Un soir, tu as tapé à la porte de mon chat, nous avons dialogué jusqu’à tard dans la nuit. Au début nos conversations étaient plutôt tranquilles, soft, mais très vite nous nous sommes chauffés, nos dialogues sont devenus très enflammés. Et nous avons fait l’amour virtuellement, que des moments si agréables. Tu me donnais tellement envie que petit à petit je me caressais les seins, puis je glissais ma main dans mon pantalon pour me caresser et me doigter tout en continuant à avoir des dialogues hot avec toi. Toi au travail et moi à la maison, à me donner du plaisir en ne pensant qu’à toi, quel bonheur !Puis tu m’as demandé qu’on se voie en webcam. Et là nous nous sommes donnés du plaisir solitaire en nous regardant droit dans les yeux, quelle extase ! Je savais que tu étais en train de caresser ton sexe tout dur et moi je me caressais en faisant glisser mes doigts dans mon vagin tout mouillé, puis remontais pour me titiller le clitoris. Je prenais tellement de plaisir que je me mordais les lèvres pour ne pas trop gémir. De te voir te masturber en face de moi, ça m’excitait. De savoir que tu te procurais du plaisir en me voyant, en pensant à moi. Quelle joie !Je ne rêvais que d’une chose, c’était de mettre toutes ces conversations en pratique, de voir comment tu pouvais me procurer autant de plaisir.Enfin, le grand jour est arrivé, notre rencontre tant désirée, dont j’ai rêvé tous les jours, à chaque nouvelle journée.J’ai choisi mes dessous en pensant à toi, rouge pour t’exciter au maximum.Je suis venue te chercher au travail pour te faire une surprise avec une rose rouge en offrande, rouge comme les dessous en dentelles que je portais. Quand je t’ai vu, j’ai rougi, je me suis approchée timidement et me suis serrée dans tes bras. Je t’ai regardé droit dans les yeux et t’ai murmuré au creux de l’oreille : « Coucou toi ! Je suis comblée de te voir ! ».Nous nous sommes embrassés, un baiser si torride que ma culotte était déjà humide. Ma langue caressait la tienne sensuellement, tu as posé tes mains sur mes hanches, puis sur mes fesses. Et là tu me caressais les fesses délicatement. Mes mains se baladaient sur ton torse puis sont venues se placer sur ton petit cul. Et j’ai caressé tes fesses subtilement. Même cet instant je ne voulais pas qu’il s’arrête, c’était le début de plusieurs heures de plaisir, intenses et savoureuses. Nous avons pris nos voitures respectives et je t’ai conduit près d’un bois, un petit lac tranquille rempli de champs de fleurs. Il faisait beau. Nous nous sommes baladés main dans la main un petit moment puis nous nous sommes assis.Te voir à côté de moi, pouvoir te parler vraiment, sentir ton odeur, pouvoir te toucher, mon rêve enfin se réalise. Je t’ai souri et me suis approchée pour t’embrasser. Mes mains sont venues se poser sur ton entrejambe, et j’ai commencé à déboutonner ton pantalon, à le retirer, idem pour ton boxer. Tu embrassais mon cou, et de temps en temps tu mordillais le lobe des mes oreilles. Tes mains parcouraient ma peau sous mon débardeur, tu as retiré mon haut et tes mains se sont posées sur mes seins, tu m’as dit « J’ai envie de les embrasser ! ». Je t’ai regardé, t’ai souri et ta bouche s’est approchée de ma poitrine. Tu les as embrassés, j’ai senti ta langue m’effleurer, tu as ôté mon soutien-gorge et tu t’es attaqué à mes tétons qui pointaient déjà. Tu les as léchés puis mordillés. Chacun son tour, tu as pris ton temps pour me rendre folle de désir. Je me mordais les lèvres de plaisir.De mon côté, mes mains caressaient ton sexe et tes bourses. J’avais une envie de le mettre en bouche, de te procurer du plaisir par une fellation si intense que ton sexe aurait été au bord du frémissement. Mes lèvres se sont approchées de ton pénis et ma langue l’a parcouru sur toute sa longueur. J’ai embrassé ensuite voluptueusement tes bourses et je t’ai regardé dans les yeux en te souriant. J’ai mis ton sexe dans ma bouche doucement, et progressivement je l’ai fait pénétrer, j’ai pris mon temps pour que tu profites bien du moment. Je gémissais en te suçant de t’entendre gémir aussi. J’ai alterné ton sexe dans ma bouche avec des mouvements de va-et-vient mais aussi rotatifs, et ma langue sur ton pénis à te lécher sur toute ta longueur. Mes mains continuaient à te palper les bourses. Toi, tu me regardais et profitais de cette fellation tant désirée. Je me suis relevée et en te regardant dans les yeux, je t’ai allongé, je t’ai embrassé passionnément et j’ai enlevé mon pantalon. Je t’ai dit « J’ai envie que tu me donnes chaud, j’ai envie que tu me procures du plaisir ! ». Et je suis venue me mettre sur toi pour que nous fassions l’amour, pour que tu me pénètres, pour que tu me procures ce plaisir tant voulu. Je me suis accroupie et tu as guidé ton pénis dans mon vagin mouillé par l’envie, par le désir que tu me combles enfin. Je suis descendue lentement sur ton pénis dur, pour te sentir en moi, en profondeur. Je gémissais de plaisir. Tes mains sur mes fesses accompagnaient mon mouvement. Je montais et descendais de plus en plus vite. Mon bassin faisait aussi des petits cercles tellement j’étais excitée. Je te disais : « J’adore quand tu es en moi, j’adore faire l’amour avec toi ! ». Tu continuais à embrasser mes seins, à les lécher, à les mordiller. Mon mouvement s’est amplifié, tes coups de reins aussi, tes fesses se sont soulevées du sol pour bien me pénétrer au plus profond, pour bien que je te sente en moi, pour bien me faire jouir.D’un coup, tu m’as renversée et fait basculer à ta place. Tu m’as attrapé les mains et les as mises au-dessus de ma tête, avec une main tu as guidé ton pénis dans mon vagin, l’autre tenait mes mains. Et tu m’as pénétrée doucement au début, tu as rentré ton gland d’abord, ensuite ton sexe entier, il glissait bien tellement j’étais humide, puis très vite tu as accéléré, tes coups de reins se sont fait de plus en plus intenses. Mes jambes se sont posées sur tes cuisses pour profiter au mieux de cette profonde pénétration. Je gémissais de plus belle, tout en me mordant les lèvres pour ne pas crier. Mon bassin faisait des mouvements circulaires pour te sentir en moi de partout. Nos mouvements s’amplifiaient, s’accéléraient. Ton va-et-vient en moi se faisait de plus en plus fort, tes bourses claquaient sur mes fesses, tes coups de reins devenaient de plus en plus intenses. De plus en plus fort, de plus en plus vite.Je t’ai dit « Continue, tu me rends dingue, j’en peux plus, tu vas me faire jouir ! » Tu as continué de plus belle en me disant « Moi aussi, je vais jouir ! ».Quel bonheur, cet instant fatidique, cette jouissance mutuelle ! Un cri a jailli de ma bouche, que je n’ai pas pu retenir. Toi tu as gémi de plaisir. Tu t’es allongé à mes côtés, tu m’as souri, je t’ai regardé, t’ai rendu ton sourire et là tu m’as dit « Je t’adore ! ». J’ai rougi et t’ai répondu « Je t’adore aussi ! J’ai aimé faire l’amour avec toi ! ». Et je me suis serrée dans tes bras. Tu m’as embrassée et nous sommes restés comme ça quelques minutes. Un moment inoubliable, un instant parfait où un homme et une femme s’abandonnent au désir, à l’envie, au plaisir de l’autre.