Cette histoire est basĂ©e sur la dĂ©chĂ©ance d’une femme. C’est violent et difficile Ă lire pour une âme sensible. Si vous n’aimez pas le genre, vous n’aimerez pas cette histoire, alors inutile de la lire. Ce serait comme commander un gratin aux aubergines dans un restaurant, alors que vous dĂ©testez l’aubergine. Vous trouverez le plat dĂ©gueulasse, mais ça vous le saviez avant, ben pour cette histoire, c’est pareil. Pour les autres, bonne lecture, car je pense que c’est mon meilleur texte Ă©crit jusque Ă prĂ©sent.Sinon, Ă©tant Italien, et arrivĂ© Ă vingt ans en France, j’ai appris le français parlĂ©, auprès de ma mère qui est française. Par contre pour ce qui est de l’Ă©crit, je l’ai appris Ă l’Ă©cole, en Italie, ce qui explique que j’ai pas mal de lacunes. MalgrĂ© les correcteurs d’orthographe et les petits trucs de quelques lecteurs, mes textes sont truffĂ©s de fautes de grammaires et d’accords, notamment sur le pluriel des verbes, mais aussi de fautes conjugaison. Veuillez m’excuser pour ce souci, que j’amĂ©liore Ă chaque texte. Pour ce que cela rebute, Ă©vitez de le lire, si pour vous les accords, la grammaire, la conjugaison, est plus important que le texte. Je remercie pour leur courage ceux qui me pardonne ces fautes, et me lise quand mĂŞme. Bonne lecture Ă vous.Pour finir je ne fais aucunement l’apologie de la violence, ni d’ailleurs l’apologie de quoique ce soit. Le viol et tout ce qui est dĂ©crit dans ce texte est sĂ©vèrement puni dans toutes les dĂ©mocraties de ce monde, ce qui est une très bonne chose, que j’approuve et soutien complètement. Ce n’est mĂŞme pas le rĂ©sultat d’un fantasme, juste une histoire que j’ai eus envie de raconter. En essayant de la rendre le plus proche possible de ce qui est malheureusement une rĂ©alitĂ©. Je dirais mĂŞme que ce que font vivre les mafias albanaises ou tchĂ©tchène par exemple sont souvent bien pire, avant que les malheureuses arrivent en Europe de l’Ouest. D’ailleurs, l’afflux de prostituĂ©es ukrainienne sur le sol des pays d’Europe accueillant des rĂ©fugiĂ©es, n’est Ă priori pas toujours volontaire. Elles ne se sont pas dit: super, Poutine nous attaque, allons-nous prostituer Ă Paris, Rome, Londres ou Berlin. Mais cela la tĂ©lĂ© n’en parle pas, alors tout le monde s’en moque… ComparĂ©e Ă la rĂ©alitĂ©, mon texte est presque doux, comparĂ© Ă la violence, la noirceur et la dĂ©pravation de notre monde.Assurez-vous donc d’aimer ce type d’histoire, d’avoir le cĹ“ur bien accrocher. C’est violent, âpre, dĂ©rangeant, très noir. Mais surtout il n’y a aucun espoir pour les protagonistes, ni aucune douceur. Ce chapitre et les suivants seront dans le mĂŞme style et du mĂŞme type que les prĂ©cĂ©dents. Si cela vous a gĂŞnĂ©, ne lisez pas ce chapitre. Tous les personnages de cette histoire sont majeurs.Clotilde : Victime principale de cette histoire. Trente-deux ans. Blonde aux yeux verts, elle a de gros seins : 80 bonnet E. Mince, avec une chute de reins très prononcĂ©s, mettant en valeur un petit cul bombĂ©, en forme de cĹ“ur, aux fesses fermes.Ninon: Vingt-trois ans. Blonde aux yeux bleus. Un vrai canon aux gros seins et au cul d’enfer. Ninon Ă presque le mĂŞme corps que Clotilde.Emma : Dix-huit ans. Blonde aux yeux verts. Elle est le sosie de Clotilde aussi bien de visage que de corps, mais avec quinze ans de moins. Ainsi que des seins aussi gros, un cul aussi beau, mais le tout avec la fermetĂ© de sa jeunesse.GĂ©raldine : Rousse aux yeux marrons, vingt-quatre ans. Seins 90 B, un joli corps. C’est une belle infirmière qui s’occupe de Clotilde Ă l’hĂ´pital.Greg et Meyer : Collègues de travail de Clotilde. C’est eux qui la viole et en font leurs esclave en premier.JĂ©rĂ´me : Ami de Greg et tourmenteur de Clotilde.L’amĂ©ricain : Chirurgien travaillant pour une mystĂ©rieuse organisation. C’est lui qui s’occupe de Clotilde pour la remettre en Ă©tat.Pierre : Frère de Clotilde, qui l’a agressĂ©e sexuellement quand Greg la lui a offert.Jeff : Mari de Clotilde et père d’Emma. Il viole et dĂ©pucelle sa fille.Boris : Directeur d’un hĂ´tel de passe, appartenant Ă la mystĂ©rieuse organisation.Moi :C’est en pleure que j’ai vu Greg se dĂ©shabiller. J’ai gĂ©mis de terreur, bien malgrĂ© moi, quand il s’est couchĂ© sur mon corps attachĂ© et Ă©cartelĂ©. J’ai hurlĂ© quand il a commencĂ© Ă me pĂ©nĂ©trer. Un deuxième premier viol… en pire… Sa bite n’a pas grossi, par contre mon sexe, lui, a bien rĂ©trĂ©ci…La douleur, putain, la douleur… J’ouvre la bouche, je veux hurler… aucun son ne sort… J’ai tellement mal… il n’y a plus d’air dans mes poumons… Greg, lui, entre… il s’enfonce… s’enfonce… comme d’habitude, il se moque de ce que je ressent… je ne suis qu’un rĂ©ceptacle pour sa bite… juste un objet de plaisir…Au travers de mes larmes, je vois GĂ©raldine qui me regarde. Je vois de la pitiĂ© dans ses yeux. Elle sait ce que je vis, elle a probablement vĂ©cu la mĂŞme chose. Puis enfin mon hurlement sort. Il emplit la pièce. Long. Guttural. Sourd. Contentant toute la misère du monde… toute la misère de mon monde. Cette fois mon cri n’est pas une mĂ©lodie aux oreilles de mes violeurs. Ils m’enfoncent un tissu Ă©pais dans la bouche, me bâillonnant. Il n’y a plus le son, mais la douleur, elle, est toujours lĂ .Quand il se met Ă bouger en moi, ma souffrance se dĂ©cuple. Je ne pense plus Ă mon Ă©vasion, de nouveau, je ne pense plus qu’Ă une chose… Que ce viol soit mon dernier, que sa bite me tue… Greg attrape mes cheveux, me redresse la tĂŞte, pour que je vois son pĂ©nis en moi… Pour mon plus grand malheur, alors que j’ai l’impression que des mètres de bite sont en moi, je me rends compte qu’il n’a encore entrĂ© que son gland…Emma :Quand Emma revient Ă elle, la jeune fille fond en larmes. Elle voit ses tĂ©tons piercĂ©, elle en sent un sur son clitoris. Elle voit le tatouage, un Ă©clair jaune avec deux « I » majuscules. La jeune fille sent aussi le corps de son père contre le sien. Alors elle ne bouge pas. Emma ne veut pas le rĂ©veiller. La jeune et belle fille sait ce qui l’attend. Il la violera aussitĂ´t rĂ©veillĂ©.Puis le dĂ©goĂ»t l’envahit, il l’a prĂ©venu, il ne la violera pas aussitĂ´t, avant elle devra boire son urine, c’est son nouveau rĂ´le. En plus d’ĂŞtre la pute de son père, maintenant, elle en est la pissotière. Si elle est sage, il n’urinera que dans sa bouche. Si elle le déçoit, se sera dans son sexe ou entre ses fesses.Emma aura trente minutes de rĂ©pit, avant qu’elle ne sente son père bouger. Le petit canon pense d’abord faire semblant de dormir pour gagner quelques secondes. Puis elle se dit que si il s’en rend compte, il urinera dans son corps. Tout sauf ça.Alors elle se met Ă genoux, attendant que son père ouvre les yeux. Quand il le fait, elle lui dit, comme il le lui a appris :- Bien dormit, papa?- Oui.- Ta pissotière est prĂŞte. Quand tu auras fini de m’offrir ton divin nectar, tu veux que je transforme ma gorge de WC en garage pour ta bite? Ou tu prĂ©fères un autre de mes orifices?- Quand j’ai finis de pisser, tu me fais bander avec ta langue, ensuite je veux que tu empales ton cul de salope sur ma bite.- D’accord papa, ta putain fera tout pour te faire plaisir.HumiliĂ©e au plus profond de son âme, Emma ouvre la bouche, elle se penche, avalant le dĂ©but du membre mou de son gĂ©niteur. Ses douces lèvres se refermant hermĂ©tiquement juste en dessous le gland du mâle. Quand il commence Ă uriner, elle se met Ă tout avaler.Erwan Duflot :- Encore une tranche de rĂ´ti chĂ©ri?Perdu dans ses pensĂ©es, Erwan, vingt-neuf ans n’entend pas sa femme. Il faut dire qu’il a pas mal de problèmes. Lui, et par Ă©cho, sa famille.- Papa, maman te demande si tu veux encore du rĂ´ti.La voix de sa fille, Lilas sept ans, le tire de ses pensĂ©es maussade. Elle est l’aĂ®nĂ©e de ses enfants, il a Ă©galement un fils, Kevin cinq ans. Il est en couple avec Li depuis dix ans, mariĂ© quelques mois avant la naissance de leurs fille, quand Li a appris qu’elle Ă©tait enceinte.Li est française d’origine thaĂŻlandaise, elle a vingt-sept ans. C’est une très belle femme, joli visage, petit seins affriolants, cul splendide. MalgrĂ© les annĂ©es, ils s’aiment encore.- Non, merci chĂ©rie.Sa femme n’insiste pas, elle voit qu’il n’est pas bien. Elle sait qu’au boulot cela n’est pas top. C’est en partie ce qui mine son mari. Il a sa propre entreprise dans l’Ă©nergie. Un concept novateur pour le solaire, les centrales hydroĂ©lectrique et d’autres truc du genre. Des matĂ©riaux moins polluants Ă la construction, un coĂ»t un peu plus lourd, mais amortit plus rapidement. Le souci c’est que pour se dĂ©velopper, il lui faut d’abord de petit contrat. Et lĂ , son invention est plus cher que ses concurrents, pour un amortissement un peu plus long. MĂŞme si sur le long terme, il rapporte plus. Ses amĂ©liorations ne gagnant en amortissement ou en gains qu’Ă partir d’une certaine taille qu’il n’a pas les moyens de construire.L’autre problème, c’est que ce n’est que du thĂ©orique. Il a bien trouvĂ© au dĂ©but, un investisseur, qui a injectĂ© cinq millions d’euros dans son entreprise. PrĂŞt qu’il doit commencer Ă rembourser dans six mois. Cinq ans jour pour jour après l’envoi de l’argent. Mais tout a Ă©tĂ© engloutit dans l’Ă©laboration thĂ©orique du projet. Ce qui fait, que tous les contrats auxquels il a postulĂ© l’ont refusĂ©. Il ne lui reste plus que deux chances : un contrat Ă deux millions d’euros, pour lequel il a postulĂ©, pour s’en sortir. Ce contrat pourrait mener, pour la mĂŞme entreprise, Ă un plus gros de cinquante millions, auquel il a Ă©galement postulĂ©. Il aura la rĂ©ponse dans deux mois pour le premier et une semaine plus tard pour le deuxième. Il prie pour que cela marche. Car si il n’y a qu’une autre entreprise pour le concurrencer, cette dernière a pignon sur rue, et l’a dĂ©jĂ battue dans des appels d’offres prĂ©cĂ©dentes.Mais ce n’est pas la seule chose qui le mine, il vient de rompre avec sa maĂ®tresse depuis deux ans, enfin c’est plutĂ´t elle qui a rompu. Une journaliste scientifique de vingt ans, qui l’a interviewĂ©e sur son invention. Elle se prĂ©nomme Lola, c’est une belle rousse au corps de folie, digne d’une actrice porno. L’article n’est pas paru, mais elle si, dans sa vie. Elle risque de lui faire pas mal de problème, il a fait l’erreur de beaucoup d’amants, lui promettre de quitter sa femme pour elle. Ce qu’il n’a jamais eu l’intention de faire. LĂ , voyant qu’il ne quitterait pas son Ă©pouse pour elle, Lola l’a larguĂ©e, en lui promettant d’aller tout raconter Ă Li. Ce qui serait la cause d’un divorce, sa femme n’Ă©tant pas folle de jalousie, mais elle ne supportera pas d’avoir Ă©tĂ© trompĂ©e pendant si longtemps.Tout cela le mine, surtout qu’avec son Ă©pouse, le sexe ce n’est plus ça. Baiser c’est la seule chose qui le dĂ©tend vraiment, qui lui fait oublier les problèmes. Deux grossesses, la fatigue de son travail, les enfants, elle est trop extĂ©nuĂ©e la semaine pour la bagatelle. Ce n’est que le dimanche… Et lĂ , on est mardi.Ninon :Quand la porte s’ouvre, que quatre hommes entrent, Ninon comprend que ce sont ses quatre kidnappeurs. C’est la première fois qu’elle les voient, ayant, durant tout son sĂ©jour sur le bateau, garder son bandeau sur les yeux. Il y a deux blancs, un maghrĂ©bin, un black. Leurs nuditĂ©s et leurs sexe bandĂ© ne cache pas ce qui l’attend. Alors, comme elle le fait si souvent depuis son enlèvement, la belle prof se met Ă pleurer.Vaincu, Ninon ne bouge pas. Quand le premier des deux blancs monte sur le lit, elle Ă©carte les cuisses. Il se couche sur elle, la belle prof gĂ©mit quand il la pĂ©nètre. Puis elle se laisse baiser, ensuite, elle fera pareil pour les trois autres… avant que les quatre ne l’encule, l’un Ă la suite de l’autre. Une fois fini, ils quittent la pièce, après s’ĂŞtre fait nettoyer la bite par la bouche de Ninon. Ă€ aucun moment un seul mot ne fut prononcĂ©.Emma :Pour une fois se retrouver Ă quatre pattes sur le lit, son père fichĂ© dans son vagin, tandis que Boris l’encule, ne dĂ©range pas trop Emma. Il faut dire qu’elle sait que c’est une double-pĂ©nĂ©tration d’adieu. Ensuite, pour la première fois depuis des jours, elle pourra s’habiller. Puis enfin, avec son père, ils rentreront chez eux, le tout après une bonne nuit de sommeil, oĂą Emma l’espère, elle ne subira pas trop de viols incestueux. Il le lui a dit juste avant qu’ils ne la prenne Ă deux.Après que son père est remplit son utĂ©rus de sa semence, que Boris est fait la mĂŞme chose dans ses entrailles, qu’elle les est remerciĂ©, la jeune majeure nettoie les deux de sa bouche. Si son père se contente d’un nettoyage, elle devra aller au bout avec Boris. Une fois que la semence du gros homme est sur sa langue, qu’il s’est retirĂ©, Emma ouvre la bouche pour lui montrer le sperme dans sa cavitĂ© buccale. Elle referme ses lèvres et avale le liquide maintenant froid, mais toujours âcre. Le tout en souriant. Puis elle se relève, regardant le sol, elle dit :- Merci Boris d’avoir mis votre bite dans le cul d’une putain comme moi. Merci aussi de m’avoir nourrie de votre divin nectar.L’homme ne dit rien, il lui sourit, fait la bise Ă Jeff, le remerciant pour le dressage de sa chienne, puis il quitte la pièce.Emma reste debout, tĂŞte baissĂ©e, attendant les ordres de son père. La jeune fille est brisĂ©e, elle ne pense plus refuser d’obĂ©ir Ă son gĂ©niteur. MĂŞme Ă ses ordres les plus dĂ©gradant. Il s’approche, lui relève la tĂŞte, lui roule une pelle Ă laquelle elle rĂ©pond. Son conditionnement est parfait.- Bon, on va allez prendre une douche. Tu me lave, ensuite je te lave. Tu sĂ©chera ton corps, mais gardera les cheveux mouillĂ©s, je te prĂ©fère comme cela.- D’accord père. Cette pute fera comme vous le dĂ©sirez.- J’espère, c’est ton intĂ©rĂŞt. N’oublie pas que je peux te faire punir Ă n’importe quel moment.- Père, cette pute n’oublie pas.Jeff sourit, son dressage est parfait. MĂŞme dans ses rĂŞves les plus fous, il n’a jamais imaginĂ© pouvoir faire de sa fille une telle esclave sexuelle. C’est aussi sa dernière lubie, la faire l’appeler « père », le vouvoyer, parler d’elle Ă la troisième personne avec des mots comme : chienne, salope, pute ou putain.Emma se dirige vers la salle-d’eau, la tĂŞte basse. Son père la suit, matant son cul, se disant qu’il la sodomisera sĂ»rement avant qu’ils soient sortis. Mais avant cela, il y aura des tas d’autres amusements. Enfin pour lui, car pour sa fille, il sait qu’il va en aller tout autrement.Ninon :La belle prof n’est plus sur le bateau, mais les choses ne changent presque pas. Ă€ part le bandeau qu’elle n’a plus sur les yeux, Ă part le sol qui ne tangue plus, le reste est le mĂŞme… Elle a Ă©tĂ© violĂ©e vaginalement, elle a sucĂ©e des bites, s’est faĂ®tes sodomisĂ©e. Elle sent le sperme frais sur son visage, qui s’Ă©coule de sa chatte dĂ©chirĂ©e, de son anus fissurĂ©…La grande tĂ©lĂ© en face son lit s’allume d’un coup, des hurlements retentissent. Ă€ travers ses larmes, Ninon regarde l’image. Une jeune maghrĂ©bine, au visage magnifique, au corps de fou, est en train de se faire violer par un homme, tandis que six autres regardent. Le sang qu’elle aperçoit sur la bite du violeur Ă chaque fois qu’il sort du corps de la fille, prouve qu’elle est vierge… enfin, Ă©tait… Ce ne sont pas ses quatre agresseurs, il y a donc d’autres hommes, plus nombreux, qui font vivre la mĂŞme chose Ă d’autres femmes? Ninon n’a pas le temps de se poser plus de questions, la porte de sa chambre s’ouvre.Un gros homme entre, ses quatre kidnappeurs sont avec elle. Le gros la regarde sĂ©vèrement.- Debout!MatĂ©e par les Ă©preuves affreuses qu’elle vient de subir, Ninon obĂ©it. Les lois de l’attraction faisant leurs effets, la belle prof sent le sperme s’Ă©chapper de son anus et de son vagin, coulant le long de ses cuisses.- La pute, Ă©coute-moi attentivement, enregistre ce que je vais te dire, je ne me rĂ©pĂ©terais pas.Ninon sent qu’il vaut mieux Ă©couter en effet. L’homme paraĂ®t de loin, ĂŞtre pire que ses kidnappeurs.- Maintenant ta vie change. Tu as eus un aperçu de ce que l’on peut faire. Tu appartiens maintenant Ă l’organisation, tu vas passer le temps que l’on jugera nĂ©cessaire Ă la servir. Nous avons de très nombreux et riches clients, qui nous contactent pour utiliser les femelles que nous avons sĂ©lectionnĂ©es. Tu baiseras avec qui on te dit, quand on te le dit.Il laisse un blanc pour que Ninon enregistre ses paroles. Le visage horrifiĂ© de la pute lui prouve qu’elle comprend bien tout.- Tu devras te montrer docile et accueillante. Dis-toi que Ă chaque fois que tu n’observes pas la règle, Ă chaque fois qu’un client a Ă se plaindre de toi, tu seras sĂ©vèrement punie!- Punie…Ninon rĂ©pète ce mot horrible un peu sottement.- Si tel est le bon plaisir d’un client, il pourra te faire punir, mais rien de comparable Ă ce que tu vivras si tu faute. Dis-toi que ton voyage en bateau te paraĂ®tra alors une partie de plaisir! D’ailleurs, tu pourras voir des exemples de punitions douce sur la tĂ©lĂ©. Cela Ă©clairera un peu ton cerveau stupide de putain!Si il n’y avait pas eus l’enlèvement, les centaines de viols sur le bateau, Ninon aurait pu croire que c’est une sinistre plaisanterie. Punie, elle, la belle prof indĂ©pendante qui a toujours pensĂ©e ĂŞtre une femme forte et libre… VoilĂ qui semble inconcevable… enfin, dans sa vie d’avant. Avec toutes les monstruositĂ©s qu’elle a vĂ©cu ces derniers jours, Ninon ne proteste pas. Se jurant de tout faire, mĂŞme le plus dĂ©gradant, pour ne pas se faire punir.- Avec ce que tu as subis, je pense que tu comprends ce qu’il t’attends, que tu es dĂ©jĂ prĂŞte Ă toutes les complaisances. Mais dis-toi que après avoir Ă©tĂ© punis, tu supplieras sincèrement pour que l’on te traite comme la pire des chiennes, plutĂ´t que de subir une autre punition…Cela, Ninon n’en doute absolument pas.- Je vais te donner les premières règles que tu dois respecter. Le premier article de cette règle est l’obĂ©issance. Le second est le silence. Tu ne dois ouvrir la bouche que si on t’interroge. Et bien entendu, pour lĂ©cher une chatte ou tailler une pipe. Mets-toi dans la tĂŞte, que mĂŞme la plus pauvre des mendiantes du monde, qui n’appartient pas Ă l’organisation, t’es supĂ©rieure.Ninon ne dit rien.- Si tu te rebelle, on te dressera. Comme toutes l’ont Ă©tĂ©. Nos mĂ©thodes ont fait leurs preuves.Ninon n’en doute pas.- On va te changer de chambre, te mettre dans une avec une douche. Tu auras dix minutes pour te laver, ensuite je vais essayer tes trous, que mes quatre amis me disent merveilleux, mĂŞme après leurs passage et celui de l’Ă©quipage. Je t’expliquerais ensuite ce que l’on attend exactement de toi.EntourĂ©e de ses quatre kidnappeurs, Ninon emboĂ®te le pas du gros homme.Emma :Ce n’est pas la première douche qu’elle prend avec son père. La jeune majeure de dix-huit ans doit le nettoyer avec du savon liquide et un gant. Des fois, c’est avec ses seins et son corps qu’elle doit le savonner, elle dĂ©teste ça. Emma se concentre, elle sait que si elle fait mal, son père la punira. La jeune fille a vu suffisamment de punitions lĂ©gère sur la TV de sa chambre, pour savoir que les plus simples sont dĂ©jĂ un enfer.Les parties les plus dĂ©gueulasse pour elle, se sont quand elle doit laver les parties gĂ©nitales de son père. Elle doit d’abord lui lĂ©cher consciencieusement les couilles et la bite. Puis après avoir passĂ© de l’eau dessus, les savonner Ă la main. Parfois, comme aujourd’hui, il exige qu’elle le fasse jouir avec ses mains. Il Ă©jacule dans ses paumes. Elle doit alors les lĂ©cher, le goĂ»t du sperme et du savon se mĂ©langeant alors dans sa bouche.Puis le pire du pire arrive, elle doit lui nettoyer l’anus avec la langue. Emma se met sur ses genoux derrière son père, elle lui Ă©carte les fesses de ses mains, puis se met Ă lui lĂ©cher le trou-du-cul. Heureusement que son père est propre, qu’il prend au moins une douche par jour. Le goĂ»t n’est pas trop fort. Mais cela Ă©cĹ“ure quand mĂŞme Emma. Elle se met Ă pleurer de devoir s’avilir ainsi…