Un directeur très proche de ses employées…Comme toute étudiante qui se respecte, il m’a fallu trouver cet été un boulot pour l’été. Je me retrouvai donc à travailler en tant que serveuse dans un restaurant italien, travail difficile mais dans une équipe de jeunes et une ambiance de folie, avec batailles de glaçons et parfois même de chantilly ou de sauce tomate en fin de service.Ce soir-là, cela faisait à peine une semaine que j’avais été embauchée, je devais gérer mon premier service seule. Le directeur, un petit blond de trente-trois ans, faisait l’accueil et plaçait les gens, en profitant pour se moquer gentiment de moi et de mes difficultés à tout gérer sans problème. Il m’aida plusieurs fois à ouvrir des bouteilles de vin et me demanda de l’attendre après le service pour m’apprendre à manier le tire-bouchon.A la fin du service, je me retrouvai donc seule dans le restaurant avec Marc, le directeur, qui me donna un cours en se servant des carafes d’eau dans lesquelles il remettait des bouchons. Puis, après un moment, il passa derrière le bar et me regarda, un sourire malicieux accroché aux lèvres:— Rouge ou rosé?— Vous payez une bouteille?— Rouge ou rosé?— Rouge.Il posa la bouteille de chianti sur la table devant moi et se rassit, frôlant le bas de mon dos au passage. Un frisson me parcourut, mais je gardais mon calme, me demandant si ce geste avait été volontaire de sa part ou pas. Je nous servis à boire, nous discutâmes les yeux dans les yeux.Un moment plus tard, il quitta la table. Il revint quelques instants plus tard, les mains pleines de glaçons qu’ils me jeta dessus. Je courus alors après lui pour lui rendre la pareille. Après quelques minutes de bataille effrénée, j’étais trempée. Les glaçons étaient entrés dans mon soutien-gorge, dans ma culotte, et ajoutés à l’effet du chianti et du regard plein de désir de Marc, je me sentais de plus en plus tendue, mes seins durcissaient rapidement, mon ventre se réchauffait…Pour sécher mes vêtements, je me dirigeai vers les toilettes et leur souffleur d’air chaud. Marc m’avait suivie. Il était derrière moi et je voyais dans le miroir son regard sur moi. Un frisson me parcourut le dos. Je faisais sécher ma poitrine quand il se rapprocha brutalement de moi. Il ouvrit mon col en grand, l’air chaud gonfla le vêtement, lui laissant une vue plongeant sur mon soutien-gorge. Il m’embrassa alors dans le cou, je m’abandonnai de plus en plus à lui. il se colla à moi, je pus alors sentir dans mon dos son envie. Je tournai alors la tête et l’embrassai avec violence. Il me colla contre le mur et commença des mouvements de va-et-vients prometteurs. Il me retourna. Les mains collées au mur, comme une criminelle, je le laissais passer sa langue dans mon cou et déboutonner mon jean. Je me retournai, l’embrassai, et déboutonnai son pantalon. Il me regardait toujours avec ce regard qui me rendait folle. Il m’entraîna bientôt hors des toilettes et me poussa énergiquement sur la première banquette du restaurant. Puis, il m’enleva mon pantalon et ma culotte avant d’enfouir sa tête entre mes cuisses brûlantes. Pendant que ses doigts s’enfonçaient en moi à un rythme régulier, sa langue titillait mon clitoris, tantôt lentement, tantôt rapidement. J’étais au bord de l’orgasme, mais il ne voulait pas que je jouisse, pas encore. Il m’embrassa. Je sentis le goût de mon sexe sur ses lèvres, j’eus alors immédiatement envie de goûter le sien. Je le repoussai pour qu’il se relève et m’agenouillai sur la moquette. Je baissai son pantalon et son caleçon découvrant son sexe dressé. Je le pris dans ma bouche et commençai une fellation, attentive à sa respiration, pour savoir lesquels de mes mouvements de langue lui procuraient le plus de plaisir. Je retirai bientôt son sexe de ma bouche et titillai simplement son gland du bout de ma langue. Il m’allongea sur le sol et me pénétra. J’étais bien assez humide pour qu’il s’enfonce en moi sans difficulté. Mais la position du missionnaire nous lassa rapidement et je me mis alors à quatre pattes sur la moquette, lui offrant un axe de pénétration plus original sur mon vagin. Il ne se fit pas prier et me pénétrant par mouvements saccadés, il titilla mon clitoris du bout de ses doigts, cette fois, je ne pus me retenir de jouir.Comme pour m’achever, il se retira et me pénétra avec sa langue, puis il joua avec mon clitoris, me pénétrant de ses doigts. Puis, il aventura ses doigts vers mon anus, peut-être histoire de voir si je résisterais. C’était la première fois qu’un homme s’aventurait jusque là avec moi. Curieuse du résultat, je le laissai faire. Il humidifiait l’orifice, me préparant à le recevoir. Il se releva et fit doucement entrer son sexe dans mes fesses. Je me cambrai, il commença des petits mouvements rapides, puis se pencha vers moi et me colla contre le sol. Les mouvements se faisaient de plus en plus violents, à chacun de ses coups de reins, je ne pouvais retenir un petit cri. Je sentis mon orgasme arriver, et à son souffle, je devinai que le sien n’était pas loin non plus, je contrôlai donc mon envie d’exploser pour synchroniser notre nirvana. L’orgasme fut explosif. Il se répandit à l’intérieur de mes fesses et s’écroula sur moi, épuisé. Nous restâmes quelques temps dans cette position, essoufflés, heureux.Bientôt, il fut pourtant temps de se rhabiller. Je remarquai alors qu’il portait une alliance. Amusée, je lui lançai:— Votre femme ne va pas vous attendre?— Oh, non, ne vous inquiétez pas. Elle dort ou est aussi occupée que moi.Je lui souris, il fit de même.— J’ai passé une très intéressante soirée, monsieur le directeur.— Vous travaillez demain?— Oui. Et vous?