L’histoire qui je vais vous conter s’est dĂ©roulĂ©e Ă l’Ă©poque, pas si lointaine, oĂą j’avais Ă©normĂ©ment d’opportunitĂ©s en matière de rencontres. En effet cette annĂ©e lĂ , la diversitĂ© de mon CV et les caprices du marchĂ© de l’emploi m’avaient amenĂ© Ă accepter le travail de reprĂ©sentant en alarmes. Certains se diront quel job pourri, je leur rĂ©pondrai oui si on n’exploite pas ses bons cĂ´tĂ©s, comme celui de se retrouver chez des femmes de tous âges alors que ces messieurs se trouvent au travail.Ce jour lĂ je prospectais dans un petit village non loin de ce que certains appellent une zone pĂ©ri-urbaine ce qui rimait, pour moi, avec aubaine vu les chiffres de la dĂ©linquance dans la zone en question. Le plus gros de la matinĂ©e se dĂ©roula au contact de personnes du troisième âge plutĂ´t sympathiques et assez peu intĂ©ressĂ©es par mes alarmes considĂ©rĂ©es comme trop compliquĂ©es.C’est le dĂ©but d’après midi qui ensoleilla cette journĂ©e assez terne, après un dĂ©jeuner pris sur le pouce dans la voiture je reprenais le travail en m’attendant Ă ne voir que des personnes âgĂ©es. Quelle ne fut pas ma surprise lorsque la première porte Ă laquelle je frappais s’ouvrit sur une magnifique jeune femme maghrĂ©bine d’une vingtaine d’annĂ©es. Un vĂ©ritable enchantement pour les yeux que cette femme mince de taille moyenne, Ă la longue chevelure ondulĂ©e coiffĂ©e en queue de cheval, aux magnifiques yeux bruns cachĂ©s derrière de petites lunettes rondes et aux lèvres bien dessinĂ©es, cela malgrĂ© une tenue vestimentaire classique et un air très sĂ©rieux. D’emblĂ©e je me sentis attirĂ© par cette vision de rĂŞve, en dĂ©pit de très mauvais souvenirs liĂ©s Ă une aventure avec une autre merveille d’Afrique du nord qui avait manquĂ© de se solder par un aller simple pour la morgue proposĂ© par ses frères.Entrer ne fut pas trop difficile malgrĂ© l’apparente timiditĂ© de la belle, son charme m’avait rendu plutĂ´t Ă©loquent et j’avais eu la bonne idĂ©e de parler plus des petits Ă©quipements d’auto dĂ©fense que je vendais plutĂ´t que de ces fichus alarmes. Elle me fis entrer dans ce qui avait Ă©tĂ© autrefois une petite ferme typique de la rĂ©gion qui semblait avoir bien besoin de travaux de rĂ©novation. L’arrivĂ©e dans la salle Ă manger brisa quelque peu la magie qui me tenait depuis l’ouverture de la porte, en effet il s’y trouvait, assis, un vieil homme Ă l’aspect peu sympathique qui me fixait d’un air absent. Devant ma surprise elle m’expliqua d’une voix douce mais dĂ©nuĂ©e de sentiment qu’il s’agissait de son père et que les maux de l’âge en avaient fait un lĂ©gume. Après quoi elle me fit signe de m’installer Ă une table ronde situĂ©e au milieu de la pièce, elle s’assit en face de moi.La table n’Ă©tait pas très grande, aussi je n’eus aucun mal à « Ă©garer » mes jambes du cĂ´tĂ© des siennes. Lors du contact de nos jambes qui se fit très lentement je la vis lĂ©gèrement rougir mais elle n’eut aucun mouvement de recul. De mon cĂ´tĂ© cela eut pour effet de faire littĂ©ralement bondir mon sexe dans mon pantalon. Je commençai mon baratin espĂ©rant trouver une occasion de l’approcher de bien plus prĂ©s, elle me la fournie elle-mĂŞme en me demandant comment tenir l’un des bombes de gel lacrymogène que je lui prĂ©sentais. AussitĂ´t usant de ce prĂ©texte je me glissais derrière elle, ma main droite tenant la sienne lui montrant comment tenir la bombe, ma gauche le long de son bras gauche. La tenant de la sorte je pouvais m’enivrer du parfum de ses cheveux et sentir au travers de nos vĂŞtements la douce chaleur de son corps. Je la vis rougir un peu plus, trembler lĂ©gèrement et eu le sentiment que la tempĂ©rature de son corps, que je devinais magnifique, augmentait.De mon cĂ´tĂ© mon excitation ne faisait que grandir, il me semblait que mon sexe allait exploser. Tout en rectifiant sa position et en lui donnant plus de dĂ©tails sur la bombe lacrymogène j’amenais doucement ma main gauche sur sa taille, tout aussi doucement et Ă ma grande surprise elle mit sa main sur la mienne. J’ignore pendant combien de temps nous sommes rester ainsi et si c’est Ă son initiative ou Ă la mienne que ma main Ă finit sur son ventre dont je sentais irradier la douce chaleur Ă travers ses vĂŞtements. Je m’Ă©tais Ă©galement un peu plus collĂ© contre elle et il Ă©tait impossible qu’elle ne sente pas dans son dos la grosse bosse qui croissait Ă mon entre jambe, j’Ă©tais dans un tel Ă©tat que je craignais de jouir d’un moment Ă l’autre.Ne rĂŞvant plus qu’Ă faire l’amour Ă cette dĂ©esse aux magnifiques yeux marrons et quelques peu gĂŞnĂ© par la prĂ©sence de ce vieillard visiblement rĂ©duit Ă l’Ă©tat de lĂ©gume, je lui proposais de lui montrer la bombe en action, ce qui ne pouvait se faire qu’en extĂ©rieur. AussitĂ´t elle me mena Ă un petit lopin de terre situĂ© en arrière de la ferme et que murets et bosquets rendaient invisible du voisinage. A sa demande je me collais Ă nouveau Ă ce corps qui me faisait rĂŞver pour lui donner la bonne position, lorsqu’elle appuya sur le propulseur en se raidissant un peu j’eu l’impression, un instant, que mon sexe allait laisser Ă©chapper sa semence comme la bombe son gel.En rentrant dans la maison, je passais devant, puis me retournais pour me trouver face elle, qui se trouvait adossĂ©e Ă la porte que nous venions de passer. LĂ encore j’ignore combien de temps nous sommes rester ainsi face Ă face Ă nous regarder dans les yeux en tremblant d’excitation. Ne pouvant plus tenir je me suis avancĂ© vers elle pour la serrer dans mes bras, je la vis rougir un peu plus. Quelques secondes après je l’embrassais avec douceur goĂ»tant enfin Ă ses lèvres dĂ©licieuse mĂ©langeant mon souffle au sien puis jouant dĂ©licatement avec sa langue qui se montrait plus hardie de seconde en seconde. Je ne fus pas long Ă laisser une main descendre vers ses fesses et Ă monter l’autre vers sa poitrine que je devinais petite mais d’une forme parfaite comme sa chute de reins. Nos baisers et jeux de langues continuèrent pendant de longue et dĂ©licieuses minutes durant lesquelles mes mains pĂ©trissaient avec un mĂ©lange d’aviditĂ© et de douceur les formes de la belle. Sous la pression de mes mains je sentais son corps tressaillir de plaisir et d’excitation comme si elle dĂ©couvrait pour la première fois les plaisirs de ce type de caresses.De mon cĂ´tĂ© mon corps entier brĂ»lait d’un feu quasi Ă©lectrique et mon sexe semblait me hurler de le libĂ©rer de mes vĂŞtements devenus trop Ă©troits pour lui. Ne tenant plus je m’agenouillais devant elle avant de soulever sa jupe pour embrasser et mordiller ses cuisses. Mes lèvres finir par arriver Ă son entrejambe et je n’eus qu’Ă tirer sur le cĂ´tĂ© sa petite culotte dĂ©jĂ humide pour dĂ©couvrir la discrète toison de son sexe. Au milieu de ce nid de poils pubiens se trouvai l’objet de ma convoitise grand ouvert laissant Ă©chappĂ© des gouttes de secrĂ©tions tĂ©moignant de son excitation. Je ne fus par long Ă explorer avec ma langue ses lèvres si ouvertes et humides, sur le coup la beautĂ© eu un geste de recul avant d’enfouir de ses mains ma tĂŞte entre ses jambes. Totalement possĂ©dĂ© je baissais sa culotte et embrassais goulĂ»ment son sexe et l’explorant avec ma langue aussi loin que possible, je fus rapidement encouragĂ© par des gĂ©missements de plaisir. Pendant de longues minutes j’explorais son sexe humide et chaud avec une langue avide avant de me relever dans le but d’ouvrir son chemisier pour pouvoir couvrir de baisers sa poitrine. C’est Ă ce moment que la crĂ©ature de rĂŞve me pris par la main en tremblant et me disant un simple mot magique « Viens ».La belle me conduisit dans une chambre Ă l’Ă©tage, une pièce petite mais dĂ©corĂ©e avec goĂ»t malgrĂ© une certaine austĂ©ritĂ©, mais seul le lit m’intĂ©ressait et je fus pas long Ă allonger l’objet de mon dĂ©sir dessus. Le tableau Ă©tait rĂ©ellement de plus excitant une belle jeune femme Ă la peau sombre allongĂ©e, avec sa longue chevelure encadrant son visage rendu fiĂ©vreux par l’excitation, le chemisier dĂ©boutonnĂ© laissant apparaĂ®tre une jolie petite poitrine aux tĂ©tons se dressant fièrement Ă peine libĂ©rĂ©e de son soutien Ă gorge et surtout cette jupe relevĂ©e dĂ©voilant un sexe humide et grand ouvert. Assez rapidement je me dĂ©nudais lui montrant Ă quel point elle me rendait fou de dĂ©sir, avant d’extraire fĂ©brilement un prĂ©servatif d’une de mes poches et de l’enfiler promptement. A la vue de mon sexe elle rougit encore plus en me confiant d’une voix timide qu’elle Ă©tait vierge. FlattĂ© et dĂ©cidĂ© Ă ce qu’elle garde un souvenir inoubliable de ce moment je me dĂ©cidais Ă prolonger les prĂ©liminaires. Je me mis Ă masturber dĂ©licatement son clitoris tout en lĂ©chant et en suçant de façon alternĂ©e ses tĂ©tons ne les laissant que de temps Ă autre pour l’embrasser. Au bout de quelques minutes, alors que je la sentais proche de l’orgasme, je le mis au devoir d’achever ma tâche du bout de ma langue. J’y mis une telle Ă©nergie que son corps ne tarda pas Ă se cambrer et qu’elle gĂ©mit sous l’effet de la dĂ©charge de plaisir.Après avoir reçu son approbation j’eus enfin le plaisir d’enfouir ma virilitĂ© en elle, ce que je fis avec une infinie dĂ©licatesse dont je ne me savais pas capable. Elle gĂ©mit Ă nouveau, moi Ă©galement dans un effort pour rĂ©sister aux effets de l’excitation qui me tenaillait depuis mon entrĂ©e dans la maison en ne cessant d’augmenter. C’est donc lentement et avec tendresse que je me mis Ă aller et venir entre ses jambes magnifiques que je caressais avec ferveur tandis que ma bouche couvrait son corps de baisĂ©es brĂ»lants. Comme elle semblait apprĂ©cier le jeu, je dĂ©cidais de varier quelque peu les plaisirs.Dans un premier temps je me mis Ă retirer mon sexe des trois quarts pour aller et venir avec mon gland uniquement entre ses lèvres avant de m’enfoncer Ă nouveau complètement en elle. Elle se montra d’abord en peu surprise avant de se laisser totalement aller, rĂ©pondant Ă mes Ă©lans les plus profonds par des gĂ©missements langoureux. Je ne m’arrĂŞtais que pour reprendre le contrĂ´le de mon sexe et retarder l’explosion de jouissance que je sentais bien trop proche. Devant cette nĂ©cessitĂ© et bien dĂ©cidĂ© Ă varier Ă nouveau les plaisirs je lui proposais un petit changement. Je me mis assis et elle vint s’asseoir sur moi s’empalant ainsi avec dĂ©lice sur mon sexe. Cela paru beaucoup lui plaire car elle pris rapidement le contrĂ´le de la situation alternant les va et vient plus ou moins rapides pendant que je caressais sa poitrine en embrassant son dos dĂ©jĂ couvert de sueur. Elle augmenta très rapidement le rythme des ses Ă©lans tandis que mes caresses descendant de ses seins Ă son sexe se firent de plus en plus fĂ©briles, alors qu’elle gĂ©missait de plus en plus fort. Elle accĂ©lĂ©ra de plus en plus jusqu’Ă ce qu’en poussant un cri de plaisir elle me fasse pĂ©nĂ©trer en elle le plus profondĂ©ment possible en remuant le bas de son corps. Ne tenant plus je la rejoins moi aussi emportĂ© par cette vague de plaisir fantastique qu’est l’orgasme.Après avoir atteint l’orgasme nous sommes restĂ©s ainsi quelques secondes avant qu’elle se laisse tomber sur le ventre et que je m’allonge Ă ses cĂ´tĂ©s. Notre rĂ©pit ne dura pas longtemps car en regardant machinalement l’heure elle s’aperçut que sa mère ne tarderai pas Ă rentrer et ne serai certainement pas ravie de la voir avec un homme. Je l’aidais Ă refaire le lit et partis non sans lui avoir laissĂ© mes coordonnĂ©es et l’avoir tendrement embrassĂ©. Nous nous sommes revus par la suite pour notre plus grand plaisir mais c’est une autre histoire.