SUITE DE RECIT 8538Céline, ayant remarqué la soudaine désertion de ma femme fit demi tour et l’interpella « pas de messes basses Laurence … d’ailleurs rejoins les autres … je dois discuter avec ton mari de ton gage … et de celui de mon mec bien sûr et pour que ce soit une surprise vous ne devez rien entendre de nos délibérations ! ». Avec un sentiment teinté à la fois d’amusement, d’anxiété et de curiosité ma femme rejoignit les deux garçons qui se prélassaient déjà à l’ombre des palmiers. Nous nous assîmes en tailleur dans le sable blanc, l’un en face de l’autre, à une trentaine de mètres du reste du groupe. Céline ne me cachait plus rien des secrets interdits de sa chatte : elle était entièrement épilée excepté un fin ruban sombre comme un tapis de duvet déroulé à l’entrée d’un sanctuaire et ses lèvres intimes légèrement écartées semblaient s’ouvrir sur un gouffre chaud et humide. Moi-même je ne faisais plus mystère de ma queue dure et bandée qui, pointant entre mes jambes, semblait lui désigner la direction qu’elle souhaitait explorer.— ben alors … on leur demande quoi … tu as une idée Céline ?— de se déshabiller c’est plus la peine … on l’est déjà tous ! en riantSon regard descendit de mes yeux à mon sexe … le mien fit le même chemin mais dans le sens inverse. Nous devinions tous les deux que nous étions à la rupture entre la bienséance et la luxure, entre le fait de rester des amis chastes ou de s’adonner tous ensemble à des plaisirs charnels ; mais finalement nous avions déjà tous, même inconsciemment peut être, choisis où la balance allait pencher et ce n’était plus que le moment où tout allait s’enclencher qui restait à définir. Ce fût Céline qui franchit la première la ligne blanche :— je remarque que je te fais de l’effet …— euh … oui … mais ne me dis pas que tu ne le remarques que là maintenant … d’ailleurs je pense que tu en fais aussi à Greg et même à Mathieu !— oh …tu crois …, sur un ton innocent, mais en es tu certain … qui leur fait de l’effet : moi ou ta femme … ? ou plus sûrement les deux …— oui … peut être … tu sais les hommes …— oui bien sûr … et Laurence … elle serait partante … c’est quand même ta femme … tu dois savoir …— euh … oui je pense qu’elle aurait envie … mais je ne sais pas si elle est prête à franchir le pas … quoique …— mais si … moi je crois que oui … elle s’est bien laissée masser par Mathieu … sans rien lui cacher … ni à nous d’ailleurs … on va l’y amener avec les gages … ce serait quand même dommage de ne pas terminer cette belle journée sans aller au bout ! me dit-elle en riant— euh … oui … en effet …., je parvins à articuler, un peu surpris et désemparé par sa proposition directe.— on y va ? et … laisse-moi faire … pour le reste …Nous rejoignîmes prestement les trois autres. Laurence jeta un regard interrogateur à mon arrivée auquel je répondis par un sourire en coin. Les remarques graveleuses et pleines de sous entendus fusèrent de toute part à notre attention : « alors c’était bien ? vous en avez mis du temps ! » de la part de Mathieu, « ma chérie vous avez bien discuté … c’était plaisant ? » pour Greg et même ma femme « t’as été sage Philippe … tu sais que je te fais confiance … » ou encore « tu devrais peut être faire un footing ou plonger dans la mer pour être plus présentable ». Heureusement Céline interrompit cet acharnement verbal et, parfaite et sublime dans son rôle de juge suprême, énonça la sentence « donc … nous avons décidé que les deux perdants auraient droit à une petite partie action ou vérité … chacun de nous ayant droit de leur poser deux questions … ». Personne n’émettant de réserves, elle conclu : « donc, si tout le monde est d’accord on commence ! ». Nous étions tous assis, Laurence et Greg comme deux accusés côte à côte, Céline et moi en tant que partie civile en face de chacun de nos conjoints et Mathieu pour le public sur le coté.— premier tour pour toi Laurence … action ou vérité ? demanda Céline— vérité bien sûr …— ok … nous saurons donc tout … sur toi … as-tu aimé énormément, beaucoup, un peu, moyen, pas ou pas du tout le massage que t’a fait Mathieu ?— euh …, en rougissant légèrement tout en me regardant pour chercher dans mes yeux la réponse convenable à donner, … disons pour être franche énormément …Un soupir de satisfaction passa sur l’assemblée. Laurence était un peu rassurée : elle venait de franchir sans trop de dommages le premier écueil.— vérité pour moi aussi …, annonça Greg— justement Greg … comme on en est aux massages … çà t’a pas dérangé que Mathieu masse ta copine … surtout dans l’état physique dans lequel il l’a massée … t’es pas jaloux ?— ben non … çà me pose aucun problème Philippe … au contraire c’est fun … d’ailleurs quand il a massé ta femme il était dans le même état … sinon pire encore … l’attrait de la nouveauté !Un point pour lui ; tout le monde hocha la tête en signe d’approbation. Je me dis que Laurence aurait peut être intérêt à choisir action, car la prochaine question de Céline pourrait lui être fatale et très très embarrassante. Elle comprit également le risque puisqu’elle nous dit « action »— ok … voyons, commença Céline, restons dans les massages … celui de Mathieu t’a énormément plu … nous allons vérifier si tu saurais reconnaître les yeux fermés bien sûr son professionnalisme dans ce domaine. Donc tu vas t’allonger sur le ventre avec une serviette sur le visage pour que tu ne puisses pas tricher et chacun des hommes ici présents va te masser pendant 2mn en silence bien sûr … tu devras nous dire lequel était Mathieu, puis tant qu’on y est … reconnaître aussi celui de ton mari ! çà marche ?Le premier moment de stupeur passé, Laurence ne se dégonfla pas, et prit la position demandée, recouvrant son visage avec son paréo. Assurément prise par le jeu et l’ambiance électrique qui s’en dégageait, elle en oublia même de serrer ses jambes. Nous avions donc droit au superbe paysage de la plaine de son dos bronzé se creusant vers le bas pour ensuite laisser surgir deux somptueuses collines traversées par un canyon plus sombre, s’ouvrant lui sur un gouffre dont l’entrée semblait, à vue d’œil, relativement humide, puis plus bas encore deux cuisses galbées telles deux digues de chair projetées vers l’arrière, protégeant en leur sein un port des plus chaleureux et des plus agréables. Ma femme me stupéfiait. Ses paroles prononcées tantôt sur la plage « tu risquerais de ne pas me reconnaître » raisonnaient dans ma tête : effectivement je ne la reconnaissais pas. Le silence étant de rigueur pour ne pas se démasquer, Céline définit par gestes les ordres de passage. Je fus le premier à m’atteler à cette tache bien agréable. Je savais que Laurence affectionnait particulièrement les massages profonds et lents au niveau des épaules, puis adorait quand je redescendait avec les deux pouces appuyés de chaque côté de la colonne vertébrale jusqu’au creux des reins. M’installant donc sur le bas de ses fesses, je lui prodiguais avec tendresse cet exercice maintes fois répété dans l’intimité de notre chambre. Je pense qu’elle me reconnut instantanément puisqu’elle remua légèrement ses fesses, cherchant à happer, pour me rendre le plaisir qu’elle ressentait, ma queue prête à éclater dans sa raie, accompagnant mes gestes du doux frottement de sa peau contre mon gland. Au bout des deux minutes de rigueur, je me relevais et elle dit « merci mon amour … c’était comme d’habitude génial ».Greg me remplaça aussitôt. Rusé, pour fausser les pistes, il prit la même position qu’avait tantôt Mathieu et s’assit donc dans le creux des reins de ma femme. Il se pencha totalement pour aller chercher avec ses mains les chevilles de ma femme, pressant littéralement son bassin contre son cul, qui loin de se dérober à ce nouveau contact semblait vouloir le renforcer. Son sexe dur et long reposait douillettement dans la profonde et moelleuse raie séparant les deux fesses, pendant que ses paumes, en remontant dessinaient les contours des mollets puis plongeaient après avoir contourné les genoux vers l’intérieur des cuisses. Comme par enchantement les jambes s’ouvrirent plus largement, laissant les mains progresser désormais librement sans entrave. Au dernier moment elles bifurquèrent vers l’extérieur pour gravir les hanches et terminer leur escapade en agrippant conjointement les deux fesses rondes. Céline me jeta un regard interrogateur et me murmura à l’oreille « elle a l’air de beaucoup apprécier… », puis pour me taquiner ajouta «d’ailleurs … peut être même plus que ton massage … bon c’est normal … le tien était plus thérapeutique et sensuel … le sien est plus … euh … disons … sexuel … je ne sais pas combien de temps Greg pourra résister … ». Effectivement ses mains malaxaient avec vigueur le cul offert de ma femme, empoignant les fesses pour mieux les séparer nous offrant la vue imprenable de sa chatte luisante. De temps en temps un doigt tendu glissait sur la peau claire et effleurait du bout de l’ongle les lèvres intimes palpitantes. Sa queue était un gourdin de pierre et Greg ne se gênait plus pour la plaquer consciemment contre la croupe qui l’attendait. Il se servait même des deux lobes jumeaux du cul de mon épouse pour frotter son gland rouge et décalotté. Céline se rapprocha de moi. Je sentais son souffle frais dans mon cou. Moi aussi je bandais fort. Elle me chuchota :— tu vois bien j’avais raison … non seulement elle a énormément envie … mais çà je n’en doutais plus … mais en plus elle ne demande qu’à franchir le pas … ce serait un crime de la laisser ainsi … je la sens prête à tout … et prête n’est même pas le bon mot … elle réclame … on dirait qu’elle miaule tellement elle demande de … doigts, de langues et de queues pour la combler … et en plus elle sait bien que c’est pas la tienne qu’elle sent contre son cul … car ta queue … elle est là …, en posant sa main sur mon sexe tendu, … et on dirait que toi aussi çà t’excite un max tout çà …— humm … oui … et pas toi ? glissant ma main entre ses cuisses pour y découvrir une fente lisse, ouverte et dégoulinante de mouille, assurément dans un état physique équivalent à celle de ma femme.Tout en regardant la scène torride qui se déroulait sous nous yeux nous nous caressions mutuellement. Nous voyant en action, Greg recula légèrement puis, sans prévenir, colla sa bouche vorace contre l’abricot juteux de ma femme. Elle gémit à ce délicieux contact, ses doigts agrippèrent le tissu de la couverture et sa petite voix s’éleva entre deux râles :— Philippe … c’est toi ?— moi … ? moi qui quoi ?— hum … toi qui … hum … me fait tout çà … en plus devant tout le monde … mon chéri … tu sais bien que si tu commences comme çà … je ne vais plus pouvoir me tenir …Céline avait plongé son mignon minois vers ma queue tendue et la happait goulûment, léchant d’abord la hampe sur toute sa hauteur, avant de couvrir de sa langue chaude mon gland gonflé, puis de serrer entre ses lèvres douces mon pieu de chair et de le faire disparaître dans l’onctuosité de sa bouche.— euh … non … ce n’est pas moi …Ma femme avait maintenant impudiquement relevé ses jambes pour mieux offrir son sexe et s’abandonner totalement à la caresse qui lui était prodiguée.— c’est … Mathieu … hum … alors ?« Perdu … » lui répondit justement Mathieu, qui jusqu’à présent avait bien sagement profité du spectacle, mais s’était levé d’un bon et agenouillé devant le visage de Laurence, sa queue dans une main, et de l’autre lui retirant le paréo qui masquait sa vue en lui annonçant « Mathieu il est là … donc c’est la langue de Greg qui est entrain de te brouter le minou … et c’est la bite de Mathieu que ta jolie bouche va maintenant sucer … ». Ses yeux se plissèrent et ses paupières battirent quelques instants pour s’habituer à la clarté soudaine et mon épouse dû découvrir en contre plongée une grosse queue s’apprêtant à franchir la frontière de ses lèvres.— euh … mais … je sais pas si Philippe est d’accord …— ton mari … mais si … il est entrain de se faire pomper la sienne par Céline … donc tu vois il verra aucun inconvénient à ce que tu t’occupes de la mienne …Tous les contrôles douaniers étaient abolis et je la vis tendre la main pour la saisir et se la mettre toute seule, comme une grande, au fond de la gorge. Effectivement je ne la reconnaissais que trop ! Je savais également qu’à partir de maintenant elle serait superbement déchaînée et oublierait, comme quand nous faisions l’amour, toute retenue et toute pudeur pour ne s’abandonner qu’au plaisir.Je me laissais alors tomber en arrière sur le sol, entraînant dans ma chute Céline qui n’avait pas lâché mon sexe. Elle comprit que je souhaitais la déguster aussi intimement qu’elle me goûtait, me délecter de la saveur particulière de son miel qui coulait, sentir la fermeté de ses fesses parfaites, faire jaillir son petit bouton rose sous ma langue. Elle m’enjamba et plaqua sa chatte ruisselante contre mon visage.La scène ressemblait à un tableau idyllique du jardin d’Eden. Une mer bleu turquoise réfléchissant la lumière d’un soleil généreux, une plage de sable blanc déserte sur laquelle s’échouait inlassablement l’écume de vagues, des palmiers aux larges feuilles dentelées dessinant des jeux d’ombre et de lumière sur cinq corps nus et bronzés enchevêtrés les uns dans les autres. Le murmure du ressac de l’océan en bruit de fond était par moment percé par le cri strident d’un ara aux couleurs vives et les gémissements de plaisirs de nos sens qui s’abandonnaient.De temps en temps je jetais un regard en biais à ma femme la bouche pleine d’une queue qui n’était pas la mienne et la chatte vissée à une langue qui ne m’appartenait pas non plus. Bien que je l’avais déjà vue pomper un autre homme, elle se donnait là , totalement consentante, sans l’excuse possible de quelques verres d’alcool de trop, avec justement la seule excuse ou plutôt envie possible de jouir bien à fond, de s’offrir à tous les membres disponibles, de s’en repaître et s’en rassasier intensément et follement. Greg perçut mon trouble et m’informa :— hum … tu sais qu’elle est trop délicieuse ta femme … c’est une vraie fontaine … elle mouille un max … j’adore …— moi aussi … je l’adore … elle suce trop bien …, renchérit Mathieu, … une vraie gourmande …Laurence, entendant qu’on parlait d’elle, recracha un instant le sexe qu’elle aspirait, tourna son beau visage angélique vers moi et plantant son regard espiègle dans le mien, me dit :— oui … mon chéri … tu es content … non … çà te fait plaisir de voir ta petite femme se faire baiser comme une salope par deux mecs … çà t’excite … hein … t’en rêvais … d’ailleurs je suis certaine que t’as jamais bandé aussi dur mon amour … et Céline va bien en profiter … et moi aussi … j’espère …— oh oui …, gémit Céline, mets la moi … maintenant … elle est bien grosse … j’ai envie de la sentir en moi …Elle se releva et se posta à quatre pattes sur la couverture, les jambes écartées, le cul tendu, offrant son minou lisse à tous mes fantasmes. La voyant faire, Laurence sourit et la rejoignit, dans une position identique, juste à côté d’elle, leurs fesses et leurs bras se touchant, leurs cheveux se mélangeant, leurs sourires s’échangeant en un ardent baiser partagé. Les pointes de leurs langues semblaient se combattre, tournoyaient l’une sur l’autre, se dérobaient puis se refondaient, avant de se nouer dans leurs bouches affamées. C’était la première fois que je voyais ma femme en embrasser une autre. Elles roucoulèrent en s’esclaffant : « alors les mecs … vous votez pour lequel des deux culs … » tout en les tortillant en cadence, puis « et pour laquelle de nos petites chattes toutes brûlantes … vous aimeriez sûrement avoir une double queue pour nous prendre toutes les deux à la fois … mais vous ne pouvez pas … alors que nous … on peut en avoir une autre par les deux cotés … »Greg sortit de son sac banane un paquet de préservatif. Il en prit un en m’en tendit un autre. Je compris, et c’était bien compréhensible, qu’il mourrait d’envie de baiser ma femme et moi j’allais prendre la sienne pendant que Mathieu aurait droit aux langues expertes combinées de nos deux moitiés. Je déposais en doux baiser sur la fesse de Laurence puis pour ne pas faire de jalouse, Céline eût droit à la même délicate attention. Leurs fentes frétillaient et luisaient de désir. Des gouttes de miel mélangées à nos salives humectaient leurs lèvres intimes. Je glissais deux doigts entre celles de ma femme qui contracta ses chairs sous l’intrusion. Effectivement elle dégoulinait comme jamais et je la pistonnais pendant que j’entendais Greg lui demander un petit service :— ma belle Laurence … j’ai très très envie de te baiser … et j’imagine toi aussi tu as envie de me sentir dans ton ventre … mais avant j’aimerais juste quelques instants goûter à ta bonne bouche … suces là moi un peu avant que je te l’enfile …— hum … oui …avec plaisir … elle est bien grosse … ma chère Céline je pense que tu n’y vois pas d’inconvénient …, en ouvrant la bouche pour l’accueillir avec délectationTrop excité par ces paroles crues, que j’avais l’habitude d’entendre mais dans l’intimité de nos ébats conjugaux, je m’enfonçais d’un coup dans la fente dégoulinante de ma femme. Tout en la saisissant aux hanches, je la pistonnais avec vigueur, ressortant à chaque voyage presque en totalité ma queue avant de la lui remettre bien au fond, cognant mon pubis contre ses fesses rondes. Pendant ce temps, elle s’appliquait à administrer une sublime fellation (sans les mains bien sûr puisqu’elle s’appuyait sur les coudes) à ce pieu inconnu qui allait bientôt remplacer le mien dans son ventre.— alors les mecs … vous tournez ? demanda avec un zeste d’impatience Céline— ok les filles … avec plaisir, répondit-on en chœur.Je délaissais le vagin de mon épouse pour revêtir une capote et m’occuper de celui de Céline. Greg fit de même et se positionna derrière Laurence. Quant à Mathieu, il s’agenouilla devant les deux filles, son sexe dur dans sa paume, et le promena sur les deux visages impatients de le happer, s’amusant à leur tapoter la joue avec le gland, le frottant contre les joues, dessinant le relief de leurs pommettes saillantes ou l’arête de leur nez, le déposant à l’entrée de leurs bouches haletantes avant de l’y enfoncer à tour de rôle. Celle qui ne l’engloutissait pas lui léchait avec frénésie les bourses et le début de la hampe. On aurait dit un combat épique pour la survie de deux gloutonnes se disputant amicalement une sucrerie. Je pistonnais Céline, glissant une main sous son ventre pour caresser son clitoris. Sa chatte était onctueuse et ma queue dure comme un roc. De temps en temps je jetais un regard à celle de Greg qui disparaissait dans celle de ma femme et cette vision provoquait à chaque fois comme un électrochoc qui amplifiait encore mon excitation. Je vivais des moments comme suspendus hors du temps et de l’espace : mon épouse s’offrait avec indécence et sans retenue à une grosse bite qui lui labourait la fente et à une autre qui lui comblait la bouche ; aucune des deux n’était à moi puisque la mienne était plantée dans la chatte d’une superbe étudiante tout aussi chaude et déchaînée. Et je bandais dur comme jamais de voir ma femme se faire baiser ainsi, en redemander, se donner sans retenue comme une salope (au sens noble du terme), en laissant ses fantasmes enivrer ses sens et sa raison se perdre entre ses cuisses. À cet instant je l’aimais à la folie. Quand elle sentit la première onde de plaisir déferler dans son ventre, elle se courba davantage pour se donner totalement. Elle jouit longuement, sa bouche en apnée sur la queue qu’elle avait arrêté de pomper, ses fesses tendues vissées à celle qui la pénétrait et, lentement, comme plombée par le plaisir qui coulait dans ses veines et irradiait sa peau, elle s’affala sur la couverture, un sourire de plénitude et de contentement illuminant son visage. Ses paupières se plissèrent et elle me fixa intensément alors que Céline la rejoignait dans sa jouissance dans un cri que Laurence étouffa avec ses lèvres. Nous les contemplions ainsi étendues, leurs corps nus et bronzés enchevêtrés, leurs yeux voilés, leurs jambes emmêlées, leurs sexes écarlates : elles étaient belles. Elles se retournèrent sur le dos ne cachant plus rien de leurs intimités. Je m’approchais de ma femme et l’embrassait passionnément. Sa main se posa sur mon sexe toujours dur et elle me dit « hum … à mon tour de te faire jouir … mon chéri …». « Oui les garçons … c’était si bon que vous méritez bien qu’on vous les fasse gicler maintenant vos belles queues … » affirma Céline.— oui … hum … on va vous goûter tous les trois …— oh … très bonne idée … comme çà il n’y aura pas de jaloux, répliqua Céline, chacun la même chose …, puis en riant, … à la queue le leu …— c’est subliment trouvé comme image … vous à la queue le leu … et nous les petites chaperons nues qui, au contraire de l’histoire, vont dévorer les loups … ou plutôt les queues des loups …— on commence par Mathieu et on termine par nos hommes ?— ok …Elles se mirent à genoux, cote à cote, le visage mutin et coquin, les bouches ouvertes goulûment, devant un Mathieu ravi. Elles le sucèrent tantôt à deux, tantôt à tour de rôle, avec délectation et bonheur. Leurs mains lui caressaient les jambes, remontaient sur les fesses. J’étais subjugué ; tout semblait si simple. Il jouit rapidement et elles se partagèrent équitablement les giclées, comme deux copines se partageant une friandise. Greg le remplaça aussitôt et très rapidement connut un traitement et une fin identique. Elles avalaient la semence, mais quelques gouttes perlaient à la commissure de leurs lèvres gourmandes. Quand Laurence m’aspira, j’aperçu même un mince filet qui coulait sur son sein. C’est elle qui menait le jeu, réglait la cadence et distribuait les doses. Régulièrement elle me recrachait pour tendre ma queue à Céline et de sa main la lui placer dans la bouche tout en continuant de me la caresser. Je devenais fou de plaisir. Quand elle me sentit prêt à jouir elle la lui remit promptement au fond de la gorge en annonçant triomphante « cadeau ! ». Je déchargeais alors, dans une ultime crispation, de longs jets chauds de sperme. Elle me but totalement en ne rendit ma queue à ma femme que quand la source fût définitivement tarie. Je tombais alors dans les bras de mon épouse et enlacés nous nous embrassâmes tendrement, sachant chacun que nous avions passé un moment exceptionnel dont nous nous souviendrions encore pendant de très longues années.Je pris Laurence dans mes bras, les nouant autour de ses épaules pour la tenir blottie contre mon torse bronzé, nous échangions de chastes baisers qui picoraient nos peaux, nous laissant envahir par les images du plaisir que nous avions vécus et par celles du paysage paradisiaque qui s’étendait devant nos yeux émerveillés : la symbiose parfaite. Le soleil semblait tomber dans la mer, cherchant à s’y baigner, la tachant d’une couleur rougeoyante qui petit à petit l’irradiait. Les couples s’étaient reformés, chacun savourant le spectacle parfait de ce rituel immuable.