Luxey, dans le département des Landes, à 100 kilomètres au Sud de Bordeaux est un village habité de moins de 700 personnes et entouré de forêts usagères plantées de pins, très chaudes en été, et désespérément plates. Des maisons sans style sont posées au milieu de parcelles clôturées. Rien n’est plus déprimant que le mortel silence qui règne l’après-midi au moins d’Août. L’ennui suinte des bâtiments endormis, tout comme la sueur de notre peau lorsque l’on fait le plus petit effort.J’avais 19 ans, cela remonte à une dizaine d’années. J’avais accepté de passer deux semaines chez une tante âgée pour lui faire la cuisine et l’aider à la toilette pendant que sa fille était partie en randonnée au pied d’un volcan africain. La tante dormait habituellement l’après-midi, mais j’avais pour consigne de la surveiller et d’appeler un médecin au moindre signe de malaise. Heureusement, ma jeune cousine Lena qui habitait à une dizaine de kilomètres était restée avec ses parents. Elle allait venir me sauver d’un ennui océanique.La maison voisine était en cours de restauration. Son nouveau propriétaire avait entrepris de refaire une terrasse, et du premier étage de la maison, je pouvais le contempler au travail. Quel beau mâle! Son torse nu, bronzé comme par quinze jours en mer, était brillant de sueur. Son short de coureur à pied en était tout humide et lui collait aux fesses. Les échancrures dégageaient complètement ses cuisses dorées couvertes d’une toison fournie de boucles rousses. Le jeu de sa belle musculature et les contractions de ses fesses puissantes, il n’en fallait pas plus pour faire baver ma chatte et folâtrer mes idées.Il viendrait à moi, je serais propre et fraîche au sortir de la douche, il m’enlacerait puissamment et me poisserait de sa sueur de mâle, son haleine sentirait la bière et le tabac(je ne fume pas) et ma langue se trouverait toute engluée de son épaisse salive. Sans un mot il plongerait dans mon ventre affamé son sexe gonflé par la chaleur et le travail manuel, et il gorgerait mon vagin d’une grande giclée de foutre.Je dois dire que je suis toujours attirée par les ouvriers et les odeurs qui les marquent. Avec un menuisier ou un charpentier, je me crois en forêt. La peau d’un plombier ou d’un garagiste est toujours imprégnée d’une odeur de métal, de graisse à souder et de cambouis qui se mêle à celle de l’effort physique. J’aime être palpée vigoureusement par des mains rugueuses, habituées à faire plier la matière. J’aime que la peau blanche et soyeuse de mes cuisses et de mes seins soit maculée de traces de graisse, ce qui témoigne d’une étreinte vigoureuse dont les intellectuels ne sont pas capables. J’ai récemment offert un pourboire en nature à un jeune plombier dont la voix cassée par la fumée et l’accent parisien des faubourgs m’avaient allumée. Pendant qu’il travaillait, je suis partie changer mon jean pour une mini-jupe de gamine et je suis allée, sans culotte, m’accroupir à côté de lui pour lui demander des explications sur les joints qui fuyaient. Dix minutes après, ma chatte était pleine d’une grande goulée de sa crème de mâle.Pendant que je rêvassais, le voisin transportait des cailloux pour le soubassement de sa terrasse. Sa compagne est arrivée, visiblement toute nue sous une robe légère dont la moitié des boutons étaient défaits. Il s’est emparé de ses seins, ils se sont embrassés fougueusement comme des adolescents à leur première aventure. Nettement plus jeune que lui, elle avait mon âge. Je me suis détournée de cet indécent spectacle qui détruisait tous mes espoirs.Lena est venue l’après-midi, non sans arrière-pensée puisqu’elle est arrivée à l’heure de la sieste. Notre intimité avait débuté quelques années auparavant lors d’un orage nocturne. Effrayée par le fracas que la foudre qui tombait dans les environs toutes les cinq minutes, Lena s’était blottie dans mon lit, tout contre moi, le visage enfoui dans mon cou pour ne pas voir les éclairs.– Protège-moi!J’ai empaumé son abricot dodu et glabre.– Comme ça les éclairs n’atteindront pas ton minou.– Serre-moi fort! dit-elle sans préciser si c’étaient mes bras ou ma main qui devaient la serrer.Les orages sont fréquents l’été dans les Landes, et j’ai eu bien d’autres occasions ensuite de protéger son minou des éclairs et même, en l’absence d’orage, des éclairs quiauraient pu survenir.– Tu ne crois pas qu’il va y avoir de l’orage?C’était notre code, notre » cattleya « . Nous nous invitions ainsi à de longues siestes durant lesquelles nous inventions des caresses que nous pensions nouvelles, et nous posions des baisers mouillés dans tous les replis de nos corps excités. Les siestes et les soirées sont devenues de plus en plus chaudes et les baisers nouveaux, plus difficiles à inventer, ont laissé place aux claques, aux pinçons et aux morsures. Le jeu consistait à supporter le plus longtemps possible les agaceries infligées par l’autre. L’excitation aidant, je ne m’arrêtais pas toujours de claquer ses belles fesses rondes au signal convenu, et je continuais, sans m’impressionner de ses cris, jusqu’à la venue des larmes. De vraies larmes que je m’appliquais ensuite à boire au coin de ses paupières. Je passais un gant mouillé d’eau fraîche sur ses fesses que j’avais peut-être un peu trop rougies, et ma langue réparait le dommage en patinant amoureusement son œillet. Nous nous sommes aussi très souvent branlées comme des folles jusqu’à en avoir les boutons tout brûlants. Dix-neuf orgasmes en deux heures, tel a été mon record.Lena était venue me retrouver chez la tante. Nous avons repris ces jeux quelques jours, et puis, nous avons fait la connaissance de Victor. Tout a commencé par une chute de vélo, à 20 mètres de la maison. Je l’ai fait entrer. J’ai désinfecté ses plaies en cherchant tout d’abord à lui éviter le plus possible la brûlure de l’alcool. Mais j’ai remarqué qu’il avait les yeux fixés sur mes seins, bien visibles à la fois par un grand décolleté et grâce à la finesse de l’étoffe qui laissait voir mes tétons sombres et dressés. J’ai alors trouvé drôle de moins le ménager, pour associer chez lui la souffrance au plaisir. Son regard collé à moi laissait présager une suite intéressante. J’ai caressé ses cuisses, comme si je cherchais d’autres plaies à traiter. Il bandait. Sa queue certainement mignarde gonflait son slip blanc dans l’entre-jambe du short. Elle voulait sortir mais l’élastique a tenu bon. Je lui ai donné à goûter, même si ce n’était l’heure.– Merci madame.– Tu peux m’appeler Myriam. Reviens demain, il faudra que je change ton pansement.Il est parti encouragé par un chaste baiser sur le front. L’après-midi j’ai raconté cette rencontre à Lena. Je lui ai présenté que nous allions nous amuser à faire découvrir à ce puceau timide nos corps de filles et tout le plaisir que nous savions en tirer. Nous avons donc préparé notre affaire.Victor est arrivé le lendemain, tout impatient de voir changé son pansement. Ce que j’ai fait non sans insister avec l’alcool sur les plaies encore à vif, ce qui me donnait un prétexte pour l’embrasser dans le cou. Je lui ai donné du jus d’orange, il m’a raconté qu’il était seul chez son oncle et sa tante et qu’il s’ennuyait. Il m’a demandé si je connaissais des ruisseaux dans le voisinage pour faire des moulins avec des bouchons, des écorces et du fil de fer. Oui, nous pourrions y aller l’après-midi même avec Lena, pendant que ma tante dormirait comme tous les jours. Il est resté m’aider à peler des pommes de terre et des carottes. Nous sommes sortis, je l’ai mené à la vieille grange.En approchant, nous avons entendus des cris déchirants comme en poussent les chattes en chaleur. C’était Lena en pleine crise de pseudo-épilepsie. Elle se tenait le ventre, elle bavait, elle criait mais pas trop fort pour ne pas attirer la tante. Elle se roulait sur un vieux matelas un peu moisi et tout décoré de cartes de France de toutes les couleurs. Nous l’avions sorti la veille d’une pièce inoccupée qui servait de débarras et transporté dans la grange.– Cette pauvre Lena est en pleine crise. Il faut la soulager. Aide moi à la maîtriser, elle pourrait se blesser, elle s’est tordu une cheville l’an dernier.J’ai confié à Victor le soin de tenir Lena par un poignet et une cheville. Je la tenais moi-même aussi d’une main pendant que j’ouvrais sa chemisette pour lui retirer son soutien-gorge. Il avait été choisi exprès pour comprimer abusivement ses seins déjà bien développés.– Elle va étouffer, il faut qu’elle respire.Victor était muet, visiblement troublé de se trouver dans cette situation bizarre à tenir une fille hystérique qui se débattait les seins nus.– Caressons là, il faut la calmer.Relâchant les chevilles, Victor et moi avons entrepris de lui pétrir les seins, j’ai montré à Victor comment il fallait lui pincer les tétons.– Regarde, ça la détend.Nous avions répété la scène, et Lena, comme prévu, s’est mise à respirer profondément. Elle conservait les mains sur le ventre et ses cuisses repliées.– Il nous faut l’allonger.Ce que nous avons fait non sans peine. Je lui ai retiré la culotte et j’ai glissé ma main sous sa jupe. Je ne lui avais pas ôté sa jupe. Pas tant par souci de sa pudeur juvénile que pour ne pas tout montrer à Victor dès le premier jour. Je l’ai caressée, de plus en plus fort et de plus en plus vite jusqu’à un grand orgasme interminable qui a tiré un cri viscéral du plus profond de ses entrailles. Les spasmes de son ventre, les tremblements de ses cuisses et les cris était bien entendu exagérés à plaisir.Lena a très bien joué son rôle d’hystérique. Elle a ensuite fait l’épuisée et elle s’est mise à pleurer. Victor et moi avons repris la caresse de ses seins et je l’ai embrassée partout sur le visage. Maternellement tout d’abord, mais j’ai fini par un long baiser sur ses lèvres qui attendaient les miennes, palpitantes et gonflées comme celles de son bas-ventre durant nos siestes.– Ces crises peuvent être graves, ai-je expliqué doctement. Il est important d’agir vite, autrement la personne peut se faire des contractures musculaires, un torticolis ou même mourir étouffée.Lena allongée sur le côté, les seins toujours nus, faisait mine de dormir. J’ai baissé sa jupe le plus possible pour mimer la décence, mais cette jupe était courte et ses cuisses blanches d’adolescente grassouillette restaient à l’air.– Il ne faut pas rester sur une excitation violente. C’est très dangereux. Toi aussi d’ailleurs tu m’as l’air bien excité.Il bandait comme un âne, dans son short trop petit. En infirmière attentive, j’ai posé ma main sur la bosse de son short, et j’ai formulé un diagnostic :– Tu ne peux pas rester comme ça, c’est très mauvais l’excitation qui reste bloquée dans les reins. Cela provoque des troubles urinaires.Je lui ai baissé le short et le slip, je l’ai allongé sur le matelas et je l’ai rassuré en lui montrant Lena :– Elle dort.Tout en le regardant droit dans les yeux, j’ai enduis ma main très calmement d’un maximum de salive et j’ai commencé à branler sa mignonne petite queue. Lentement, sans insister car les jeunes giclent très vite. A sa base un petit début de duvet blond. Elle bandait ferme et droit. Je me suis emparée de ses petites couilles que j’ai comprimées de plus en plus fort, abandonnant un instant le branlage, jusqu’à ce que sorte de sa gorge nouée un petit « Aïe! » étouffé. Il est venu très vite. J’ai essuyé sa liqueur sur le vieux matelas. Une tache de plus. Si les matelas pouvaient raconter leur histoire, on ne s’ennuierait pas à les écouter.– Tu te sens mieux hein? C’est l’heure d’aller déjeuner. Ta tante va s’inquiéter.J’ai effleuré ses lèvres avec les miennes. Lena sortait de sa fausse léthargie.– Et les petits moulins? On ira?– Oui mon Victor, reviens à quatre heures. Et tu ne parles à personne de la crise de Lena, cela ne sert à rien d’inquiéter les gens. Et puis nous avons un bon remède.L’après-midi, nous sommes allés fabriquer des moulins. J’avais mis un short très court, je me suis appliquée à lui montrer mes cuisses et mes seins, mais nous n’avons eu aucun geste « déplacé ».Victor est revenu le lendemain matin. Lena et moi finissions d’essuyer la vaisselle. Je faisais la fâchée.– Tiens, voilà Victor! Tu arrives juste à point pour voir Lena punie. Elle a cassé trois assiettes. Et ce n’est pas la première fois!Nous sommes allés à la vieille grange, Lena devant, la tête basse et les mains au dos. Victor derrière elle ne disait mot, et je fermais la marche.– En position Lena, tu es punie! Fesses nues. Devant Victor.A contre-cœur, Lena a fait glisser sa culotte à ses pieds et s’est allongée à plat-ventre sur le matelas souillé de traces de plaisir et de sanies. Je lui ai remonté la jupe sur le dos, et j’ai commencé à faire rougir ses grosses fesses blanches. Je lui appliquais de fortes claques, bien espacées pour que nous puissions savourer l’attente. Elle serrait ses fesses en un vain réflexe de protection, mais les claques tombaient dru avec la régularité d’un métronome. Une plainte qu’on aurait pu juger déchirante jaillissait de sa poitrine. Et elle a éclaté en longs sanglots de cinéma agrémentés de reniflements bien appuyés pour faire plus vrai.– Ça va comme ça, on va te consoler.Et je l’ai consolée comme j’en avais l’habitude, en promenant mes lèvres et ma langue sur sa peau rougie, et même un peu au delà, jusqu’à l’œillet caché entre ses fesses qu’elle continuait de serrer, méfiante. J’ai fait à Victor une jolie démonstration de feuille de rose.– La voilà tout excitée maintenant.Et cette fois, sans cacher ma main sous sa jupe, j’ai montré à Victor comment on branle un clitoris. Un petit jet d’urine a jailli juste après l’orgasme.– Oh la sale, elle pisse! Elle en veut d’autres.D’autres claques sont tombées sur ses fesses encore rouges.– Aller Victor, c’est toi qui va la consoler.Victor avait bien enregistré la leçon. C’est avec la même ardeur que moi qu’il a enfoncé sa langue entre les fesses de Lena. Et on n’a pas tardé à l’entendre soupirer d’aise.Le lendemain, les scénarios montés d’avance n’étaient plus nécessaires. J’ai montré à Victor comment je me branlais. A vingt centimètres de ma chatte ses yeux n’en perdaient pas une goutte. Il a pu voir comment je roulais mon clitoris entre deux doigts, comment je tiraillais mes nymphes (je lui ai fait un cours de terminologie sexuelle) et comment je me massais le périnée (autre terme qu’il ne connaissait pas) et l’anus. Il a fait jouir Lena en suivant mon exemple. Sans doute une première pour lui. Je l’ai sucé et à sa grande surprise, j’ai avalé toute sa liqueur.Ce soir-là, il y avait à Luxey une course landaise. Pour celles et ceux qui ne le savent pas, il s’agit pour les artistes de jouer avec des vaches de course, appelées « coursières » et dotées de fortes cornes. Je vous rassure tout de suite, il n’y a pas de mise à mort comme dans une corrida. Les vaches foncent tête baissée vers les « écarteurs » dont l’art consiste à s’écarter des cornes le moins possible et de façon élégante. Les cornes doivent passer au creux des reins. Les vaches sont guidées latéralement par des cordes tenues par les « cordiers », mais tout cela reste dangereux. Je n’ai jamais entendu dire que des femmes se prêtent à ce jeu.Nous sommes allés voir la course tous les trois. Comme nous sommes arrivés tard, nous étions sur des bancs à l’arrière et il fallait rester debout pour bien voir. Lena et Victor étaient grimpés sur une caisse qui se trouvait là, par chance pour eux.La seconde partie du spectacle était plus clownesque que la première, consacrée aux « écarts ». Une vieille vache un peu fatiguée mais néanmoins massive et bien cornue était libre dans l’arène et fonçait sur des « sauteurs » habillés en clowns qui faisaient semblant d’avoir peur mais sautaient lestement par dessus la vache. Celle-ci se trouvait désemparée d’avoir perdu sa cible.Alors que j’étais attentive à leurs acrobaties, j’ai eu la surprise de sentir une main se promener sous ma jupe, caresser mes fesses et se glisser sans hésiter dans ma culotte. Un doigt se dirigeait vers mon trou du cul. Serrant les fesses le plus fort possible, j’ai d’abord tenté de barrer la route à cet explorateur hardi. Et puis bien vite j’ai relâché mes fesses pour sentir jusqu’où ce doigt pousserait l’effronterie. Victor, car c’était lui, a pris cela pour un encouragement et ce sont deux doigts, bientôt rejoints par un troisième qui se sont enfoncés dans mon trou du cul. Et ces doigts se sont mis à s’agiter en tous sens. Je me sentais envahie, fouillée, possédée, par juste trois doigts d’un gamin, mais si actifs et si brouillons dans leur exploration que j’en avais la gorge serrée. J’ai saisi l’oreille de Victor entre mes dents et plus il me branlait le cul et plus je la serrais au risque d’y laisser des marques.– Oui petite ordure chérie branle mon cul demain c’est ta p’tite queue toute raide qui va m’enfiler et j’te pisserai dans la figure oui tu la boiras ma pisse dorée mousseuse et on fessera Lena tous les deux oui tu la baiseras dans ses larmes mon adorable salopiaud oui tu la fais jouir du cul ta Myriam adorée …Des spectateurs se retournaient, je me suis calmée, j’ai cessé mes mots d’amour mais j’ai laissé Victor me travailler sous l’œil attentif de Lena, qui se serrait contre nous pour masquer l’intrusion sous ma jupe de la main juvénile et perverse.Le lendemain, nos jeux ont continué de plus belle. J’avais préparé des gages notés sur des papiers que nous avons tirés au sort. « Ligotage ». Nous avons branlé Victor après avoir serré par une cordelette (une « garcette » en termes de voile) ses couilles et la base de sa queue, ce qui rendait plus difficile le passage du sperme. « Rasage ». Ma touffe y est passée : je l’ai rasée sous l’œil attentif de Victor et de ma complice. Il ont tous deux apprécié la douceur de ma chatte soyeuse comme une pêche mûre. Je me suis sentie soudain plus jeune de vingt ans. « Circoncision ». J’avais préparé une grande paire de cisailles à métaux et j’ai expliqué à Victor en quoi cette opération consistait. Je lui ai bien dit que dans les tribus africaines elle marquait l’accession à l’âge adulte mais cela ne l’a pas convaincu. Tout gage étant rachetable, il m’a gratifié d’une experte feuille de rose et a continué l’exploration digitale de mon cul qu’il avait commencée la veille. « Dépucelage ». Alors Lena est revenue en courant de la maison où elle était partie boire un verre d’eau.– La tante est tombée de son lit!Catastrophe. Nous avons foncé à l’étage. Elle s’était évanouie mais respirait encore. Pendant que j’appelais le SAMU, Lena et Victor ont commencé à nettoyer la salade, à couper des tomates et du saucisson pour que nous ayons l’excuse du repas à préparer pour n’avoir pas pu parer la chute.La tante a été deux jours à l’hôpital en observation, et j’ai passé ces deux jours avec elle. Rien de cassé. J’ai pu accueillir sa fille la tête haute. Mais nos jeux érotiques se sont trouvés interrompus. Victor est retourné chez ses parents, encore puceau, mais grâce à mes soins, « averti » comme on disait à cette époque du public auquel certains films devaient être réservés.Myriam Brunot