Tu sais jouer aux cartes, au poker, au strip-poker pour être exact ?Je vais te raconter une partie que nous avons jouée avec Claude il y a déjà un petit moment. Claude c’est ma compagne, un joli petit lot dont je suis très fier, très amoureux, ma complice dans la vie, ma chance, ma lumière, ma morale. Enfin, pas toujours …..Nous rentrions de vacances, toujours les mêmes, naturistes si possible, nous aimons vivre nu. Nous y avions fait la connaissance d’un gentil garçon, sportif de haut niveau dans le Kayak et que nous appellerons Eliot. Celui-ci brun, cheveux longs, sourire charmeur, très jeune, 25 ans à peine, superbement musclé, monté comme un âne, s’exprimait avec une gouaille d’enfer, la tchatche facile pour enlever les plus jolies filles passant à sa portée. Au âmes bien nées, la valeur ….Et pas seulement les filles faciles, NON ! Les dames mariées n’hésitaient pas à lui faire des avances et ma Claude comme les autres bavait devant cet Apollon provocateur et sans complexe. Elle lui avait fait les yeux doux comme ses copines …Eliot vivait alors avec une superbe nana fraîche comme une rose, cocue mais contente de l’être pour profiter de ce mec hors normes et hors conventions.Valérie était à elle seule la compilation de ce que la nature et les artistes avaient conçu de mieux : à la fois Chimène Vénus ou Joconde. La fille dont tout le monde souhaite ne serait-ce qu’une fois qu’elle vous porte un peu d’intérêt en vous regardant ou en vous souriant.Ces deux là habitaient Lyon, comme par hasard pas très loin de la route que nous devions emprunter pour rentrer « at home ». C’est en faisant cette constatation peu avant leur départ, qu’ils nous avaient invité à faire escale chez eux pour une soirée, coupant ainsi le trajet de retour en joignant l’utile à l’agréable.Nous parvenons donc un soir de juillet chez ces deux phénomènes de la plastique corporelle et du sourire séducteur.Ils nous accueillent d’une façon magistrale, chaude, amicale, on se sent vraiment chez soi. Ils nous font la visite guidée des lieux et nous traversons sans nous presser, les diverses pièces de l’appartement qu’ils occupent.C’est de bon goût : quelques photos de Valérie dénudée et dans des poses lascives et provocantes ornent les murs des différentes pièces nous dévoilant des aspects inconnus de son caractère et de sa personnalité. Ses mimiques devant l’appareil sont suggestives et aguichantes, rappelons que nous l’avons fréquentée nue pendant quinze jours, que son anatomie n’a vraiment plus aucun secret pour nous y compris dans les plus petits détails. Sur ces clichés, elle a dans les yeux des reflets que je n’y ai jamais vus auparavant, des expressions sur son visage qui sont de vraies incitations. Ma Claude dans le privé prend parfois ces expressions et je sais bien ce qu’elles signifient.Nous en venons à l’apéritif, Eliot ne boit pas d’alcool mais sa compagne, Claude et moi-même attaquons un champagne très frais assorti de quelques canapés de bonne facture. Nous nous lovons dans les fauteuils et sirotons cet agréable breuvage. Eliot se charge de remplir les verres et de renouveler la bouteille dès qu’elle est vide. Au bout d’un moment, les filles très complices sont parties dans des fous rires. Elles échangent des blagues très crues et douteuses, aux remarques douteuses concernant l’aspect physique des autres sympathisants de ce camping.Valérie n’est pas seulement jolie, elle dispose d’un solide humour, d’un sens de l’à propos assez orienté vers le sexe, et d’une conversation intéressante.L’ambiance est détendue, propice aux confidences à la bonne humeur et aux sous-entendus. Claude nous explique ses besoins exhibitionnistes. Valérie nous confie ses émotions à vivre nue et nous avoue son petit penchant pervers, elle aime mater et être mater.Curieux cette espèce de perversité cachée, j’aurais aisément opté pour « sainte nitouche » tant elle avait l’air distante et peu concernée par les hommes au camping.Je le lui fais remarquer, elle confirme ses affirmations et me dit tout de go de la mettre à l’épreuve.J’en suis estomaqué et bafouille je ne sais quelle idiotie : si elle savait ce à quoi je pense !! Jamais je n’oserais la soumettre à tous les fantasmes qui me traversent la tête. Eliot intervient il me sauve la mise en évitant de me faire passer pour un demeuré complet : « et si nous faisions un strip poker ? Tu pourrais nous faire voir de quoi tu es capable ma chérie ».Mince, on vient de passer ensemble à poil un mois de vacances sans penser à mal (ou si peu) mais sorti de ce contexte la nudité de Claude et de Valérie me paraît extraordinairement érotique. Ma queue dans mon short a des envies d’évasion, pourvu que ça ne déborde pas.Les filles sont d’accord de suite. Claude mate ce couple avec envie et je la soupçonne d’être autant intéressée par l’un ou l’autre, Valérie veut prouver ce qu’elle a avancé.Moi j’hésite vu l’état de mon sexe, je vais avoir l’air malin si je perds. Je sais le sexe d’Eliot plus gros que le mien. Déballer le grand étendard ne m’enchante pas trop sur le moment, j’ai ma pudeur et n’ai pas encore senti assez d’excitation chez ces deux nanas.C’est bien la première fois que je me fais tirer l’oreille pour du cul mais cette Valérie m’impressionne par sa sculpturale beauté, je vais avoir l’air d’un singe à côté d’elle. La comparaison avec Eliot risque de ne pas tourner à mon avantage non plus du côté de Claude : il me manque des cm partout !Je cède finalement sous les coups bas, les railleries insistantes de ces trois énergumènes et nous attaquons la distribution des cartes. Les filles sont face à face.Deux trois tours pour convenir des règles et c’est parti. Evidement, je perds d’entrée.Tu connais la règle ? Il suffit d’enlever un habit pour continuer à jouer.Je n’ai rien d’autre à enlever qu’un t-shirt, un short, mon slip et mes espadrilles autant dire pas trop le droit à l’erreur. J’enlève donc mon t-shirt bientôt suivi par Valérie qui se retrouve seins nus à côté de moi. Claude vit ensuite une mauvaise série et elle n’a plus que son string pour cacher sa vertu string qui fait d’ailleurs désordre tant il nous paraît mal en point tout tâché de son excitation à jouer.Eliot n’a pas perdu une seule fois et se lâche verbalement sans vergogne sur les seins des nanas, comparant, soupesant de l’œil et de la main, il leur fait le pelotage en règle.Ca devient chaud, je me fais caresser les cuisses par Valérie qui n’est pas en reste, et la queue à travers mon short par ma femme qui ne se tient plus et ce n’est pas seulement la prise d’alcool qui est en cause. Ça sent la partouze !C’est le moment que choisit la sonnette pour annoncer une visite, celle d’un pote à eux non naturiste, qui ouvre grand ses yeux et reste comme deux ronds de flan à son entrée devant les petits seins bronzés des filles offerts à sa vue. Celles-ci nous devancent en lui proposant de jouer.Nous remettons nos fringues et une bouteille de champagne plus tard, la partie recommence.Cette fois dès le début, c’est Eliot qui perd et se retrouve presque à poil exhibant ses pectoraux d’acier, ses abdos chocolat et une bite qui, bien que peu tendue, mesure …. !!!Incroyable cet engin qu’il déballe il aurait encore pu enlever ses chaussures le petit saligaud, de quoi on va avoir l’air son pote et moi maintenant, car même avec l’érection qui me fait mal tant je suis tendu, je ne lui arriverai pas à la cheville. Les filles touchent pour voir si c’est bien du vrai, Claude a mis ses deux mains autour et flatte ce membre peu académique.La partie continue entre cartes et caresses, Valérie perd et ôte le dernier carré de tissu protégeant sa vertu. Leur pote se retrouve lui aussi en costume d’Adam : il est assez excité si j’en juge par l’aspect de son vit au garde à vous. Même à poil, son bronzage textile lui confère une apparence habillée. Son sexe tout rouge tranche avec le blanc de ses fesses.Valérie lui propose alors sournoisement un quitte ou double : tu perds tu te masturbes devant nous, tu gagnes on te suce Claude et moi ! Claude rit de bon cœur, elle a un peu trop vite sifflé les flûtes de champagne et je la sens prête à tout.L’invité dit banco espérant sans doute la pipe de l’année. Nous rejouons ce quitte ou double, et le pauvre type n’a pas de chance. Perdu encore ! Hélas pour lui car les filles refusent de laisser passer ce pari. Le voici donc qui s’exécute à contre cœur, ça ne lui prend pas trop de temps car Valérie et Claude lui titillent les testicules et les bouts de seins avec les cartes : il décharge sur la table deux ou trois bonnes grosses giclées de sperme ce qui provoque les applaudissements des filles. Il est hors course pour un moment et d’ailleurs, il prétexte un rendez-vous pour s’éclipser.Nous revoici entre nous, j’ai toujours chaussures et slip. Eliot et Valérie sont divinement nus, Claude est en string mais comme elle n’arrête pas de tirer dessus puisqu’il s’enfonce entre ses lèvres à chaque caresse de Pascal, ça fait belle lurette que nous avons pu apprécié le contenu de ce pseudo rempart.Je suis moi aussi allé vérifier comme Claude l’état du sexe de Valérie qui complaisante me maintient le doigt de force dans son vagin. À vrai dire je n’ai plus du tout envie de jouer mais de baiser au plus vite cette superbe nana. Eliot est déjà entrain de masturber ma femme qui lui cramponne toujours à deux mains son énorme nœud à présent en pleine érection et qui ma fois n’a pas tant grossi.Finalement, je ne serai peut-être pas si ridicule ….Valérie devient entreprenante, elle s’assied à califourchon sur mes cuisses et se frotte les seins sur mon torse. Sa chatte me mouille délicieusement l’épiderme. Feu vert ? Je tente un doigt devant un doigt derrière, pas de contre-indication en apparence son anus aussi fait parti de la fête et elle doit avoir l’habitude de se faire enfiler ainsi car je sens peu de résistance !Hum mm j’adore. Je me mets à lui aspirer le bout des seins pendant que je masturbe con et cul de tous mes doigts. Elle semble ravie de ces attouchements.A côté de nous, Eliot a renversé Claude sur la table. Il lui tient les jambes relevées et lui bouffe le minou et le string avec tant d’appétit qu’il lui arrache des petits cris de bonheur.J’allonge Valérie à côté d’elle et j’enlève mon slip dévoilant mon anatomie dans toute sa superbe. Valérie essaie bien de me sucer mais si je la laisse faire, dans une minute je peux aller préparer le repas.Je les sens mes clones, bien tassés derrière la porte prêts à bondir, et je n’ai pas envie de passer pour un précoce !Je l’attaque à ma manière, à mon rythme, juste à l’entrée, en souplesse, « qui veut voyager loin …, tout vient à point…, rien ne sert de courir…, etc… », Je me raisonne tant bien que mal pour calmer le flux montant.Du coup ça calme un peu la fougue de ma partenaire qui profite elle aussi de ce tempo moderato, d’autant que Claude, à côté de nous, est en train de recevoir grave vu les cris d’orfraie qu’elle pousse tout à coup. Eliot est en train de la labourer si profondément avec une énergie si invraisemblable, un tempo de rock and roll, qu’elle se pâme et jouit en hurlant dans cette violence. Elle invoque tous les dieux qu’elle connaît et même ceux qu’elle ne connaît pas.Eliot dans une dernière série abdominale lâche ses troupes en ahanant tel un bûcheron. Claude finit par se taire sous nos regards admiratifs, c’est une loque, elle pourtant si goulue ne va pas revenir au rab de sitôt. Eliot ralentit la cadence puis cesse ses va-et-vient et ça nous laisse un peu d’espace sonore. Avouons que ce bruyant et démonstratif orgasme nous a un peu déconcentré !Assez de diversion et de tergiversation. C’est à nous de faire le spectacle.Je retourne Valérie et la gratifie momentanément d’une levrette enlevée, puis sans demander l’autorisation, je lui défonce l’anus. Elle a l’air surprise puis ne tarde pas à accompagner mes coups de boutoir de basculements appropriés de son bassin. La table avance au rythme saccadé de notre allant.Elle aussi comme Claude jouit très vite en criant son bonheur et j’ai juste le temps de la rattraper pour finir en même temps qu’elle. Je m’effondre pantelant sur elle et un silence haletant fait place au tumulte de ces derniers instants.LE CALME APRES LA BATAILLE.A ce moment, on se regarde tous et nous éclatons de rire ensemble : quel début de soirée !! Un peu speed !On va prendre le temps pour entamer la deuxième manche, faudrait voir à se restaurer un peu. J’ai dans l’idée que les filles vont assurer le spectacle ce soir, elles sont déjà en train de se peloter et de s’embrasser !