C’est fou ce qu’on peut vivre dans une vie que l’on n’aurait jamais pensé vivre.Ce qui m’est arrivé, jamais je ne l’avais vu venir. Au moins ce fut extrêmement positif pour moi et j’en ai retiré beaucoup de plaisir.Tout d’abord, je m’appelle Jacinthe, j’ai 20 ans, je suis Québécoise résidant à Montréal et je suis orpheline. On pourrait dire sans aucune famille, puisque mes parents, que j’ai perdus dans un accident de voiture alors que j’avais 12 ans étaient tous les deux enfants uniques, que mes grands parents étaient déjà morts et que j’étais moi-même enfant unique.Ce sont des amis de mes parents qui m’ont recueillie, me faisant comprendre assez vite qu’ils ne m’aimaient pas mais qu’ils me traiteraient bien quand même. J’ai eu une belle adolescence tout de même puisque j’étais une fille très sociable qui avaient beaucoup d’amis. Et comme, sans me vanter, je peux dire que, oui, je suis belle, je pouvais avoir les gars que je voulais. Au début, j’en ai profité avant de m’embarquer dans une relation plus sérieuse.J’ai les cheveux châtains, à la mi-dos, la peau pêche parsemée de grains de beauté, surtout sur le ventre, les seins et les bras. Je mesure 5,8 pieds (1,75 m) et je pèse environ 130 livres (60 kg). J’ai une poitrine opulente et j’adore que les gars me prennent les seins à pleine main pour les malaxer.Je fume la cigarette, j’ai commencé à 12 ans, à la mort de mes parents. Je ne travaillais que pour me payer cela au début. Depuis l’âge de 12 ans, je fume de un et demi à trois paquets de cigarettes par jour, mais c’est plus souvent un et demi ; trois paquets c’est quand je n’ai rien à faire ou que je suis stressée. Je n’ai pas l’intention de cesser de fumer.À part cela, que dire ? Je suis une fille olfactive, j’adore les odeurs, ça agrémente vraiment la vie je trouve et j’aime toujours sentir de nouvelles odeurs. Inutile de vous dire que j’aime les parfums !Je ne porte jamais, non plus, de sous vêtements, je trouve que c’est une dépense inutile et je me sens mieux en laissant libres mes attributs.Alors donc, au début de mes 19 ans, mon chum avec qui j’étais depuis l’âge de 16 ans m’avait laissé tombée. Il faut dire que notre relation battait de l’aile depuis un certain temps mais, quand même, je l’aimais toujours. Ça faisait donc six mois de cela, mais je n’étais pas capable de m’engager à nouveau. Je n’avais donc pas baisé depuis ce temps.Je travaille dans une épicerie où je suis caissière. Des clients, j’en vois : des gentils, des désagréables, des vieux pervers, des jeunes baveux, tout je vous dis ! Il y en avait un de particulièrement désagréable. Je le sentais venir d’avance quand il passait. Par là, je ne veux pas dire une impression : je le sentais avec mon nez. Il sentait mauvais et la moustache jaunie par la cigarette. Il avait au-dessus de 70 ans, pour sûr. Il était sale et il tentait toujours de nous toucher et il nous faisait des commentaires obscènes, surtout à moi.Je me sentais toujours mal à l’aise dans de telles situations. Pourquoi je parle de lui en particulier ? Vous allez voir, petits coquins ! J’étais celle à laquelle il passait le plus souvent, me touchant les mains et me faisant des commentaires désagréables.Alors, vint un jour où il oublia son portefeuille à ma caisse. Évidemment, les filles, on se dit « bien fait pour lui ! » et on ne l’a pas dit à notre supérieur, pensant que c’est bien tout ce qu’il méritait.Par contre, avec mon grand cœur, je me sentais tout de même coupable. Alors, en arrivant chez moi, j’ai fouillé dans le portefeuille que j’avais ramené, et j’ai trouvé son numéro de téléphone. Sa voix râleuse me répondit. Je me suis présentée et je lui ai expliqué la situation. Il me dit qu’il ne pourrait pas venir le chercher parce qu’il était seul et qu’il n’avait pas d’autre argent que dans son portefeuille et qu’il devait prendre l’autobus pour venir le chercher. Il me demanda si je pourrais avoir l’amabilité d’aller lui porter. J’ai accepté à contrecœur.J’y allais le lendemain matin, pendant ma journée de congé. (Je ne vais plus à l’école présentement et je dois payer mon appartement seule.) La veille, durant le reste de la soirée, j’ai grillé un paquet de cigarette complet tant j’étais anxieuse de me rendre là-bas. Je craignais d’avoir à me fâcher s’il tentait de me toucher.J’ai donc mis mon manteau d’hiver après m’être habillée avec du vieux linge usagé de l’épicerie pour faire à croire que je travaillais bientôt et j’ai pris l’autobus. Ce n’était pas si loin, en fait c’était à peine à dix minutes de marche.Je suis arrivée, j’ai sonné. Il m’a fait débarrer la porte de son bloc d’appartement et ensuite m’a ouvert la porte de chez lui.Ça sentait bizarre, ce n’était pas un endroit très propre, autant l’immeuble que l’appartement. Il était en robe de chambre qui semblait sale, elle aussi. Il ne devait pas se laver souvent, ni laver ses vêtements, et ça sentait !Je lui ai donc rendu son portefeuille et j’ai dit que je devais partir pour aller travailler. Il sourit alors, montrant ses dents jaunes et cariées, me disant qu’il m’avait entendu hier dire que j’étais en congé aujourd’hui et qu’il ne fallait pas être gênée : il ne voulait que m’offrir un café.À contrecœur, j’ai accepté. Il m’offrit une cigarette, je l’allumai immédiatement et pris une bouffée qui me fit énormément de bien !Il avait en fait 73 ans et n’avait plus de famille depuis la mort de sa femme, il y avait quatre ans. Il s’était débarrassé de sa maison et avait loué cet appartement. Il commença alors à nouveau le même jeu qu’aux caisses, me disant que j’étais un beau bébé. Évidemment je me sentais de nouveau mal à l’aise, mais là, on n’était plus au magasin, mais chez lui.Il vint donc me flatter les épaules, je me dégageai tranquillement, mais il me les repris et se permit même de se mettre à me malaxer les seins ! Je lui ai demandé de me lâcher, mais il me dit de me taire, qu’il était sûr que j’aimais ça. Il me reprit les seins de plus belle, détacha sa ceinture de robe de chambre et se retrouva flambant nu devant moi, frottant son pénis contre ma jambe, continuant de me masser les seins et m’embrassant désormais dans le cou.Je fus la plus surprise, mais je commençais à moins résister et à être excitée par la situation. Finalement, j’abdiquai, me dégageai et arrachai carrément mon chandail et mes pantalons pour me retrouver moi même flambant nue devant lui.Je l’ai alors embrassé à pleine bouche, nos langues se mélangeant dans un baiser fougueux. J’étais désormais pleinement excitée. Il me prenait les seins à pleine main et les serrait fort. Il me projeta sur un divan, m’écarta les cuisses et entreprit de me lécher la vulve. Il me la dévorait, je sentais les poils de sa moustache crasseuse caresser mes lèvres, sa langue fouillait les divers recoins de mon vagin.Je mouillais abondamment, je gémissais de désir et de plaisir, haletant d’excitation, lui, il grognait de satisfaction. Il continuait de me malaxer les seins allègrement, il me mordait même les lèvres vaginales. C’est sûr qu’il devait être rendu fou d’excitation par une jeune s’offrant à lui comme je venais de le faire.J’ai senti l’orgasme monter dans mon ventre, et j’ai explosé, ayant une éjaculation féminine pour la première fois de ma vie, liquide que le vieux lapa au complet. Il m’a ensuite embrassée à pleine bouche.Il me traita de salope et m’envoya une gifle au visage. Ah ! il aimait ce genre de jeux lui, c’était parfait ça m’excitait davantage, et je lui demandai une autre gifle car j’étais trop salope pour n’en mériter qu’une alors il m’en administra une autre en pleine joue.J’adore !Je me suis donc jetée à ses genoux pour commencer à lui tailler une pipe de rêve, enroulant ma langue autour de son pénis qui sentait mauvais, lui aussi. Mais peu importe, j’étais trop excitée et je n’avais qu’envie de lui tailler cette pipe. Je pompais énergiquement son membre, en prenant une bonne partie dans ma bouche. Il était bien membré le monsieur, son pénis était couvert de salive. Ça devait faire longtemps qu’il n’avait pas eu de sexe.Comme il était déjà très tendu, en pas grand temps, il explosa dans ma bouche et j’ai avalé toute sa semence. J’étais en sueur, mon corps luisait, ma poitrine était soulevée par ma forte respiration. Lui gémissait comme un vieux pervers qu’il était d’ailleurs.J’ai commencé à le branler pendant qu’il m’embrassait partout sur le corps, il léchait et mordait mes seins pendant que je le branlais et que ma tête était penchée vers l’arrière.J’ai commencé à sentir une érection revenir en peu de temps. Je pris mes deux seins entre mes mains, mis son pénis entre mes deux globes de chair et je l’ai serré entre mes deux seins, lui faisant une branlette espagnole. Je faisais les va-et-vient avec mes seins pendant qu’il en faisant, lui aussi.Je gémissais de plaisir de sentir son vieux pénis se frotter énergiquement entre mes deux gros seins. Je donnais une lapée avec ma langue lorsqu’il s’approchait assez de mon visage. Il faisait chaud et la sueur était partout sur moi, nos corps en fusion pendant que je comprimais son pénis entre mes seins jusqu’à ce que finalement il m’éjacule au visage.On a repris notre souffle et il s’est rejeté directement sur moi, m’embrassant sur tout le corps, me mordant fortement les seins pour me faire un peu mal, pas au sang tout de même. On s’embrassait à pleine bouche. Ça faisait longtemps qu’il n’avait pas baisé et une érection était déjà en train de poindre à nouveau.Suite à ça, nous nous sommes fait un bon repas pour reprendre de l’énergie.Après notre repas, sans m’avertir, il me poignit les cheveux et me traîna par les cheveux jusqu’à sa chambre et me lança brutalement sur son lit. Décidément, cette journée que je redoutais me plaisait de plus en plus !Il se coucha sur le lit, sur le dos et le pénis en solide érection. Cette fois, c’était la bonne et, pour la première fois de ma vie, je n’avais pas pris la pilule mais j’assumais le risque. J’allais faire l’amour sans exiger le condom du gars. Je suis donc embarquée par dessus mon vieux, sale et malodorant, et je me suis empalée sur son pénis.C’était officiel, le vieux pervers de l’épicerie me baisait, et j’aimais ça ! Je commençais tranquillement à augmenter la cadence de mes coups de bassins pour monter et descendre sur sa bite qui emplissait ma vulve. Nous gémissions comme des bêtes, le bruit de succion de son engin entrant et sortant de moi m’excitait.Il commença, lui aussi, à donner des coups de bassin, son pénis m’emplissait bien. Il était bien membré et ce vieux savait comment s’y prendre !Mes seins ballottaient sous les coups de rein de mon vieil amant, nous nous tenions par les mains et nous avions de plus en plus chaud. Ça sentait le sexe dans la chambre ! Je me démenais désormais comme une folle sur sa bite, mes fesses claquant sur ses cuisses. Je me suis dégagée, je me suis revirée de bord pour être dos à lui et je me suis réempalée sur son pénis. Il pouvait désormais me tirer par les cheveux, ce qu’il fit allègrement et violemment, comme j’aime. Il me malaxait les seins par la même occasion. Pendant que notre baise augmentait en intensité, il me traitait de tous les noms : de salope, de pute.Je n’en pouvais plus. Je fus foudroyée d’un puissant orgasme, m’effondrant alors que le vieux m’éjaculait dans le ventre, répandant sa semence dans mes entrailles.Pendant un certain temps, nous sommes restés ainsi, à reprendre nos esprits. Une fois que cela fut fait, il me demanda de l’accompagner à la chambre de bain, et d’embarquer dans la baignoire. J’acceptai, me demandant pourquoi cela, mais ça m’excitait car j’étais sûre que ce pervers avait de nouvelles idées pour moi !Comme de fait, il me demanda d’ouvrir la bouche, ce que je fis et il se mit alors à me pisser dans la bouche et sur le visage. J’ai fait le saut et j’ai fermé mes yeux, mais me surprenant moi-même. J’ai gardé la bouche ouverte, la laissant se remplir de ce liquide, et lorsqu’elle débordât et que mon vieux pervers se mit à me pisser sur le ventre et les seins, j’ai avalé toute la pisse que j’avais en bouche. Le goût n’était pas si mauvais, c’était excitant !Une fois que ce fut fait, et après que j’aie fumé deux bonnes cigarettes consécutives en me masturbant devant mon vieux pervers, je me suis rincée à l’eau et, après m’être essuyée, il me ramena au salon et me fit coucher sur le divan.Il me cracha deux fois au visage, ce qui m’excita. J’aime ne pas être respectée dans mes limites lorsque je fais du sexe, et il me dit d’ouvrir la bouche en ayant la tête par en arrière sur l’accoudoir du divan.Je fis ce qu’il me demandait et il m’enfonça sa bite dans la bouche, mais cette fois-ci, ce ne fut pas une fellation, il me baisa littéralement la bouche ! Il donnait des coups de butoir, allant au fond de ma gorge. Je bavais, de la salive coulait sur mon visage, je rasais souvent de m’étouffer et je m’arrêtais pour tousser assez souvent. Il reprit alors de plus belle, m’enfonçant son pieu au fond de la gorge, pinçant mon nez et restant enfoncé longtemps.Le résultat prévu finit par arriver, j’ai vomi tout mon repas et, comme j’avais un peu la tête en bas, cela coula sur mon visage. J’avais du vomi dans les yeux et ça coulait dans mes cheveux. Le vieux m’interdit de fermer et de m’essuyer les yeux et il reprit de plus belle.C’était dégradant mais j’étais excitée comme je ne l’avais jamais été ! Il continuait de me défoncer la gorge, j’ai vomi deux autres fois et ça continuait à me couler dans les yeux et dans les cheveux. Ce n’était plus mon repas mais un genre de salive épaisse blanchâtre, mon visage était gluant. Le vieux fini par éjaculer de nouveau et j’avalai ce que je pus. Ça sentait le vomi et j’ai dû aller me doucher comme il faut.Il me demanda de revenir coucher avec lui à l’occasion, ce que j’ai accepté avec joie ! J’ai donc fait l’amour plusieurs fois avec le vieux pervers.Par contre, j’avais besoin de nouvelles sensations fortes, car cette journée m’avait donné le goût d’aller plus loin, toujours plus loin. J’ai donc commencé un jeu sur internet.J’allais sur un chat internet, je conversais avec des filles de Montréal et je leur proposais un jeu sexuel : je leur donnais des défis qu’elles étaient obligées de relever.J’avais leur photo et je m’assurais que c’était vraiment elle en leur donnant rendez-vous dans un lieu public et en allant voir si elles étaient là. Ça allait de cruiser des inconnus, à faire des jeux de lesbiennes ou d’explorer un peu de nouvelles choses comme la gorge profonde ou encore de faire l’amour en des endroits où l’on peut se faire prendre… Bref, ça m’excitait de faire cela et les filles qui y participaient me disaient toujours que c’était la plus belle expérience sexuelle de leur vie.Une fois, il y en a eu une qui était vraiment belle. Ses seins m’excitaient et je voulais lui faire l’amour moi-même, en plus, n’ayant jamais pratiqué le lesbianisme.Donc, sous couvert de l’anonymat et sans dire que c’était moi, je lui ai donné les consignes de rencontre et je me suis présentée. Je lui avais demandée de convaincre sa partenaire d’aller à son appart, donc en fait chez moi.Elle fumait elle aussi, alors on a fumé tout le long que l’on marchait vers chez moi. En entrant dans mon appartement, j’ai aussitôt ôté mes vêtements. Elle était tellement belle, la première fille à m’exciter que je ne voulais pas perdre de temps !Elle aussi s’était déjà exécuté et je me suis lancée sur ses seins, que j’ai entrepris de dévorer, de beaux gros seins que je prenais à pleine mains et que je malaxais et que je mordais, léchais, bref je faisais tout ce que l’on pouvait faire avec des seins.Elle sentait si bon, je n’avais jamais remarqué à quel point ça sentait bon une fille ! C’est peut-être parce que j’en suis une moi-même et que je n’avais jamais pensé coller mon nez sur ma propre peau.Je l’embrassais à pleine bouche, nos langues s’entremêlaient, allant au fond de la gorge l’une de l’autre. N’y tenant plus, je suis allée la baiser avec mon nez que j’ai enfoncé dans son vagin, reniflant ses odeurs intimes tout en faisant des va-et-vient avec mon organe olfactif.Ça sentait bon, ça sentait si bon, en fait ça sentait tellement bon que j’en ai eu un orgasme et bien que je fourre mon nez dans tout ce que je trouve qui sent bon, il faut que ça sente vraiment bon pour me mener à l’orgasme.J’ai entrepris de lui lécher la vulve, léchant l’extérieur, mordant ses chairs rosées car je suis une lesbienne féroce. Elle fit pareil, nos gémissements étaient violents et forts. Peu importe que l’on nous entende, nous étions excitées.Nos corps étaient trempés de sueur, je titillais son clitoris avec ma langue.Elle avait bon goût cette fille et, en même temps, je sentais sa langue fouiller mon intimité léchant tout en grognant. Elle me dévorait littéralement, me faisant même parfois mal lorsqu’elle me mordait trop fort, ce à quoi je répliquais par une bonne morsure où elle gémissait comme une chienne en chaleur.J’ai donc entrepris de lui titiller le clitoris avec mes doigts pendant que ma langue lui fouillait le vagin. Elle fit pareil, je tremblais de plaisir.J’ai refourré mon nez dans son vagin, bon dieu que ça sentait bon ! Aah ! j’ai eu un puissant orgasme alimenté par son odeur et j’ai eu une autre éjaculation féminine qui lui inonda le visage et la fit jouir à son tour, mouillant encore plus sa vulve et faisant en sorte qu’elle sente encore meilleur car oui, c’était possible ! Et j’ai tout lapé.Nous avons ensuite croisé nos jambes pour que nos vulves soient collées l’une contre l’autre et nous avons alors commencé un puissant va-et-vient où nos vagins se frottaient l’un à l’autre. On a recommencé à haleter comme des folles et je ne pus m’empêcher de lécher ses seins parsemés de grains de beauté, mordillant chaque grain de beauté, léchant sa peau odorante. Cette excitation d’odeur me poussa à lui faire une fellation, une fellation nasale, ma langue s’entoura autour de son nez, je le léchais, j’introduisis ma langue dans ses narines féminines, léchant tout ce qui avait à l’intérieur pendant que l’excitation montait de plus en plus face au frottement de nos vulves. L’orgasme finit par nous foudroyer de nouveau.Après un baiser fougueux, elle est partie, mais elle était supposée ne plus jamais me revoir. Je l’ai suppliée de demander à son maître de jeu qu’elle puisse me revoir.Évidemment, le soir, sous mon personnage de maître de jeu, j’ai accepté. Cette fille sentait tellement bon, je voulais la sentir encore. Je ne pouvais plus me priver de son odeur, je voulais promener mon nez sur sa peau en tout temps. J’ai donc pu sentir à nouveau son odeur, et son corps et surtout sa vulve qui sent tellement bon que l’odeur m’a procurée de nombreux autres orgasmes. Vive les odeurs !J’étais une fille totalement transformée depuis quelques semaines. Avec ce vieux pervers qui sentait mauvais mais qui m’avait eu et qui était devenu mon amant et cette fille qui sentait si bon avec qui j’avais des rapports lesbiens assez régulièrement, on pouvait dire qu’avec tout ce sexe, j’avais un bon cardio malgré les cigarettes que je fumais !Je poursuivais aussi mon jeu sur internet, à l’occasion, quand une fille voulait s’y prêter, mais j’avais encore besoin de plus de sensations fortes.En revenant d’une soirée avec des amis, je passais par le parc où il y avait, comme d’habitude, des itinérants. C’est Montréal et près du centre ville, c’est comme ça. On était l’hiver, l’hiver passé en fait, et je me souviens qu’il devait bien faire moins dix degré Celsius.Je donnais alors toujours un peu d’argent à ces itinérants pour qu’ils puissent aller se prendre un café. Mais cette fois-ci, toujours en quête de sensations fortes en matières de sexe, en donnant un peu d’argent, j’en ai vu un, un vieil itinérant, qui me donna des idées.Lorsqu’il me demanda de l’argent, je lui en ai donné un peu, mais je lui ai proposé de lui tenir compagnie un petit peu. Comme il ne devait pas en avoir beaucoup, il était très content et ça paraissait.Après une bonne demi-heure de parlotte dans le parc, je lui ai demandé depuis combien de temps il n’avait pas eu de relation sexuelle, comme une question banale. Il me parla d’une bonne vingtaine d’année. C’est terrible, que je me suis exclamée.Mon cœur battait de plus en plus vite car je sentais que oui, j’allais passer le cap, avec tous les risques que cela comportait en termes de maladie et tout. Une belle connerie, heureusement sans conséquences, mais que jamais, au grand jamais je ne recommencerai !Mais j’en avais le goût, et rien n’allait m’en empêcher, sauf la volonté de ce monsieur s’il ne voulait pas. Je lui ai alors dit que moi, j’étais disposée à en avoir une ou plusieurs toute la nuit avec lui s’il le souhaitait. Il fut bouche bée, et il finit par accepter avec joie, avant de prendre un air déçu et de me demander où l’on pourrait faire ça.Je ne voulais quand même pas l’amener chez moi, alors j’ai dit que le parc, au centre, serait un bon endroit. Par ce froid qu’il m’a demandé ? Pas d’importance que je lui ai répondu.On s’est trouvé un banc de parc où personne n’était. Il sortit son pénis qui était au garde à vous, mais il fut encore surpris quand il me vit ôter mon manteau, mes bottes, mes bas, mon chandail et mes pantalons pour me retrouver flambant nue par moins dix degré !Encore lui, tout en grelottant de froid, je lui dis que depuis le temps, il méritait de voir une fille toute nue pour faire l’amour, surtout qu’il y avait un lampadaire.La chair de poule m’avait pris de partout, mes seins étaient durs et dressé par le froid. Le sans-abri se coucha sur le banc, je me suis empalée sur son pénis et j’ai commencé, tout en tremblant de froid, de rapides mouvements de va-et-vient.J’y allais vigoureusement pour tenter de me réchauffer dans ma nudité en plein cœur de l’hiver québécois, mais je voulais toujours aller jusqu’au bout ! Le sans abri me caressait un peu le corps mais tenait surtout mes hanches et mes mains, privant ainsi mes seins, qui ballottaient, de caresses qui auraient pu les réchauffer. Ils étaient blancs, durs et tendus par la morsure du froid et du vent qui s’était levé. J’haletais quand même de plaisir, je gémissais.Que c’était bon ! Le repoussement de mes limites ne faisait que m’exciter d’avantage.Je le sentais de plus en plus excité et tout d’un coup, il me fit basculer du banc, me jeta dans la neige et se mit à me baiser dans la position du missionnaire. Moi, j’avais le dos et les fesses dans la neige. Il était tellement excité qu’il m’enterrait les seins sous de la neige ! Je m’agrippais à lui serrant mes jambes autour de lui, j’ai eu un orgasme et finalement, j’ai senti l’éjaculation dans le râle du mendiant qui envoyait sa semence dans mon ventre.Ça n’a duré que cinq minutes, mais mon corps ne pouvait pas en prendre plus. Je me sentais toute engourdie à cause du froid. Une fois la baise terminée, je suis rentrée chez moi en vitesse pour me changer et me mettre au lit. J’en fus pour une grosse grippe, et désormais, lorsque je fais des faveurs à des itinérants, en tout temps mais surtout en hiver, je ne fais que comprimer leurs pénis entre mes deux seins, c’est plus prudent.Les gens que je connaissais me disaient qu’ils ne m’avaient jamais vu aussi heureuse que je l’étais. C’était le cas, les nouvelles orientations que je donnais à ma vie sexuelle faisaient en sorte que je me sentais extrêmement bien dans ma peau.Le vieux pervers n’était plus un amant obscur, c’était devenu mon nouvel amoureux officiel que j’embrassais fièrement sous le regard dégoutté de mes collègues de travail mais je m’en foulais. Il sentait toujours aussi mauvais mais sa mauvaise odeur, je l’aimais désormais et je me lavais moi-même beaucoup moins souvent pour sentir comme lui, sauf quand j’allais rencontrer des gens que je connaissais. J’avais emménagé dans son appartement.En ce qui concerne la fille qui sentait, qui sent toujours aussi bon d’ailleurs, je me déplace chez elle pour un trip lesbien de temps en temps, et je continue de faire mon jeu de découverte sexuelle sur internet. Aller plus loin ? Je n’y pense plus.Alors, c’est ainsi que ma petite histoire se termine.Aujourd’hui, à 20 ans, je n’habite plus avec mon vieux pervers, mais avec la belle fille rencontrée grâce à mon jeu.Jeu que je continue plus que jamais à faire tant il me procure des sensations fortes d’excitation, et les filles qui y participent disent toujours y trouver énormément de plaisir et se sentir mieux que jamais. Alors je continue ça et j’en rencontre une de temps en temps.Pour le reste, je compte bien me retaper une baise en plein air dehors cet hiver, mais de façon différente !C’est tout, merci de m’avoir lu et au plaisir de vous avoir fait jouir. J’espère que c’était tout autant jouissif que pour celles qui participent à mon jeu !J’attends vos commentaires avec impatience, je pourrai même vous répondre, selon mes disponibilités !