Comme chaque mardi il Ă©tait presque 17 h 20 lorsque je rangeais ma voiture derrière l’immeuble des annĂ©es 50, au ….de la rue G. ……… sur les hauteurs, Ă la sortie nord de ….. Depuis quelques fois dĂ©jĂ lorsque je me rendais chez lui, que j’arrivais Ă ce niveau et que je faisais cette manĹ“uvre, une sensation un peu bizarre m’envahissait et je sentais comme une sorte de chaleur douce descendre en chaque partie de mon corps.Il faut dire que la sĂ©ance d’aqua-gym que je venais de faire pendant plus d’heure, comme chaque mardi dans le complexe sportif de l’hĂ´tel ….., devait largement contribuer Ă cette sensation de bien ĂŞtre qui passait sur mon corps dĂ©nouĂ©. Mais c’est Ă©gal, il y avait bien depuis les deux ou trois dernières fois quelque chose de plus que ce ressenti purement physique dĂ» aux exercices parfois intenses exĂ©cutĂ©s quelques instants auparavant. Et tout en rangeant ma voiture s’imposa Ă ma mĂ©moire, comme Ă chaque fois depuis ces deux ou trois dernières visites, le toucher en mĂŞme temps doux et ferme du kinĂ© sur mon dos, mon Ă©paule et les flancs de mes seins et comme Ă chaque fois, je ressentais la caresse avec la mĂŞme prĂ©cision et la mĂŞme intensitĂ© que s’il avait Ă©tĂ© Ă cet instant en train de me la prodiguer. Cette impression forte, ce ressenti si kinesthĂ©sique ajouta Ă mon trouble quelque chose de cĂ©rĂ©bral. Une onde de chaleur partant de mon Ă©paule, me traversa le dos, le buste, le ventre, les jambes, et tout mon corps frissonna d’un bien ĂŞtre fugace mais très particulier…Je coupai la clĂ© de contact et dĂ» rester lĂ quelques secondes derrière le volant, sans bouger pour laisser mon corps savourer un instant cette dĂ©licieuse sensation de chaleur et de bien ĂŞtre qui l’habitait… Quand je repris mes esprits et que ma perception pu retrouver les sensations de l’environnement rĂ©el qui m’entourait, je sentais que mon entrejambes Ă©tait mouillĂ© et que ma fente Ă©tait non seulement très chaude, mais aussi très mouillĂ©e. J’avais dĂ» ne pas assez m’essuyer la chatte lorsque quelques instants auparavant j’avais pris ma douche et maintenant de l’eau devait suinter de ma fente… Comme j’ai horreur de ce genre de nĂ©gligence, alors que j’ouvrais ma portière, je profitais de ma descente de voiture pour regarder furtivement entre mes jambes alors que je les Ă©cartais dans le mouvement normal de descente. Pas de doute la petite tache ovale au fond de mon slip de dentelles blanches, ne laissait aucun doute : j’avais bel et bien mouillĂ©, non par les restes de la douche, ce qui aurait laissĂ© une tache beaucoup plus Ă©vanescente, mais par une dĂ©charge de cyprine, consĂ©quence des Ă©vocations et des sensations des minutes prĂ©cĂ©dentes. Je me pris Ă espĂ©rer que le kinĂ© ne s’en apercevrait pas et que, en tout cas moi, je devais veiller Ă garder discret cet endroit….De plus, comme une idiote, je n’avais pas mis de protège slip, ce qui est aussi contraire Ă mes habitudes… DĂ©cidĂ©ment pensais-je, tu dois ĂŞtre bien troublĂ©e en ce moment pour oublier les règles minimales que tu t’imposes en tant que femme… Je sonnais et entrais dans la salle d’attente oĂą j’Ă©tais seule… LĂ , je pu rester en relation avec mes pensĂ©es intĂ©rieures. Oui, c’est vrai que depuis les dernières fois oĂą je venais ici, je sentais ce trouble, comme celui d’aujourd’hui, m’envahir.Depuis les 2 ou trois dernières sĂ©ances justement, j’ai remarquĂ© qu’il me regarde diffĂ©remment et qu’il aurait envie de tenter quelque chose. Au cours des dernières sĂ©ances, derrière mes paupières closes pour mieux recevoir son massage, j’ai bien senti son regard brĂ»lant parcourir mes formes, mes fesses, dĂ©tailler, le haut de mes cuisses, caresser mes seins, rouler sur le creux de mes hanches et dĂ©valer la courbure de mes reins… J’ai senti tout cela, bien nettement et toutes les petites attentions professionnelles dont je suis depuis quelque temps son objet : mes rĂ©chauffer les pieds, mes mettre des compresses sur la nuque… Le fait aussi qu’il me garde dĂ©sormais une heure au lieu de la demi-heure conventionnĂ©e… Une fois aussi, il y a quelques temps, tandis que je m’habillais, tout en discutant avec moi ou en prenant ce prĂ©texte, il m’a regardĂ© renfiler mes bas, et j’ai une drĂ´le de sensation Ă ce moment lĂ ! Bref autant de petits signes qui semblent renforcer ce dĂ©sir que je sens grandir en moi très confusĂ©ment, Ă chaque sĂ©ance… Ou du moins est-ce mon interprĂ©tation, sans doute est-ce un peu les deux car je suis dans une phase particulière.Il faut dire que depuis quelques mois, un an peut-ĂŞtre maintenant ou Ă peu près, depuis l’Ă©tĂ© dernier en tout cas, j’ai l’impression de ne plus avoir d’envies physiques, de dĂ©sir de faire l’amour et d’ĂŞtre prise, ni de vraies sĂ©ances sexuelles… Mon Ă©poux ne s’occupe de moi que façon très superficielle de ce point de vue, me prenant dans ses bras et par quelques caresses plus amicales et tendres que sensuelles et sexuelles.La relation avec mon amant s’Ă©tire et se dĂ©lite peu Ă peu, je n’Ă©prouve plus pour lui le dĂ©sir sexuel fort et intense que j’ai connu pour lui au point que, lorsque j’accepte de faire l’amour avec lui, ce qui devient de plus en plus rare, je ne ressens pas le besoin de m’abandonner comme c’Ă©tait le cas avant avec lui et je n’en tire maintenant que peu de bĂ©nĂ©fices sur tous les plans. Je ne puis dire prĂ©cisĂ©ment Ă quoi c’est dĂ». Certes ce fut un bon amant et l’est encore et il m’a rĂ©vĂ©lĂ© tant de choses sur le plan sexuel… Peut-ĂŞtre que la relation dure plus Ă cause de cette reconnaissance que par dĂ©sir sexuel authentique de ma part?…Moi-mĂŞme je me surprends, parce que j’ai beaucoup moins qu’avant l’envie de me faire des caresses et de me masturber comme cela m’arrivait frĂ©quemment et intensĂ©ment Ă certaines pĂ©riodes… Bref depuis quelques temps je suis dans un « non dĂ©sir » que j’attribuais jusqu’Ă aujourd’hui Ă un problème d’âge, Ă un souci de me ranger un peu sur le plan social, matrimonial et personnel… Je dis jusqu’Ă aujourd’hui, car lĂ maintenant dans cette salle d’attente oĂą je repasse le film de tout cela dans ma tĂŞte depuis trois minutes, je m’aperçois Ă mon corps que ce n’est pas ça, que ma libido est intacte et qu’en fait, j’ai très envie de quelque chose d’encore indĂ©finissable, mais surtout envie d’autre chose autrement, que ce que j’ai pu connaĂ®tre jusqu’alors avec mon mari ou avec mon amant…Et ça, j’ai la rĂ©vĂ©lation aujourd’hui, Ă cette minute, que j’en ai envie depuis des mois sans oser me l’avouer. Quand je dis que j’en ai envie depuis des mois, je devrais dire plutĂ´t que depuis des mois je sens que j’ai envie d’autre chose sans pouvoir dire quoi, sans pouvoir le nommer. LĂ maintenant Ă cet instant je peux mettre des mots sur mon envie : j’ai envie de ce quelque chose qui ne soit ni des caresses amoureuses traditionnelles comme je les connais depuis longtemps, ni de la baise mĂŞme folle et Ă©chevelĂ©e, violente comme on la rencontre dans une relation nouvelle et en laissant Ă©clater un dĂ©sir fort et longtemps contenu…Non ce que je veux aujourd’hui, c’est quelque chose de moins sexuel, de moins sentimental au niveau cĂ©rĂ©bral, c’est quelque chose de plus kinesthĂ©sique justement, de plus sensuel qui passe plus par un toucher et un contact privilĂ©giĂ©, comme des caresses subtiles et fortes Ă la fois qui sĂ©duisent la peau et abolissent les rĂ©sistances… En fait je le crois, j’en suis persuadĂ© Ă cette minute, j’ai envie que l’on fasse attention Ă moi autrement, en tant qu’ĂŞtre sensible, que femme bien sĂ»r, mais comme une femme dĂ©licate, fragile qui a besoin d’ĂŞtre admirĂ©e subtilement, finement et de façon très ,très kinesthĂ©sique…Quand je ferme les yeux lĂ , assise dans ce fauteuil dans la tiĂ©deur de la pièce, je les sens ces caresses, qui me touchent, me contactent, me pĂ©nètrent, me troublent les sens et me chavirent… Je sens une nouvelle onde de chaleur monter en moi et les caresses du dos m’irradient complètement le corps… Je sens que je vais avoir encore un orgasme et j’Ă©carte de moi cette pensĂ©e, refusant d’ĂŞtre sous la dĂ©pendance des sensations de mon corps et des caresses… Je repousse violemment les sensations sans y parvenir vraiment et lĂ , je laisse des images m’envahir : je me revois lors de la dernière sĂ©ance, allongĂ©e sur la table…Je sens ses mains très douces mais fortes et intenses Ă la fois, prĂ©sentes partout et dansantes sur ma peau, c’est presque magique… Je suis emportĂ©e dans un tourbillon oĂą mes sens ne m’appartiennent plus, je sens ma peau qui frĂ©mit. Je sens la chaleur de son regard sur mes fesses, dans mon entrejambes… J’ai les yeux fermĂ©s, mais je sens mon visage juste Ă hauteur de son sexe pendant qu’il me manipule le dos et l’Ă©paule. J’ai beau garder les yeux fermĂ©s, la vision de son sexe bandĂ© Ă quelques centimètres de mon visage me fait frissonner davantage… Et lĂ , dans la salle d’attente toutes ces images, associĂ©es Ă la sensation des caresses que je ressens Ă cet instant, me font dĂ©faillir et je sens que sous le très fin petit slip de dentelles, que j’ai la fente en feu. et ça y est, voilĂ , cette fois c’est sĂ»r, je dĂ©charge entre mes jambes croisĂ©es, en conscience, sans rien retenir et sans rĂ©serve… Je connais les consĂ©quences d’un tel dĂ©luge de cyprine pour le petit slip de dentelles… Et tout en savourant le plaisir qui m’inonde, je me dis qu’il faut absolument que je passe aux toilettes au moins pour m’essuyer la fente, Ă©ponger un peu le fond doublĂ© de mon slip et si possible mette un protège slip…Je me le dis sans pouvoir me lever et le faire, restant les jambes croisĂ©es sur mon clitoris bandĂ© et ma chatte en feu… Fouillant dans mon sac pour y chercher d’Ă©ventuels protège slip, je tombe sur une sĂ©rie de prĂ©servatifs rangĂ©s dans une ancienne pochette de carte de crĂ©dit, que j’ai dĂ» prendre sans y penser… Enfin, sans y penser, je sais bien qu’il n’y a jamais d’actes accomplis au hasard!! Il faut que je fasse vite et que je me dĂ©cide Ă aller aux toilettes avant que mon tour n’arrive…Trop tard, la porte s’ouvre et le kinĂ© m’invite Ă entrer dans le cabinet. Je trouve qu’aujourd’hui, il a un sourire particulièrement engageant qui laisse augurer d’une suite que je n’ose ni espĂ©rer ni imaginer Ă ce moment lĂ …J’entre dans le cabinet et passe dans le petit coin qui constitue comme un renfoncement discret oĂą l’on peut se dĂ©vĂŞtir. Je remarque que faisant mine de consulter quelques papiers Ă son bureau, il me regarde par dessus ses lunettes, Ă la dĂ©robĂ©e. Je sens, tout en commençant Ă quitter ma jupe, que d’avoir surpris son regard allumĂ© par mon effeuillage, ravive mon dĂ©ferlement de cyprine, et j’essaie de regarder furtivement oĂą en est sur ce point le fond doublĂ© de mon slip de dentelles blanches. La tâche s’est agrandie nettement, grande comme une pièce de cinq francs…. Impossible que cela ne se voit pas, mĂŞme si je serre les jambes ce que je ne puis faire durant toute la sĂ©ance…!Et Ă ce moment lĂ , je m’aperçois qu’au lieu d’un collant j’ai mis des bas noirs, Dim-Up auto-fixant, qui montent très haut et qui plaisent tant Ă mon amant. Il faut dire qu’ils sont extras avec leurs larges bandes de dentelles, qui enceignent si bien le haut de mes cuisses, presqu’Ă l’entrejambes, et ils me vont si bien. Je sais le pouvoir Ă©rotique de ces bas sur les hommes et très peu y rĂ©sistent… Mais, bon! Je ne peux plus rien faire pour « attĂ©nuer » ce joli tableau : mes jambes fines gainĂ©es de ces bas noirs fins et un slip très moulant et transparent de dentelles blanches, largement humides dans le fond il est vrai!!Je me prĂ©sente donc, pour signifier que je suis prĂŞte Ă ĂŞtre prise en main (!!), Ă l’entrĂ©e du petit dĂ©gagement de confidentialitĂ©…Je geins sous le massage tonique et tendre Ă la fois…Il passe la main sur les seins, les bouts… Je ne me retiens plus ; je sens ma fente s’inonder et j’Ă©carte un peu les jambes. Je sais exactement ce que, dans cette position, je fais voir : le mont de vĂ©nus sous mon slip de dentelles transparent Ă cet endroit et oĂą l’on voit mes poils blonds roux, dont je suis fière, par transparence… Et dans l’entrejambes je sais que je donne Ă voir les poils qui parcourent les lèvres de ma chatte, et qui s’Ă©chappent par cĂ´tĂ© du slip. Cette Ă©vocation n’est pas pour contenir ma dĂ©charge et je mouille allègrement. Je sens que ma fente est ruisselante et en feu… J’ai une très forte envie de porter la main Ă mon entrejambes et de me branler…Je geins encore et me tortille. Lui le beau brun, il a tout compris : il descend sa main vers mon pubis, l’introduit avec adresse dans le slip fin de dentelles et atteint le haut de ma vulve. Ce contact d’un doigt si doux et Ă la fois si prĂ©cis et ferme me fais dĂ©charger avec un gĂ©missement que je ne retiens mĂŞme plus tant c’est bon et tant je suis transportĂ©e dans un autre monde, subitement et sans m’apercevoir du changement…Je dĂ©charge très intensĂ©ment, je le ressens très nettement. Sous l’effet du dĂ©luge de mouille, j’Ă©carte les cuisses il insinue un doigt dans ma fente sur toute la longueur et caresse… Je n’en peux plus je tends la main vers son pantalon de mĂ©decin tjrs très lĂ©ger et attachĂ© par un galon nouĂ©… Je passe ma min sous le galon et atteint une bite que je trouve Ă©norme Ă demi bandĂ©e… Je le branle… Lui a maintenant un doigt dans la chatte il le passe avec sensualitĂ© et une prĂ©cision que je n’ai jamais rencontrĂ©e jusqu’alors. Il me fait la caresse dont je rĂŞve le plus souvent dans mes fantasmes : ma faire passer un doigt sensible, agile et très subtil, presque furtif, depuis mon clitoris, jusqu’au trou de ma rosette en passant par les petites lèvres de mon con, et l’entrĂ©e de mon trou de salope, le clitoris qui me fait mal tant il est tendu, puis redescendre par le fente de nouveau, le pĂ©rinĂ©e et jusqu’Ă mon petit cul…Le salaud est expert et quand il sent que je dĂ©ferle sous ses caresses, il me fait exactement la caresse qui me fait chavirer : me caresser subtilement le trou de derrière au moment oĂą je jouis…Je n’en peux plus. Je jouis Ă rĂ©pĂ©tition… Mes jouissances ne me lâchent plus… Depuis quelques minutes je le sentant très bandĂ© sous la caresse de ma main… N’y tenant plus je prends l’initiative : je l’enfourne dans ma bouche en mĂŞme temps qu’un nouveau flot de cyprine lui inonde la main.Ma bouche trop petite n’arrive pas Ă passer derrière son gland. Il est en rĂ©alitĂ© Ă©norme… Je prends en mĂŞme temps la mesure de savoir si je pourrais me faire pĂ©nĂ©trer la chatte par un tel morceau. Je me surprends Ă me demander tout en suçant le membre Ă©norme, si j’ai dĂ©jĂ eu l’occasion auparavant, d’en avoir eu un de ce calibre dans mon petit con de femme…Depuis que je lui ai pris la bite en bouche, il s’est mis Ă me sucer les seins. Il me suce le bout des seins, qu’il aspire avec dextĂ©ritĂ© et tendresse… Je chavire sous la caresse et jouis de plus belle, Ă©cartant encore davantage les cuisses. Habillement, il sait profiter de chaque occasion qu’e je lui offre d’aller plus avant : il m’introduit doucement mais avec fermetĂ© un doigt dans le trou puis deux et me branle jusqu’ Ă des orgasmes fous… Je n’y tiens plus et me tortille comme un ver… Je me redresse et vois ce que je n’avais encore jamais vu : ma cyprine blanche et très muqueuse, couler de ma fente jusque sur l’intĂ©rieur de mes cuisses. J’ai l’impression que je me suis vidĂ©e et que je suis exsangue…Remarquant mon trouble, il me fait mettre en levrette directement sur la table, me fait Ă©carter les cuises le plus possible, de ses mains douces il m’Ă©carte aussi les fesses… Il me regarde la chatte, je sens son souffle chaud dans mon entrejambes torride, et il y plonge enfin le visage, me suçant la chatte d’une façon que je ne connaissais pas encore. Je me dĂ©lecte de sa caresse et du bout de sa langue qui me fouille l’entrĂ©e du con…. Son nez frotte en mĂŞme temps doucement le trou de mon derrière, c’est un dĂ©lice! Je le branle toujours de ma main droite. Je vois maintenant son sexe dans toute sa longueur et dans toute sa dimension : impressionnant. Il doit bien faire dans les 20 Ă 22 cm, facilement et surtout ce qui m’impressionne, c’est son calibre au moins 8 Ă 10 de diamètre, peut-ĂŞtre plus au niveau du gland… Je n’ai jamais eu entre les mains un tel engin. Cette vision et cette pensĂ©e m’excitent et m’Ă©chauffent l’esprit. J’ai envie qu’il me le fasse sentir dans ma fente, juste pour la caresser. Je le lui dis entre deux gĂ©missements de bonheur :-  » Passe-moi ton bel engin dans la fente juste ne me caressant… Oh oui! Je le veux, je veux le sentir!… Tu veux bien?Il acquiesce, se met debout derrière moi, monte les genoux sur la table et prenant son membre en main, il me le passe doucement, tout en douceur sans violence, mais avec dĂ©licatesse depuis le haut de la raie des fesses jusque sur le clitoris. Prenant appui sur les Ă©paules au niveau de la table Ă masser, de mes deux mains, j’Ă©carte mes jolies fesses pour qu’il puisse y faire circuler son membre le plus aisĂ©ment possible…La caresse lente et juste effleurĂ©e est divine et je dĂ©faille encore sous la caresse et mouille comme une folle… Je sens que le bout de son membre devient plus humide et plus visqueux. Il l’introduit très doucement entre mes petites lèvres jusque Ă l’entrĂ©e du trou du con qu’il pĂ©nètre Ă peine quelques cm ; 2 ou 3, au plus mais le contact de son gland Ă©norme qui me distant juste et très doucement l’entrĂ©e du con, me fait plus d’effet que s’il me le plantait au fond de la matrice… Je dĂ©charge de nouveau…Je lui suis reconnaissante de ne pas avoir profitĂ© de la situation et de ne pas avoir poussĂ© l’avantage, facile de me baiser au fond du con tant j’Ă©tais mĂ»re!! Me respectant ainsi, il m’a permis de me dĂ©lecter de ma jouissance et de la dĂ©cupler… Il a ensuite retirĂ© doucement sa bite de ma fente et il l’a remplacĂ© par sa bouche… Il m’a sucĂ© complètement, aspirant les petites lèvres et pompant le trou Ă bites que j’avais très ouvert…Puis me laissant en levrette sur la table, mais me faisant Ă©carter les cuisses plus encore, il se glissa sur table par dessous moi, tĂŞte-bĂŞche, s’arrĂŞtant au moment oĂą sa tĂŞte fut Ă hauteur de mon con ouvert au-dessus de lui, sa bite se trouva alors dressĂ©e entre ma bouche et mes seins…Tandis qu’il appliquait son visage entre mes cuisses, me lustrant le clitoris de sa langue je le pris de nouveau en bouche. Il Ă©tait effectivement Ă©norme…Tout en le suçant, je le branlais doucement d’une main. Je ne pouvais toujours pas mettre tout son gland dans ma bouche, mais j’aspirais dĂ©licieusement l’extrĂ©mitĂ© de sa pine, lui taillant une pipe, dont il me disait qu’il n’en avait pas connu de comme ça. J’appliquais ma langue sur son mĂ©at et j’aspirais fortement. Je sentais le goĂ»t lĂ©gèrement sucrĂ© de ma cyprine qui avait enduit le bout de sa verge bandĂ©e… je le branlais, ma main allait jusqu’Ă ses couilles que je caressais dans le va et vient. De temps en temps j’arrĂŞtais le pompage pour descendre en petits baisers le long de sa hampe que je parcourais sur toute la longueur par de petits attouchements de ma langue, jusqu’Ă ses couilles Ă©normes elles aussi dont j’apprĂ©ciais la peau entre mes lèvres tandis que ma main continuait Ă le branler. Quand je l’avais en bouche, c’Ă©tait mĂŞme le bout de mes seins qui caressaient doucement ses couilles tandis que je le suçais et le branlais. D’une main, il me caressait le bout des seins, tantĂ´t l’un tantĂ´t l’autre… Ce qui a le don de m’Ă©chauffer…Le salaud avait d’emblĂ© tous les critères, pour satisfaire Ă fond une femme. Il devait, lors des massages m’avoir observĂ© Ă maintes reprises pour connaĂ®tre ainsi tout de suite et si vite, mes zones Ă©rogènes et les styles de caresses Ă leur prodiguer… De mon cĂ´tĂ©, je jouissais rythmiquement et de moments en moments sous l’effet de ses jeux de langue Ă mon con ouvert, Ă mon clito et Ă mon petit cul, et de ses caresses Ă mes seins. Je mouillais sans relâche…BientĂ´t, je sentais son membre se durcir encore dans ma main qui le branlait, dans ma bouche je sentis un ou deux soubresauts annonciateurs de sa jouissance et j’eus juste le temps de le sortir le membre de ma bouche et de continuer Ă le branler sur la pointe de mon sein droit le plus sensible, qu’il dĂ©chargeait abondamment des giclĂ©es de foutre blanc, très consistant qui n’en finissait pas… AccompagnĂ©es de râles rauques et puissants, ce fut au moins huit Ă dix giclĂ©es abondantes qui m’inondèrent la poitrine, ce que j’adore… J’en avais partout depuis la pointe du menton le cou, l’Ă©paule, les seins… Le buste couvert de foutre chaud, je me sentais dĂ©charger encore et tirer une immense bordĂ©e de liqueur qui lui inonda le visage. Je n’en pouvais plus, vidĂ©e j’Ă©tais.