Toute cette histoire n’est que pur fantasme malheureusement. Mais j’ai plaisir à vous la conter. Si par ailleurs vous vouliez m’aider à la réaliser n’hésitez pas à me contacter.Tout d’abord, je me présente. Je suis un jeune homme de 24 ans, 1,70 m pour 57 kg. Autant dire que je suis assez mince. J’avais déposé, sur un site, une annonce :Jeune homme bi passif cherche couple HF. Désire être féminisé et passer d’agréables moments en femme (1ère expérience).J’eus toutes sortes de réponses, et puis cette réponse : « Bonjour, Daniel et Solène, 46 ans. Nous voulons bien t’aider dans ta démarche. » Plusieurs mails s’échangèrent donc. Nous avions convenu d’une rencontre pour une soirée un vendredi à leur domicile. Cette soirée n’avait qu’un seul but, se rencontrer. Une seule exigence de leur part, je devais me présenter au féminin.Le hic était que je n’avais rien à me mettre ! Il fallut faire un peu de shopping. Tout excité, je pris donc mon jeudi après-midi (vive les RTT) afin de me préparer. J’eus un peu de mal à négocier ce départ précipité. En effet, je prenais mes congés annuels, le soir même, pour trois semaines.Petit budget oblige, je me dirige dans un pôle commercial afin de visiter ces magasins à hauteur de mon budget : Kiabo et autre Gemi. Pas si simple finalement de faire ces achats en tant qu’homme ! Après avoir supporté mon trac, je me lance non sans gène dans les rayons. Après tout, je ne connais personne ! Je commence donc par choisir une minijupe en velours beige plissée taille 38 ainsi qu’un haut cache-cœur noir. Je prends aussi un top moulant blanc à manches courtes pour le dessous. Au rayon lingerie (niveau de stress en hausse), perdu au milieu de ces guêpières et autres porte-jarretelles, je me rabats sur un ensemble string-soutien-gorge noir assez classique. Enfin, une paire de collant noir opaque. Passage à la caisse, regard douteux, ouf c’est terminé. Je finis enfin mes achats par une paire de bottines noires avec petits talons taille 40.De retour chez moi, je commence donc à me préparer pour cette rencontre. Direction la salle de bains. Rasoir, vieux maquillage emprunté dans les fonds de tiroirs de ma mère (mascara, rouge à lèvres, fond de teint et fard à paupières). Je commence par me faire couler un bain. S’ensuit un rasage total des jambes, aisselles et pubis. Le reste de mon corps est pour sa part imberbe. Quelle délicieuse sensation de sentir ses jambes lisses et douces. Pourquoi ne l’ai-je pas fait avant ?Sorti du bain nu comme un ver, je commence ma séance d’habillage. Ensuite, la coiffure : n’ayant pas les cheveux longs, j’opte pour une coupe garçonne. Rasage des pattes. Mes cheveux restent assez longs pour être coiffés comme il se doit et tenir une barrette rose, également empruntée. Enfin, le maquillage : il fait ressortir mes jolis yeux bleus. Et la touche finale, un petit collier et bracelet assortis. Encore un petit détail : le rembourrage du soutien-gorge. Petit tour devant le miroir, c’est pas mal. Ma fine taille et mes traits fins font de moi une vraie fille. Perdu dans ma contemplation, j’allais en oublier mon rendez-vous. J’ai juste le temps de m’y rendre (c’est à 30 minutes de chez moi en voiture). C’est parti.Il faut maintenant descendre l’escalier de l’immeuble et aller jusqu’à la voiture. Heureusement, je ne croise personne dans les escaliers. Me voilà sur le trottoir. Heureusement, c’est l’hiver et il fait noir. Que c’est agréable d’être à l’extérieur vêtu ainsi ! Quelle sensation, ce vent froid sur mes jambes en collant qui passe sous ma jupe ! Je marche jusqu’à ma voiture tête baissée. Je ne suis pas habitué au bruit des talons sur le trottoir : c’est agréable, mais pas très discret.Je me rends donc à mon rendez-vous et trouve une place de parking juste en bas de chez eux. Je sonne sans trop réfléchir. Une femme m’ouvre.—oooOooo—— Bonjour, Élise (c’est mon pseudo sur l’annonce).— Bonjour, dis-je.— Entre, n’aie pas peur.Je rentrai donc dans une grande maison bourgeoise et Madame me présenta à Monsieur. Nous nous installâmes au salon. Les présentations faites, Solène me dit :— Élise, tu es très jolie mais je pense que tu pourrais mieux faire.Vexé après tout ces efforts, je balbutiai :— Comment ça ?— Je vois que tu as fait beaucoup d’efforts, mais je peux t’aider à être plus féminine. Tout d’abord, ton maquillage est un peu grossier, tes bijoux un peu démodés et tes vêtements pourraient être mieux coupés.J’expliquai donc ces petits défauts par mon manque de moyens financiers et l’empressement de mes achats. Je lui répondis que j’étais tout à fait d’accord pour l’aide. Elle sourit. La conversation continua sans trop de contenance. Ainsi après une petite heure et quelques verres d’apéritif, Solène me dit :— Si tu le veux bien, Élise, nous pourrions commencer à t’aider à être une belle fille dès maintenant.— Comment ça, dès maintenant ? dis-je.— Eh bien, tu nous as dis que tu étais en congé depuis ce soir ?— Oui.— Eh bien, je te propose durant tes congés de passer du temps avec nous et de vivre ta féminité.— Pourquoi pas ? Mais nous nous verrions tous les soirs ?— Non, je te propose encore mieux.— Quoi ?— Je te propose de vivre avec nous durant tous tes congés.— Oui, mais, vous, vous travaillerez et je serai tout seul la journée.— Daniel travaille, moi je ne travaille pas, je pourrai m’occuper de toi. Tu es d’accord ou pas ?Un moment de réflexion, et j’acceptai.— Et je viens à quelle heure demain ?— Eh bien, on commence tout de suite, si tu veux. Tu n’as pas besoin de rentrer chez toi ?— Non. Juste pour des vêtements de rechange.— On s’arrangera demain, me dit-elle en souriant.— Il se fait tard, dit Daniel, moi je vais me coucher. Solène, montre la chambre à Élise.Solène me prit par la main et nous montâmes l’escalier. Au fond du couloir, elle ouvrit une porte et dit :— C’est la chambre de Maude, notre fille qui vit en Allemagne. Elle ne rentre plus, tu n’as qu’à la prendre. Si tu veux, il doit rester une ou deux culottes dans la commode. Cela te servira sûrement pour demain. Il y a également une brosse à dents neuve dans ta salle de bain (il y avait une salle de bain privée dans la chambre) . Je te souhaite une bonne nuit. À demain, 7 h 30.— 7 h 30 ?— Oui, nous avons une grosse journée demain.— Bonne nuit.— Bonne nuit, Élise.Je me dévêtis, allai me brosser les dents, me démaquiller et m’endormis dans ces draps roses, en ne comprenant pas trop ce qui m’arrivait.Vendredi matin, 7 h 30Solène vint me réveiller.— Bonjour, Élise. Si tu veux bien prendre ta douche et venir prendre ton petit déjeuner…Je m’exécutai et me rhabillai comme la veille au soir pour descendre dans la cuisine. Je pris mon café avec Solène, Daniel étant déjà parti travailler.— Tu vas prendre des vêtements de Daniel pour ce matin. Nous allons aller faire du shopping toutes les deux. Daniel nous rejoindra ce midi, il ne travaille pas cet après-midi. Allez, dépêche-toi, on va être en retard !Je m’empressai donc de boire mon café et montai à ma chambre pour enfiler des vêtements de Daniel. Solène arriva :— Je suis désolée de te faire porter ces vêtements, mais tant que tu ne seras pas parfaite, ce sera compliqué de sortir en fille.— Je comprends, dis-je.— Bon, allez, on y va. Je t’attends en bas.Nous sortîmes donc en ville toutes les deux faire un peu de shopping. Nous passâmes une bonne partie de la matinée aux galeries Lafayette. Là, nous avons choisi quelques vêtements. Trois petites robes, deux jupes, trois minijupes plissées dont une magnifique noire au toucher de soie, des tops de toutes les sortes ainsi que des pulls. Il me fallait également des chaussures, nous avons donc pris une paire de bottes noires, une paire d’escarpins et une paire de ballerines, le tout en taille 40.Restait donc la lingerie. Moment affriolant que de choisir parmi ces nombreux modèles. Et je repartis donc avec quatre ensembles string soutien-gorge. Pour finir, Solène me dit qu’elle ne voulait plus me voir en collants, de surcroît, opaques.— Ce n’est pas ce qu’il y a de plus féminin, me dit-elle.Ainsi, je repartis avec deux guêpières avec jarretelles, une blanche, une rose et blanche en dentelle, avec en plus deux porte-jarretelles, un noir et un blanc. Elle accompagna le tout de cinq ou six paires de bas voiles noirs et chair. Le passage à la caisse fut pour moi un supplice même si Solène me rassura en me disant que cela n’était rien pour elle. Elle paya tout ! L’argent ne semblait pas un problème pour eux.Nous sortîmes du magasin les bras remplis pour tout déposer dans la voiture. Nous repartîmes donc, puis elle s’arrêta en plein centre ville et me fit signe de descendre.— Où allons-nous ? lui dis-je. Je crois que pour les vêtements, cela devrait aller !— Descends, je te dis. J’ai une surprise pour toi.Je descendis donc et elle m’accompagna à quelques pas de là, chez une esthéticienne où elle avait pris rendez-vous. Elle m’accompagna à l’intérieur et me présenta à une esthéticienne.— Bonjour, me dit-elle.— Bonjour.— Je suis Carole et je vais m’occuper de vous. Ne vous inquiétez pas, je suis au courant de la situation et tout cela reste évidement dans le secret professionnel.— Qu’allez-vous me faire ?— Ne vous inquiétez pas, je ne vais pas vous défigurer, je vais juste accentuer certains traits de votre visage. Et puis, vous savez, ce n’est pas la première fois que j’ai ce genre de demande.Un peu rassuré, j’entrai donc dans une pièce derrière le comptoir avec Carole. Solène me laissa et me dit qu’elle reviendrait d’ici peu de temps. N’ayant pas d’autre choix, je me laissai guider par Carole. Elle m’installa donc sur un fauteuil.— Nous allons commencer par les sourcils. Mais rassure-toi, j’y vais légèrement.Elle m’épila donc les sourcils tout en prenant soin d’en laisser assez pour garder également un genre masculin. Ensuite, elle commença une coiffure en essayant de trouver une coupe féminine. Le résultat fut surprenant. Elle est parvenue avec une longueur moyenne à réaliser une véritable coupe de cheveux de fille.— Tu as un visage très fin, me dit-elle, ça ne va pas être trop dur de faire de toi une jolie fille !Elle ajouta une barrette à ma coiffure :— Voilà, c’est terminé.— Merci.— Sinon, en ce qui concerne l’épilation des jambes, on m’a dit que c’était déjà fait, donc nous allons passer aux choses sérieuses maintenant.— Quelles choses sérieuses ? répondis-je.— Enlève ton pull et ton T-shirt et attends-moi, c’est une surprise de la part de Solène.Je m’exécutai.Elle revint avec deux boîtes dans les mains qu’elle posa sur une table. Ensuite, elle regarda mon torse :— Pas de poils, c’est parfait.Elle sortit d’une boîte une paire de seins en silicone.— Voilà ta surprise. La pose est simple, c’est juste une colle dermatologique qui tient environ deux à trois semaines. Ça ne laisse pas de trace après. Tu es d’accord ; on y va ?— Au point où j’en suis rendu, j’accepte.Elle me posa donc ces deux prothèses. C’est une sensation étrange et agréable de sentir ce poids sur mon torse, j’ai l’impression d’avoir une véritable poitrine.— Maintenant, les ongles ! C’est pareil, c’est une colle et cela peut se retirer.Je me laissai donc poser ces ongles. Une fois la pose finie, Solène arriva dans la pièce portant deux sacs à la main. Elle s’assit à côté de moi :— J’espère que ma surprise te fait plaisir.— Oui, merci beaucoup.— Mais je crois que ce n’est pas fini. Il te reste le maquillage.À cet instant, Carole, sortit un rasoir et commença à me raser le visage.— Ce n’est pas très féminin tout ça !Elle me passa légèrement du fond de teint. Un peu de crayon autour des yeux, du fard à paupière rose, du mascara et enfin le rouge à lèvres qu’elle m’offrait.— Tiens, garde-le, ça pourra te servir.— Merci, répondis-je.Carole me posa pour finir le vernis à ongle, d’un rose léger.— Attends quelques minutes que cela sèche et tu pourras bouger.Pendant que j’attendais, Solène se rapprocha de moi et sortit d’un sac quelques vêtements que l’on avait acheté peu avant.— Déshabille-toi maintenant, ton vernis est sec. On va enfin pouvoir t’habiller.Je m’exécutai et me mis en caleçon.— Enlève tout, tu ne vas pas mettre un caleçon d’homme, tout de même !Je me retrouvai donc nu comme un ver devant Solène et Carole. Solène me tendit la guêpière rose et le string assorti. J’enfilai la guêpière avec l’aide de Solène en y rangeant ma poitrine. Ensuite, j’enfilai le string. Solène me tendit une paire de bas noirs que j’enfilai délicatement pendant qu’elle m’aidait à les accrocher.— C’est tout de même plus confortable que tes collants opaques ?Effectivement, ce léger voile sur mes jambes me procurait une agréable sensation.Elle me tendit ensuite une petite robe moulante noire cintrée avec de petits plissages. Je l’enfilai et elle m’aida à la fermer. Enfin, je chaussai mes escarpins noirs à brides. Du haut de mes talons, je me sentais vraiment comme une jolie fille.— Et maintenant, la touche finale, dit Solène.— Encore, répondis-je.Elle ouvrit le second sac.— Tiens, il te manquait encore quelques affaires.Elle me posa un bracelet et un collier argenté, puis me fixa deux boucles d’oreille pendantes à clip noir et argent. Elles balançaient de mes oreilles sur mes joues, quel plaisir !— Et voilà tu es prête, Élise, nous pouvons sortir.— Sortir ?Elle me passa une petite veste cintrée noire et un petit sac à main dans lequel elle posa mon nouveau bâton de rouge à lèvres.— Oui, nous sortons rejoindre Daniel. Avec ça, tu n’auras pas froid dehors.Carole souriait. Nous passâmes donc à la caisse et sortîmes dehors. J’avais peur. Je sentais les regards sur moi. Solène me rassura.— Ne crains rien, tu es une fille maintenant et les gens te regardent comme telle. Tu es très belle, tu sais.Je m’arrêtai devant une vitrine et me vis en reflet. C’est vrai que j’étais belle et très féminine. Nous continuâmes notre chemin jusqu’à la voiture et rentrâmes à la maison.Daniel était déjà rentré. Il s’approcha de moi, me fit la bise et me complimenta. Nous déjeunâmes ensemble en contant nos matinées respectives. Après le café, Solène me dit en aparté que nous avions oublié quelques achats ce matin.— Tu n’as pas de bas auto-fixants pour mettre sans porte-jarretelle.— J’ai mon collant, lui répondis-je.— Non, tu ne peux pas mettre cet horrible collant, nous allons acheter ces bas cet après-midi. De toute façon, nous devons aller faire des courses pour la semaine.Nous partîmes donc en début d’après-midi au supermarché avec Daniel et Solène. Je dus donc aller chercher quelques paires de bas pour compléter ma garde-robe. Seul dans le rayon, je choisis donc une paire noire, une chair ainsi qu’une paire de bas blancs. Je rejoignis donc Solène et Daniel aux caisses enregistreuses avec leur chariot remplis de nourriture. Puis nous rentrâmes à la maison.18 heuresNous sommes tous les trois dans le salon, prenant un café. Daniel doit s’absenter pour rendre visite à un ami. Nous restons donc toutes les deux, Solène et moi. Elle me demande soudain :— Tu as déjà fait l’amour avec un homme ?— Non.— Tu es vierge, Élise ?Je balbutiai un « oui ».— Ne t’en fais pas, ce n’est pas très grave.— À vrai dire, cela m’inquiète un peu, la première fois.— Ne t’inquiète pas, on est toutes les mêmes, la première fois. Et puis rassure-toi, ce n’est pas pour ce soir !Étonnée, mais rassurée, je répondis :— Ce n’était pas prévu comme ça, ce soir ?Solène sourit :— Il y a des choses que l’on ne prévoit pas, Élise !Nous discutâmes ainsi une bonne heure quand Daniel rentra. Il n’était pas seul.— Bonsoir les filles, j’ai croisé Jérôme. J’ai pensé que c’était une bonne idée de l’inviter à dîner.— Bonne idée, mon chéri, répondit Solène.Daniel me présenta à Jérôme.— Jérôme, Élise. Élise, Jérôme. Jérôme est un ami de mon ancien travail. Et Élise est une jeune étudiante que nous hébergeons. Voilà, les présentations sont faites.Jérôme me sourit, je ne savais plus où me mettre. Il s’approcha de moi et me fit la bise.Je souris, gênée. C’était un homme assez grand et fort, d’environ 45 ans.Nous prîmes l’apéritif dans le salon. J’étais assise entre Jérôme et Solène, sur le canapé, tandis que Daniel se trouvait dans un fauteuil en face. Nous discutâmes de choses et d’autres avant de passer à table. Je fus donc placée à côté de Jérôme, en face de Solène. Le diner se passa très bien quand d’un seul coup, Jérôme passa la main sur ma cuisse, caressant mon bas. Je sursautai.— Ça ne va pas, Élise ? me questionna Solène.— Si, très bien, ce n’est rien, répondis-je.La fin du repas arriva sans autre incident et nous repassâmes au salon prendre le café. Je me retrouvai encore à côté de Jérôme. Je gardais les jambes croisées. Jérôme posa alors sa main sur ma cuisse une seconde fois. Je ne bronchai pas. Nous finîmes le café et discutâmes une bonne heure, quand Daniel regarda Solène et dit :— Je crois que nous allons aller nous coucher, nous sommes fatigués. Bonne fin de soirée.Je me retrouvai donc seule avec ce presque inconnu. Il avait toujours la main sur ma cuisse. Il me souriait. Il commença alors à remonter sa main jusqu’à effleurer une partie de ma cuisse non recouverte par mes bas. C’était délicieux mais je le stoppai.— Non, attends !— Allons Élise, je sais que tu n’es pas réellement « Élise ». Cela ne me gêne pas, je te trouve très belle, tu sais.Je souris bêtement.Il remit alors sa main sur ma cuisse et m’embrassa. Je me sentais désirée. Il quitta mes cuisses et commença à déboutonner son pantalon. Il le retira et me prit la main droite pour la poser sur son sexe. C’était la première fois que je tenais un sexe d’homme. Je commençai donc à le toucher et à effectuer un mouvement de va-et-vient. Il me regardait m’amuser et découvrir. Soudain, il passa sa main derrière mon cou et me baissa la tête. Je compris et m’exécutai. Je me mis donc à genoux devant le canapé et approchai ma bouche. Je commençai par le lécher puis pris entièrement son sexe dans ma bouche. Je commençais à aimer cette situation. Au bout de quelques minutes, il m’arrêta. Je me relevai du haut de mes talons. Daniel et Solène étaient redescendus, réveillés par le bruit.— On ne vous dérange pas, j’espère.— Non, non balbutiai-je.— Monte avec moi, Élise, me dit Solène.Je la suivis dans l’escalier tandis que Daniel rejoignait Jérôme dans le salon.Nous arrivâmes dans ma chambre. Solène me dit :— Je crois que tu es prête, ma petite Élise. Je vais te faire belle pour ton grand soir. Déshabille-toi.Je me retrouvai encore nu comme un ver. Je me retournai et vis que Solène m’avait choisi d’autres vêtements. Je me précipitai donc vers cette nouvelle tenue.— Attends, Élise, tu n’es pas tout à fait prête. Retourne-toi et penche-toi.Je sentis à cet instant qu’elle m’appliquait un gel lubrifiant afin de préparer mon anus.— Voilà, c’est tout. Tu peux t’habiller.J’enfilai donc une guêpière blanche et string assorti, puis une paire de bas blancs avant de rentrer dans la même magnifique robe noire. Je remis mes escarpins et Solène me raccompagna en bas de l’escalier jusqu’au salon.— Je crois que l’on t’attendait, Élise, me dit Solène à l’oreille.Je regardai dans le salon et aperçus Daniel et Jérôme tous les deux nus assis sur le canapé. J’étais effrayée mais très excitée. Solène m’accompagna donc dans le salon en me tenant par la main. Elle me laissa devant ces messieurs et alla s’asseoir sur le fauteuil en face.Seule, debout sur mes talons, j’étais timide. Devant moi étaient assis ces deux hommes. J’étais très excitée. Je tournai la tête en direction de Solène. Elle me dit tout bas :Jérôme me prit la main et me guida à lui. Je me remis donc à genoux et approchai ma bouche près de son sexe. Je commençai à le sucer. Pendant ce temps, Daniel se releva et m’interrompit. Il me fit asseoir sur le canapé entre eux deux. Je me penchai alors à nouveau vers Jérôme et continuai à le sucer. Daniel, pendant ce temps, me caressait la cuisse à travers mes bas blancs, remontant toujours plus haut. Je gardais les jambes croisées, continuant de sucer Jérôme.Daniel m’allongea sur le canapé, se leva et vint à son tour me présenter son sexe, debout à côté de Jérôme. Je me retrouvai donc avec ces deux belles bites devant ma bouche, les suçant l’une après l’autre. Solène nous regardait calmement dans son fauteuil. Je sentis d’un coup le sexe de Jérôme gonfler puis il éjacula dans ma bouche. Je me retirai. Il continua à se vider sur mon visage. J’avais du sperme plein la figure. J’aimais ça.Je me relevai alors doucement, essoufflée. Daniel me fit mettre debout. Je voyais Solène qui souriait. Daniel commença alors à baisser la fermeture éclair de ma robe. Elle tomba à mes pieds. Je me trouvais là, debout, en guêpière et talons hauts. Daniel me fit rasseoir sur le canapé. Je me penchai donc vers lui et me blottis dans ses bras. Jérôme me prit alors les jambes et m’allongea. J’étais allongée, la tête sur le sexe de Daniel que je commençai à lécher et les jambes sur les genoux de Jérôme. Jérôme me caressait les jambes et commençait à monter de plus en plus haut. Il passa sa main à travers mon string et soudain m’enfonça un doigt. Je sursautai et relevai la tête abandonnant un instant le sexe de Daniel. Je me calmai. Jérôme enleva alors mon string. Je me tortillais les jambes afin de l’aider à le retirer. Il se pencha et s’allongea derrière moi. Je sentais son sexe sur mes fesses. J’étais allongée sur le flanc, suçant Daniel, et Jérôme approchant son sexe de mon anus. Il força un peu puis son sexe me pénétra doucement. Je relevai la tête et poussai un cri de plaisir. Daniel me prit alors la tête et la reposa sur son sexe. J’aimais être prise par ces hommes.Cela continua durant cinq bonnes minutes puis Jérôme se retira, me prit par les hanches et me fit asseoir sur lui. Je m’assis donc doucement, me laissant envahir par son sexe. Il me soulevait le bassin par les hanches. Je le chevauchais avec plaisir. D’un seul coup, je sentis en moi se déverser un liquide chaud, il éjacula. C’était délicieux. Jérôme se retira donc. Essoufflée, je m’allongeai sur le canapé. Daniel se rapprocha alors de moi. J’étais sur le dos. Il me releva les jambes pour apercevoir mon anus. Il s’approcha à son tour et me pénétra doucement. Il prit alors mes jambes et les mit sur ses épaules. Cette position me procura un immense plaisir. Daniel me prit ainsi comme une chienne durant cinq bonnes minutes avant d’éjaculer en moi à son tour. J’étais comblée. Je me rassis donc sur le canapé. Mes deux amants se retirèrent du salon. Solène vint alors à côté de moi.— Je crois que tu as bien aimé, Élise, n’est-ce pas ?— Oui, c’était magnifique. Merci.Elle me releva et m’aida à mettre ma robe. Soudain, je sentis un liquide chaud descendre le long de mes cuisses. Je me penchai, regardai sous ma robe. J’avais du sperme qui s’écoulait de mon intimité et ruisselait jusqu’à la limite de mes bas. J’adorais cette sensation. Solène sourit et me raccompagna à ma chambre. Je pris une douche, mis une culotte propre et m’endormis en pensant à cette belle soirée. J’étais une femme désormais.À suivre…