Bonjour, je m’appelle Sacha, et je vis en couple avec Linda depuis maintenant deux ans. Dès le début de notre histoire, le sexe a été fantastique. Cela faisait longtemps que j’avais envie d’exlorer la domination/soumission, mais je n’avais encore jamais trouvé de partenaire avec qui parcourir ce chemin.Quand j’ai rencontré Linda, nous nous sommes très vite trouvés sur ce point (comme tant d’autres; d’ailleurs) car elle était dans le même cas. Nous préférions tous deux être soumis, mais nous nous sommes, chacuns, découvert un côté dominateur très agréable et très excitant. Bien entendu, nous avons commencé soft, aprentant pas à pas le chemin de la soumission. Nous étions capables de parler de tout, et c’est ainsi que je me suis ouvert à elle de ce fantasme de l’hypnose… Sa réponse fut: « Oui, je comprends, cela doit être très excitant, mais pour trouver quelqu’un qui sache le faire… » Et nous en restâmes là. J’ai eu l’impression que si ça ne la choquait pas, ce n’était pas non plus son délire.Chapitre 1: le commencement.Je me rappelle très bien de cette fois là, où elle avait été très dominatrice, très sévère, et jamais ce n’avais été aussi bon. J’étais attaché, incapable de bouger tandis qu’elle jouait avec mon degré d’excitation, le faisant monter et redescendre, monter à un point que je n’aurais jamais cru possible. Elle me susurrait des mots doux à l’oreille, me criait dessus à certains moments, je ne sais plus ce qu’elle disait, mais je peux vous dire que j’étais littéralement en train de planer. Je ne savais plus où était le sol et où était le ciel, des fourmillements de partout, les mots me manquent pour vous faire découvrir ce qu’était alors mon état.Après m’avoir fait jouir, elle me caressa longuement, continuant à me dispenser ses tendresses, me laissant m’endormir dans ses bras enchanteurs en me berçant. Je n’ai pas peur de le dire, c’était la meilleure et la plus intense expérience de toute ma vie.Quand je me suis révéillé le lendemain, elle était déjà partie au travail (moi j’étais en congés). Je me suis levé avec un sentiment de légèreté, de bonheur et presque d’ivresse. J’ai pris mon petit déjeuner dans le jardin, au soleil, en me demandant ce que j’allais faire ce jour là. Comme j’avais envie de lui faire plaisir, j’ai fait le ménage à fond dans toute la maison, j’ai été faire les courses et j’ai préparé à diner que je n’aurais plus qu’à faire chauffer quand elle rentrerait le soir.Puis je suis sorti me promener l’après midi, le parc était tranquille par ce vendredi après midi. Je suis resté jusqu’à cinq heures environ, puis suis rentré, tenant à être là quand elle rentrerait.Je suis rentré, me suis préparé pour elle, c’est à dire des menottes en cuir au poignets et aux chevilles, ainsi que mon collier, et ai attendu qu’elle arrive.Quand j’ai entendu la clef dans la porte, mon coeur a fait un bond, car j’étais en vérité bien impatient qu’elle arrive. Je ne pensais pas qu’elle rentrerait avec une collègue de travail, et quand je m’en suis aperçu (avant que sa collègue ne me voie, heureusement), je suis vite allé me cacher dans les toilettes. Nos jeux ont toujours été privés et discrets.Mon coeur battait la chamade, me demandant comment j’allais me tirer de ce mauvais pas, quand j’entendis Linda dire:« Sacha, sors tout de suite des toilettes, nous avons une invitée aujourd’hui ».Je m’apprétais à répondre « oui, donne moi deux secondes ma chérie, il faut que je me change » en espérant qu’elle comprendrait ce que je voulais dire, mais au lieu de ça, je m’entendis répondre:« Oui Maitresse Linda, tout de suite » et sortit sans réellement m’en rendre compte/C’est ainsi que Valérie, sa collègue me vit sortir nu comme un ver avec pour seuls accessoires mes menottes et mon collier. J’étais rouge de confusion, ne sachant que dire, et je gardai le regard baissé.« Sacha, pourquoi ne viens-tu donc pas me dire bonjour?Oui Maitresse Linda »Mes réponses étaient comme automatiques, et je les disais avant même d’avoir eu conscience de les dire, de la même façon que mon corps, comme en auto pilote, se dirigea vers elle, s’agenouilla et lui baisa délicatement la main qu’elle me tendait.Je ne savais plus quoi faire, j’avais envie de courir me réfugier de nouveau dans les toilettes, me cacher, mais mon corps refusait de répondre. Il était comme gelé, pétrifié devant Maitresse Linda.« Tu vois, je te l’avais bien dit, que je pouvais lui faire faire ce que je voulais », dit-elle à sa collègue.Valérie ne répondit pas tout de suite, mais je devinais le sourire interloqué qui devait se dessiner sur ses lèvres.« Son corps, son esprit, son âme sont suspendus à mes lèvres, dit encore Maitresse Linda d’un air satisfait. Tu ne me crois pas encore? Au fait, Sacha, Valérie, Valérie, Sacha, mais tu peux l’appeler Madame. Tu peux aussi la saluer, mais c’est une invitée de marque, Sacha. »C’est alors que mon corps se mit à bouger tout seul, mes mains se sont posées par terre, et j’ai marché à quatre pattes jusqu’à Madame qui était restée quelques pas en arrière, ma tête s’est baissée jusqu’à ses pieds et mes lèvres ont délicatement embrassé ses bottines à talons en cuir verni. Ma voix, semblable à celle d’un automate, sortit alors de ma gorge pour dire « C’est un honneur, Madame Valérie, de faire votre connaissance. »Valérie me regarda sans rien dire pendant quelque secondes, puis se mit à glousser en me tapotant la tête avant de dire:« Je dois avouer, Linda, que tu avais raison. Il est vraiment mignon et obéissant. Tu peux vraiment lui faire faire ce que tu veux?Oui, ce que je veux, répondit-elleJe peux avoir une petite démonstration? Demanda ValérieOui, bien sûr, que veux-tu qu’il fasse?Je ne sais pas, moi, fais-le ramper, par exempleTu as entendu, Sacha, me dit Maitresse Linda en claquant des doigts »Ce claquement de doigts me fit l’effet d’un coup de fouet, et je me retrouvai à plat ventre à ramper pour elles.« A quatre pattes maintenant. C’est bien. A genoux. A quatre pattes. A genoux. A plat ventre. Aboie maintenant »Comme je l’ai dit, mon corps obéissait plus à ses ordres qu’à mes pensées, et tout gêné que j’étais (en fait, j’étais mortifié, et apeuré aussi), j’ai suivi chacun de ces ordres, j’ai aboyé avec zèle.« Waou! S’écria Valérie. C’est vraiment impressionant!Et encore, tu n’as pas tout vu, ma chère Valérie. En me regardant, elle ajouta: tu veux te mettre debout, Sacha? »Comme je fis signe que oui, me disant que mon calvaire allait peut-être prendre fin avec soulagement, elle dit « eh bien vas-y ».Impossible. Je n’ai pas pu. Le plus haut que je sois arrivé était à genoux, le dos droit mais le genoux rivés au sol. Je les entendis glousser, se moquer de moi, c’était terriblement humiliant. Maitresse Linda dit à Valérie: « eh oui, dans notre maison, il ne peut pas se mettre en position debout quand je suis là. Elle gloussa de plus belle, de même que valérie. Et regarde comme ça l’excite! »C’était vrai, ma bite était plus dure que jamais, je ne comprenais pas ce qui m’arrivait.« Attends, attends, j’ai gardé le meilleur pour la fin, dit Maitresse Linda, regarde. Brave Sacha. »A ces mots, je sentis ma bite se durcir encore plus, au point d’en devenir douloureuse. « Vilain Sacha ». A ces mots là, ma bite redevint molle, toute petite, minuscule, elle semblait se ratatiner. « Brave Sacha ». De nouveau dure. « Vilain Sacha ». Toute molle. « Brave Sacha »Valérie se tenait le ventre tellement elle riait, littéralement pliée de rire à ne plus pouvoir s’arrêter. Maitresse Linda dit alors: « Allons dans le salon pendant qu’il nous prépare le thé, je te parlerai de mes projets le concernant, et si tu as des idées, elles seront les bienvenues ». Elles allèrent dans le salon, hilares, pendant que je préparai le thé.Chapitre deux: la « merveilleuse » idée de Valérie.J’eu beaucoup de mal à ne rien renverser, le thé, le lait, les petits gateaux sur un plateau en leur apportant toujours à quatre pattes. Je les entendai rire.Quand j’ai eu fini de tout poser sur la table, Maitresse Linda me gratifia d’une petite gratouille derrière l’oreille, et une sensation de plaisir intense, aussi intense que brève, parcourut tout mon corps.« Oh, attends, j’ai une super idée, dit Valérie, mais il ne faudrait pas qu’il l’entende ».Maitresse Linda opina du chef et d’un petit geste de la main, elle me congédia. Mon corps m’emmena dans la cuisine, à quatre pattes bien entendu, et je me retrouvai pétrifié au milieu de la cuisine, le dos aussi cambré que possible, à la limite de la douleur, la bouche ouverte, la tête et le regard fixé sur la fenêtre. Sur la fenêtre ouverte!!! Et j’étais toujours incapable de bouger!Que se passerait-il si quelqu’un passait et regardait? On se moquerait encore de moi, c’est sûr, peut-être qu’on me montrerait du doigt… J’en tremblais intérieurement.Des rires me parvinrent du salon, et j’entendis la voix de Maitresse jubiler « oh oui oh oui oh oui! Excellent! Et que dirais-tu de… »Oh oui oh oui oh ouiOh oui oh oui oh ouiCes quelques mots résonnaient dans ma tête, rebondissant contre la paroi, sans baisser, sans diminuer.Quelqu’un passa alors. Et s’il regardait? Oh oui oh oui oh oui! Mais il n’en fit rien. Un étrange sentiment ressemblant à de la décéption prit place en moi. Oh oui oh oui oh oui. Une veille dame, environ soixante ans, je dirais, passa encore, et elle, regarda.Elle me fixa, outrée, et je me sentis honteux de mettre dans l’embarras une personne âgée. Je voulus détourner le regard, mais rien n’y fit, je ne pus détacher mes yeux des siens. Rouge de colère, elle tourna la tête et s’en alla.A ce moment, je me rendis compte qu’elle avait du prévoir ça de longue date et passer beaucoup de temps à le planifier. Oh oui oh oui oh oui. C’est vrai, j’imagine qu’elle m’a hypnotisé (si ce n’est pas ça, je ne vois pas ce que ça peut être), et ça ne s’apprend pas en un jour. Qu’est-ce qu’elle m’a fait, me demandai-je? Je suis forcé d’obéir au moindre de ses ordres (oh oui oh oui oh oui), soit. Mais il y a aussi bon nombre d’ordres tacites que j’ignore auxquel je ne peux désobéir. Oh oui oh oui oh oui. Je ne peux pas être debout en sa présence. Je dois la saluer à genoux. Quand elle me congédie, je suis bloqué dans cette position précise, le regard fixé sur les éventuels passants. Oh oui oh oui oh oui. Et elle contrôle mon érection aussi.De nouveaux, des rires hystériques me parvinrent du salon, ainsi que la voix de Valérie qui disait: « Le pauvre… Hi hi hi. S’il se doutait seulement. Attends attends attends! Et si en plus… »Je commençai à prendre vraiment peur. Qu’allait-elle me faire? Que pouvait-elle faire de plus? Elle semblait être également capable de me faire oublier ce qu’elle avait programmé en moi. Oh oui oh oui oh oui. Elle devait avoir planifié ça de longue date. Ce n’est pas sur le coup de l’improvisation qu’on arrive à cela. Et ce n’est pas non plus du jour au lendemain qu’on glisse à sa collègue de travail « au fait, mon copain, je peux lui faire faire ce que je veux, il est mon esclave ». On prépare le terrain.Son esclave.Oh oui oh oui oh oui.J’étais en train de devenir, réellement, son esclave!Oh oui oh oui oh oui.C’est alors que quelqu’un d’autre passa, en fait un couple d’environ trente ans. L’homme s’arrêta brusquement quand il me vit, arrêta sa copine en disant « Eh regarde le celui là, il est rigolo ». Ils me regardèrent tous deux en riant sous cape. La femme dit à son copain « A ton avis, qu’est-ce qu’il fait?-Je ne sais pas, dit-il. Que fais-tu là? »J’allais répondre que ce n’était pas ma faute, que quelqu’un m’y forçait, que je ne pouvais pas bouger, bref me justifier de cette humiliant situation. Seulement, le seul problème fut que la seule chose que j’arrivai à dire fut une sorte de… non, pas une sorte, j’étais vraiment en train d’aboyer.« Oh, comme il est mignon, dit la femme. Tu viens voir maman? »C ‘est à ce moment que Maitresse Linda et Valérie entrèrent dans la pièce. Maitresse Linda se dirigea vers la fenêtre, et dit: « Une autre fois, peut-être. Il sera là souvent, alors n’hésitez pas à repasser ». Sur ce, elle ferma la fenêtre et les volets. Puis elle se tourna vers moi en disant:« Quant à toi, Sacha-chou, que dirais-tu de… »