisir, le caresser. Mon coeur le voulait, oui, mais mes mains s’arrêtaient, par peur de mal faire, par inexpérience mais aussi par pudeur ! On continua ainsi quelque temps, marchant, s’embrassant, sans trop parler.Il faisait bon, j’étais heureuse, presque amoureuse… Au détour d’une petite rue, on rencontra un de ses amis. Qu’il était beau ! Grand, brun, les cheveux s’accrochant à ses épaules, et ses yeux verts m’ont immédiatement dévisagée. A ce moment, je sentis un frisson me parcourir le bas-ventre. J’étais émue, quand il s’avanca pour me dire bonjour, sa bouche frolant la mienne, je suis certaine qu’il a ressenti mon afollement, un léger sourire se dessina sur ses lèvres. Il nous invita chez lui, simplement » boire un verre « , nous dit-il. J’opinai de la tête à cette invitation, me forcant à ne pas parler, de peur de laisser paraître mon mal-être.Dans la rue menant à son appart’ d’étudiant, ils se mirent à discuter tous les deux : les cours,leur petits boulots pour gagner quelques sous… Je les suivais à deux pas, les écoutant un peu, mais au fond de moi, je tremblais de me retrouver seule avec eux deux près de moi. Je sentais quelquechose de tout nouveau grandir en moi, plus précisément en bas de moi, quelquechose que je n’avais jamais encore ressenti. C’était simplement une envie de sexe, une passion soudaine de sentir une queue en moi, de sentir une bouche d’homme contre mon sexe, une langue entrer en moi, des mains expertes titiller mes tétons gonflés de jeune femme… C’était une simple envie de sexe, mais je ne le savais pas encore. On est arrivés chez lui, je m’installais sur son canapé, mon copain s’assit tout contre moi. Son ami nous servit à boire et s’assit juste en face de nous. Il roula ce que je pris innocemment pour une cigarette, l’alluma, tira une ou deux bouffées, puis me la proposa. Toujours décidée à ne pas parler, je pris la fameuse » roulée » et fuma. Je suis sûre d’être devenue aussi rouge qu’une tomate en essayant de ne pas tousser ! Mais la magie opéra et au bout de 2 ou 3 bouffées, je me suis trouvée tellement détendue ! Nous rions ensemble, de rien, pour quelques mots. J’avais chaud, j’enlevais mon pull et je me reculais dans le canapé, mon copain se collait à moi, ses mains sur mes cuisses. La chaleur ressentit plus tôt revînt immédiatement.A ce moment là, je me laisse aller, j’entrouve les cuisses. J’ai envie. Envie de lui, envie d’eux. Ils n’ont pas eu besoin d’une seconde invitation. Mon bel inconnu vient s’asseoir tout près de moi, je sens déjà ce fameux liquide chaud couler hors de moi et tremper son canapé clair. Lui aussi met ses mains sur mes cuisses et cherche à les écarter. Pendant ce temps, l’autre entrouve ma chemisette, il en sort mes seins, gonflés par le désir et les prends à deux mains. Il les caresse, les tripote, mordille mes tétons, ce qui me fait déjà hurler de plaisir. Le tour est lancé, la main de mon beau brun est passée entre mes cuisses, il n’a plus qu’à remonter et trouve sans mal le moyen de m’oter ma petite culotte blanche déjà souillée de mouille. Mais au lieu de me donner immédiatement ce que je veux, ses doigts dans ma chatte, il me caresse doucement tout autour de mon petit trou, m’embrasse les cuisses, mordille mes lèvres chaudes. Ces caresses sur mes seins, sur mon sexe, ces mains et ces bouches sur mon corps me rendent folle. J’ai envie de crier » Prends-moi ! « , mais je ne peux que gémir et me laisser faire.Tout d’un coup, mon copain stoppe ses baisers, je le vois se lever et enlever son jean, exhibant un sexe gonflé et qui me semble énorme. Il revient vers moi et guide mes mains vers lui. Je le prends à pleine main et il m’aide à trouver le bon rythme à mes caresses. Je comprends il me demande et très vite aussi, j’entends sa respiration s’accélérer et ses râles de plaisir se joignent aux miens. C’est le moment que choisi notre ami pour coller sa bouche sur mon sexe. Tout mon corps se mit à subir des mouvements saccadés, que je ne peux pas réfréner. Le désir est à son comble. Sa langue trouve mon clitoris et le titille, le nargue, s’arrête quand le plaisir monte trop vite, continue encore et encore à me lécher. Cette langue, ces mains, mes tétons pincés, mordillés,je ne sais plus qui me fait quoi. Je tiens sa queue dans ma main et je le branle, vite, fort, de plus en plus vite, de plus en plus fort. D’un geste, cette grosse queue se retrouve dans ma bouche et je le suce. Elle est chaude, douce, c’est encore meilleur. Je jouis pour la premiere fois, cette langue me torture, cette queue dans ma bouche si douce. Je jouis longtemps, c’est fort, c’est bon, je tremble de plaisir, je ferme les yeux, je sens que mon corps se détent.La bouche de mon beau brun se détache de mon sexe. Puis il entre en moi, sa bite me semble encore plus grosse que celle qui est revenue dans ma bouche. C’est un moment délicieux, il est tendre, il va doucement doucement, on dirait qu’il sait que je suis encore vierge, que je lui fais ce cadeau à lui, rien qu’à lui. Il est tendre, s’avancant doucement, puis d’un coup, je sens que je suis devenue une femme, une vraie femme, je sens un liquide plus intense couler entre mes cuisses. Plus aucun frein. Il entre en moi jusqu’au fond, brusquement, bouge vite, fort, je gémis de plaisir et de douleur mélés. Il me transperce le corps, des sensations étranges, inconnues descendent en moi. C’est bon, je le regarde me faire du bien, je le regarde me voler ma virginité tendrement.Il lève enfin les yeux vers moi et c’est à ce moment qu’il ne peut plus retenir son plaisir et que je le sens jouir en moi. Ce liquide chaud envahit mon sexe. Il s’abat sur moi, épuisé pendant que l’autre, trop excité par la scène et par mes caresses, éjacule entre mes seins, sur mon visage, le liquide coule sur ma bouche.Belles Femmes Belles Salopes Belles Chattes Belles Poitrines Belles FillesOn reste là, tous les trois, encore perdus, ne pouvant plus bouger. Je les aimais tous les deux, ils m’avaient aimés tous les deux, m’avaient permis de devenir une femme, de connaître le sexe et les plaisirs. Je les aime tous les deux.