Une femme peut en cacher une autre…RĂ©sumĂ© de l’épisode prĂ©cĂ©dent : après avoir consolĂ© une amie de sa mère qui venait d’apprendre que son mari la trompait, il entreprend une relation sexuelle avec elle. Une petite routine bien agrĂ©able s’était installĂ©e entre Anita et moi. Dès qu’elle avait un moment de libre et ne risquait pas d’être surprise par son mari, elle me prĂ©venait et je la rejoignais chez elle pour de jolies parties de jambes en l’air. Ă€ chaque fois, elle essayait de varier ses tenues pour toujours ĂŞtre sexy. C’est ainsi que je ne fus pas surpris lorsqu’un vendredi soir je reçus un texto me donnant rendez-vous le lendemain matin chez elle. Je me prĂ©sentai donc ce samedi matin devant chez elle. Contrairement aux premières fois oĂą une grande apprĂ©hension m’habitait, je n’hĂ©sitais plus Ă prĂ©sent avant de frapper, certain de prendre beaucoup de plaisir avec ma partenaire.Je toquai donc rĂ©solument Ă la porte, et quelques secondes plus tard Anita vint m’ouvrir, toute souriante. Elle Ă©tait vĂŞtue d’un pantalon noir et d’un pull rouge moulants. Par discrĂ©tion, je pĂ©nĂ©trai dans la maison avant de l’embrasser, mais ce que je vis me stoppa net. Une femme brune d’une trentaine d’annĂ©es Ă vue d’œil Ă©tait assise dans le canapĂ© et me regardait fixement. Je restai interdit, ne sachant que faire. Anita m’embrassa furtivement puis attrapa ma main pour m’entraĂ®ner vers le canapĂ© et cette belle inconnue.— Alors mon grand, tu as l’air surpris ?— Il y a de quoi, non ? Je ne m’attendais pas Ă trouver quelqu’un d’autre ici ce matin.— Je te prĂ©sente Christel, une amie de longue date.La femme se leva et se dirigea vers moi pour m’embrasser. Nous nous fĂ®mes la bise puis elle se rassit sans un mot. J’en profitai pour la dĂ©tailler. Elle Ă©tait brune, les cheveux ondulants jusqu’aux Ă©paules, de jolis yeux verts. Elle ne semblait pas possĂ©der une grosse poitrine mais avait une silhouette fine, prĂ©sage de jolies fesses et de belles jambes bien fermes. Elle Ă©tait vĂŞtue d’un chemisier blanc et d’un short en velours marron sur des collants noirs opaques et Ă©tait perchĂ©e sur de petites bottines, marron elles aussi.— Avec Christel, nous nous racontons tout, y compris nos petits Ă©carts amoureux. Je lui ai donc parlĂ© de ton envie de faire l’amour avec deux femmes et elle a semblĂ© intĂ©ressĂ©e.— Je ne peux que l’en fĂ©liciter ; j’en serais ravi !— Cependant, avant de se lancer dans ce genre de trio, elle voudrait ĂŞtre sĂ»re que tu en vaux la peine, et que tu assureras suffisamment pour t’occuper de nous deux. Je lui ai donc racontĂ© comment tu t’occupais bien de moi, mais elle veut vĂ©rifier par elle-mĂŞme.— Et donc ?— Eh bien, vous allez monter dans ma chambre et tu vas lui montrer tes talents sexuels ! Ă€ moins qu’elle ne te plaise pas…— Bien sĂ»r que si : elle est magnifique, mais je dois avouer que je suis un peu surpris, c’est tout.— Eh bien, Ă vous de jouer !Christel se leva et se dirigea vers moi. Elle me prit la main et m’attira vers l’escalier. Je montai derrière elle, en profitant pour admirer son joli postĂ©rieur. ArrivĂ©s dans la chambre, je fermai la porte et nous restâmes quelques instants Ă nous regarder. Ce fut elle qui rompit la glace la première :— Je conçois que c’est particulier comme situation, mais ne t’inquiète pas : je vais te mettre Ă l’aise.Se dressant sur la pointe des pieds, Christel approcha sa bouche de la mienne et m’embrassa avec une douceur infinie. Je rĂ©pondis Ă son baiser en glissant ma langue contre la sienne. Pendant une bonne minute, nous nous contentâmes de ce baiser, collĂ©s l’un contre l’autre. Une belle Ă©rection commençait Ă naĂ®tre dans mon pantalon. Puis Christel se laissa glisser Ă genoux, la tĂŞte au niveau de mon ventre. Habilement, elle dĂ©fit ma ceinture et fit descendre mon pantalon et mon boxer sur mes chevilles. Elle branla quelques secondes mon sexe tendu puis l’engloutit dans sa bouche. Avec application, elle me suçait Ă©nergiquement et je savourais ce plaisir buccal. Au bout de quelques minutes, elle s’écarta de moi et me poussa gentiment vers le lit.— Assieds-toi, ce sera plus pratique. Et ne cherche pas Ă te retenir Ă tout prix : je veux que tu jouisses une fois d’abord pour pouvoir ĂŞtre au top pour t’occuper de moi après…Je me laissai donc totalement aller, la laissant jouer Ă son grĂ© avec mon sexe. J’étais impressionnĂ© par la facilitĂ© avec laquelle elle avalait entièrement ma verge. Puis, alors qu’elle branlait la base de mon sexe et effectuait des va-et-vient sur mon gland avec sa bouche, elle accĂ©lĂ©ra progressivement le rythme et ne me laissa aucune chance de faire encore durer le plaisir. Je me laissai donc aller et j’éjaculai dans sa bouche, savourant mon plaisir. Elle avala sans problème tout le sperme que j’avais dĂ©versĂ© en elle et nettoya mon sexe avant de se relever et de commencer Ă se dĂ©shabiller.— Allez hop ! Ă€ poil, maintenant ! C’est Ă toi de jouer !En un rien de temps, elle fit voler short, chemisier et collant pour ne plus porter qu’un ravissant ensemble string et soutien-gorge mauve en dentelle. Moi-mĂŞme, je me dĂ©barrassai de mes derniers vĂŞtements.Elle vint s’asseoir sur moi, une jambe de chaque cĂ´tĂ© des miennes et les bras autour de mon cou.— Montre-moi ce que tu sais faire… me murmura-t-elle avant de m’embrasser avec la mĂŞme douceur que prĂ©cĂ©demment.Je rĂ©pondis Ă son baiser et dĂ©fis d’une main son soutien-gorge qui glissa entre nous deux. Elle se pencha lĂ©gèrement en arrière et je dĂ©couvris ses seins : petits mais fermes, avec de petites arĂ©oles et des tĂ©tons qui pointaient fièrement. Ma bouche se dirigea bien Ă©videmment vers ces deux protubĂ©rances et les embrassa avec envie. Elle gĂ©missait doucement et me laissait faire tandis que mes mains caressaient son dos et ses jambes…Au bout de quelques minutes, je la saisis par les hanches et la soulevai pour me retourner et l’allonger sur le lit. Je restai quelques secondes Ă la regarder ainsi offerte puis je m’allongeai sur elle et l’embrassai Ă nouveau. Mes baisers descendirent lentement dans son cou, puis sur son sillon mammaire. Ma bouche se dĂ©plaçait sur sa poitrine, allant d’un sein Ă un autre, aspirant ses tĂ©tons et couvrant sa peau d’une multitude de baisers. Elle commençait Ă laisser Ă©chapper des gĂ©missements. Lentement, mes baisers se dĂ©placèrent vers son ventre pour jouer avec son nombril, puis descendirent encore, et je me retrouvai Ă la limite du tissu de son string. Je dĂ©cidai de ne pas enlever ce dernier rempart de suite et mes caresses buccales suivirent le contour du sous-vĂŞtement. Naturellement, elle Ă©cartait les jambes alors que ses gĂ©missements Ă©taient plus poussĂ©s. Je me contentai d’embrasser l’intĂ©rieur de ses cuisses et le plus loin que j’osai aller fut de glisser ma langue sous l’élastique du string. Je dĂ©posai quelques lĂ©gers baisers sur le tissu que je sentais dĂ©jĂ trempĂ©, mais je ne l’enlevais toujours pas, bien qu’inconsciemment – ou consciemment – elle bougeait son bassin pour venir l’appuyer contre ma bouche.Je la fis alors rouler sur le lit pour qu’elle se retrouve sur le ventre. Tandis que mes mains caressaient son dos, j’embrassais fĂ©rocement ses fesses puis je tirai sur le tissu du string glissĂ© entre ces dernières pour qu’il caresse son sexe brĂ»lant. Lentement, mes doigts descendirent vers son pubis que j’effleurai, provoquant chez elle de lĂ©gers spasmes. Enfin, je dĂ©cidai d’ôter ce dernier rempart. Je la retournai Ă nouveau sur le dos et glissai mes mains sous les cĂ´tĂ©s de son string que je fis dĂ©licatement descendre le long de ses jambes. Je dĂ©couvris un sexe presque entièrement rasĂ©, quelques poils subsistant au-dessus de son puits d’amour (ce que l’on qualifie de « ticket de mĂ©tro »). Je dĂ©gageai le sous-vĂŞtement de ses jambes et l’envoyai rejoindre les autres vĂŞtements Ă©pars sur le sol.Elle avait dĂ©sormais les jambes largement Ă©cartĂ©es et son regard me suppliait de venir la lĂ©cher. Je ne me fis pas prier, et ma bouche se dirigea vers cette zone si Ă©rogène. Le premier contact lui arracha un cri Ă©touffĂ©, bientĂ´t suivi par d’autres alors que ma langue cherchait Ă Ă©carter ses lèvres humides. Après avoir jouĂ© ainsi, je remontai ma langue vers son clitoris qui se rĂ©vĂ©la des plus sensibles. Ses cris n’étaient maintenant plus retenus et j’en profitai pour glisser un, puis deux doigts dans son vagin. Je les bougeais au dĂ©but lentement puis accĂ©lĂ©rai le rythme. Je voyais ses mains se crisper sur les draps et sa tĂŞte bouger de manière dĂ©sordonnĂ©e. Puis d’un coup, elle plaqua ma tĂŞte d’une main sur son sexe ; son vagin se souleva et elle fut traversĂ©e d’un violent orgasme. Elle resta quelques secondes dans cette position puis relâcha ma tĂŞte. Je retirai mes doigts de son sexe qui se contractait encore des suites de son orgasme et la laissai reprendre ses esprits.Au bout de quelques minutes, elle attrapa Ă nouveau ma tĂŞte et dirigea mon visage vers le sien. Nous nous embrassâmes Ă pleine bouche et, sans un mot, je glissai mon sexe tendu dans son minou dĂ©goulinant. Je commençai un lent va-et-vient en elle. Ă€ chaque fois que mon sexe arrivait profondĂ©ment en elle, elle poussait un petit cri de satisfaction. J’accĂ©lĂ©rai progressivement le rythme alors que ma bouche se baladait entre son cou et ses lèvres. Ses mains caressaient mon dos alors que l’une des miennes vint glisser le long de sa cuisse pour remonter jusqu’à ses fesses et les saisir. Je continuais Ă la pĂ©nĂ©trer ainsi quelques minutes. Plus ça allait, plus elle suivait mes mouvements avec son bassin. Je m’arrĂŞtai donc de bouger, toujours plantĂ© en elle ; je la sentais se frotter contre moi au rythme oĂą elle le dĂ©sirait. Ses soupirs Ă©taient plus rapprochĂ©s et je sentais le plaisir monter en elle.D’un coup de reins, elle nous fit rouler sur le lit et se retrouva sur moi. Elle se redressa et continua de bouger son bassin autour de mon sexe. Mes mains parcouraient son corps, caressaient ses seins, ses fesses, ses cuisses, saisissaient ses hanches. Cependant, c’est elle qui continuait Ă imprimer le rythme qu’elle dĂ©sirait, frottant avec insistance son clito contre mon ventre. Inexorablement, elle se rapprochait de la jouissance et ses mouvements se firent plus rapides. Je sentais moi aussi que j’étais prĂŞt Ă exploser mais je fis tout pour me retenir, ne voulant pas terminer dans cette position. Mes mains se posèrent sur ses fesses et suivirent tous ses mouvements, de plus en plus dĂ©sordonnĂ©s. Elle agrippa ma poitrine, se crispa dessus et, dans un grand cri, explosa de nouveau. Elle s’agita ainsi quelques secondes sur moi avant de s’effondrer contre mon corps, sa tĂŞte contre mon Ă©paule.J’avais rĂ©ussi Ă ne pas jouir et je la laissai donc reprendre ses esprits, mon sexe toujours tendu en elle. Au bout de quelques minutes, elle se redressa et vint s’installer Ă quatre pattes Ă cĂ´tĂ© de moi. Je me relevai et m’installai derrière elle, le sexe collĂ© au sien. J’admirai quelques secondes ces fesses si magnifiques puis je glissai mon sexe en elle. Rapidement, j’accĂ©lĂ©rai mes mouvements en elle. Je sentais bien que je n’allais plus tenir longtemps. Je donnai donc de grands coups de reins en elle, faisant claquer mes cuisses sur ses fesses. Sentant le plaisir monter, je serrai fermement ses hanches et me dĂ©versai en elle, dans un grand râle typique de la jouissance masculine. Je restai dans cette position le temps que mon sexe commence Ă ramollir puis je sortis mon sexe du sien, un filet de sperme tendu entre nous.Sans mĂŞme m’allonger, je vis Christel se lever, essuyer le sperme qui coulait entre ses jambes avec un mouchoir en papier puis se rhabiller. Je fis de mĂŞme et nous descendĂ®mes, toujours sans un mot.Anita nous attendait en bas, assise dans le canapĂ© en feuilletant un magazine.— Alors, tes impressions ma chĂ©rie ?— Il devrait faire l’affaire. Tu as de la chance d’avoir trouvĂ© un jeune Ă©talon comme lui.Christel ramassa son sac Ă main, embrassa Anita et se dirigea vers la porte d’entrĂ©e devant laquelle je me tenais. Elle ouvrit la porte puis posa ses lèvres furtivement sur les miennes.— À bientĂ´t, mon grand. J’ai hâte…Puis elle sortit et claqua la porte. Quand nous fĂ»mes seuls, Anita vint se coller contre moi.— Tu t’es bien amusĂ© avec Christel ?— Oui, c’était très bien… Mais tu as dĂ» l’entendre, non ?— Oh, que si ! Et ça m’a mise dans un drĂ´le d’état. Regarde.Ă€ ces mots, elle prit ma main et la glissa dans son pantalon. Je pus sentir son sexe et son string complètement trempĂ©s.(Ă€ suivre…)