Nous retrouvons Madame.Vous vous souvenez d’elle? Il y a quelques temps au retour d’une soirĂ©e chez des amis, elle avait Ă©tĂ© contrĂ´lĂ© par une patrouille de la BAC qui c’Ă©tait terminĂ© par un gang-bang.Madame n’a pas oubliĂ©, elle.Madame est une bourgeoise, Ă©pouse du Maire de la commune.Elle est un peu plus jeune que son mari.Madame est belle, raffinĂ©e, distinguĂ©e.Elle est très fĂ©minine, toujours en jupe et en talons mais curieusement son mari, qui pour son âge est un chaud lapin, ne la touche plus beaucoup.Madame est frustrĂ©e.La voiture se gara dans la cour du Centre de Secours Principal, autrement dit les pompiers, et le chauffeur descendit pour ouvrir la portière Ă monsieur le Maire et sa femme.Madame descend de la voiture en souriant.Elle exhibe une partie de ses cuisses.Le Commandant se prĂ©cipite et serre la main au Maire et Ă Madame. Plusieurs Sapeurs-Pompiers sont dĂ©jĂ au garde Ă vous pour accueillir Monsieur le Maire et sa charmante Ă©pouse.Les regards concupiscents des pompiers se posent sur Madame.HabillĂ©e très sage pourtant.Une jupe ample s’arrĂŞtant au genoux, un pull fin blanc moulant une poitrine agressive.Elle s’avance vers les pompiers pour leur serrer la main avec un sourire de circonstance.Il y a beaucoup de monde autour d’elle…Son mari part serrer des mains et elle se retrouve Ă discuter avec d’autres personnes.Comme tous les ans, c’est la JournĂ©e « porte-ouverte » chez les pompiers ou beaucoup de personnalitĂ©s de la ville sont conviĂ©es mais Ă©galement les nouveaux arrivants dans la commune ainsi que les jeunes d’un quartier dĂ©favorisĂ©.La ville voulant donner une bonne image d’elle et peut ĂŞtre aussi se donner bonne conscience.Au programme : Exercice grandeur nature.Voiture en feu, simulation d’Ă©vacuation d’un immeuble en flamme dans la tour d’exercice et le clou du spectacle : HĂ©litreuillage Ă partir de l’hĂ©licoptère de la SĂ©curitĂ© Civile.La visite commence et les exercices aussi…Plusieurs pompiers ne quittent plus Madame.On lui propose de tenir une lance pour se rendre compte, d’observer un pompier en train de faire un massage cardiaque sur un mannequin.Tous ca sous les flashs du photographe du journal local.Des plaisanteries salaces fusent discrètement dans les rangs.- La femme du Maire, j’aimerai bien qu’elle me fasse du bouche Ă bouche.- Tu crois qu’elle pourrait tenir ma grosse lance, la bourgeoise du Maire.Il y eut un attroupement quand innocemment Madame accepta de monter dans la nacelle de la grande Ă©chelle. Un peu rougissante, elle monta dedans avec un pompier. La grande Ă©chelle s’Ă©leva lentement vers le ciel. Inutile de dire qu’au pied du camion, ce fut un rĂ©gal pour les yeux, la plupart des pompiers pouvant profiter du spectacle. Ils purent mater sous la jupe de Madame et la tension monta d’un cran.Et pas que la tension du reste.Les commentaires allèrent bon train :- Putain, elle a des bas non?- Tu crois? je ne vois pas bien.Un collant plutĂ´t.- Tu rigoles, elle a un porte-jarretelles, je te dis.Madame redescendit et plusieurs pompiers se prĂ©cipitèrent pour l’aider Ă descendre de la nacelle.Elle posa son pied Ă terre mais sa jupe resta coincĂ©e et du coup remonta largement sur sa cuisse dĂ©voilant subrepticement aux pompier ce qu’ils avaient dĂ©jĂ imaginĂ©.La lisière d’un bas accrochĂ© Ă une jarretelle.Arrive la fin du spectacle.Madame et son Ă©poux sont assis dans la tribune qui a Ă©tĂ© amĂ©nagĂ© Ă cet effet. Au loin dans le ciel, l’hĂ©licoptère arrive avec un pompier et son chien dressĂ© pour les recherches lors de tremblements de terre et autres catastrophes naturelles.Ils vont descendre en rappel.Plusieurs pompiers se sont postĂ©s en face de la tribune pour pouvoir profiter d’un spectacle qu’ils imaginent sans peine.L’hĂ©licoptère arrive et amorce sa descente provoquant des rafales de vents violents du aux hĂ©lices de l’appareil.Quelques cris parmi les invitĂ©s, surtout fĂ©minines bien sur qui s’empressent de retenir leurs jupes. Mais Madame ne fut pas assez rapide.Sa jupe s’envola dĂ©voilant ses jambes gainĂ©es de bas couleur chair ce qui acheva d’exciter au plus au point les pompiers qui c’Ă©tait mis devant la tribune officielle.Puis vint le moment du Pot de l’AmitiĂ© après que le Maire eut fait un discours Ă la gloire, et c’Ă©tait amplement mĂ©ritĂ©, des sapeurs-pompiers. Madame, une coupe de champagne Ă la main, discute avec tous le monde…Les jeunes dĂ©favorisĂ©s Ă qui elle demande s’ils travaillent bien Ă l’Ă©cole.Les nouveaux habitants de la ville, les membres du Conseil Municipal et bien sur, les pompiers.Ceux-ci lui demande si elle veut visiter la caserne et ne voulant pas ĂŞtre impoli, elle accepte.On l’amène dans le hangar ou sont rangĂ©s les vĂ©hicules de secours .On lui propose de monter dans une ambulance puis un fourgon.elle ne semble pas remarquer, que chaque fois, les pompiers se rincent l’oeil .lorgnant sur ses cuisses gainĂ©e de nylons.Puis on lui fait visiter le standard ou arrivent les appels d’urgence. Madame est accompagnĂ©e par 5 pompiers.Elle a terminĂ© sa coupe et sournoisement, on lui en apporte une autre.On se retrouve dans les Ă©tages ou l’on fait visiter les chambres.Madame avance en rigolant aux blagues des pompiers.Ses talons claquent sur le sol.On l’amène dans les douches…Plusieurs pompiers se poussent du coude et se font des clins d’oil.Le piège est tendue et la femme du Maire va tomber dedans. Un pompier, nu comme un ver, sort des douches au moment ou la femme du Maire s’y trouve…Elle pousse un cri et tente de faire demi-tour, se retrouvant coincĂ© par les pompiers qui l’entourent.- Allons Madame, ne partez pas dĂ©jĂ .Madame est toute rouge, elle proteste et dis qu’elle doit rejoindre ses invitĂ©s et son mari.Elle est entourĂ©e par les pompiers.Qui se collent Ă elle. On lui prend la main et on la dirige vers les vestiaires.Celui-ci est vide Ă part le pompier qui s’est trouvĂ© nez Ă nez avec Madame en sortant de la douche.Sa bite pend entre ses cuisses, Impressionnante…Madame ne peut s’empĂŞcher de la regarder et elle sent une douce chaleur envahir son bas-ventre.Des mains se posent sur elle et se retirent rapidement, comme pour la tester. Elle ne rĂ©agit pas, comme hypnotisĂ©e par la queue qui se balance entre les cuisses du pompier.Les autres s’enhardissent.On lui caresse la poitrine Ă travers l’Ă©toffe de son pull fin en cachemire.Une main possessive se pose sur sa cuisse et commence Ă remonter sa jupe.Madame rĂ©agit soudain et proteste :- Allons! Messieurs, un peu de tenue quand mĂŞme, je suis la femme du Maire.- Et surtout une sacrĂ©e salope qui n’arrĂŞte pas de nous allumer depuis tout Ă l’heure.Madame, outrĂ©e devant de tel propos, menace de tous dire Ă leur Commandant.Ils auront tous une sanction disciplinaire.Autant dire Ă un enfant le jour de NoĂ«l qu’il ne pourra pas s’amuser avec ses jouets..De nouveau, une main retrousse la jupe de Madame, on aperçoit l’attache du porte-jarretelles.Madame veut protester mais un des pompiers se penchent vers elle et l’embrasse sur la bouche forçant le barrage de ses lèvres avec sa langue.Sa jupe se retrouve tirebouchonnĂ©e autour de la taille maintenant, Son string blanc moule sont mont de Venus avec prĂ©cision.Elle pousse un cri Ă©touffĂ© par la langue qui lui fouille sa bouche.On lui soulève son pull, des mains empoignent ses seins.Madame rue, tente de se dĂ©gager mais les caressent ont raison de sa rĂ©sistance.On lui a baissĂ©e les balconnets de son soutien-gorge et ses seins sont triturĂ©s sans mĂ©nagements par des mains avides.On lui Ă©carte son string et un doigt inquisiteur plonge dans sa vulve.- La salope!! Elle est trempĂ©e!!!- Vous mouillez Madame le Maire, lui lance un pompier en lui claquant les fesses.Madame pousse un gĂ©missement, c’est vrai, elle est trempĂ©e.Elle sent la cyprine qui coule.Elle est palpĂ©e sous toutes les coutures.On l’embrasse sur la bouche, dans le cou, ses seins sont malaxĂ©s…On lui tire les pointes et elle pousse un petit cri…On la branle brutalement…Son clitoris est manipulĂ© avec douceur puis violence…Madame donne un coup de reins involontaire.Tous les pompiers autour d’elle ont sortie leurs membres et se masturbent. On la courbe en avant et son visage se retrouve Ă hauteur d’une queue palpitante qui lui parait gigantesque.On appuie sur sa tĂŞte et la bite force l’entrĂ©e de sa bouche.Elle manque de s’Ă©touffer.- Suce salope de bourgeoise! Suce-moi la bite.Sursautant sous l’insulte, Madame commence Ă pomper cette bite qui durcit rapidement sous ses caresses buccales.Derrière elle, elle sent des doigts qui envahissent son con.On la branle sans mĂ©nagements et elle coule comme une fontaine.La bouche dĂ©formĂ©e par le membre qu’elle est en train de sucer, Madame respire bruyamment tout en gĂ©missant sous les caresses et parfois les coups sur son cul.Le pompier regarde sa bite s’enfoncer entre les lèvres pulpeuses de la si distinguĂ©e Ă©pouse du Maire.Un des soldats du feu s’enfonça de toute sa longueur dans le vagin trempĂ©e de Madame qui poussa un cri Ă©touffĂ© par la queue qu’elle pompe.L’homme commença des allers-retours la tenant aux hanches.Madame, bien campĂ©e sur ses talons aiguilles, subie les assauts du pompier qui la pistonne violemment.Celui qu’elle suçait s’activa dans sa bouche la guidant en la tenant par les cheveux.Il Ă©jacula en poussant un cri Ă©claboussant son palais de son sperme chaud qu’elle recracha avec un hoquet.Elle sent le ventre du pompier claquer contre ses fesses, ses seins sautent sous les coups de boutoirs de l’homme.Elle halète, gĂ©mit.On lui tourne la tĂŞte et une autre queue s’engouffre dans sa bouche.Celui qui la bourrait se retira et le sperme gicla allant s’Ă©craser sur son cul.La tĂŞte de Madame monte et descend sur la bite dressĂ©e qui s’enfonce entre ses lèvres rouges. Le pompier râle et se branle dans sa bouche.Un autre pompier se penche et lèche sa fente, lui titillant le clitoris.Madame se dandine, elle sent la langue lui laper la mouille, elle se cambre pour que la langue la pĂ©nètre encore plus.On lui mord le bouton et elle pousse un cri s’arrĂŞtant de pomper la bite.- Oh Mon Dieu.Oui.Non…Je vous en supplie.ArrĂŞtez.Un index s’introduit dans son anus, elle gueule qu’il ne faut pas.Un doigt dans le cul, deux autres dans la chatte, elle est branlĂ©e par ses deux orifices.Les cheveux dans les yeux, elle gĂ©mit sans discontinuer.On lui agrippe la nuque et on la contraint Ă reprendre sa fellation..Le doigt s’agite dans son trou du cul.Une autre bite se matĂ©rialise comme par enchantement dans la main de Madame qui se met Ă la caresser automatiquement.l’homme qui la branlait la pĂ©nĂ©tra en poussant un grognement.Madame secoue la bite qui est dans sa main Ă toute vitesse. Le propriĂ©taire de la queue ne tarde pas Ă lâcher son sperme sur le visage fin de Madame qui reçoit le liquide poisseux sur son front.Des filaments coulèrent jusqu’Ă son nez.Madame gĂ©mit sous les coups de reins puissants du pompier qui la dĂ©fonce comme une brute.Madame rĂ©pond Ă ses coups de queue en ondulant du bassin et en faisant claquer son cul contre son bas-ventre.La bite qu’elle suce libère sa semence qui s’Ă©coule dans le fond de sa gorge.L’Ă©pouse du Maire poussa un cri dĂ©chirant quand l’homme qui la besognait Ă©jacula au fond de son con.Madame est rhabillĂ©e.Elle a nettoyĂ© son visage avec un mouchoir enlevant les trainĂ©es de sperme. Elle a repris son air de bourgeoise respectable sous le regard ironique des pompiers. Elle sort des vestiaires s’apprĂŞtant Ă rejoindre son Ă©poux. Flageolante après l’orgasme qu’elle vient d’avoir.Son mari semble Ă©tonnĂ© en la voyant.- Mais enfin! Ou Ă©tais tu ma chĂ©rie? Nous t’avons cherchĂ© partout.Petit sourire crispĂ© de Madame qui sert les cuisses pour tenter de stopper le foutre qui coule de sa fente.- J’ai Ă©tĂ© visitĂ© la caserne avec les pompiers.Ils m’ont epuisĂ©!