Histoire réelle — Belle lectureAnnée 2004. Centre commercial pas très loin de chez nous. Nous étions dans la galerie marchande, nous flânions tous les deux, mon épouse et moi, sans but précis. Ma femme regarda une vitrine de chaussures, rien d’anormal, elle aimait en avoir plusieurs paires.Et soudain, alors que je regardais ailleurs, elle me dit :— Viens essayer des chaussures, il faut que tu t’en achètes.J’étais très surpris, car vraiment c’était inattendu. Et je n’avais pas vraiment envie d’aller dans un magasin même climatisé, il faisait chaud et j’en avais marre.— Non, pas maintenant j’en ai pas besoin, une autre fois, chérie…— Mais si, allez viens, on va regarder, ça n’engage à rien…Elle me prit par le bras, me fit entrer presque de force, me désigna un siège.— Assieds-toi, je vais demander à une vendeuse de s’occuper de toi.Bon après tout, ce sera fait, il m’en faudra bien une paire dans les semaines à venir.Ma femme était partie voir une vendeuse, j’ai compris qu’elle lui demandait de venir nous retrouver puisqu’après avoir montré un modèle de chaussures, elle m’a désigné.— Oh, belle fille, ai-je pensé, voyant simplement le profil de cette jeune femme. Blonde, élégante, grande, très belles jambes. Jupe tailleur au-dessus du genou… toujours agréable à regarder. Je suis déjà un peu moins réticent d’être assis à attendre.Ma femme me rejoint avec un sourire appuyé.— Tu verras, tu apprécieras…— Tu sais, moi et les chaussures, tant que ça me va et que ça te plaît, c’est parfait, je ne peux que les apprécier.— Non, tu verras, il n’y a pas que ça.Je ne comprenais pas ce que voulait dire ma femme… et puis, je vis arriver la vendeuse, deux boîtes de chaussures dans les bras, démarche un peu nonchalante, des yeux bleus magnifiques, un sourire épanoui. Qu’elle était belle… la fille que l’on voit que dans des magazines…J’étais assis sur un banc, à ma droite, ma chérie et rien à ma gauche. La jeune fille se dirigeait vers cette place vide pour poser les deux boîtes de chaussures.Sa jupe étant assez courte, elle ne pouvait manifestement pas se baisser. C’était donc jambes tendues qu’elle posa les boîtes à côté de moi ; vu sa grande taille, elle fut obligée de se pencher fortement en avant, pour ouvrir les boîtes et me présenter les modèles.Mes yeux ne firent qu’un tour… cette belle créature était vêtue d’un chemisier dont le premier bouton était ouvert. L’échancrure bien que légèrement ouverte, mais favorisée par la position cambrée de cette femme m’a permis, le temps d’un instant, d’apercevoir la naissance de ses seins, a priori petits, mais surtout… l’absence de soutien-gorge. Waouuuhhh ! Que ce fut beau ! Tout en restant penchée, elle s’adressa à moi :— Quelle pointure monsieur, pour essayer ? Votre femme m’a dit 41 ou 42 selon les modèles.— Euh, ben, euh, je ne sais pas, c’est plutôt 42.J’aurais pu dire 36 ou 54 tellement j’étais troublé.Et ma chérie de reprendre :— Plutôt 41, mon chéri, rappelle-toi la dernière fois, tu nageais dans le 42…Aucun souvenir de cette dernière fois, mais bon, machinalement, j’ai répondu :— Euh oui, 41 ce sera parfait.La vendeuse me tendit la chaussure.— Faudrait peut-être que tu enlèves les tiennes pour essayer… dit mon épouse voyant que je ne bougeais pas.— Ah ben oui, bien sûr.J’étais complètement subjugué par cette vision succincte, mais réelle à laquelle j’avais eu le droit. Je n’osais plus regarder devant moi, j’étais très troublé… Ma femme à côté, une créature de rêve qui s’occupait de moi. Et je sentais la présence de la vendeuse tout près puisque je voyais sa main avec la nouvelle chaussure tout en étant moi-même en train de défaire les miennes.Finalement, je relevai ma tête et me retrouvai les yeux dans l’échancrure de son chemisier.Je confirme, des petits seins libres en forme de poires, avec les tétons saillants. Je n’en distinguai qu’un seul, les boutons fermés de ce chemisier empêchant toute vue plus plongeante du décolleté. Pas grave; je me contentai de cette vue de chair dévoilée à l’insu de cette vendeuse. Sa peau semblait douce et soyeuse. Ses seins petits, mais sans aucun doute bien fermes. Je pris la nouvelle chaussure pour l’enfiler. Un peu serré… tout comme mon short !— Attendez, monsieur, il faut desserrer les lacets. Je vais le faire.Ce n’était plus possible… elle prit, leva et emprisonna mon pied dans ses jambes serrées et se pencha pour délacer cette chaussure.À nouveau, je pus distinguer le galbe de ses seins, l’un après l’autre, jamais les deux en même temps. Malgré leur petite taille, je les voyais bouger, libres sous ce beau chemisier. Seins blancs, aréoles légèrement rosées, tétons assez disproportionnés par rapport à la taille des galbes. Vu leur fermeté et leur maintien naturel, il est vrai qu’elle pouvait se passer de soutien-gorge. Je n’avais plus que cette vue devant moi et bien sûr, je commençais à avoir une réaction anatomique tout à fait naturelle dans de pareilles circonstances : je bandais.Très gênant cette situation… je me penchai un peu en avant pour cacher cette érection, j’eus l’idée de faire passer mon tee-shirt par-dessus mon short, ce n’était pas simple à gérer. D’autant plus, que la vendeuse essayait tant bien que mal à enfiler la chaussure à mon pied par quelques mouvements saccadés, ses seins bougeaient au même rythme. C’était divin. J’apercevais ses mamelons dressés, peut-être un peu excités par le contact du tissu. Par moment, le chemisier était tendu et laissait deviner les tétons dressés. C’était divin !La chaussure n’allait pas, mais ça m’était égal… je me régalais. Je n’ai jamais pensé à m’adresser à mon épouse durant toute cette séquence.— Je crois qu’il vaudrait mieux essayer le 42, monsieur, manifestement pour ce modèle, le 41 est trop petit.— Oui, vous avez raison.Je retirai moi-même cette chaussure histoire de penser à autre chose.Très pro, la vendeuse me tendit l’autre pointure en prenant soin de la délacer avant.Mince, s’était-elle rendu compte de la situation ? Je n’allais pu pouvoir profiter de l’échancrure de son chemisier. Zut…Évidemment, cette nouvelle pointure m’allait parfaitement. Ma femme me dit :— Fais quelques pas pour être sûr que tu n’aies pas mal en marchant.Aïe aïe, il fallait que je me lève. Je fis dépasser complètement mon tee-shirt au-dessus de mon short.La nature est bien faite, mon érection n’était plus aussi évidente. Je pus faire quelques pas et tout allait bien… pour la chaussure. Mais je ne pouvais pas m’empêcher de chercher le regard de la vendeuse pour lui demander son avis.— Vous êtes bien dedans ? Elles ne sont pas trop grandes ? Attendez, je vais vérifier.Et elle vint près de moi, s’accroupit en prennent bien soin de serrer ses jambes sur le côté très élégamment, mais à nouveau, lorsqu’elle vérifia la bonne pointure des chaussures en appliquant son pouce sur le bout pour apprécier l’espace que mon pied laissait à l’intérieur, j’eus le temps à nouveau, pendant quelques secondes d’apercevoir ses petits seins fiers et arrogants qui semblaient être heureux de se sentir libres sous ce chemisier. J’avais le sentiment qu’ils me narguaient…Elle croisa mon regard et immédiatement, elle eut le réflexe de cacher son échancrure avec sa main. Mais toujours très pro me dit, avec un léger sourire :— Je pense que c’est la bonne la pointure, monsieur.— Euh, oui, merci mademoiselle…Le fait de la voir se cacher l’échancrure de son chemisier m’a fait rougir. Je balbutiais, j’avais chaud, j’étais gêné. J’avais été pris la main dans le sac si je puis dire… mais son sourire me réconfortait également.Peut-être avait-elle était flattée. Ou alors tout simplement attitude professionnelle et pensait que je n’étais qu’un vulgaire voyeur. Je ne le saurai jamais…Je me tournai vers mon épouse, elle regardait la vendeuse.— Chérie, c’est bon pour moi. Si elles te plaisent, je les prends.Pas de réponse, ma chérie était ailleurs…— Allô chérie… hou, hou !— Quoi ? Euh, oui, bien sûr, on les achète, si ça va.Surprenant cette réaction de mon épouse. Je la sentais différente. Probablement qu’elle s’était rendu compte de quelque chose.Mince… Elle devait pester après cette fille qui m’avait offert de belles vues sur son décolleté et moi d’en avoir profité…Passage à la caisse. Je jetai un dernier regard vers cette créature hors norme qui marchait dans le magasin et je flashai sur l’ondulation de sa poitrine au rythme de ses pas. J’avais l’impression de distinguer ses tétons tendus sous l’étoffe du chemisier. N’était-ce qu’une illusion sachant que je savais qu’ils étaient libres. Peu importe, c’était superbe !— Au revoir, monsieur dame. Merci.— Au revoir, mademoiselle, merci à vous.Nous sortîmes du magasin et immédiatement ma femme qui avait complètement changé de comportement me dit sur un ton enjoué :— Alors mon chéri, tu es content, tu ne regrettes pas ?— Oui, les chaussures sont sympas et il m’en fallait, tu as bien fait d’insister.— Non je ne te parle pas de ça. Tu ne te rappelles plus, je t’avais dit tu apprécieras.Je ne comprenais pas trop bien où voulait en venir ma femme.— Tu apprécieras, tu apprécieras… ben oui, les chaussures me plaisent !— Ne sois pas plus imbécile que tu l’es à présent… La vendeuse, elle était belle non ? Toi qui aimes les décolletés, tu t’es bien rincé l’œil, tu en as eu pour ton argent. Ne dis pas le contraire, j’ai bien vu.— Ben euh, oui, mais bon, ce n’est pas de ma faute.— Mais je ne te reproche rien. Et pourquoi crois-tu que j’aie insisté pour aller dans ce magasin, ce n’est pas un hasard.Je ne comprenais plus rien… ma femme m’avait jeté dans les griffes de cette femme, au sens figuré, bien sûr !— J’étais venue seule, il y a une semaine, j’avais remarqué que cette belle vendeuse ne portait pas de soutien-gorge lorsqu’elle s’était occupée d’une dame. Et tout à l’heure, en passant devant la vitrine, je l’ai reconnue. Sachant que tu aimes ces situations, j’ai voulu te faire cette surprise, c’est pourquoi j’ai insisté pour que nous y allions.J’étais surpris, ébahi, décontenancé par les propos de mon épouse.— C’est donc sciemment, sachant que je pourrai mater ses seins, que tu m’as proposé d’aller acheter des chaussures.— Oui, et c’est sciemment que je t’ai fait essayer le 41 sachant que ça n’irait pas pour que tu puisses en profiter plus longuement. Et c’est dommage, la semaine dernière, elle portait un top plus échancré, sa poitrine était plus visible. Comme elle s’occupait d’une dame âgée, elle faisait moins attention pour se cacher, mais moi j’avais nettement remarqué ses petits seins en forme de poires.Ma réaction fut immédiate, érection extrêmement rapide.— Et tu me dis ça comme ça, c’est malin, rien que d’imaginer la scène, ça m’excite.— Ses petits seins en poires bien tendus qui tendaient son chemisier, c’est ça qui t’excite.— Arrête chérie, tu exagères. Je n’en peux plus, je ne vais pas pouvoir me retenir longtemps si tu continues tes allusions.— Quelles allusions, je te parle d’une belle demoiselle, qui malgré elle, t’a permis de vivre un fantasme que tu aimes : apercevoir ses seins, sa poitrine, tu sais ce que tu adores chez moi… ce n’est pas désagréable d’en voir d’autres, non ?Je bandais, j’étais à deux doigts d’exploser. Et je sentais ma chérie de plus en coquine. Ses yeux brillaient.— Dis donc, tu me décris avec beaucoup de précision ce que tu as vu, ça t’a plu, toi aussi ?— Une belle femme et une belle poitrine, c’est très joli. Il n’y a pas de mal à dire cela même de la part d’une autre femme. Ce n’est pas pour autant que j’aime les femmes, tu le sais d’ailleurs.Tout en parlant, nous nous dirigions vers la voiture au parking souterrain. Durant le trajet, je demandai de me raconter la scène de la semaine passée.— Je t’ai déjà tout dit. Je regardais les chaussures, j’ai vu cette vendeuse de dos penchée pour aider une dame âgée à se chausser.— Oui et puis, raconte…J’étais de plus en plus excité en me remémorant ses petits seins en poire.— Ben, je suis passée devant et j’ai aperçu le décolleté de la vendeuse.— Et pourquoi, tu l’as regardé ?— Je ne sais pas, ça m’a surpris d’autant plus qu’elle se relevait légèrement pour parler à la dame et j’ai pu voir ses seins. Je les ai regardés, mes yeux se sont fixés sur cette poitrine petite, mais belle à regarder.— Ça t’a plu ?— J’ai pensé que c’était beau surtout quand la femme est bien foutue. Eh oui, je l’ai matée comme un mec tant c’était improbable et joli.Nous arrivions à la voiture, j’étais de plus en plus excité, car j’imaginais la scène de mon épouse, son regard plongé dans le décolleté de la vendeuse. Tout en m’asseyant, je continuais à la questionner, histoire de satisfaire ma curiosité.— C’est vrai qu’elle est canon, la fille. Et du coup tu t’es dit, je vais en faire profiter mon mari ? Mais c’est gentil cela…— Ce n’était pas prémédité, c’est au moment où je l’ai reconnue toute à l’heure que j’ai eu cette idée. Je sais que tu as un faible pour les décolletés cachés. Tu le regrettes, peut-être ?— À ton avis ?En guise de réponse, je lui montrai la bosse sous mon short. Personne à proximité, de notre place de stationnement, j’osais…— Tu veux voir de plus près ?J’ai libéré mon sexe tendu, quelques gouttes de nectar perlaient au bout du gland.— Chéri, arrête, on pourrait nous voir…— Oui, tu as raison, viens comme ça on ne le verra pas.Et ma petite femme s’en est approchée, j’ai pris sa tête dans mes mains. Ma chérie a donné des petits coups de langue très précis pour savourer le nectar qui perlait. Puis sans ses mains, elle a fait coulisser sa bouche sur ma verge telle la colonne de la Place Vendôme tant mon sexe était tendu, tout doucement en allant au plus profond de sa gorge, une fois, puis une autre fois et encore une fois et j’ai explosé dans sa bouche. Elle a avalé en plusieurs gorgées tant ma semence était importante. J’avoue que toute cette excitation passée avait favorisé cette fellation extrêmement rapide, mais divine. Elle a fini en en essuyant de délicieux petits coups de langue les dernières gouttes qui semblaient encore jaillir.Après quelques instants, histoire de ne pas en perdre une goutte, je rangeai mon sexe qui pouvait à nouveau regagner sa place avec pudeur.Quant à ma chérie qui avait un regard de coquine, elle réajustait sa coiffure dans le miroir de courtoisie du pare-soleil et s’assurait que sa bouche ne laissait pas de traces. Je l’ai embrassée en lui disant :— Comme ça, tu seras toute propre !— Ah, c’est malin !J’aurais bien voulu connaître son état d’excitation, j’ai risqué ma main dans son entrejambe. Fin de non-recevoir— Tu es fou, chéri, pas ici, on pourrait nous voir.— Hum, dommage, tu me parais bien excitée toi aussi…Un petit sourire qui en disait long et nous avons vite quitté le parking.— En tous cas merci, petit cœur, très beau cadeau que tu m’as fait. On recommencera d’accord ?— Dis, c’est déjà pas mal, non ?— Oui tu as raison, du coup, on fera l’inverse.— Quoi l’inverse, qu’est-ce que tu veux dire ?— L’acheteuse que tu seras, dévoilera malgré elle quelques parties normalement cachées en essayant des chaussures. Ainsi, je pourrai en profiter tout comme le vendeur, à moins que tu préfères cette vendeuse ?— Ah non, certainement pas, je ne suis pas une allumeuse et pas dans un magasin où je vais.— La vendeuse de toute à l’heure, tu penses qu’elle le faisait exprès ? Non, tu es d’accord. Tu peux bien avoir un comportement identique sans provoquer.— Mouais, je sais pas… En tous cas pas chez nous.— Mais non, ma chérie, je connais la chanson… en vacances, loin de chez nous pour ne pas être reconnue… En été, et c’est moi qui choisirai ta tenue. D’accord ?En guise de réponse, un sourire… j’ai toujours aimé cette façon complice qu’avait mon épouse d’acquiescer mes propos, mais sans le dire ouvertement. Ça la rendait encore plus coquine… Je savais bien ce que ça voulait dire !Et dire que je commençais à nouveau à bander simplement de penser à cette future situation. Connaissant ses décolletés qu’elle pouvait porter en été, j’imaginais déjà la scène… ça promet !À bientôt pour la deuxième partie. Un peu de patience !