Voici une histoire réelle qui a eu lieu il y a dix ans de cela. À cette époque j’avais 23 ans et j’étais très sportif, je faisais trois sports dont deux de combat. Pour me présenter je m’appelle Éric je suis châtain cheveux courts, yeux marrons et faisant 1,80m pour 80kg (à l’époque et aujourd’hui). Il m’est arrivé une aventure dont je me souviendrai longtemps car pour une fois je me suis fait draguer, ça change pour un homme, croyez-moi !Cette histoire se passe au départ un samedi soir dans une toute petite boîte de nuit proche de chez moi, vraiment intimiste comme endroit, perdu dans un tout petit village. D’ailleurs pour y rentrer il faut soit connaître le patron soit avoir plus de 30 ans (minimum). Mais l’ambiance est toujours sympathique et les soirées agréables.Donc ce samedi-là nous faisons la fête avec des collègues du foot après une victoire, d’un match avancé le samedi. L’alcool est bien présent et se compte en bouteilles, les blagues fusent et nous refaisons le match avec des tournées en l’honneur des buteurs dont je fais partie (ayant inscrit un doublé et offert la victoire à l’équipe). Entre deux verres je remarque sur la piste de danse, tout proche de nous, trois femmes entre 40 et 50 ans dont une voisine que je connais bien car je drague sans cesse sa fille de mon âge. Cette voisine, Lola, est brune aux cheveux très courts, petite et très belle, elle entretient son corps en faisant beaucoup de gym. Je la regarde danser énergiquement, en remarquant que sa poitrine (90c) bouge beaucoup sous son haut noir et que son pantalon très serré moule agréablement ses fesses bien rebondies. Je profite du moment pour observer ses deux copines qui sont également très belles, bien conservées si je puis dire, l’une blonde et l’autre brune, toutes deux avec des cheveux longs mi-dos, et habillées pareil (chemisier et pantalon).En ramenant mes yeux sur Lola je m’aperçois qu’elle me regarde également. En souriant, elle me fait un signe de la main, parle à ses copines et toutes trois s’approchent de notre groupe. Après lui avoir souri je viens un peu à leur rencontre et nous nous faisons la bise (que je trouve très appuyée sur le moment) avec Lola.— Salut Éric, me dit Lola, je ne t’avais pas vu. Tu vas bien ?— Oui et toi, chère voisine, la forme ?— Super ! On s’éclate bien ce soir. Tiens, je te présente Christine et Sylvie, des amies de la gym.J’embrasse les deux dames en les saluant, et je leur propose de se joindre à nous pour boire un verre. Verre qu’elles acceptent toutes les trois avec plaisir car il fait très chaud sur cette toute petite piste de danse. Après une rapide présentation de mes compagnons du soir je leur sers un whisky coca et nous nous mettons en bout de table sur les fauteuils pour discuter un peu.— Alors Lola, vous fêtez quelque chose avec tes amies ?— Non, en fait nous étions au repas dansant de notre club de gym, mais on s’ennuyait comme pas possible. Aucune ambiance ! Alors après le repas on a dansé un peu puis on a filé ici pour s’amuser entre copines et éventuellement rencontrer du monde.Lola vit seule depuis de nombreuses années et a une réputation sulfureuse auprès du village, réputation que sa fille adopte également.— Et vous avez rencontré du monde ce soir ?— Non, juste toi, mon petit Éric, mais ça fait plaisir de te rencontrer. Tu sais, on était à table avec tes parents, et ton père nous a parlé de tes exploits sportifs. Il parait que tu fais deux sports de combat en compétition ? Je ne le savais pas. C’est bien cela !— Oui, enfin à petit niveau hein, je ne suis pas une star. Mon père ne sait pas tenir sa langue.Lola m’observe d’un air gourmand et me lance :— Peut-être mais je ne pensais pas que mon petit voisin était devenu un homme, viril et musclé qui tape sur d’autres pour le plaisir.— C’est vite résumé mais ça nous apprend surtout à nous défendre… Et ça défoule.Sylvie, qui écoutait notre conversation, intervient :— Et tu as besoin de te défendre ce soir ? C’est vrai que trois femmes mûres en pleine forme peuvent être dangereuses…Sur cette phrase toutes les trois éclatent de rire et m’observent avec de grands yeux, attendant ma réponse.— Ai-je besoin de me défendre ? Me voulez-vous du mal ?— Avec ce qu’on a entendu sur toi, que du bien, rassure toi ! intervient Christine avec un sourire coquin.Je reste interdit face à cette remarque, me demandant si ces dames n’ont pas abusé de l’alcool. Je ne sais pas quoi répondre en fait, désarmé que je suis, me demandant quelle attitude adopter. Lola vient à mon secours en me disant :— Ne fais pas cette tête, elle rigole tu sais. Allez fais-moi danser plutôt, j’adore cette musique.Sur ce, elle m’emmène sur la piste de danse et nous voilà partis dans un zouk endiablé, très collé serré. Lola, tout sourire, se penche pour me parler dans l’oreille à cause de la musique, en collant sa généreuse poitrine sur mon torse.— N’en veux pas à Christine, elle est comme ça, elle provoque toujours et elle a un faible pour les jeunes. Alors, avec les histoires de tes combats évoqués par ton père, elle semble toute excitée… C’est la nature.— Ah bon, je lui ferais cet effet sans la connaître ? Impressionnant !Lola se colle un peu plus et je sens ses tétons érigés contre moi, ainsi que son bas-ventre qui se love contre moi. Brûlante, ma voisine ce soir !— Oui, on est comme ça, les femmes « mûres », comme on dit. On s’échauffe très vite, même quand on ne connaît pas ! Imagine un peu quand on connaît comment on devient…— Quoi… ?Je recule ma tête et observe Lola qui me fixe intensément avec un grand sourire carnassier.— Éric, ne fais pas l’enfant ! tu es un homme maintenant non ? Tu m’as très bien comprise !— Lola, j’ai peur de ne pas comprendre tout correctement.— Mon grand, ça va être clair ! T’imaginer transpirant à moitié nu, les muscles bandés, en plein combat face à un autre, et les histoires entendues… tout ceci m’a excitée au plus haut point ! Là, tu comprends mieux ?Je suis abasourdi devant tant de franchise et le langage utilisé par Lola, et j’essaie alors d’assurer un peu en répondant :— Lola je comprends mais je pense surtout que tu as trop bu et que tu ne sais plus ce que tu dis. Je ne veux pas profiter de la situation même si tu es très belle. D’ailleurs je n’oserais aucun geste envers toi, question de respect.— Mon bel Éric, tes paroles sont très charmantes, mais je sens une partie de toi contre mon ventre qui pense tout à fait le contraire !Et pour appuyer sa phrase elle plaque sa main sur ma braguette, contre mon sexe en pleine érection, que voulez-vous je ne suis qu’un homme… Et une belle femme qui danse plaquée contre vous, qui vous dit qu’elle est excitée, provoque des réactions incontrôlées sur nous les hommes !— Alors, soit tu bandes toujours en dansant même seul, soit c’est moi qui t’excite ! Et si c’est moi tu ne regretteras pas du tout de l’avouer, crois-moi mon beau, je suis brûlante et prête à tout !— Mais Lola je suis bien trop jeune, tu peux avoir tous les hommes que tu veux !Lola continue de me caresser en dansant collée contre moi, elle plante son regard dans mes yeux, s’approche de mon oreille et me souffle :— Mes copines vont te brancher aussi, tu sais… Alors si c’est bien moi qui te fais bander, dis-le ! Dis-le moi et je vais te soulager en direct maintenant, je peux être très salope tu sais, pas une gamine de ton âge, une vraie femme qui connaît plein de trucs à te faire découvrir… Alors c’est pour moi cette trique ou pas ? dit-elle en emprisonnant mon sexe plus fort dans sa main à travers mon jean.L’excitation est plus forte que tout, alors je m’avoue vaincu.— Oui Lola, c’est bien toi qui me mets dans cet état. Obligé, avec tes propos crus, ton joli corps lové contre moi et ton air coquin. Qui d’autre me tient la queue ?Lola me sourit d’un air rassuré, heureuse elle m’embrasse à pleine bouche, me lâche le sexe et me dit :— Viens, on va s’asseoir dans le coin là-bas. En passant je prends nos verres et préviens mes copines de chasser ailleurs, ce soir tu es à moi !— OK, je te suis et je préviens mes collègues aussi de ne pas m’attendre, tu me ramèneras. Mais attention tu as fait plein de belles promesses, j’attends de voir maintenant !— Éric, tu ne seras pas déçu du voyage, c’est promis.C’est dans un état second, tremblant d’excitation et me demandant comment cela va finir que je me retrouve assis au bout de la boîte, dos à la piste de danse, avec en face de nous un mur et un miroir. Nous nous embrassons à perdre haleine quand tout d’un coup Lola me dit, en posant sa main sur la bosse de mon pantalon :— Tu bandes encore mon cochon ! Tu veux jouir là maintenant ?— C’est risqué, non ? si on nous attrape on n’est pas près de revenir.— On s’en fout ! C’est excitant le risque d’être découvert, non ? Allez jeune homme laisse-toi faire…Et Lola se met à défaire mes boutons de jean, enlève ma ceinture et glisse une main brûlante dans mon boxer… En me léchant l’oreille elle me souffle :— Je vais bien branler ta queue pendant un moment puis tu vas jouir dans un verre, je te boirai.— Lola, je ne te savais pas aussi avide de sexe.— Tu veux dire salope ? Vas-y j’adore les mots crus ça m’excite encore plus !Elle se met à me masturber comme jamais, son geste caché derrière ma chemise, quel pied de prendre son pied en public ! Au bout d’un long moment d’un traitement exquis fait d’effleurements, de pressions, de va-et-vient lents ou énergiques, le plaisir se fait sentir, et je préviens Lola :— Lola, je vais jouir dans un instant. Arrête s’il te plait, c’est fou.— Non, tu vas jouir, et là-dedans !Elle prend un verre et abaisse mon sexe dans le verre pour en recueillir mon sperme. Je ne tiens plus et explose par longues saccades en frissonnant, dans ce verre complice. Ensuite Lola remet ma tenue présentable, me tend mon verre et trinque avec son verre « spécial » en me disant :— Santé mon chou ! À une soirée qui sera exceptionnelle !— Santé Lola ! À une soirée déjà exceptionnelle !Et Lola boit d’un trait le contenu du verre en me regardant droit dans les yeux. Après s’être léché les lèvres elle décide de partir :— Viens on s’en va ! Maintenant les choses sérieuses vont commencer, cet apéritif m’a excitée au plus haut point possible… Je compte sur ta jeunesse et sur ta belle bite pour combler tous mes désirs de vieille vicieuse.— Allez, on y va ma Lola, tes désirs sont des ordres mais n’en profite pas trop et fais attention, j’aime bien aussi diriger les manœuvres, n’oublie pas, je suis un combattant.— Humm super, j’adore les vrais mecs… Attends-toi à un combat « épuisant ».Nous nous dirigeons vers le vestiaire en rigolant sous les regards envieux de ses copines qui, apparemment, voudraient bien jouer avec nous. La nuit promet d’être chaude…Mais ceci sera peut-être une histoire… Dites-moi si vous voulez que je vous raconte la nuit torride avec Lola, puis je peux aussi vous raconter les suivantes avec une de ses copines. N’hésitez pas à me faire part de vos remarques, suggestions, merci de votre lecture et soyez cléments, c’est mon tout premier récit. À bientôt !