Ce soir : invitation au restaurant ! Tu m’as dit :— Tu te fais belle : j’ai envie de sortir ma pin-up préférée !Je me prépare, avec bien du mal, car bien sûr entre tes frôlements, tes bisous et tes caresses intimes, j’ai beaucoup de mal à me concentrer et à trouver ce que je vais mettre ! J’opte finalement pour une robe noire, avec un profond décolleté, un collier adéquat ; bref, sobre et un petit poil sexy…J’hésite à mettre un slip ou pas, je remarque qu’avec tes attouchements, ma chatte est déjà bien trempée. Je l’essuie, mais le frottement du gant m’excite davantage !Soudain, il me vient une idée : il y a quelque temps, nous avons passé commande d’un coffret plein d’objets intimes à un prix abordable… Je me souviens, quand nous avons déballé le colis, de tous ces jouets aux couleurs fluo, bleu, rose, rouge, et de toutes les formes, grandes, petites, recourbées, étranges. Nous n’avons pas pu nous empêcher de les essayer sur le champ, et ma foi, pas un ne m’a déçue ! Sur le coup, j’ai pensé :— Maintenant mon chéri, tu peux t’absenter, j’ai de quoi me remplir tous mes trous !!!Je me sentais comme une gamine : mes jouets à moi, rien qu’à moi !Il y avait aussi des boules de geisha. J’avoue que la première fois que je les ai essayées, cela ne m’avait pas tellement emballée, mais peut-être qu’à ce moment-là , j’avais envie d’autre chose. Bref, je vais dans ma chambre, je prends la boîte et je l’ouvre.Quoi faire ? Je prends chaque objet en main, j’imagine diverses choses, je les soupèse, je les évalue un par un. Doucement une idée fait son chemin, petit à petit…Je me décide pour quatre objets : les boules, histoire de réessayer, un gode bien en chair et membré, un plug, et aussi cette chose amusante que j’aimerais bien tester, surtout dans un restaurant : un chapelet composé de différentes boules, de la plus grosse à la plus petite.Et là , ma décision est prise : je vais mettre un slip, car je vais me remplir avec deux objets, les boules de geisha par-devant et le chapelet par-derrière !Je profite que tu sois dans la salle de bain, occupé à te raser. Je m’allonge sur le lit, ma chatte est toujours aussi trempée, je suis très excitée en pensant à ce que je suis prête à faire. Je me masturbe un peu, je n’ai aucun mal à enfiler les boules, elles entrent toutes seules en moi, sans effort. Je prends un peu de ma mouille sur un de mes doigts et je le passe sur mon anus, au creux de la cuvette. Je le titille, je le rentre doucement à l’intérieur, je répète cela plusieurs fois jusqu’à que mon trou soit bien dilaté.Le chapelet humidifié par ma cyprine, je glisse en moi les boules une à une, mon cul l’absorbe jusqu’à la dernière. Je me sens remplie. Il ne faudrait pas grand-chose pour que j’aie un orgasme, mais j’entends tes pas dans le couloir, alors je me relève vite fait : je ne veux pas que tu découvres mon petit jeu tout de suite !J’enfile un slip juste avant que tu ne rentres, et là , tu me regardes, admiratif. Tu embrasses d’abord mes lèvres puis tu descends hardiment dans mon décolleté, tes mains me malaxent les fesses sans vergogne.— Tiens, tu as mis un slip, c’est rare, tu ne veux pas l’enlever ?— Non, non, histoire de changer un peu…Tu hausses les épaules avec un air déçu et tu me dis :— Dommage, te savoir cul nu au restaurant m’aurait beaucoup amusé… Tant pis !De voir ton air de cocker triste me donne envie d’enlever ma petite culotte sur-le-champ, mais je me ravise bien vite en me disant que si l’un des mes petits jouets ne voulait pas rester à sa place, j’aurais plus que certainement besoin de cette protection !Nous voilà prêts à partir. Au début, je ressens une petite gêne bien vite dissipée. Durant le trajet, nous discutons de tout et de rien.Tu as décidé de m’inviter au chinois, nous y sommes déjà venus, c’est de la cuisine au wok. Comme il s’agit d’un self, on choisit ce que l’on veut en légumes et en viande puis un cuisinier le fait cuire devant vous, à grands coups de flammes impressionnantes.Je suis tout de même un peu inquiète, car il faut aller se servir soi-même et donc, je vais devoir me lever plusieurs fois, et avec tous ces jouets en moi, est-ce que ça ne va pas… ? Après tout, c’est la première fois que je fais cela, mais, en même temps, cela m’excite énormément !Nous passons commande des menus wok, puis nous allons nous servir en entrées. Je marche jusqu’aux plats situés à l’autre bout de la salle, les boules remuent dans ma chatte au rythme de mes pas, je les sens frotter contre mes parois ! Je serre les fesses pour mieux sentir le jouet dans mon cul, je m’amuse même à dilater et serrer mon anus !Heureusement que j’ai mis une culotte, car je sens que je suis en train de la détremper ! J’adore cette sensation, cela doit se voir sur mon visage, car tu me lances :— Apparemment, cela a l’air de te faire plaisir de manger ici… tant mieux !Nous retournons à notre table. Étant assise, je ne peux m’empêcher de remuer, j’ai presque envie de passer ma main sous ma robe pour me caresser ! hummm, cette sensation…Tout à coup, j’entends :— Tu as envie d’aller aux toilettes ? Tu as l’air bizarre ce soir… tout va bien ?Il faut que je me calme ! Je ne vais quand même pas avoir un orgasme ici ! Allez, concentre-toi sur ton assiette !— Non, je ne dois pas aller aux toilettes ; je suis contente d’être ici…— Ah ? Tant mieux alors ! Bon appétit, ma chérie !— Bon app !L’entrée finie, pardon, les entrées finies, nous attendons un peu pour la suite, tu me prends ma main et tu me chuchotes :— Tu es très jolie, mon amour… j’ai envie de plonger ma main dans ton décolleté et de te faire plein de bisous sur tes seins !Pendant que tu dis ça, je sens que tu passes ta jambe entre les miennes ! J’ai un frisson dans tout le corps, j’ai mon ventre qui se serre ! Remuée, je bafouille :— Euh… merci mon amour…Je me lève :— Finalement, je crois que je vais aller aux toilettes…… Et m’y précipite vite fait ! Vite, un peu d’eau froide sur le visage ! Je rentre dans une cabine de toilette, je prends du papier et m’essuie : je suis dans un état d’excitation extrême !Je souffle un bon coup, je prends un air serein puis je regagne ma place.— On va chercher la suite, ma chérie ?— On y va !Le repas se poursuit, les va-et-vient dans la salle, tes caresses, tes mots doux, je n’en peux plus et je suis pressée de rentrer à la maison afin que tu me prennes !Le temps passe interminablement, malgré le fait que j’apprécie tout ce que je mange. Un beignet aux pommes… de la glace… un thé à la menthe… Enfin, nous partons !Le retour me paraît très long, j’ai envie de me masturber, là , dans la voiture ; j’ai tellement la chatte en feu ! Tu ouvres la porte, tu me prends dans tes bras, tu m’embrasses tendrement. Je me colle contre toi, je te caresse, je te déshabille à moitié.— Ouah, c’est de manger chinois qui te met dans un état pareil ? Je t’y emmènerai plus souvent !Impérativement, je prends ta main : direction notre chambre. Je te pousse sur le lit, je n’arrive plus à me contrôler ! Je t’embrasse, je te mords, je te griffe :— Prends-moi, baise-moi ! J’ai envie de toi !!!Tu enlèves mon slip trempé, tes doigts titillent mon clito puis descendent plus bas ; tu essayes d’entrer un doigt en moi. Je vois ton air surpris quand tu découvres les boules :— Tu as été au restau comme ça !? Mais tu es une grosse cochonne !!!Tu tires doucement sur la ficelle que tu réussis à capturer. Tu fais délicatement glisser les boules. Mouillée comme je suis, elles n’ont aucun mal à sortir ! Ta langue lape ma cyprine, tu me lèches, tu me mordilles, tes mains attrapent mes fesses, les pressent ! Tu glisses vers mon anus, soudain, tu relèves la tête :— Là aussi !? Mais tu es insatiable !!!— Tu crois ?— Je vais devoir me méfier : tu deviens de plus en plus dévergondée ! Deux en même temps, tu es une grosse gourmande !Ton sexe gonflé d’envie entre en moi d’un coup sec !— Qu’est-ce que tu dis de ça, cochonne, ce n’est pas mieux ainsi ? T’as envie d’être remplie ? Et bien, tiens !!!— Oui !!!— Devant, derrière, tu es bien comblée ?Ton sexe en moi par-devant, le chapelet toujours enfoncé par-derrière, je sens qu’il ne me faudra guère de temps pour que la jouissance arrive ! C’est extra d’être ainsi prise, complètement, totalement ! Ce côté à la fois dévoyé et animal, cette jouissance qui émerge comme une grande vague, comme une digue qui cède, depuis tout ce temps que je me retiens !Avant de me laisser aller complètement, je songe que ç’aurait été bien que ça se passe sur la table, au restau chinois…