Si vous avez manquĂ© le dĂ©but : Je me remĂ©more une Ă©trange expĂ©rience avec un de mes modèles : Mylène. Certaines Ă©lèves Ă©tant parties, l’atmosphère se dĂ©tend.Si vous avez manquĂ© la suite : Ce cours de dessin devient un lieu de jouissance, d’exhibition…_______________________________________Ils sont tous partis ; enfin presque tous. Karine est assise avec moi, par terre, devant le canapĂ©, et nous sirotons la bouteille de champagne que j’ai ouverte, car nos Ă©motions valent bien ça. J’ai juste enfilĂ© un tee-shirt et je suis bien.— Tu m’as vraiment Ă©poustouflĂ©e tout Ă l’heure ! me dit soudain Karine.— Pourquoi ?— DĂ©jĂ je ne pensais pas que tu ferais la pose nue. Comme quoi ! Ensuite, tu as Ă©tĂ© d’une impudeur très, très…— Très excitante ? C’est ça ? D’ailleurs en ce qui te concerne, tu as Ă©tĂ© bien aussi ; entre la pipe magistrale et le patin Ă Isa ! Ça t’arrive souvent, avec les filles ?— Puisqu’on en est Ă se mettre Ă poil, oui, cela m’arrive, avec les filles, et je dois dire que c’est assez gĂ©nial !Elle m’émoustille ma Karine. Je deviens insatiable, je deviens une autre :— Ben, je croyais que tu avais dit que tu te mettais Ă poil ?Elle me regarde, me sourit, et se lève.— Vos dĂ©sirs sont des ordres, majestĂ©Â !Et sans plus attendre, elle se dĂ©shabille en un clin d’œil et revient s’asseoir, telle une odalisque. J’ai le droit Ă la naissance du monde sauf qu’elle est mieux foutue que celle du tableau de Courbet. Je crois que j’ai envie de la dĂ©vorer. Des yeux, de mes mains, de ma bouche, de mon nez, de la toucher avec mon cul, de sentir sa vulve contre la mienne. C’est fou, moi qui n’avais jamais fantasmĂ© sur une fille avant d’avoir rencontrĂ© Mylène, voilĂ que je deviens accroc.Merde ! Mylène ! J’avais oubliĂ© qu’elle devait passer. Évidemment, on sonne Ă la porte Ă ce moment. Après tout ! Karine va pour se rhabiller, mais je l’arrĂŞte :— Ne t’inquiète pas. Justement, c’est Mylène !Et je vais ouvrir Ă une Mylène qui ne semble absolument pas offusquĂ©e de ce qu’elle voit – d’ailleurs, ça m’aurait Ă©tonnĂ©e ! – qui me fait la bise et de mĂŞme avec Karine, assise par terre, nue et… presque offerte !Du coup, je me fends d’une explication chronologique Ă mes deux amies, tout en servant tout ce monde d’un champagne qui fuse. Puis, Mylène dĂ©clare en se levant :— Après tout, c’est moi l’exhibitionniste de base, et je suis la seule Ă avoir une culotte ; ça ne va pas !Et elle retire ses chaussures, son pantalon et son slip dans un mĂŞme geste, puis le reste suit.— Et voilĂ , on se sent mieux, non ? dit-elle alors qu’on rit toutes les trois avec des accents de champagne.Ă€ ce moment, elle Ă©ternue.— VoilĂ notre exhibitionniste qui s’enrhume ! pouffe Karine.Mylène tend sa main vers son sac, sans doute pour extraire un mouchoir, quand il se renverse en partie sur le tapis, et on voit apparaĂ®tre trois godes et un truc bizarre, rose fluo, comme un chapelet de grosses perles !— Ben dis donc, c’est quelque chose, ton baise en ville, dit Karine, visiblement Ă©mue.— En fait, je les ramène, car je les avais prĂŞtĂ©s Ă une copine, dit Mylène, très chatte.— Ben, je me demande pourquoi on ne serait pas copines, rĂ©torque Karine.— Hmm ! Tu as envie de les essayer, je te les prĂŞte !Moi, je passe un autre cap. J’en ai souvent vu en action dans des films, mais mon chĂ©ri ne m’en a jamais offert, et je n’ai jamais eu l’idĂ©e d’en acheter moi-mĂŞme ! Mais, lĂ , moi aussi, j’ai envie de voir ça en moi, sur moi.— Euh ! Moi aussi, je suis ta copine. Mais je suis un peu gourde ! C’est quoi le bidule rose ?— C’est un Anal Rod. Mais moi j’appelle ça mes « perles roses ». Ça permet des orgasmes Ă rĂ©pĂ©tition quand tu introduis cela dans ton petit trou. Et comme c’est rĂ©versible, ça marche Ă deux. Tu vois ?Je ne vois rien, mais je sens que cela ne va pas tarder ! Karine, qui doit lire dans mes pensĂ©es, intervient :— Moi, après les Ă©motions de tout Ă l’heure, je suis en Ă©bullition. Alors, je me jette Ă l’eau : j’ai envie d’essayer ça. Mylène, si tu prends l’autre bout, notre cher Chantal pourra s’initier en profitant du spectacle. D’acc’ ?Mylène nous regarde avec un sourire espiègle. Mon cĹ“ur bat fort un instant, mais je sais qu’elle va accepter. Effectivement !— C’est OK ! Et toi, dit-elle en me regardant, je t’assure que tu ne vas pas en perdre une miette !Que veut-elle dire ? Je ne tarde pas Ă le savoir.— Et puis d’abord, retire-moi ce tee-shirt, qu’on voit un peu tes jolis lolos, dit-elle de sa voix olympienne, joignant le geste Ă la parole, puis en me titillant les mamelons tour Ă tour, avec ses dents.Je frissonne de bonheur, mais cela ne dure qu’un court instant, car elle passe Ă Karine qui apprĂ©cie le mĂŞme traitement rapide en me regardant avec complicitĂ©. Le temps de dire ouf, et une de ses mains est en train de s’introduire dans son minou, ce qui provoque un tressaillement de Karine et un mouvement clair qui dit qu’elle en absorberait bien plus, et plus vite !— Hm, effectivement, je crois que tout Ă l’heure, tu n’as pas eu ton compte ! Bon, Chantal, allonge-toi sur le sol ! dit notre chef d’orchestre sensuel.Je m’exĂ©cute de bonne grâce, ne sachant ce qui m’attend. Puis elle vient, accroupie, du cĂ´tĂ© gauche, Ă la hauteur de ma tĂŞte, et demande Ă Karine :— Fais comme moi, de l’autre cĂ´tĂ©, notre petite voyeuse va pouvoir en profiter.Et, elle me tourne le dos pour me montrer son cul, son merveilleux derrière, que j’ai tant admirĂ© l’autre fois. Karine en fait autant et je mate, car celui-lĂ je ne le connais pas. L’œillet est plus brun, plus plissĂ©, plus petit. Un mignon petit trou du cul.Elles sont toutes les deux accroupies, presque cul Ă cul, et moi j’ai la tĂŞte juste en dessous. Je vois aussi leurs sexes, leurs lèvres, et le clito de Karine, qui semble très long, alors que le petit bouton de Mylène m’est cachĂ©, car elles n’ont pas tout fait la mĂŞme position.Mylène amène par derrière ses perles, et enfin, je vois oĂą elle veut en venir. Elle s’introduit la première. Puis je vois son anus avaler la seconde, quand Karine, d’une main, attrape l’autre bout et fait de mĂŞme. Je suis immobile, je ne respire plus. Mes yeux vont et viennent de droite Ă gauche. J’ai le bas-ventre en feu, mais je ne veux pas me toucher, pas maintenant. J’exploserais trop vite. Les filles avalent progressivement toutes les perles une par une et soudain, leurs fesses se touchent. Je suis en dessous du plus beau pont du monde.Alors, n’y rĂ©sistant plus, je relève mes mains, passe par-dessous de chaque cĂ´tĂ© et prends possession de leurs intimitĂ©s, doucement. Je sens Karine plus trempĂ©e, mais Mylène plus huilĂ©e, plus miel. Qu’importe, car je sens leur plaisir ensemble, et je m’aventure dans le vagin de l’une et bouton de l’autre et alternativement.Elles commencent dans un lent mouvement Ă faire ressortir les perles, ensemble, une par une, et lĂ , elles se mettent Ă gĂ©mir, de plus en plus fort, Ă l’unisson. J’accĂ©lère le mouvement de mes mains comme si cela me soulageait, car la sortie des perles est encore plus torride que l’entrĂ©e. Je vois les muscles de ces jolis petits trous du cul expulser chaque bille comme un nouveau-nĂ© – en fait, un plaisir nouveau nĂ©. Je suis folle, je voudrais me caresser, mais je ne les lâche pas.Soudain, Karine immobilise ma main en elle d’une contraction, et je fais de mĂŞme avec Mylène, car elles viennent, elles partent, elles dĂ©collent toutes les deux, dans un long râle. Le « collier » se dĂ©solidarise enfin des deux culs, et elles glissent chacune sur le sol, anĂ©anties.Quelques minutes passent ainsi. Je n’ose bouger. Puis doucement, toutes les deux tĂŞte-bĂŞche par rapport Ă moi, elles relèvent la tĂŞte. Mylène, pose une main sur ma poitrine, Karine sur mon ventre. Puis elles se rassoient et se regardent avec un sourire complice. Mylène relève doucement mes jambes et me les Ă©carte en me tenant les reins, pendant que plus près de moi, Karine me tient les cuisses en l’air.Puis elles plongent toutes les deux leurs tĂŞtes, Karine sur mon minou, et Mylène sur mon anus. Et elles me sucent comme jamais je n’ai connu, toutes les deux Ă la fois ! Karine, tantĂ´t s’activant tantĂ´t sur mon clito, tantĂ´t entrant en moi, Mylène, d’un mouvement très rapide. Je rĂ©alise que je suis offerte, qu’elles voient toutes les deux l’autre fouiller mon intimitĂ©. J’aime ça.Soudain je sens les prĂ©mices de l’orgasme, et Mylène remplace sa langue par son doigt qui rentre profondĂ©ment, et me dĂ©clenche un long feulement de plaisir. J’ai l’impression que cela ne s’arrĂŞte pas. Je ne veux pas que cela s’arrĂŞte. Mais progressivement, tel l’ocĂ©an, le plaisir se retire, laissant place Ă la fĂ©licitĂ©.Mes deux amies s’approchent de moi, et nous partageons toutes les trois un baiser affectueux.La porte vient de s’ouvrir : mon mari, les yeux Ă©carquillĂ©s…À suivre…