Pascale et Ludovic nous ont conviés ce week-end prolongé dans leur petite maison perdue dans les marais aux tuiles romanes et aux volets pastel. Une haie protége le jardin et la grande terrasse carrelée du vent et des rares regards indiscrets. Pascale est brune, mince, une jolie poitrine halée par le soleil de l’atlantique. Mon épouse est châtain clair, pulpeuse, la poitrine généreuse. Nous avons une petite quarantaine. Claire me confie, m’avoue avoir eu une aventure avec Ludovic bien avant notre rencontre. Après cette journée particulièrement caniculaire, la nuit est tombée, une bonne douche et nous goûtons enfin à la relative fraîcheur de la soirée. Nos femmes sortent de la douche, seulement revêtues d’une courte liquette laissant deviner la pointe de leurs seins, la courbure de leurs hanches. Le doux parfum de leurs cheveux mouillés parvient à nos narines. Le trouble s’accentue à l’instant où nos deux compagnes se penchent pour dégager la table basse. Elles ne portent rien en dessous ! le minou blond de Claire contraste avec le triangle sombre et soigneusement taillé de Pascale. Elles s’affairent devant nous. Malgré moi, mon sexe se tend et pour dissimuler mon érection, je pose négligemment une serviette sur mes genoux. Ludovic semble lui aussi fasciné car il touche un instant discrètement son peignoir. Soudain, se sentant observées, les femmes se retournent.— Il ne faut surtout pas vous gêner pour vous rincer l’œil.Pris en flagrant délit, rougissant comme des gamins pris en faute, nous ne pouvons bredouiller que de vagues excuses.— Mettez vous à notre place !— Au moins, est que l’on vous fait de l’effet ?Pascale, malicieuse, s’est assise à côté de son mari et plonge une main dans son peignoir.Son regard en dit long, Ludovic doit être dans le même état que moi, il commence à ôter un à un les boutons de la liquette de sa femme, sans que Pascale ne cesse de caresser le sexe de son mari. Les seins aux pointes dressées effleurent le poitrail de Ludovic puis leurs lèvres s’unissent dans un baiser fougueux.Claire paraît troublée par la scène— Qu’est ce que tu attends ? me lance t’elle, en se blottissant contre moi.À mon tour, j’ouvre sa chemise, les mains tremblantes. L’odeur de son corps m’enivre un peu plus. La pointe de ses seins est également tendue de désir.— Toi aussi tu es excité ! constate mon épouse, l’air canaille en plongeant sa main dans mon boxer.Nos compères nous coulent un sourire complice. Elle pose un baiser sur mes lèvres Saisissant chacun de ses seins dans mes mains, j’en butine tour à tour les mamelons. Ma femme se renverse en soupirant d’aise et sa main se perd dans ma chevelure.— Continue ! continue ! j’adore !Nous caresser ainsi côte à côte agit comme un puissant aphrodisiaque. Me redressant pour explorer sa nuque et mordiller tendrement ses oreilles, je constate que la liquette de Pascale et les vêtements de Ludovic ont atterrit sur la table basse. Pascale s’est renversée en arrière, offrant impudiquement son corps aux caresses de son époux. Ludovic promène ses mains sur sa conjointe, effleure les seins somptueusement dressés par le désir, descend vers son sexe déjà entrouvert.— Ça m’excite de les regarder et de les entendre ! m’avoue Claire dans un souffle où transpire une envie grandissante. Sa liquette quitte, elle aussi ses épaules pour rejoindre les autres vêtements. Frénétique elle descend mon boxer. Mon sexe jaillit de sa prison. Les doigts de Ludovic musardent dans l’abricot béant de Pascale qui ne cache rien de son excitation tandis qu’elle caresse la tige raide de son mari. Mes doigts plongent dans cette toison blonde dont je connais chaque recoin. Claire est aussi ruisselante, son petit bouton déjà sorti de sa cachette ! Je l’effleure du bout des doigts, tourne autour tout en contemplant son visage illuminé. Sa paume tiède et douce effleure mon gland.Pascale s’installe confortablement près de nous sur le même banc, les jambes ouvertes.— Ludovic, je t’en prie ! fouille-moi avec ta langue !Notre ami s’accroupit, le visage de Pascale se crispe à l’instant où Ludovic plonge dans son entrecuisse. Elle nous sourit d’un air complice et satisfait tandis que sa main flatte la chevelure de celui qui semble si bien la fouiller. Ses yeux se ferment au fur à mesure que le plaisir l’envahit. Le regard de Claire en dit long. À son tour, elle ouvre ses jambes, mêlant son genou à celui de Pascale. Nos langues s’entremêlent longuement ses mains caressent mon dos avant de m’inciter à plonger mon visage dans son intimité moite. Le goût un peu salé de son nectar ravit mon palais. Ma langue explore chaque recoin de son puits d’amour. Nos femmes se sont mises à pousser des petits cris de plaisir tandis que leurs jambes restent mêlées. Sa main se crispe sur mon crâne. Leurs cris si proches stimulent le ballet de nos langues agiles. Je remonte vers son clitoris, tourne autour. La respiration haletante puis les gémissements des deux femmes résonnent à nos oreilles. Pour Claire l’explosion finale n’est plus très loin. Il suffit que j’aspire son petit bouton tout en jouant avec la pointe de ma langue.Pascale supplie Ludovic :— Continue ! je vais jouir !Ses cris retentissent à nos oreilles. J’offre cette caresse finale à Claire qui jouit intensément, ses cris succèdent à ceux de Pascale. Les deux femmes parviennent ensemble au feu d’artifice final. Elles jouissent à l’unisson tandis que leur miel intime inonde notre bouche gourmande !Les deux femmes rayonnent de bonheur, étonnées par l’intensité de leur orgasme.— C’est la première fois que vous vivez cette situation ? demande Ludovic.— Non ! répond Claire.— Et vous aviez aimé ? poursuit Pascale rougissante.— C’était génial ! n’est pas Pierre ?Je regarde tendrement mon épouse.— Ludovic aimerait me partager avec un autre couple ! avoue Pascale en rougissant.Pascale vient d’évoquer ce fantasme de nombreux couples.— En tout cas, c est mieux que de tromper l’autre en cachette !— Nous, nous avons déjà eu une expérience dans ce domaine !Les voilà donc au pied du mur. Mon esprit est tiraillé entre craquer pour Pascale pendant que Claire ferait l’amour avec Ludovic et courir le risque de mettre leur couple en danger. Les deux femmes très complices semblent particulièrement en forme. Dans leurs yeux brûlent une lueur malicieuse.— C’était comment ? hasarde Pascale.— Fantastique ! tu ne trompes pas ton conjoint puisqu’il est avec toi !— C’est génial de se faire fouiller par deux hommes différents. Concède Claire.— Ah bon, tant que ça ? Ludovic quémande l’accord de son épouse.Mon sexe est si tendu qu’il me fait presque mal. Mon cœur bat à cent à l’heure à idée d’initier nos amis. Je laisse ma place à Ludovic, hésitant encore, il s’agenouille devant Claire qui se caresse, provocante.— J’espère que tu es toujours aussi doué.Ludovic se décide à enfouir son visage dans son entrecuisse et les traits de Claire se crispent. Elle me sourit d’un air complice et satisfait tandis que sa main flatte la chevelure de celui qui semble si bien la fouiller. Ses yeux se ferment au fur et à mesure que le plaisir l’envahit. J’affectionne cette situation où se mêlent l’excitation, un peu de jalousie et la crainte de ne pas être à la hauteur avec Pascale. Son regard implorant en dit long. À mon tour, je plonge dans son intimité trempée. Son miel intime a un goût différent, délicatement sucré, une once de cannelle et d’épice. Le nectar coule jusqu’au fond de ma gorge. Ma langue visite chaque parcelle de son puits d’amour. Nos femmes se sont mises à pousser des petits gloussements de bien-être.— C’est bon ! Ludo ! continue ! implore ma femme au bord de l’orgasme.Pascale s’ouvre un peu plus et sa main se crispe sur mon crâne. La jouissance de Claire aiguillonne son plaisir. Le ballet de ma langue agile s’accélère. Je remonte vers le clitoris, tourne autour. La respiration haletante, les encouragements puis les petits cris de Pascale mêlés à ceux de Claire résonnent à mes oreilles. L’explosion finale n’est plus très loin ! J’aspire son petit bouton tout en jouant avec la pointe de ma langue. Mon amante se cambre dans un râle tandis que sa liqueur intime inonde ma bouche. Agenouillés à leurs pieds, le visage barbouillé de cyprine, nous les laissons reprendre leurs esprits.— Tes impressions Pascale ? s’enquiert Claire.— Tu avais raison ! c’est super.— Si nous continuions à l’intérieur !Les moustiques nous rendent visite. Ils volent autour de nos corps dénudés ou s’immolent dans le halo de la lampe en grésillant.Dans la chambre, Claire s’assoit sur le bord du lit, attire Ludovic contre elle. Elle le reçoit au fond d’elle en me décochant un regard canaille. C’est un instant d’intense harmonie pour notre couple. Ludovic câline longuement le dos puis les reins de mon épouse, il embrasse délicatement ses seins. Pascale se retrouve assise tout près, contemple le couple enlacé avec une pointe d’envie et de jalousie mêlée. Mon cœur bat à tout rompre à l’instant où je m’agenouille devant elle. Ses yeux reviennent, se posent sur moi, se posent sur mon sexe tendu.— Prends moi ! j’ai envie ! m’avoue t’elle dune voix sourde.Sa grotte est étroite, tiède et accueillante. Ses seins ronds et halés par le soleil de l’Atlantique sur lesquels j’ai tant fantasmé cet après-midi se pressent contre moi. Leurs pointes aiguillonnées par le désir chatouillent mon poitrail. L’odeur de sa peau mate m’enivre. Il ne me reste plus qu’à enfouir mon visage dans sa chevelure, embrasser son cou. Ses mains fraîches se sont mises à caresser mon dos puis mes reins. Planté au plus profond d’elle, je lui mordille doucement les oreilles histoire de savoir si elle est aussi sensible à cette caresse que Claire : elle ruisselle de plaisir en soupirant. Mon épouse gémit sur les solides coups de reins de Ludovic. Il va-et-vient entre ses jambes les mains de chaque côté, attentif à son plaisir. Ses seins généreux tressautent sous l’effet des mouvements amples et puissants tandis qu’elle s’arque boute à lui en me fixant. La lune déverse sa lumière dans la pièce. Fermant les yeux je n’entends plus que les cris fugaces des deux femmes qui se mêlent au craquement du sommier, aux soupirs, au clapotement indécent, aux bruits mouillés de nos sexes allant et venant dans leurs fourreaux tièdes. Les corps se frôlent. Les deux femmes se laissent envahir par leur jouissance grandissante. Pour nous les hommes, c’est l’instant où il faut résister au plaisir qui peu à peu nous submerge, se retenir pour offrir à nos conjointes l’extase finale. Claire la première, se cambre sous l’orgasme, son bassin se creuse. Son vagin doit se contracter sur le sexe luisant de Ludovic. Ils roulent sur le lit et Claire le chevauche, les yeux dans le vague, les mains dans les cheveux. Son bassin ondule sous les doigts de Ludovic émerveillé. Ce dernier ne va pas tarder à jouir, l’inondant de sa semence.— Oh oui, plus vite ! fais moi jouir toi aussi ! parvient à hoqueter Pascale entre deux soupirs. Relevant ses jambes sur mes épaules, je peux aller plus loin en elle.— Oh ! comme ça ! oui plus vite !Je force mon mouvement.Elle jouit longuement, ses mains crispées sur mes fesses. Son vagin se contracte ; ma semence qui se répand en elle, prolonge l’orgasme. Ludovic embrasse Claire qui gémit sous les ultimes coups de reins. Il craque à son tour entraînant ma femme dans son extase. Leurs cris s’unissent dans une extase commune. Chacun s’écroule dans les bras de sa partenaire, heureux et soulagés.— C’était bien avec Pierre ? Questionne Claire.— Super, tu as de la chance !— Toi aussi, Ludo est toujours un si bon amant !Nos amis sont devenus nos partenaires pour des jeux coquins.Nous espérons que notre récit vous a plu, nous attendons vos remarques, vos critiques, vos sentiments, si vous avez vécu des expériences sortant des sentiers battus. Aimeriez-vous connaître la suite ? Nous espérons que comme nous, vous aurez envie de tenter ensemble de nouvelles expériences.