Voilà maintenant deux mois que cet homme m’obsède alors que je ne l’ai jamais vu, on a simplement discuté au travers d’un tchat et il a su déclencher en moi, des sensations que je ne me connaissais pas.Cinquante ans depuis peu, marié, j’ai une vie des plus banales. Dans mon couple plus rien ne se passe, on est devenu, avec mon épouse, des bons copains et cela semble nous aller. J’ai toujours eu une attirance sexuelle pour les hommes, mais uniquement dans la soixantaine, cela depuis mon adolescence. Ce qui ne m’a pas empêché d’aimer faire l’amour avec une femme.Donc, il y a deux mois je me connecte sur un tchat qui propose de nombreux groupes de discussion, j’avais sélectionné le salon des 60+ et je fus surpris de voir de nombreux pseudo sans équivoque. La plupart cherchaient des plans cul. Je me suis connecté avec ce titre pas original pour un sou « H50chH60 ». Beaucoup de contacts, mais bien peu d’intéressants, jusqu’au moment où « Diablotin » se présenta.Il était courtois, agréable et pas pressé de tirer un coup comme la plupart. Il me posa de nombreuses questions sur mes attentes, mes envies et je me suis livré à lui avec sincérité, lui avouant mon goût pour le travestissement et bien loin de le choquer, il se montra très enjoué. Nous nous sommes échangé nos courriels afin de pouvoir partager des photos.Lorsque j’ai vu son corps pour la première fois, j’ai tout de suite été excité alors qu’il n’avait rien d’extraordinaire. Une taille moyenne, cheveux gris et court, légèrement bedonnant, un très joli sexe, ni trop gros, ni trop petit, juste parfait pour moi et une belle paire de testicules. Il avait une manière de me parler très particulière, je me sentais femme et soumise, un vrai régal.Il m’indiqua qu’il avait hâte de me rencontrer et me proposa plusieurs dates qui ne m’arrangeaient pas, alors lorsque je lui dis que j’avais une possibilité le soir du 31 décembre, il accepta sans rechigner et j’en fus plutôt surpris.Nous avons échangé pendant les dix jours avant notre rendez-vous, des courriels très, très chauds où il me détaillait ce qu’il me ferait. Ce faisant, il a mis le feu dans ma tête, dans mon corps, je ne pensais plus qu’à lui, le jour, la nuit, une véritable obsession.Ce jour que j’ai attendu avec tant d’impatience est enfin arrivé. Nous sommes le 31 décembre 2019 et ce soir je rencontre Monsieur Jean. Je lui ai déjà fourni l’adresse avec en plus, un plan marqué de l’itinéraire qu’il devra suivre pour arriver jusqu’à moi.J’ai pris de nombreuses précautions, car l’accueillir sur mon lieu de travail est quand même risqué, mais mon désir est bien plus fort que ma raison.Je me suis apprêté au mieux. Rasage intégral, lavement, crème adoucissante, je suis tout excité. Mon imagination tourne à 200 km/h, je passe en revue tous les scénarios possibles, ce qui me provoque une érection quasi insoutenable, sachant que j’aimerais pour cette rencontre, oublier que j’ai une queue. Ce soir, je suis Pierrette et elle a une belle chatte avec un gros clitoris.Mon épouse est partie réveillonner avec ses amis, je rejoins donc mon entreprise avec enthousiasme (je reste volontairement discret sur ma profession). Je suis dans le vestiaire et me déshabille.J’enfile une paire de bas que je fixe sur un porte-jarretelles noir en dentelle puis vient le tour d’un string ficelle en tulle noir qui contient tout juste mon sexe, pour finir je mets cette superbe nuisette noire, elle aussi, qui est totalement transparente sauf au niveau des bonnets très bien rembourrés. Je me regarde dans le miroir et loin de me trouver ridicule, je suis plutôt sexy. Bien sûr, une perruque, des talons et du maquillage viendraient parfaire mon apparence, mais ce sera pour une autre fois.Un coup d’œil à ma montre, encore une heure à attendre. J’en profite pour tout préparer. Préservatifs, une bouteille de champagne vide que j’ai préalablement bien nettoyée, un ceinturon, des essuie-tout et bien sûr du lubrifiant.D’ailleurs, je me badigeonne l’anus avec, je masse celui-ci et insère un doigt puis deux, je me dilate délicatement. Ce traitement m’occasionne une nouvelle érection qui ne peut être contenue par mon string. Il faut que je me calme, mon visiteur devrait arriver sous peu.Alors, direction la pièce dans laquelle je vais recevoir, mon peut-être futur Maître (c’est comme cela qu’il veut que je l’appelle).Je pénètre dans le bureau sans éclairer, car la devanture vitrée laisse passer aisément la lumière des candélabres. J’ai une superbe vue sur la rue et le petit parking où Maître Jean devrait bientôt stationner.Être en nuisette devant ces voitures et badauds qui passent est vraiment excitant. Je sais que je ne cours aucun risque d’être vu (tant que je n’allume pas l’intérieur), car les grandes vitres sont teintées façon miroir.Je pose la bouteille, le ceinturon, le lubrifiant et les capotes bien en vue sur le grand bureau que j’ai pris soin de débarrasser.Il est bientôt 23 h, il ne devrait plus tarder. Je guette toutes les voitures, espérant que l’une d’elles mette son clignotant à gauche pour rejoindre le petit parking privé. Rien ne se passe, nous avions rendez-vous à 23 h et il a vingt minutes de retard. Le désespoir commence à me tirailler. Il ne va quand même pas me poser un lapin, ça n’a pas de sens, c’est lui qui m’a persuadé de cette rencontre. J’aurais dû quand même m’en douter, car un rendez-vous le soir du réveillon, ce n’est pas commun.Tant pis, je m’amuserai tout seul, ma main s’empare de la bouteille, je la porte à ma bouche, je la lèche avec délicatesse, imaginant que c’est le sexe de Maître Jean (il m’avait envoyé plusieurs photos de sa jolie queue), mes lèvres se resserrent sur le goulot, je commence un va-et-vient en essayant d’enfoncer le plus loin possible cette bouteille quand soudain, un véhicule ralentit, met son clignotant à gauche et va rejoindre le parking. Ça ne peut être que lui, c’est sûr, en tout cas je l’espère.J’attrape ma salopette de travail et en dix secondes je suis habillé, car si c’est lui, il doit passer devant la vitrine, prendre la première rue à droite puis encore à droite pour arriver dans une cour intérieur où je dois l’attendre. Nous avons décidé d’un signe de reconnaissance, car si nous nous sommes vus nus, nos visages nous sont inconnus. Il m’appellera Pierrette et je lui répondrai Maître Jean.Un homme de taille moyenne sort du véhicule, il regarde autour de lui, semble jeter un coup d’œil sur une feuille, peut-être le plan que je lui ai donné ?Il traverse la rue, je le vois distinctement. Il a les cheveux gris, coupés courts. Son visage est plutôt joli, mais il a un air sévère. Mon cœur s’accélère, il passe devant moi sans me voir puis avec hésitation tourne à droite comme prévu.Cette fois c’est certain, c’est lui. Je me précipite à l’arrière du bâtiment, puis au moment d’ouvrir la porte de service, je décide finalement de le recevoir en nuisette. Je quitte donc ma salopette, j’ouvre avec beaucoup de prudence la porte de service. Je scrute les alentours, tout semble calme, mais de nombreux appartements sont encore éclairés et c’est le cœur battant la chamade que je m’avance au milieu de la cour obscure. Mes jambes tremblent, le voilà qui vient vers moi avec assurance, il me regarde et d’un air sec me dit :J’étais tétanisé, mais j’ai pu lui répondre d’une voix fluette :— Oui, c’est moi, Maître Jean !— Tu es sacrément gonflé de sortir comme ça !Je l’invite à me suivre et une fois à l’intérieur, je referme la porte à clef. Nous traversons le couloir sombre et nous voilà dans le bureau.— On ne risque pas de nous voir ? s’inquiéta-t-il.— Impossible, sauf si on allume.Il regarde une voiture passer, rassuré, il se retourne, me regarde de haut en bas, le spectacle semble lui plaire.— Tu es très belle comme ça, ma Pierrette, une vraie petite salope !— Merci, Maître Jean !Il me fait tournoyer, me malaxe les fesses puis il quitte sa veste, me la tend. Je la dépose délicatement sur le portemanteau. J’attrape sa main tendue, il me serre contre lui. Son parfum m’enivre, mais je suis pétrifié, ne sachant comment agir. Il s’amuse de mon embarras et me dit :— Alors, ma petite pute fait sa timide. Caresse-moi !Mes mains tremblantes s’aventurent sous son pull. Je me serre fort contre lui, ma bouche embrasse son cou pendant que mes doigts caressent son dos, sa nuque. J’effleure ses tétons, son nombril, il semble apprécier.— C’est bien, ma Pierrette, continue comme ça !Je n’ai qu’une envie, attraper sa queue. Donc, avec ma main droite, je défais son pantalon qui tombe à ses pieds alors que de la gauche je caresse ses fesses.J’obéis instantanément, je suis surexcité, j’embrasse son sexe à travers son slip, il sent bon. Une légère bosse se forme et le slip rejoint le pantalon.La voilà, elle est devant moi, j’ai tant rêvé de ce moment que je veux le fixer dans ma mémoire. Je dépose de tout petits bisous sur son gland recouvert par le prépuce, il ne bande pas encore beaucoup, tant mieux, j’aime sentir une queue grossir dans ma bouche.Ma langue passe sur sa hampe pour finir par lécher ses grosses bourses peu poilues. Je me régale. Encouragé par Maître Jean, je gobe avec ferveur sa queue, je la lèche, la suce et la voilà qui gonfle. Elle me remplit bien la bouche.Je suis heureuse et je voudrais pouvoir le sucer toute la nuit.Je suis surpris par des déflagrations puis des hurlements, des cris. Ça y est, nous venons de basculer en 2020.— Tu commences l’année comme tu l’as finie, en étant ma petite pute préférée. On va passer une bonne année ensemble, car à partir d’aujourd’hui, tu es à moi. Compris ?— Hum !C’est tout ce que je peux répondre, ayant toujours sa queue dans ma bouche, de plus il plaque fortement ses mains sur ma nuque pour s’enfoncer le plus loin possible. Je m’étouffe, j’ai un haut-le-cœur, il maintient sa pression, j’essaye de respirer par le nez. Un nouveau haut-le-cœur et enfin il se retire me laissant reprendre mon souffle.— Voilà, ta première tâche, tu devras t’entraîner, car je veux pouvoir mettre toute ma queue dans ta bouche et ta langue viendra sucer mes boules en même temps.— Oui, Maître, je vous promets de tout faire pour y arriver !— J’en attends pas moins de toi. Malgré tout, tu viens de me décevoir pour la première fois et je ne peux laisser passer cela.Le ton sec de sa réprimande m’inquiète surtout qu’il me relève prestement et m’ordonne de disposer mes mains à plat sur le bureau puis d’une pression sur mes épaules m’oblige à me pencher.— Parfait, ne bouge plus !Sa main caresse mes fesses, avant de s’abattre sur celles-ci. Je m’y attendais, donc c’est avec un petit couinement de plaisir que j’encaisse ma première claque. Lorsque la deuxième arrive, je pousse un petit cri, car il y a mis du cœur, mais il me caresse et sa main m’électrise.— Je vois que tu avais prévu d’être puni, petite salope !Et il prend le ceinturon sur la table.Je m’inquiète vraiment, car mes fesses me brûlent déjà.Vlan, vlan !Si les premiers coups sont mesurés, la série qu’il vient de m’infliger va me laisser des traces, c’est sûr.Je me tortille dans tous les sens, la douleur se fait insupportable. Peut-être, l’a-t-il senti, car il pose le ceinturon puis délicatement cajole mes globes martyrisés. Ses doigts sur ma peau sont d’une douceur inouïe. Mon rythme cardiaque redescend et ma respiration se calme, j’apprécie ce moment. C’est la première fois que je suis fessée aussi durement et cependant je suis heureuse, car mon Maître me dit :— C’est très bien, ma petite Pierrette, tu es résistante, j’aime ça !Sa satisfaction me rend fière. Je n’ai toujours pas bougé, paralysé par ses caresses si douces. Le feu qui embrasait mes fesses s’est éteint sous la douceur de ses paumes.Il écarte la ficelle de mon string, passe sa main dans le sillon de ma raie. Il s’attarde autour de ma rosette, il me présente ses doigts devant ma bouche en me disant ;— Lubrifie-moi avec ta salive, je vais fouiller ton cul !— Il y a du lubrifiant sur la table ! lui dis-je.— Tu ne discutes pas mes ordres, il faut que ce soit bien clair !— Pardonnez-moi, Maître !— Alors, fais ce que je te dis !Je m’applique à sucer et mouiller le mieux possible les trois doigts qu’il m’a enfoncés loin dans la gorge.Une fois ses doigts bien enduits de ma salive, il insère son majeur tout entier sans difficulté. Du coup, il ressort et rajoute l’index, ça force un peu plus, mais mon anus se détend et avale ces deux doigts. Les sensations qu’il me procure sont divines. Une douce chaleur irradie mon ventre.— Tu l’as bien préparé, ton petit trou, petite salope.— Oh oui, mon Maître, je voulais vous plaire !— Tu as eu raison, car tout à l’heure, je vais t’enculer comme une pute que tu es !— Comme il vous plaira, Maître !— J’aime ce comportement, si tu es sage et obéissante alors je te donnerai du plaisir comme tu n’en as jamais eu. En attendant, tu vas me lécher le cul. Allez, à genoux !Je m’exécute illico. Il écarte un peu les jambes, se penche en avant, prend avec ses mains un appui sur la table.— Allez, fais ça bien !J’embrasse ses globes, ma langue suit son sillon. Il sent bon, ce qui m’encourage à lui écarter les fesses pour aller lécher avec ferveur son anus. J’insère le plus loin possible ma langue dans son rectum et cette caresse plaît à mon Maître, car je l’entends gémir.J’obtempère sans broncher. Pourtant, le voyant prendre à nouveau le ceinturon, une angoisse s’empare de moi, surtout quand il promène ce morceau de cuir tout au long de mon corps. Je frissonne, mélange de crainte, de désir, me savoir à sa merci me procure un véritable plaisir.Il m’enjambe, s’accroupit et vient s’asseoir sur mon visage. J’ai mon nez dans son anus, ma langue lèche ses bourses. Il s’appuie fortement, m’empêchant de respirer. Après vingt secondes en apnée, je gigote pour me dégager et là, il cingle mes cuisses, mon sexe, sans beaucoup de retenue, si bien que je trouve cela très douloureux et en même temps presque agréable. En attendant, je manque d’air et j’essaye de tourner la tête. Deux autres coups secs sur l’intérieur de mes cuisses me font gémir.— C’est moi qui décide, quand ça s’arrête. Toi, tu obéis !Et disant cela, il se relève un peu permettant à l’air d’atteindre mes poumons. Je prends de grandes et longues inspirations. Il se rassoit et de nouveau je n’ai plus d’air. Au bout d’une trentaine de secondes, il relâche sa pression. Il me fouette les seins, le ventre, le sexe, mais sans violence excessive, du coup ses petites brûlures qui s’éteignent aussitôt m’excitent et mon string ne peut empêcher mon membre de sortir le bout de sa tête.— Je vois que tu aimes te faire fouetter, ma petite salope !Il attrape ma queue et mes testicules, les écrase dans sa grosse main en disant :— Je t’interdis de jouir sans mon accord, c’est bien compris !Il me fait si mal que j’ai du mal à lui répondre.— Ahhhh ! Oui, Maître, j’ai compris !Il relâche son étreinte, j’en ressens un grand soulagement.Nous nous relevons, il m’enlace et caresse mes fesses. Je m’abandonne.Il y a des badauds qui passent devant la vitrine, se regardant machinalement dans le miroir sans se douter une seconde qu’un Maître et sa soumise se caressent là devant eux.— Allonge-toi sur la table et relève tes jambes !— Tout de suite, Maître !Il recule un peu, semble apprécier ce qu’il voit.Il récupère le lubrifiant sur la table et m’enduit la rondelle, insérant un doigt puis deux. Ses va-et-vient sont très rapides et ses mouvements circulaires me donnent la sensation de m’ouvrir.Je suis en extase, une douce chaleur irradie mon ventre.— C’est quoi cette bouteille de champagne ? dit-il en la désignant de sa main libre. Tu as fait la fête sans moi ?— Non, elle était déjà vide !— D’accord, je ne lui vois alors qu’une utilité, passe-la-moi ?Je lui tends celle-ci, il la badigeonne de lubrifiant et me sodomise avec et cela tout en étant des plus délicats.J’ai envie de le sucer en même temps alors je tends ma main pour saisir sa queue bien bandée.— Je suis sûr que tu veux la sucer, petite pute !Mon Maître, est-il un devin ?En tout cas, il se déplace le long de la table et me fourre sa grosse queue dans ma bouche, tout en continuant à me triturer le cul avec la bouteille, qu’il enfonce de plus en plus loin. Mon anus accepte ce traitement sur les douze premiers centimètres, mais au-delà, j’ai mal, car cette partie est très évasée, avec l’impression que mon anus va rompre.J’essaye d’oublier cette douleur en me concentrant sur sa queue. Je l’enroule avec ma langue, l’aspire, la lèche jusqu’à entendre mon Maître dire :— Elle suce bien, ma petite Salope, mais c’est ton cul que je veux !Je lui tends un préservatif qu’il enfile aussitôt. Il replie mes jambes sur mon torse, accroche mes hanches pour me tirer au bord de la table.Voilà le moment dont j’ai tant rêvé. Je sens son gland forcer mon anus et un plaisir immense m’emporte lorsque sa queue est au fond de moi. Il s’arrête, m’observe et sourit.— Ça rentre tout seul, c’est une vraie petite chatte que tu as !Point de douleur, juste la délicieuse sensation d’être comblée et à partir de maintenant je lui appartiens. À cet instant, j’aimerais pouvoir l’embrasser à pleine bouche, mais je n’ose lui demander.Il commence des petits mouvements avec son bassin. Ses mains toujours accrochées à mes hanches, il accélère ses à-coups. Je couine comme une pétasse. Il souffle comme un bœuf et me pilonne comme un taureau, je suis sur le point de jouir, il s’en rend compte, attrape le ceinturon et me fouette avec force le sexe. La douleur a un effet immédiat, elle vient de stopper net ma sève qui commençait à monter.— Tu n’as pas compris ? C’est moi qui et moi seul qui t’autoriserai à jouir. Puisque tu n’obéis pas, je dois te punir !J’ai un moment de frayeur. Je pourrais dire non, mais je suis très excité de cette situation où je ne contrôle rien.— Descends et mets-toi à quatre pattes devant la vitrine !Je m’exécute le sol est froid. Il y a toujours du monde qui passe sur le trottoir, je vois des jambes qui s’arrêtent à ma hauteur, un groupe d’hommes passablement éméchés qui discutent ou plutôt hurlent devant la vitrine pour je ne sais quelles raisons et moi à quatre pattes, le cul à l’air attendant ma punition. Je m’imagine au milieu de ce groupe, ils auraient tous la queue à l’air et je sucerais toutes les bites à portée de bouche…Schlag, schlag !La brûlure des coups de ceinturon m’arrache un cri de douleur, me faisant revenir sur terre. Mes fesses sont en feu, je mets mes mains pour les protéger, elles doivent être marquées, car je sens des boursouflures.Il positionne sa queue entre mes fesses qu’il écarte sans ménagement puis pousse violemment. Malgré cet assaut, c’est le plaisir qui m’enveloppe, il me pénètre de toute la longueur de sa queue, la sensation est divine. Des petits cris de plaisirs sortent de ma bouche et ma tête heurte la vitrine à chaque assaut, à tel point qu’un des badauds se rapproche et cherche à scruter l’intérieur du bureau. Mon Maître, tout en ayant toujours sa queue dans mon cul, cesse ses coups de boutoir et s’amuse de la situation en me disant :— Regarde, petite salope, ils vont tous voir que je t’encule comme une chienne !Une onde de plaisir indescriptible s’empare de mon corps. Je tremble, j’ai chaud et je me moque complètement qu’on puisse me voir, me reconnaître, je ne veux qu’une chose, que mon Maître continue son pilonnage. D’ailleurs, c’est moi qui recule pour engloutir ce morceau de bonheur.— Tu es la plus salope des salopes, rien ne t’effraie, lève-toi et mets-toi contre la vitrine !Bien sûr, j’obéis immédiatement. Mon visage face à cet inconnu qui continue à scruter.— Hé, les gars, il y a quelqu’un là-dedans !Ses amis de lui répondre :— Allez, viens, on va chez Nico se faire payer un coup !Le groupe s’en va bruyamment.Mon Maître passe la ceinture autour de mon cou puis me pénètre sans ménagement. Je râle de plaisir, il me monte comme une jument, tirant sur les rênes pour m’indiquer que je dois me cambrer plus encore.Ses coups de reins s’accélérant, je comprends qu’il ne va pas tarder à jouir. Il se retire prestement, tire sur la laisse pour m’agenouiller, ôte le préservatif et présente sa queue devant ma bouche. Je détourne la tête, un coup sec sur la ceinture me repositionne face à sa queue prête à exploser.— Je vais te jouir sur le visage pour cette fois, ahhhhh !Ayant dit cela, je sens la première giclée venir frapper mes cheveux, mon front puis une deuxième sur ma paupière droite et une troisième sur ma joue. Ça coule, c’est chaud, j’ai envie de le prendre en bouche, mais je m’oblige à ne pas le faire. Encore deux saccades et ses grognements s’arrêtent. Il frotte sa queue déjà ramollie sur tout mon visage, éparpillant son sperme.— Lève-toi ! Tu as été une bonne petite pute et il faut absolument qu’on se revoie très vite !— Comme vous voudrez, Maître !— Voilà mon numéro, dès que tu es disponible, tu m’appelles !— Avec plaisir, Maître !— Je suis sûr qu’on va avoir une année 2020 torride, toi et moi. En tout cas, elle a très bien commencé.Il se rhabille, je l’accompagne jusqu’à la porte puis en guise d’au revoir, il me claque les fesses et me dit :— À très vite, petite Salope !— À bientôt, Maître !Je referme la porte, je suis encore sur un nuage, le cul en feu, mais totalement comblé et pourtant je n’ai pas éjaculé, mais peu m’importe, car l’intensité de mon plaisir fut fabuleuse.Un peu de ménage, une bonne douche, je vais pouvoir reprendre mon travail et répondre aux nombreux messages reçus pendant mon incroyable soirée du réveillon.