L’Invitation : chapitre 1
La première nuit est passĂ©e, les choses sont claires : Coline et moi avons baisĂ© et dĂ©sormais, la chasse peut commencer. En fait ça dĂ©marre en fanfare avec la rencontre d’un couple d’autostoppeurs…
Proposée le 19/09/2022 par Ivannormal Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: GroupesLieu: Vacances, voyagesType: Histoire vraie
Il n’y avait pas à redire, cet arrangement était parfait. Je le savais en arrivant, une jolie fille, une bonne copine, qui restait ouverte, libre, sympa, c’était l’idéal. Le sexe sans séduction, juste l’envie qui est là . Pourquoi l’idéal ? Je n’en sais rien. Peut-être parce qu’on sait par expérience que la séduction mène à la déception. J’ai été déçu mais aussi, bien sûr décevant. Ici rien de tout ça, c’était dit, nous allions baiser.J’ai senti quand je la pénétrais la première fois. Face à elle, entre ses jambes, mon membre dur, bien tendu, solide en elle, la première fois… la première secousse… Oh ce que c’était bon, sa main sur ma nuque, ses doigts qui se crispent à mesure que je m’enfonce. Nous nous sommes à peine embrassé, touché et caressé… Puis très vite nous nous rendîmes nus… et disponible à l’autre comme un contrat, clair et sans ratures… C’est écrit sur ma signature « je veux te prendre » et sur la sienne « viens en moi ». Je l’ai senti, je suis bien en elle et avec elle, c’est simple. Elle veut de la baise. J’adore. Puis elle soupira. Elle sentait ma queue loin, profonde… Elle sentait ma rudesse, mes épaules et mon odeur musquée… Elle soupirait si fort que j’ai senti venir l’envie de la prendre plus fort. Mais finalement j’ai maintenu ma vitesse, retenu mes coups. C’était une baise d’accueil.J’ai si vite joui, si vite rendu les armes, j’ai extrait à la va vite mon sexe du sien puis éjaculer sur son ventre, sur sa chatte… Je découvrais la morphologie de son sexe sous mes yeux quand je jouissais sur elle… Elle était surprise et s’est mise à rire… Je me laisse jouir facilement car je sais que je peux repartir facilement. Mais pas cette fois. Et c’était pas grave. J’aurais voulu la faire jouir bien sûr mais j’ai laissé aller le moment et me suis allongé à côté d’elle. Elle avait une jolie chatte claire pas rasée, ou pas complètement… Des seins généreux et un corps voluptueux. Oui la volupté dans le sens du plaisir, son corps appelle le plaisir. Je me suis étendu près d’elle et me suis dit « il y aura beaucoup de plaisir ». Elle m’a laissé jouir et a vécu ce moment comme une sorte de pacte : « Voilà , on a baisé, maintenant c’est clair, notre relation est basée sur le sexe (entre autre bien sûr mais ça fait parti de ce qui nous uni) ». C’est pourquoi, il n’y eu pas de performance.J’aime aussi les baises sans intérêts parce qu’elles nous apprennent tant sur l’autre. Par exemple que l’autre s’amuse. Le lendemain matin, Coline tenait à ce que je regagne ma couche avant le levé de Juliette. Ses yeux bleus et son sourire montraient une grande satisfaction de m’avoir près d’elle mais elle me chassa non sans fou rire à coup de pied dès l’aube.Je croisais Juliette bien plus tard dans la matinée bien consciente de ce qui se passait mais je jouais le jeu. Ce n’était pas à son goût de toute évidence. Son côté austère n’arrange pas les choses. Je ne trouvais pas de moyen de connecter à elle mais je m’en moquais il faut bien le dire. La journée traina, comme nous et les courses que je me promis de faire attendirent la fin de l’après midi. Et sur le retour, nous croisions en voiture un couple qui faisait du stop. Nous les embarquions avec nous. Ils étaient du coin, un joli accent du sud ouest, et deux belles bouilles. Lui c’est Axel, blond, grand et bien bâti, 22 ans, imberbe. Elle s’appelle Carole : une brune, grande et fine, habillée en leggin, j’ai remarqué de loin son superbe cul. L’idée de prendre l’apéro avec eux est venue de Coline. Nous les ramenions chez nous.Dans cette maison, il y a dans la salle à manger, une grande table en bois pour 8 ou 10 personnes et de bonnes chaises autour. Juliette, Coline et moi étions d’un côté et le couple invité de l’autre. Au bout de deux ou trois bières, nous sentions bien que Axel et Carole étaient assez bouillants. Nous les interrogions sur eux : un couple de trois ans, solide et passionnel. J’apprenais que Juliette venais de vivre une rupture, ce qui expliquait beaucoup de chose. Et puis le dérapage…Carole faisait la conversation avec insistance avec Juliette, lui expliquant que des mecs, il y en avait des tonnes et l’interrogeant sur la taille du sexe de son ex, Juliette peina à répondre qu’il était « normal ».Et Carole dit : « Ah non mais c’est important tu te rend pas compte, mon Axel il en a une grosse tu vois… c’est super important » sa main dévalait le torse de son homme, son corps adoptait un langage qui ne faisait plus de doute, sa main se déposa sur l’entre jambe. Axel fier comme un coq, avait l’attitude horrible de nous regarder les bras étalés sur les dossiers des chaises à côté de lui lassant sa compagne indiscutablement excitée par son jeune corps de mâle. Nous regardions la scène. J’avoue que je ne croyais pas que les choses finiraient comme ça.Coline un peu éméchée fini par lâcher : « Ivan aussi il a un gros zizi… » avec le sourire et l’attitude d’une enfant… Juliette jeta des yeux noirs à son amie… Je regardais Coline et j’aurais proposé de l’emmener tellement j’avais envie d’elle si je ne l’avais pas vu se lever, se pencher et poser ses coudes sur la table : Carole avait sorti le sexe d’Axel, le branlait, Axel regardait Coline qui n’avait d’yeux que pour ce pénis exposé, tendu… énorme… Plus gros que la mienne… j’en était assez jaloux… Carole fière elle aussi voulait gardé la main sur son homme, se pencha sur le côté commença à le sucer…Ce couple avait visiblement envie de démonstration. Coline fît le tour de la table la première et s’assit de l’autre côté du jeune éphèbe ne perdant pas une miette, elle se mis en sous vêtements couleur chair… Puis Carole sorti de son apnée et sourit à mon amante, Coline qui saisi l’occasion et la bite d’Axel par la même et ne tarda pas à plongé gorge ouverte pour sucer ce jeune homme.Je regardait Juliette, distante mais témoin, je n’aurai pas su l’approcher. Coline suçait Axel et Carole se dessapait. Elle fût vite nue et je la rejoignais. Derrière elle, je saisi ses petits seins. Son attitude d’abandon sous mes caresses me fît me pencher, baiser au coup, doigt sur la gâchette, la chatte de la jeune autochtone, elle bien épilée et les premiers mouvements d’une danse que je connais qui survient quand on appuie sur le bouton clitoris…A mon tour je me déshabillais et pour cela il fallait que je lâche ma proie. J’en profitait pour regarder mes voisins, Coline pris une longueur d’avance, nue, elle s’empala enfin sur l’immense tige du jeune homme de presque 10 ans son aîné. Je senti dans sa voix et ses premiers gémissements qu’elle savourait l’instant, l’incitant à lui bouffer les seins. Moi je proposais à Carole la vue de ma queue, sans impression particulière, elle se retourna, se mis à genoux devant moi et me faisant l’honneur d’une belle fellation… Vas-y Carole… suce…Axel se laissa baiser par Coline et moi sucer par Carole, sur deux chaises voisines, et en face, toujours Juliette profitant du spectacle sans réagir. Carole avait envie de la voir réagir, elle se leva et se cambra sur la table. Elle regardait Juliette et dit  » Ivan, baise moi fort ». L’accent rendit la requête presque risible mais la vue de son cul me garda droit et chaud : j’appuyais mon gland contre sa jeune chatte et comme Coline, savourait sa jeunesse et son sexe offert et je la baisais comme demandé : fort. Elle se fît monté jusqu’à l’orgasme en se masturbant pendant que je la poutrais vaillamment. Et elle jouit d’une voix aigüe et sans aucune retenue… Je prenais son cul à pleine poigne pour maintenir mon sexe pénétrant. Puis je vis Coline sous la table, le sexe branlé de Axel gicler au lèvre de ma maîtresse… Cette vision me donnait envie de jouir… Je sorti mon sexe de son fourreau et me branlais sur le cul de Carole espérant capter le regard de Coline accueillant le sperme de Axel. Tout en léchant son gland et déposant ses lèvres dégoulinantes de liquide blanc, ses yeux magnifiques croisèrent les mien pour ne plus les quitter… je jouis queue et sperme sur le cul de carole, mais mon plaisir était loin dans le regard de Coline nue sous la table.Je m’assis alors sur la chaise. Carole fît le tour de la table, j’ignorais totalement si elle avait vécu le plaisir que j’ai vécu. Pris Juliette par la main et Juliette la suivi jusque dans sa chambre. Axel se rajusta sans élégance et allait les rejoindre. Coline se leva sans grâce de sous la table mais avec le sourire… Les lèvres maculées… Quelle vision… Elle décida de s’assoir sur la table, d’écarter les cuisses, de se livrer à une masturbation devant moi… « Tu sais que j’ai toujours pas jouis »… Je n’avais qu’à me pencher et je dévorais ce fruit usant de lèvres de langue et de doigté pour lui bouffer goulument la chatte… Je ne l’ai pas fait jouir car j’éprouvais une envie folle de pénétrer ce corps… Quand je me redressais, Coline s’allongea sur la table, sur ses seins et son ventre, son cul vers le ciel… Je me suis allongé sur elle et l’ai pénétré de toutes mes forces. La troisième ou quatrième fois que je touchais le fond de sa chatte avec mon gland, elle se mit à jouir en tremblement et en peau hérissée… Sa voix de plaisir me pénétra et je savourais l’entendre pour la première fois jouir du plaisir sexuel. Son cri était proche de son fou rire, franc clair, pas roque ou enroué, juste une belle voix clair , bouche ouverte, comme un festin qui prend fin.Je voulais jouir encore. Je lui proposais de me prendre entre ses seins. Elle me répondais « Oh oui bien sûr monsieur ! ». Elle se mis sur le dos, toujours sur la table, moi au dessus d’elle et mes mouvement de bassin associé au maintien de ses seins par ma partenaire me firent venir si fort que mes forces m’abandonnaient au profit d’une grande quantité de jouissance entre ses seins…Je la regardais satisfaite, et moi satisfait, j’osais : « alors ? c’est la première fois que tu te fais jouir dessus pas deux mecs la même soirée ? » Et elle en riant : « Non »…Putain elle m’excite…© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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