Cet été, comme lors de toutes mes vacances dans ce charmant coin de la Vendée, mon intention était clairement d’aller le plus fréquemment possible à la pêche. Oh je sais bien comme cette activité peut sembler désuète voire ringarde à la plupart des gens, mais en ce qui me concerne, c’est un formidable moment de repos au cours duquel le plus souvent le plaisir de laisser mon esprit vaquer au gré des vagues outrepasse amplement celui de voir un poisson mordre au bout de ma ligne. Cela dit, jamais au grand jamais je n’aurais pu m’attendre à ce que ce plaisir somme toute bien solitaire m’amène à découvrir de tels plaisirs….partagés… J’avais décidé ce matin là, la marée devant être assez haute, d’aller sur le rocher de la Duchesse, une sorte de gros caillou accessible a marée basse mais qu’il était ensuite impossible de quitter à marée haute sans se tremper jusqu’à la poitrine, à moins d’être, comme je l’étais, équipé de « waders » ces grosses bottes étanches qui remontent jusqu’au sommet de la poitrine et qui permettent donc au pêcheur que je suis de traverser sans encombres les 150 mètres qui séparent ce rocher de la cote.Ainsi équipé je partais donc, ma canne et ma boite dans une main, l’autre me permettant de m’accrocher aux rochers afin de rejoindre ce petit coin de pêche peu connu et donc fort appréciable. La première heure s’écoula sans qu’aucun poisson ne vienne la perturber, je changeais vainement de leurres afin de trouver Celui qui saurait séduire la faune aquatique qui, à n’en pas douter devait grouiller devant moi… Las de ces infructueux coups de cannes incessants, je décidais donc de changer de coin et de pousser jusqu’à l’autre versant du rocher celui face à la mer, protégé de la cote par ce gros « caillou » .Progressant dans l’eau, j’approchais donc de cette mini plage inconnue des touristes qui ne se risquent jamais sur ce rocher, lorsque j’eus droit à une vision qui réjouirait tous les pêcheurs matinaux mais j’en suis sur aussi de nombreuses autres personnes : je découvrais d’assez loin ce qui me semblait être une personne d’age mûr, blonde, mono kini, la peau laiteuse… Amusé de ce monokini qu’elle avait selon moi osé en raison de l’absence totale de personnes sur cette plage, je m’approchais doucement continuant à pêcher d’improbables poissons, mais l’esprit accaparé par ce spectacle que chaque pas me rendait plus beau. La femme d’age mûr se révélait être une jeune femme d’environ 25 ans, la peau réellement laiteuse, et une poitrine.. Ce que j’avais sur le coup envie de qualifier de parfaite : ni trop petite, ni trop opulente, mais surtout d’une tenue exceptionnelle, comme si cette jeune naïade avait en fait un soutien-gorge invisible pour soutenir cette poitrine ensorcelante. Car réellement je ne savais plus défaire mes yeux de ces seins, tout juste remarquèrent-ils le visage très gracieux(espiègle ?) de la jeune fille qui semblait nager en ignorant parfaitement ma présence. Il me fallut d’ailleurs un temps certain avant d’aviser un homme un peu plus âgé qui se reposait sur le sable laissant sa gracile compagne à son bain. Poursuivant tant bien que mal mon chemin, je m’approchais à quelques mètres de ma sirène, non sans jeter quelques coups d’il que j’espérais discrets.«La pêche est bonne ? » me lança t’elle incidemment « sans plus » lui répondais je benoîtement tant je ne m’étais pas préparé à cette intervention.Je poursuivais mon chemin sur quelques dizaines de mètres puis trouvais le poste que je cherchais qui me permettait simultanément de me consacrer à la pêche et au plaisir de contempler cette charmante demoiselle. Quelle ne fut pas ma déception de la voir quelques secondes plus tard rejoindre le bord de plage et remettre son haut puis son t-shirt avant qu’accompagné de son homme, elle ne lève le camp dans la foulée… misère !! Je n’avais plus qu’à tenter de me re-concentrer sur ces poissons qui semblaient me mépriser pour mon dernier jour de pêche !Aussi fus-je très surpris de voir « mon » couple réapparaître un quart d’heure plus tard, avant de comprendre, que, surpris par la marée, ils n’avaient sans doute pu rejoindre le bord de cote. Réflexion confirmée lorsque l’homme vint me trouver : »Excusez-moi, vous êtes du coin ? » » Plus ou moins » lui fis-je amusé. » si c’est pour la marée sachez qu’elle sera haute dans une vingtaine de minutes et qu’il va vous falloir attendre deux bonnes heures avant de pouvoir repasser dans l’autre sens »Amusé plus que véritablement ennuyé, il me répondit : « et bien nous voilà donc coincé alors, on va être obligé de rester bronzer » »Faut quand même reconnaître que y a des choses plus dures à accepter ! » lui répondis je , cette fois ouvertement hilare. » Certes !! » admit-il s’esclaffant à son tour. » ça se passe bien ? » »Ma foi on a connu des jours meilleurs » et ainsi avons nous devisé quelques minutes sur les aléas de la pêche.Sur ce, il retournait à son poste, me laissant au mien, poste que je m’empressais de quitter afin de sonder de ma canne quelques autres endroits possibles me rapprochant ainsi de leur lieu de bronzette, l’eau au-dessus du nombril mais toujours au sec dans ma combinaison. Ce que j’espérais arriva quelques minutes plus tard, la proie de mes regards s’aventura dans l’eau et après quelques circonvolutions marines, s’approcha de moi. » j’espère que vous n’allez pas m’éborgner avec votre engin » me fit elle » Malgré tout le respect que je vous porte, ma canne n’est pas prête à pêcher des poissons d’une telle taille » lui répondis-je . » Y a vraiment des poissons qui nagent si près de nous ? « » ben, en fait, j’en n’ai pas encore vu, mais j’espère bien sinon je vais une fois de plus rentré bredouille »Sentant un blanc s’installer et ne voulant pas interrompre cette délicieuse discussion ni, je dois l’avouer, ce charmant spectacle, j’ajoutais : « mais dans tous les cas, ma matinée n’aura pas été perdue » ( je me sentais tout d’un coup bien hardi d’avoir osé en dire tant) » C’est a dire ? « » madame, sans vouloir vous offenser, je dois avouer que le spectacle que vous m’offrez a embelli ma journée » ( gloups, étais je allé trop loin ? ma confusion était grande, et je sentais mes joues prendre feu) »C’est vrai ? » elle semblait sourire de ma confusion » ah oui j’avoue que, peut être est ce du à la surprise que ça m’a crée, mais rarement la vue d’une poitrine m’aura causé autant d’émoi( et je ne mentais pas le moins du monde…) « » hihi rit elle ingénument, » à ce point ? « Bon sang, ou voulait-elle en venir?????Le ton étant badin et plutôt dans la plaisanterie, je me lâchais : » ma foi, heureusement que l’eau est si fraiche ! » ( Oups, non mais ça va pas la tête, je deviens fou! )Heureusement un rire non forcé et résolument enchanteur vint me rassurer, je n’étais pas allé trop loin, et même je me disais qu’une femme qui acceptait cela de la part d’un inconnu ne devait pas être trop farouche .N’osant plus trop rien dire malgré tout, je me replongeais dans le lancer de mon leurre. Elle restait dans l’eau a côté de moi, son visage animé d’un sourire espiègle, ses seins affleurant à la surface de l’eau. »Visiblement le spectacle vous a suffit » me lança t’elle, un clin d’œil venant soulever la moquerie de son propos. » humm, euh non mais bon, .. ( que dire? !!) c’est que je ne voudrais pas non plus vous manquer de respect ni fâcher votre compagnon « » Oh pour ça pas d’inquiétude, au contraire, il adore savoir que d’autres hommes me matent, comme si cela le confortait sur la beauté de sa chérie ! » Ceci ponctué de son rire décidément délicieux et provocateur, je n’en menais plus large.Pour le coup, reculant devant l’obstacle, je sortis : »Excusez-moi, mais je dois changer de leurre, celui-ci semble ne rien donner ce matin » et ainsi je rejoignais ma boite de pêche que j’avais oublié tout au bout de la plage. » Je peux voir ça ? » me demandait elle » bien sur » ( sordin calme-toi, pas de films, cette fille s’ennuie sur la plage et c’est tout)Quelques minutes plus tard je sortais de l’eau et ouvrais ma boite.Elle me posait quelques questions sur mes différents leurres, j’étais content que la discussion s’engage ainsi dans une autre voie tant je ne voyais pas ou la précédente pourrait nous conduire. » Et si c’est moi qui pêchait? » me dit elle se rapprochant de moi » Ben, euh bien sur, aucun problème, vous avez déjà utilisé une canne a pêche ? » » Oh non oh non, avec ça je ne saurais rien faire, en revanche, je suis sur de savoir pêcher ceci » me dit elle, sa main venant se coller sur mon sexe !! Enfer et damnation, que se passait il?? ! J’étais bouche bée, comme interdit, ne sachant que dire ni que faire. » Alors môôssieur le pêcheur, me pensez-vous capable d’attraper un tel poisson ? » elle souriait se moquant de mon ébahissement et de la surprise qu’elle lisait dans mes yeux » Ma foi, je crois bien que vous l’avez ferré, ne reste plus qu’a le ramener jusqu’au bord » répondis-je. Je n’allais pas continuer ainsi a subir la situation » je devrais y parvenir » et sur ce, son autre main se glissa par dessus ma combinaison pour venir m’empoigner… autant dire qu’après tout ce temps passé a côté d’elle, le froid qui m’avait engourdi se dissipa très vite, ce qu’elle ne manqua pas de remarquer : »On dirait que l’eau froide ne te fait plus d’effet » je notais qu’elle venait de passer au tutoiement. » Difficile de rester de glace face à un tel traitement ! »Son autre main vint défaire les scratches de ma combinaison » Il est temps de constater la prise » reprit-elle. Et aussitôt, elle s’agenouilla pour, non pas simplement constater, mais carrément goûter le produit de sa pêche ! Ce fut le début de l’extase.Sa main qui s’activait tant bien que mal tant que mon sexe était emprisonné, se montra d’un coup expert pratiquant de longs et souples allers retours tandis que sa bouche vint le décalotter puis l’englober complètement. À peine eus je le temps de jeter un coup d’œil pour vérifier que son ami était hors de portée( il était temps de le faire …) puis je succombais au plaisir qu’elle s’ingéniait à me procurer : Sa langue courait sur mon gland, le léchait, le pourléchait, venait laper le frein pour augmenter mon plaisir. Je ne résistais pas a émettre quelques râles, tant mon plaisir était grand. Parfois, elle tentait d’engloutir complètement ma verge, et réussissait par ce biais à me procurer des sensations insoupçonnées, puis elle remontait doucement, son regard amusé venant se planter dans le mien, ce qui là aussi augmentait le plaisir qu’elle me procurait.Sentant qu’il ne se passerait pas longtemps sans que tout cela soit suivi d’effet, je l’interrompais quelques instants afin de nous allonger. Elle reprit derechef son activité, mais cette foi je pouvais moi aussi m’activer : ma main vint immédiatement caresser l’étoffe de son maillot qui était mouillé par bien autre chose que la mer. Souhaitant rattraper mon retard, je m’empressais d’écarter le tissu pour glisser mes doigts sur sa fente qui effectivement s’avérait trempée. Caressant doucement les grandes lèvres sur toute leur longueur, elles ne tardèrent pas à s’ouvrir me laissant découvrir de mes doigts ses fines lèvres parfaitement dessinées. Là encore, je les parcourais en les effleurant à peine, tentant de me concentrer dessus afin de ne pas succomber à la fellation magistrale qu’elle me prodiguait.. Je laissais enfin a mes doigts le droit de s’aventurer sur son clitoris, déjà fort gonflé, et ceux ci le caressaient puis le pressait sans excès, le titillaient, cherchant à deviner aux bruits qu’elle me faisait entendre, ce qu’elle préférait. Visiblement, les caresses appuyées semblaient remporter les suffrages, aussi m’y mis je derechef. Puis me faisant glisser près de sa cuisse, elle comprit ce que je cherchais et m’enjamba tête bêche afin que ma langue puisse participer à ces caresses.Hmmm quel goût sa petite chatte presque épilée m’offrait il !! Un vrai délice, je me délectai de ce jus qu’elle m’offrait sans retenue, d’ailleurs depuis peu, elle semblait avoir un peu abandonné son activité afin de profiter au mieux de ma langue. Enhardi par ce que je prenais pour un compliment, je redoublais d’attention sur ces lèvres qu’elle m’offrait sans retenue, tandis que ma main s’occupait de son clitoris, ma langue parcourait ses lèvres, les ouvrait sans vergogne, se plongeait dans son puits. Je la sentais exalter, et continuais donc de plus belle, ses soupirs étant le meilleur des encouragements. La sentant parvenir à l’orgasme, j’augmentais la cadence jusqu’a ce qu’un cri certes retenu vint ponctuer son plaisir ! Je goûtais goulûment cette cascade exquise, c’était délicieux j’étais aux anges et visiblement elle aussi. Mais pendant que je continuais à me délecter de ce nectar, elle se remit à l’ouvrage de plus belle, sa main gauche s’affairant sur ma hampe alors que sa bouche me tétait violemment avec de forts bruis de succions. Sa main droite, elle, venait me caresser les couilles et commençait à les malaxer, aussi ouvrais je mes cuisses afin qu’elle puisse le faire sans souci, tant j’appréciais ce qu’elle me faisait ; Je continuais distraitement a lécher sa chatte mais j’étais tout au plaisir qu’elle me prodiguait : D’autant que s’enhardissant, je sentis d’un coup sa main droite venir caresser mes fesses et ma raie.. allait elle oser faire ce que j’espérais depuis fort longtemps ? Sentant qu’il n’y avait pas de réticence, elle appuya ses caresses, continuant cependant a me pomper délicieusement. Un de ses doigts vint s’appuyer sur ma rondelle et commença à la malaxer, dame que c’était nouveau et bon ..sans forcer elle se contentait de souplement faire des rotations a son doigt sur mon anus, puis sans que je le sente venir, je sentis quelque chose de visqueux dégouliner le long de ma raie, elle venait d’humidifier son doigt de sa salive. Aussitôt son doit se fit plus inquisiteur, et c’est sans douleur qu’il s’enfonçait dans mon anus. Mon plaisir était à son comble, je me sentais prêt a exploser, ma langue reposait contre son sexe mais j’étais incapable de la diriger… sentant quelque chose d’insolite, j’ouvris alors les yeux et vis un énorme sexe venir s’insérer dans le sexe de celle qui me procurait tant de bien depuis quelques temps maintenant. Ma compagne nullement surprise continuait à s’occuper de moi ! Quant à moi, mon désarroi était total, j’étais spectateur privilégié d’une chatte recevant la visite qu’elle mérite. »continue à la lécher!! » entendis je.Ne sachant que faire(après tout j’étais en pleine partie de sexe avec sa compagne) je m’exécutais aussitôt. Et repris tant bien que mal mes caresses labiales cherchant désespérément à éviter le contact avec ce qui me semblait être un sexe gigantesque.Visiblement le choc m’avait un peu affaibli, mais ma belle blonde semblait se faire un point d’honneur à me faire retrouver ma vigueur malgré les coups de boutoir que son ami lui portait. Quant à moi, je faisais de mon mieux pour le/la satisfaire, mais plusieurs fois, ma langue vint lécher sa queue. Les cris de sa dame semblaient montrer qu’il la chevauchait de main de maître, mais un moment il s’arrêta, la queue sortie a l’entrée de sa grotte, et ma langue glissa sur son gland. !!?? Il le laissa, et un soupir me fit comprendre qu’il avait apprécié… j’osais un deuxième coup de langue, le soupir qui s’ensuivit m’assura que je ne m’étais pas trompé. Mais il se replongea dans la grotte aussitôt pour achever ce qu’il avait ébauché et arracha des cris a sa compagne dont seules les mains s’occupaient désormais de ma queue. L’orgasme fut intense, elle fut secouée d’un violent tremblement alors que sa chatte me déversa à nouveau son nectar dont je me délectais ! Son ami se recula ensuite, et elle en profita pour se retourner vers moi, me roula une pelle fantastique pendant qu’elle venait s’empaler sur moi. HMmmm quel plaisir de me sentir glisser dans son fourreau. Prenant ses fesses dans ms mains, je les remontais le plus haut possible pour que son bassin ainsi relevé, je puisse la pénétrer le plus possible et faire glisser parfaitement ma queue dans son sexe. Rapidement elle recommença à éprouver du plaisir, mais reposa son bassin car son compagnon revenait à la charge : Je ne sais s’il s’y prit violemment mais je sentis d’un coup son sexe en elle, et sentis les allers et venues qu’il pratiquait ! Le visage de sa compagne me confirmait qu’elle y prenait un plaisir non feint, et c’est sans tarder qu’à nouveau elle jouit. Quant a moi, toutes ces sensations et émotions nouvelles m’avaient permis de tenir jusque là mais je sentais bien que jamais mon sexe n’avait été aussi dur ni aussi près d’exploser sans y parvenir.Son compagnon se retira et, s’agenouillant à nos cotés, vint aussitôt lui présenter son sexe qu’elle s’empressa d’engloutir malgré sa provenance. Je me retrouvais une fois de plus avec ce sexe véritablement impressionnant à quelques centimètres de moi, et je sentais tout d’un coup une folle attirance pour celui ci.Apres quelques brefs instants de réflexion je lui relevais à nouveau le bassin ce qui eut pour effet de rapprocher son visage du mien et par le même coup cette magnifique queue de ma bouche. Elle sembla comprendre car empoignant sa hampe, elle vint me la présenter : on y était, c’était trop tard pour reculer : j’ouvris ma bouche et délicatement vint goûter cet objet du bout de ma langue, furtivement dans un premier temps, puis de plus en plus hardiment. Le contact était très doux, l’odeur agréable, et le goût indéfinissable. Notre compagne se releva sur moi, sentant bien qu’impressionné et concentré je « l’oubliais » un peu, elle se mit à me chevaucher. De mon coté, domptant toutes mes peurs et mes inhibitions, j’enfournais pour la première fois une bite dans ma bouche, et l’appréciais véritablement. Un peu bloqué par ma position, c’est lui ensuite qui, me tenant la tête, s’activait dans ma bouche, comme je l’avais vu faire quelque temps auparavant dans la chatte de son amie. Les douleurs de ma verge me confortèrent dans l’idée que j’assouvissais à ce moment-là un fantasme caché au plus profond de moi. C’était énorme, fantastique, tout simplement irréel et pourtant si vrai !La demoiselle se leva soudain et entreprit à nouveau de me sucer: Je compris de suite, que l’extase de tout cela m’avait de nouveau ramolli( avais-je joui sans m’en rendre compte tellement c’était bon et intense ?…) toujours est il qu’elle se remit à l’œuvre pendant que je prodiguais le même genre de caresses a son compagnon. À nouveau sa main droite s’activa sur mon petit trou, et de nouveau ses caresses me ragaillardirent plus que de raison : mon sexe me faisait mal tellement il bandait, ses caresses étaient d’une rare douceur et précision, je sentis un doigt puis deux venir s’installer dans mes fesses, c’était divin.C’est alors que je compris ou ils voulaient en venir : le sexe que je suçais avec avidité s’enfuit d’un coup de ma bouche et l’homme se releva pour venir le présenter entre mes cuisses. Oh mon dieu, que faire !! J’étais allé bien trop loin désormais pour refuser, de plus je n’étais plus trop sur de ne pas le vouloir.. Je sentis bientôt son gland que je suçais il y a encore quelques secondes venir se coller sur mon anus, alors que son amie vint m’offrir ses doigts qui, à en juger par le goût venait d’être plongé dans sa chatte. CE divertissement m’évita ainsi( ils étaient vraiment experts es sexe!) de me focaliser sur cette énorme queue qui tentait de m’investir, et je ne me rendis pas compte que son gland m’avait déjà pénétré ! Ensuite doucement il poussa un peu plus et je ressentis au plus profond de moi ce corps étranger qui m’empalait. Quelle sensation étrange et… merveilleuse ! Il était désormais au plus profond de moi, je sentis même sa queue me titiller je ne sais quoi, et ce contact au plus profond de mon être me fit immédiatement jouir de jets chauds et pleins. Il s’activa aussitôt provoquant ainsi d’innombrables jets de sperme sur mon corps, j’en avais partout j’avais l’impression que jamais cela n’allait s’arrêter !! La fille se mit alors a me lécher tout le corps pendant que lui continuait à me défoncer de plus en plus fort, provoquant chez moi des sensations de plaisir inconnues. Elle s’allongea ensuite a côté de moi, sa main droite continuant de me branler doucement alors que sa langue me titillait l’oreille, puis remontait sur ma joue, mes lèvres pour ensuite m’embrasser à pleine bouche et me faire goûter mon propre foutre… Je sentais mon sexe durcir de nouveau, tant à cause de sa main que de cette queue si puissante qui me défonçait toujours. Il commençait à râler lui aussi, je savais déjà ce que j’allais faire.. Le sentant proche de l’explosion, je me redressais d’un coup, lui empoignais sa queue qui m’avait tant fait de bien et le branla devant ma bouche jusqu’a ce qu’il explose. Je ne tenais initialement pas a le sucer sachant d’où sa bite sortait, mais tenant tant à le sentir exploser dans ma bouche, je finis par m’y résoudre : Le goût initialement âcre disparut aussitôt que d’énormes flots crémeux se jetaient dans ma bouche. La surprise passée, je le pompai autant qu’il m’était possible mais dut quand même en laisser échapper tant j’avais l’impression qu’il allait m’étouffer. C’était chaud, doux, d’un goût particulier mais agréable, et j’étais aux anges.Quand je sentis son sexe mollir dans ma bouche et que plus rien n’en sortit, je m’allongeais de nouveau sur le sable. J’avais du mal a savoir ou j’étais, je planais complètement. C’est à peine si je sentis la fille se relever, je ne la retins pas, elle me glissa un » merci » des plus convaincus et j’entendis ses pas ainsi que ceux de son compagnon s’éloigner.Quant à moi, je restais allongé ainsi fort longtemps n’osant me relever, ne sachant que penser de toutes ces expériences nouvelles, n’arrivant pas à faire la part entre la honte de m’être ainsi laissé aller et le plaisir inouï que j’y avais pris. Aussi préférais je laisser le temps a la marée de descendre et à eux de partir avant de me relever de me rhabiller et de repartir, en me disant que pour une fois, rentrer bredouille était le cadet de mes soucis !