Mes amis et moi sommes ce que l’on appelle des épicuriens. Il nous arrive quelquefois – trop rarement à mon goût – de nous rencontrer pour des soirées disons… coquines. Le sexe y tient une grande place, même si cela reste un jeu entre nous.Pour pimenter une de ces soirées, il était convenu qu’avant de nous rencontrer je devais envoyer une proposition de scénario pour une première expérience de soumission soft, acceptée par tous les participants. Devant me rendre pour raisons professionnelles dans leur ville, j’envoyai donc un scénario, pour une soirée et un après-midi, moments que mon activité me laissait libres. Mes amis s’étaient arrangés de leur côté pour se rendre disponibles.* * *Le jour prévu, mes amis vinrent me chercher à la gare.J’étais très excité – et inquiet en même temps – en attendant le « Maître » qui devait me présenter sa « Soumise ». Comment avaient-ils interprété mes propositions ? Serait-elle dans la tenue demandée : sans culotte sous sa jupe mais avec des bas, et pour le haut sans soutien-gorge sous un corsage ou un pull ? J’avais souhaité aussi qu’elle porte un œuf vibrant télécommandé dans la chatte. Enfin, j’avais demandé qu’elle soit assise sur la banquette arrière, jupe troussée et seins à l’air.La voiture était là , mais je trouvai une femme assise à la place avant, vêtue d’une doudoune longue et bien épaisse. Quelle déception…— Un contretemps, me dit le chauffeur, nous devons faire une course auparavant pour un ami, qui arrive par le même train que toi.Durant le trajet la conversation glissa sur la météo, pluvieuse et froide. La course terminée, le chauffeur me dit :— Nous allons maintenant visiter la campagne profonde de cette région, mais tu ne pourras malheureusement pas découvrir ce que tu souhaitais, car Madame n’a pas eu le temps de se préparer.J’étais déçu mais intrigué par le chemin emprunté, perdu dans les champs et isolé.La voiture s’arrêta puis le Maître me dit :— Descends et attends près de la voiture sans regarder à l’intérieur.Une minute plus tard, la portière s’ouvre et… oh divine surprise ! La Soumise m’apparut, nue, vêtue de bas résille, un masque sur les yeux, une longue chaîne entravant ses seins et passant entre ses fesses en s’incrustant dans sa chatte. Superbe vision, qui aussitôt me fit bander. Qu’elle était belle, nue, avec ses cuisses pleines, ses seins fermes aux tétons tendus, son cul bien rond…Malgré la température très froide, elle se dirigea vers l’avant de la voiture et s’allongea sur le capot moteur, son cul magnifique s’offrant à nos regards. Le Maître dirigea une puissante lampe-torche vers ce cul blanc contrastant avec les bas.— Elle est à toi, ce corps t’est offert, me dit-il en prenant son appareil photo pour immortaliser ce merveilleux moment.Je ne pus m’empêcher de faire courir mes mains sur ces fesses rondes et douces au toucher. Un de mes doigts se glissa doucement dans le sillon dans lequel courait la chaîne. Pour faire bonne mesure, comme elle n’était pas assez docile au goût du Maître, nous commençâmes à fesser tous les deux ce cul bien rond et offert pour le faire rougir. Puis nous l’avons tournée pour profiter de ses seins enchaînés, dont les tétons étaient mis en valeur par deux anneaux en acier. Quel régal de sucer et mordiller ces tétons offerts ! Quel délice de voir cette chatte lisse dont les lèvres saillaient grâce à la chaîne qui passait au milieu, et qui jouait aussi le rôle de ceinture de chasteté !* * *Après ces merveilleux moments et pour éviter à la Soumise de prendre froid, nous sommes remontés dans la voiture et elle se rhabilla pour prendre le chemin d’un restaurant en ville.Au restaurant, je fus placé à côté de la Soumise. Malgré les clients et le serveur, il m’arrivait de glisser ma main en remontant sous sa jupe pour découvrir sa chatte traversée par la chaîne, et en profiter pour caresser sa cuisse douce au toucher.Par contre, je fus surpris quand j’entendis un léger bourdonnement. En regardant le Maître, je vis un sourire de plaisir sur son visage. Me tournant vers la Soumise, je découvris son visage illuminé et embarrassé à la fois. Elle m’expliqua alors que son Maître la tenait à sa merci grâce à un œuf vibrant télécommandé qu’il pouvait mettre en route selon ses désirs. Ils avaient respecté point par point mon scénario… Quel régal de la voir se pincer les lèvres, au bord de l’orgasme ! Grâce à ce petit appareil, le Maître la maintenait au bord de la jouissance mais sans jamais aller jusqu’au bout.Ainsi se passa le repas dans une ambiance sensuelle et décontractée (sauf pour le sexe de Madame !).* * *Nous sommes repartis ensuite à mon hôtel pour découvrir la Soumise dans un environnement plus chaud que la nature. J’étais impatient de la découvrir présentée et offerte par son Maître. Dans la chambre, sur l’ordre du Maître, elle se mit nue et apparut parée de la chaîne qui encadrait ses seins et s’enfonçait dans sa chatte et le sillon de ses fesses.Quel plaisir de pouvoir la détailler longuement dans la chaleur de la chambre, de pouvoir caresser ses tétons durcis par le plaisir d’être exhibée, de passer mes mains sur ses fesses blanches encadrées par les bas. Nous avons pris beaucoup de plaisir à la caresser ainsi, le Maître et moi. Puis il enleva le cadenas qui maintenait cette savante combinaison enchaînant les seins, le sexe et le sillon des fesses.La vue de cette chaîne séparant les lèvres m’avait particulièrement excité, mais en enfonçant un doigt dans ce sexe offert je pus constater à son humidité qu’il en était de même pour elle. Je commençai un doux va-et-vient pour une lente masturbation, pendant que son Maître glissait un doigt dans son superbe cul tout en lui suçant un sein.Nous fûmes rapidement sur le lit, nos bites dressées offertes à la Soumise. Ma langue s’activait dans ce sexe si disponible, aspirant délicatement son clito sensible, pendant qu’elle suçait avec avidité le deuxième sexe à sa disposition. Quel régal de la sentir ainsi ouverte à notre plaisir, mais aussi au sien…Lui relevant ensuite les jambes, je pénétrai cette chatte tant désirée. Elle prit son plaisir assez rapidement et reçut ensuite les hommages de son Maître, qui avait souhaité que je l’honore en premier.L’heure avançant dans la nuit, nous prîmes tranquillement un verre tout en caressant ce corps aux seins merveilleux, si beaux à regarder. Rendez-vous fut pris pour le lendemain chez le Maître.* * *Le lendemain, je sonnais à l’heure convenue. La Soumise m’ouvrit… Quelle surprise ! Elle ne portait, comme convenu, qu’un tablier laissant apparaître ses beaux seins et son superbe cul. Elle portait des chaussures à talons compensés qui la rendaient plus désirable encore et plus soumise.Elle nous servit l’apéritif, et bien sûr je profitai de sa proximité pour glisser une main sur ses fesses, introduire un doigt dans sa chatte et lui caresser les seins. Son Maître lui demanda aussi de bien ouvrir les cuisses pour nous faire profiter du spectacle de sa chatte lisse.Le repas se passa rapidement, mon regard s’attardant souvent sur les parties dévoilées de son corps.Après le café, le Maître et la Soumise me laissèrent seul un bon moment avant que le Maître m’invite à venir dans leur chambre. Là , nouvelle surprise, mon scénario était toujours respecté à la lettre. La Soumise était allongée sur le lit, les yeux bandés, des liens l’immobilisant complètement dans une position qui me fit aussitôt bander : sur le dos, totalement prisonnière, les jambes pliées largement ouvertes dévoilant son sexe avec impudeur, les seins entourés par les liens. Quel régal de la voir totalement à notre disposition, prisonnière de nos envies et de nos fantasmes !Aussitôt nous commençâmes à faire courir nos mains sur tout le corps de notre Soumise, pinçant un téton, enfonçant un doigt dans son sexe et son anus. À la vision de sa chatte délicieusement offerte, je ne pus m’empêcher de plonger entre ses cuisses pour déguster son abricot. Ma langue se glissa entre les lèvres puis se fixa sur le clito que j’aspirai avec délice. Elle mouillait, et je me régalai de cette mouille de Soumise.Pendant ce temps le Maître s’était positionné au-dessus de sa bouche pour qu’elle suce cette bite présentée comme une gourmandise. Et elle était gourmande! Malgré le bandeau sur les yeux on devinait à ses grognements et ses mouvements du bassin qu’elle appréciait d’être ainsi livrée.J’introduisis ensuite deux doigts dans sa chatte pour la masturber pendant que le Maître lui enfonçait un doigt dans l’anus. Ainsi stimulée elle commença à ronronner de plaisir.Le Maître se positionna ensuite pour enfoncer sa belle bite et la pistonner avec vigueur pendant que je mettais mon sexe dans la bouche de la Soumise ; je pus apprécier alors le plaisir de ses lèvres aspirant ma bite, sa langue agaçant mon gland. Je pris plaisir à lui enfoncer ma hampe profondément dans la gorge pendant que le Maître continuait à la pistonner.Ensuite le Maître s’empara de deux godes. Il enfonça le plus gros dans la chatte humide sans problème, et commença de lents va-et-vient en mettant la vibration en route. Le plus petit fut enfoncé aussi facilement dans son anus. La Soumise jouit une première fois après ce traitement efficace. Que cette vision d’une femme masturbée par ces godes était stimulante, pleine de sensualité et d’un érotisme très fort qui révélaient mon côté sado !Il nous manquait la vision de son cul, aussi l’avons-nous changée de position, la laissant toujours entravée. Nous avions cette fois-ci une vue sur ce magnifique cul et la fente de sa chatte. Nous commençâmes par caresser ces deux fesses présentées sans retenue, puis le Maître s’empara d’un fouet en latex et commença à la fouetter légèrement, pour faire rosir de plaisir ce cul malgré les supplications – peu convaincantes et largement feintes – de la Soumise.Ma langue entreprit de parcourir le chemin le long de sa raie jusqu’à sa chatte, glissant et s’infiltrant dans cet anus déjà préparé. À la demande du Maître, je m’agenouillai, et d’un violent coup de bite j’entrai dans sa chatte. Après quelques instants, sous les soupirs de la Soumise, j’ai laissé la place au Maître pour me faire sucer.Après de nombreuses minutes ainsi et de nombreux commentaires sur la docilité et le goût de la Soumise pour la soumission, le Maître la détacha. Elle se positionna sur moi ; je pouvais caresser ses seins, pincer ses tétons pendant que sa bouche s’emparait de la mienne et que sa langue se mélangeait à la mienne avec force.Le Maître, trouvant que je ne bandais pas assez, commença à me masturber. J’avoue avoir pris un plaisir certain à cette situation : la Soumise allongée sur moi pendant que le Maître me masturbait, ma bite entre les cuisses de la Soumise. Le Maître la dirigea ensuite dans la chatte de la Soumise avant de présenter la sienne à l’entrée de ce cul totalement ouvert.Quel régal alors de partager ainsi la Soumise – qui n’avait de ’’soumise’’ que le nom –, de sentir à travers sa chatte une deuxième bite qui donnait des coups très forts, frottant contre la mienne et la faisant s’enfoncer plus encore dans la chatte. Je sentais directement la réaction de la Soumise, la montée de son plaisir et ses halètements.C’est ainsi que nous avons joui tous les trois, partageant nos envies et nos vices, dans un mélange de nos corps qui ravissait tous nos sens.* * *Je ne me lasserai jamais du souvenir de ce partage, du plaisir des caresses partagées, de la découverte du corps de la Soumise et de ces moments de sensualité vécus à trois, sans retenue et sans arrière-pensée.