Le reste de la nuit a été très chaud et au petit matin, nous nous sommes couchés alors que le jour avait déjà largement point. Alors que je me réveille, j’ai à ma droite Vanessa et à ma gauche Émilie, toutes deux ont leur jambe sur les miennes si bien qu’en bougeant, je vais forcément les déranger. Toutefois, il est trois heures de l’après-midi et cela fait près de neuf heures de sommeil, je me décide donc à bouger. Lorsque j’effleure la jambe de Vanessa, elle s’écarte automatiquement et m’offre une vue plongeante sur sa touffe. Quant à Émilie, elle se contente de grogner.Je passe à la cuisine me faire couler un café, et je m’installe au salon. Le répondeur clignote signalant la présence d’un message. La veille, Vanessa a coupé le téléphone de la chambre afin que nous puissions dormir. J’écoute le message, ce sont Claire et Lise qui nous demandent déjà quand on pourra se revoir. Je m’assois à table, à côté du cahier de la dictée qui est toujours là , ainsi que des restes de la nuit notamment de nombreux préservatifs dans un bol. Distraitement, je parcours un magazine. Au bout de quelques instants, j’entends des pas dans l’escalier, et Émilie débouche dans la pièce. Elle est nue, tout comme moi, et ses cheveux en bataille la rendent irrésistible.«Bonjour, tu vas bien ? Bien dormi ?» me demande-t-elle de sa voix endormie.«Oui, très bien et toi ? Si tu veux, il y a du café dans la cuisine.»Sans me répondre, elle se dirige vers la cuisine, et quelques secondes après, elle revient avec une tasse fumante. Elle s’assoit à mes côtés. Elle est démaquillée, et son visage, encadré par ses cheveux défaits, laissés libres, semble très jeune. Émilie rapproche sa chaise de la mienne. Nous nous retrouvons cuisse contre cuisse. Tout en buvant, elle a mis la main sur ma jambe et remonte vers mon sexe sous la table. De temps en temps, elle me regarde avec un air candide, comme si elle ne se rendait pas compte de ce que faisait sa main. Elle finit par toucher ma bite. Je me retrouve vite en érection. Émilie me branle tout en buvant distraitement. Sans me regarder, elle guide ma main vers son entrejambe. La peau de ses cuisses est chaude et douce. Je rencontre tout de suite sa fine toison que j’écarte du bout des doigts ; je sens le renflement de son clitoris. Je le tripote et il grossit.Émilie continue de me masturber, en silence. J’empaume sa chatte. Sa fente est chaude et gluante. J’écarte les grandes lèvres pour enfoncer mon doigt dans son minou. Nous nous masturbons comme ça un long moment. Émilie ferme les yeux. Elle dégage une odeur de chair chaude qui me trouble. Elle se colle contre moi, un peu plus, j’ai toujours les doigts dans sa chatte ; je sens qu’elle coule de plus en plus. Émilie s’assoit sur moi, frottant son cul contre mon bas-ventre. J’ai ses cheveux dans la figure. Ma pine se loge dans la raie de ses fesses. Dans le silence qui règne dans le salon, j’entends le clapotis de mes doigts qui vont et viennent dans son minou. Soudain, elle se lève, prend une capote, me l’enfile. Puis, elle glisse sa main entre nous pour guider mon sexe vers son sexe. Elle frotte mon gland contre sa chatte pleine de mouille, enfin, elle se rassoit et je me sens aspiré dans sa chatte. Je sens les fesses rondes d’Émilie contre mon ventre. Elle se met à bouger doucement. Sa chatte est étroite, ce qui déjà la veille m’a procuré des sensations merveilleuses. Elle prend appui sur la table, poussant son cul en arrière, pour bien s’enfoncer mon sexe dans le ventre. Je la tiens par les hanches. Elle ne pèse pas lourd et j’ai l’impression de la faire monter et descendre le long de mon sexe comme une poupée gonflable. Elle serre les mâchoires pour ne pas gémir mais elle continue à se déhancher, faisant coulisser mon sexe dans le fourreau étroit de sa chatte. Elle passe la main entre ses cuisses pour me caresser les couilles. Je la laisse faire, elle se met à monter et descendre de plus en plus vite, jusqu’à ce que j’éjacule. Tandis que je me vide les couilles, elle me prend une main et me la colle sur son clitoris, je la branle, jusqu’à ce qu’à son tour, elle explose en se mordant les lèvres, se vidant complètement sur mes cuisses, et mes couilles. Elle se retire enfin, s’assoit sur la table face à moi et me dit :«Tu veux bien me nettoyer la chatte ?»Je me jette sur sa touffe pour profiter du flot de mouille qui coule encore de la fente ouverte. Je bois toute sa cyprine, et lorsque sa fente est toute propre, elle me demande de lui indiquer la salle de bain afin qu’elle prenne une douche. Je l’accompagne, lui montre le fonctionnement de la douche. Juste avant de la quitter, je lui fourre un doigt, et elle m’embrasse fougueusement.Lorsque je reviens dans la chambre, Vanessa n’y est plus, et j’entends la télévision en bas dans le salon. Je descends, et la retrouve, nue, assise dans un canapé, sirotant un jus d’orange, devant une émission sans intérêt.«Claire et Lise ont appelé ce matin, il y avait un message sur le répondeur. Elles veulent nous revoir» lui dis-je.«O.K., cool !» répond-elle, «et Émilie, où est-elle ?»«Sous la douche.»Quelques dizaines de minutes après, Émilie débarque, elle s’est rhabillée :«Bon, je vais y aller, merci pour la soirée, et la nuit bien sûr» nous dit-elle avec un sourire.Je me lève ainsi que Vanessa, Émilie se colle contre moi et m’embrasse en me fouillant la bouche, elle fait de même à Vanessa.«Je vais me trouver un taxi, ce sera plus simple.»Sur le pas de la porte, alors que nous lui disons au revoir, elle nous tend sa culotte et un papier :«Comme souvenir, et je vous laisse mes coordonnées, si vous voulez m’appeler.»Après avoir pris notre douche, calmement, nous décidons de rappeler nos deux copines de la veille. Elles ne sont pas libres ce soir, mais nous avons rendez-vous demain vers 22 heures au sauna du club.«Il faut qu’on se trouve quelque chose à faire !» me dit Vanessa «J’ai envie d’aller faire du shopping, OK ?»Cela ne me dérangeant pas du tout, j’acquiesce. En attendant, je vais à la cuisine afin de concocter un «repas» rapide car il y est 16 heures 30, et les magasins risquent de fermer vers 18 heures.Nous allons dans le quartier latin, pour faire les boutiques. Nous cheminons dans le dédale de rues, Vanessa regarde les boutiques. Tout à coup, elle me montre un petit ensemble en tissu léger, bleu noir et blanc, dans la devanture d’un magasin de vêtements pour jeunes.«Tu penses que ça m’irait ?»La jupe est très courte, et le bustier laisse le dos nu.«J’ai envie de l’essayer. Ça t’ennuie de me donner ton avis ? On va faire vite, viens.»Elle disparaît dans le magasin, je rentre, et je regarde aux alentours s’il y a quelque chose d’autre de bien. Le résultat est que je perds Vanessa des yeux, et heureusement, une vendeuse, qui remarque mon désarroi, me désigne le fond de la boutique :«Votre amie est dans la cabine.»Je me fraye un passage entre les portemanteaux chargés de robes, de jupes et de chemisiers de toutes les couleurs. Sous le rideau qui ferme la cabine d’essayage, j’aperçois les pieds nus de Vanessa et ses vêtements qui traînent sur le sol. Ma copine passe la tête hors du réduit, et avec son air candide me demande :«La vendeuse est occupée, tu veux bien m’aider à dégrafer mon soutien-gorge ?»Elle écarte le tissu, laissant voir son corps. Elle ne porte plus que ses dessous en dentelle. Son string étroit moule sa fente. Le tissu de son soutien-gorge échancré se tend à cause des seins qu’il comprime. Elle me tourne le dos ; ses fesses fermes et bien dessinées sont à peine voilées par le tissu de sa culotte.«Dépêches-toi, les clientes vont se demander ce qu’on fabrique ?»Pour plus de commodités, je fais un pas dans la cabine. Dans le grand miroir qui nous fait face, j’aperçois une vendeuse et une cliente qui papotent. Je passe les doigts sous l’attache du soutien-gorge ; sa peau est douce et chaude. Je défais le sous-vêtement dont elle a fait glisser les bretelles sur ses épaules. Dans la glace, je vois sa poitrine s’affaisser à peine. Le soutien-gorge tombe, laissant voir ses seins en forme de poires. Elle cambre les reins, poussant sa poitrine en avant comme si elle l’offrait à son reflet. Ses seins tremblent légèrement, ils sont d’une fermeté exceptionnelle. J’ai envie de me coller contre Vanessa et de peloter ses nichons à pleines mains. Elle cache son buste avec le haut de son ensemble.«Merci. Il vaut mieux que tu me laisses m’habiller. Les gens pourraient se poser des questions !»Nos regards se croisent dans le miroir, et elle m’adresse un sourire narquois. Je recule et ferme le rideau. Là -bas, les deux femmes continuent de papoter sans nous prêter attention. Je me rends compte que je bande.Une minute plus tard, Vanessa sort de la cabine. L’ensemble lui sied à merveille, moulant à souhait, il la rend très sexy et désirable. De plus, il fait paraître ses seins d’une façon très généreuse, et la jupe laisse voir très clairement qu’elle ne porte pas de culotte. Elle tourne lentement sur elle-même, me laisse admirer sa tenue.«Qu’est-ce que tu en penses ?»«Il est très joli, très jeune, sympa et sexy.»Elle prend des poses aguichantes devant la glace. Elle pose un pied sur le tabouret qui occupe le coin de la cabine d’essayage. La courte jupe remonte, découvrant toute sa cuisse et sa fourche où l’on devine sa fente. Elle met ses mains en coupe sous ses seins, les soupèsent à travers le vêtement. Elle semble me les tendre. Elle arrondit ses lèvres en une moue hésitante.«Allez, elle me plaît aussi, je la prends.»Elle rabat le rideau incomplètement et se change. Elle a vraiment décidé de me chauffer. Grâce au miroir, je la vois en totalité. Quand elle se penche pour quitter sa jupe, ses seins se balancent comme deux petites outres de peau bronzée remplies à craquer. La vendeuse me fait sursauter en me demandant si l’ensemble convient.«Oui, tout à fait, nous allons le prendre.»Je suis donc obligé d’interrompre ma séance de voyeurisme, et je m’éloigne des cabines en faisant semblant de m’intéresser aux articles. Quand Vanessa me rejoint, elle me demande :«Alors ça t’as plu cet essayage ? Dommage que cette conne soit arrivée avant la fin !»«Oui.»Nous finissons de flâner devant quelques magasins, en retournant à la voiture. Il est 19 heures, la température est encore très agréable, et nous décidons de manger dans le quartier ; nous n’avons rien de prévu pour la soirée.