IntroJe me présente, je m’appelle A., j’ai 24 ans et je suis encore étudiant, dans le cadre de mes études, je fais un stage dans une entreprise pendant plusieurs mois. Ce boulot m’oblige à être sur le terrain une bonne partie de mon temps au début, pour collecter des informations nécessaires à la réalisation du projet qui m’a été confié. Je suis grand, brun, 1,85 pour 80kg plutôt bien répartis. Je suis aussi assez timide quand je ne connais pas les personnes et notamment celles qui sont plus âgées que moi. Pour cette raison je n’ai que des rapports professionnels avec mes collègues que je fréquente au minimum. Je prends mes pauses seul la plupart du temps. Je ne me plains pas j’ai beaucoup d’amis, une petite amie depuis 2ans et ne me sens pas obligé de m’en faire de nouveaux sur mon lieu de travail. Ceci étant les mois passent et seul le travail me préoccupe, les gens sont courtois mais ne semblent pas vouloir s’intéresser plus que ça à moi. Etant moins sur le terrain qu’au début, on a mis à ma disposition un bureau, un peu à l’écart des autres qui ne fait que renforcer mon isolement.Un matin de début février, je remarque qu’un bureau proche du mien alors inoccupé est encombré d’affaires. Durant la journée j’entends parler de M. une nouvelle stagiaire. Le lendemain je la croise par hasard dans un couloir et je comprends l’intérêt de mes collègues pour cette personne. C’est une jeune fille de taille moyenne, brune avec un visage magnifique et un sourire qui vous marque irrémédiablement. Elle a un physique très agréable, des petits seins sur un corps bien proportionné, des fesses biens rondes toujours mises en valeur dans des pantalons ou des jupes moulantes. Cette fille est très spéciale. À son physique très séduisant se mêle une attitude, un regard, des sourires qui lui donne en plus de sa beauté un charme fascinant. Sans répondre aux standards de la bombe sexuelle, c’est le genre de fille que beaucoup d’hommes rêvent d’avoir dans leurs lits et plus si affinités.Nos relations pendant plusieurs jours se limitent à des salutations banales quand on se croise, rien de plus. J’épie ses déplacements à la photocopieuse qui est dans l’angle de vue de mon bureau, la suit du regard et l’observe dès que j’en ai l’occasion. Lors d’une pause, un matin l’occasion de faire connaissance se présente, je sors fumer une cigarette, elle me rejoint, je me retourne prêt à engager la conversation quand arrive un technicien sortant de la salle de pause contiguë. Visiblement moins timide que moi l’homme nous salut, nous demande si on est en stage et embraye la conversation directement avec M. qu’il regarde en bavant et se vantant de ce qu’il fait dans la vie tout en posant moult questions à M. M’étant fait évincer sans préavis de la conversation j’en profite pour écouter les réponses aux questions qu’il lui pose. J’apprends ainsi qu’elle à 26 ans (je lui en aurais donné moins), qu’elle n’est pas du coin, qu’elle suit des études d’administration. Du coup il m’a grillé les questions simples que l’on peut poser pour faire connaissance, sur ce fini ma cigarette je remonte à mon bureau. J’aurais voulu qu’il lui demande si elle est célibataire, mais il n’a pas été aussi direct tout de même. Je ne me fais pas beaucoup d’illusions, ça m’étonnerais qu’elle n’ait pas de petit ami, je l’entends souvent chuchoter au téléphone dans le couloir, j’imagine que c’est lui. Mais je prends plaisir à écouter sa voix douce murmurer même si je n’entends pas ce qui se dit, de toute façon je ne cherche pas à comprendre.Les jours suivant se passent identiques aux premiers, je l’observe, la salue et me rends compte qu’elle m’obsède de plus en plus ! Je suis d’ailleurs un peu jaloux, si on ne s’occupe pas de moi dans l’entreprise, pour M. c’est l’inverse, elle à toute l’attention que je n’ai pas. Intéressante, belle, séduisante et charmante elle a la sympathie de toutes et de tous.1. une rencontre intéressante.La fin du week-end arrive à point nommé, j’en peux plus de ce boulot je vais retrouver mes potes et ma copine que je néglige depuis le début de mon stage, faute de temps. Quand j’arrive chez elle vers 17h30, elle n’est pas encore rentrée de la fac. J’en profite pour prendre une douche, je fais un brin de rasage intime, ayant depuis très longtemps qu’un intérêt limité pour la pilosité et ayant découvert avec ma copine que le rasage pouvait être un jeu érotique très agréable. Je sors de la douche, m’entoure d’une simple serviette et vais me poser devant la TV, je n’ai pas eu envie de m’habiller et compte bien faire l’amour à ma copine quand elle va rentrer, ne pas l’avoir vue depuis 3 jours et observé M. au boulot m’ont mis dans un état de frustration que n’a pu soulager une branlette la veille. 18h15, elle rentre, me prend dans ses bras et me dit à quel point je lui ai manqué. Après avoir enlevé son manteau s’assoit à côté de moi dans le canapé et me demande ce que j’attends dans cette tenue, d’un air de dire que je pouvais toujours espérer. Ma copine est une grande Blonde d’1m77. On discute un moment de nos journées, de choses et d’autres avant de se refaire un petit câlin, on s’embrasse, je commence à la caresser pour bien vite m’occuper de ses seins. Ils sont gros, souples, ils tombent un peu mais rien de surprenant avec du 95D, mes intentions deviennent très claires, et elle me signale gentiment que ce n’est pas la bonne période du mois en ce moment. Pas de chance ! Quelques bisous puis je me force à me calmer.On continue à bavarder, en regardant la télé, elle met sa tête sur mes cuisses et me caresse distraitement.Tout en discutant, ses caresses ont finies par me procurer un début d’érection qui déforme la serviette de bain. Elle sourit, passe sa main dessous, remarque en me caressant les couilles et le pubis que je me suis fait beau pour elle et qu’elle va s’occuper de moi pour que je n’ai pas fait ça pour rien. Elle remonte la serviette, prend ma verge entre les doigts de sa main gauche et commence des petits mouvements de va-et-vient. Elle se redresse finalement, se met à genoux sur le canapé et embrasse ma queue à la base, et remonte doucement jusqu’au gland. Arrivée au sommet de ma bite, elle la prend en bouche, et me suce tendrement, elle descend et remonte doucement au début puis accompagne sa fellation d’une masturbation avec sa main. À ce rythme là , ce traitement ne va pas tarder à me faire jouir, je me retiens un peu pour faire durer le plaisir. Elle abandonne sa fellation pour me lécher les couilles et titiller mon anus avec un doigt ça commence à devenir intenable, elle remonte de mes couilles jusqu’à mon gland en me léchant tout le long de ma bite, elle me reprend en bouche et continue sa fellation. Au bord de la jouissance, mon esprit divague et j’imagine M. en train de me sucer comme le fait ma copine à ce moment. Cette pensée entraîne mon plaisir, je gémis de plus en plus fort, la fellation se fait de plus en plus rapide et je finis par éjaculer de longs jets de sperme dans la bouche de ma copine qui les accueillent jusqu’au dernier avant d’aller le recracher dans la salle de bain.La suite du week-end est sexuellement déserte, et comme d’habitude le lundi arrive bien trop vite.Une nouvelle semaine commence, le train-train reprend ses droits, heureusement M. me permet de passer des moments plus agréables, je continue à l’observer, quand on se croise elle me sourit longuement. Je ne sais pas si ses sourires me sont réservés ou si tout le monde à droit aux mêmes, mais ils me troublent au plus haut point.C’était un mardi, elle photocopiait des documents, dans mon champ de vision, je me suis mis à la mater, en rêvassant. Quand j’ai repris mes esprits elle me regardait visiblement, appréciant moyennement mon insistance. Le midi je mangeais seul à mon bureau quand elle frappa à la porte. Je lui bredouille difficilement d’entrée, surpris. Elle me dit bonjour et s’installe en face de moi. Elle me fixe et me demande pourquoi je ne viens pas lui parler, plutôt que de passer mon temps à la mater. Encore plus surpris je lui explique ma timidité et m’excuse si ça l’a gênée de se sentir observée. Elle me répond que c’est très flatteur, qu’elle aime qu’on la regarde. Elle me demande si je veux manger avec elle le lendemain midi, j’accepte sans hésiter, mais pas forcement rassuré.De nouveau seul, je n’ai qu’une hâte, de me retrouver le lendemain midi avec elle. Mercredi, 12h, elle rentre dans mon bureau et me demande si je suis prêt, je prends mon blouson, me lève et la suit. Elle est habillée d’un pantalon noir moulant qui me laisse le loisir de distinguer les marques d’un joli string et d’un chemisier rouge. Nous mangeons dans un petit snack à proximité des bureaux. On discute de tout est de rien, plus à l’aise que moi, elle me transmet son assurance, je suis plus détendu et me laisse aller à la conversation. On parle de nos études, du boulot, de nos amis et on arrive aux petits amis, je lui avoue avoir une copine ( je préfère jouer franc jeu et ainsi éviter une très hypothétique double vie à haut risque), et comme je m’y attendais elle en a un aussi. 13h30, on retourne bosser. Depuis ce jour là , on passe beaucoup de nos midis et nos pauses ensemble. Un jour on décide de manger dans mon bureau pour profiter de la musique de mon pc et éviter le mauvais temps en restant au chaud. Tout en mangeant, on discute de choses et d’autres, notamment du boulot. La discussion finie par dériver vers le sexe, on échange quelques confidences, fantasmes et autres sans entrer dans la vulgarité, mais elle ne me cache pas son goût pour le sexe. Elle me demande ce que j’attends de notre relation, un peu surpris je lui dis qu’elle me plaît beaucoup, que je la trouve très à mon goût, mais qu’ayant des petits amis qu’on aime je n’envisage pas beaucoup de possibilités. Sur ce, il est 13h30 elle se lève, se penche vers moi, dépose un baiser furtif sur mes lèvres et me dit qu’il y a une autre possibilité et retourne à son travail.Le lendemain midi, on décide de manger au bureau aussi, on termine rapidement de manger et on se lance dans une discussion très amusante où on se moque des gens de la boite. La discussion cesse, un blanc lui succède, M. se lève et vient s’asseoir sur moi, je me remets vite de la surprise et mets mes mains sur sa taille, elle se penche et j’ai son joli visage à 20cm du mien, je n’en reviens pas et me dit qu’il ne faut pas laisser passer cette chance. Elle m’embrasse doucement avant d’ouvrir sa bouche et de laisser se mélanger nos langues. Nous interrompons notre baiser, je lui demande s’il n’y a pas de problèmes pour elle, elle me dit qu’il n’y a pas de raison, on se plaît, que c’est purement physique et que ça peut occuper nos midis, tout en restant sentimentalement fidèle à nos amis. Que dire, j’aime ma copine, mais M. me fait un effet dingue, et c’est la première fois que j’ai l’occasion d’une relation avec une fille aussi belle qui plus est, sans contraintes, juste pour le cul !On s’embrasse à nouveau, elle se laisse glisser jusqu’au sol, maintenant à genoux, entre mes jambes, elle déboutonne mon jeans, à du mal à sortir mon sexe déjà tendu, sans attendre, elle le lèche depuis la base et le prend dans sa bouche tout de suite. Elle sait y faire, elle descend lentement en serrant bien ses lèvres, cette bouche chaude et serrée me rend fou, elle continu ses va-et-vient en me fixant de ses yeux coquins. Elle me suce sans violence mais de façon énergique, rien à voir avec la douceur de ma copine, elle fait pénétrer mon sexe le plus loin possible dans sa bouche. C’est incroyable on ne m’avait jamais fait ça, j’adore. Elle continue en me suçant le gland et en me branlant avec une main pendant que l’autre me masse les couilles, je lui demande de s’arrêter pour ne pas jouir. Elle se relève m’embrasse, je lui avoue que c’est la suceuse la plus talentueuse que j’ai connu, elle paraît flattée, me sourit et me dit que c’est à moi de faire mes preuves. J’enlève mon pantalon pour être à l’aise. Elle s’assoit au bord du bureau, je lui enlève son haut et fais apparaître un soutien-gorge en dentelle noire, elle l’enlève pendant que je fais glisser son pantalon. Je dévoile un petit string, noir lui aussi. Je remonte doucement pour caresser ses seins, je les masse, puis les lèche en dessinant des cercles concentriques jusqu’à arriver aux petites auréoles sombres et aux tétons. Je ne peux m’empêcher de les sucer, de les faire rouler entre mes doigts, et de les lécher. Elle a la tête renversé en arrière, elle gémit doucement et me murmure qu’elle adore ce que je fais à ces seins trop souvent négligés en raison de leur petite taille. Abandonnant ses seins, je la fais se coucher sur le dos, elle prend appui sur ces coudes pour pouvoir apprécier visuellement la suite des réjouissances, je m’assois sur mon fauteuil, que je fais descendre au maximum, et me voilà à hauteur de son intimité. Je m’approche du string en embrassant la peau si soyeuse de l’intérieur des cuisses, elle pose les jambes sur mes épaules et les écartent largement. J’écarte le tissu et commence à lécher du bout de la langue ses petites lèvres et son clito, avant de lécher toute sa chatte de haut en bas à grands coups de langue. Son petit minou est partiellement rasé, quelques poils persistent sur le pubis, le reste jusqu’à son anus est lisse, j’adore. Je continue à la lécher tranquillement et je la pénètre avec un doigt, puis deux. Mes deux doigts toujours en elle je m’occupe maintenant totalement de son clitoris, que je lèche et que j’aspire, pour son plus grand plaisir, ses gémissements se font plus réguliers et légèrement plus bruyants. Personne ne reste à notre étage généralement le midi, donc il n’y pas a priori pas de risques. Ayant pris de l’assurance et n’ayant rien à perdre, je continue à la caresser de la main gauche, tandis que ma langue et ma main droite descendent au niveau de son anus. Je lui donne des petits coups de langue, puis le lèche franchement, bien humidifié, je le pénètre avec un doigt, délicatement, puis avec de lents va-et-vient. Je continue cette pénétration anale tandis que je reprends mon cunnilingus. Elle gémit de plus en plus, se caresse les seins et fini par jouir bruyamment. Je me lève, l’embrasse et la pénètre après m’être équipé d’une capote. Elle se colle à moi, m’enserre avec ses jambes et m’attire le plus possible contre elle. Je commence lentement, je prends ses jambes et les repoussent pour que ses genoux soit au-dessous de ses seins. J’ai maintenant une vue imprenable sur son intimité, ce qui m’excite au plus haut point, mes mouvements se font plus rapides et plus amples. Ainsi ouverte, je la pénètre profondément, elle gémit à nouveau et me demande d’accélérer, me dit que c’est bon et que je l’ais mis dans un état pas possible. Quelques instants plus tard, je lui demande de ralentir si elle veut pas que ça finisse trop vite. Elle se redresse me fait asseoir sur le fauteuil et s’empale sur moi, je mets mes mains sous ses fesses et guide ses mouvements pour qu’ils ne soient pas trop rapides. Elle m’embrasse et me dit de la laisser faire, qu’elle veut jouir, mes mains rejoignent ses seins pendant qu’elle se met à descendre de plus en plus vite sur ma bite. Elle jouit de plus en plus fort, pousse un long cri qu’elle étouffe du mieux qu’elle peut et continu ses mouvements je la suis de près et rempli de mon sperme le réservoir de la capote. On s’embrasse tendrement, reconnaissant du plaisir donner à chacun et on se rhabille car il est 13h15 et que les bureaux ne vont pas tarder à se remplir. Elle m’embrasse et retourne bosser sur un dernier sourire.2. on se lâche !La vie devient moins monotone au bureau, j’attends les pauses coquines du midi avec de plus en plus d’impatience. Pour ne pas éveiller trop les soupçons, on ne déjeune pas toujours ensemble. On fait nos galipettes en moyenne deux fois par semaine, c’est ces jours là que le travail me paraît agréable, on devrait instaurer ce genre de relation entre collègues, les entreprises gagneraient une productivité formidable.Malgré le caractère uniquement sexuel de notre relation, une forte complicité est née entre nous, de même que sans être amoureux, nous nous sommes attachés l’un à l’autre. Pendant la pause clope du matin, elle me fait remarquer qu’il ne nous reste plus que trois semaines à passer dans cette boite et que notre relation s’arrêtera à la même date. Je lui demande où elle veut en venir et me répond le plus naturellement du monde, qu’il faut profiter de nos derniers ébats pour se lâcher un peu. Je me suis mis à avoir peur pour la suite, sans être hard, nos midis baise n’étaient pas non plus très classiques, je me demande bien quelle surprise cette coquine me réserve ! Devinant mon trouble elle me souffle qu’elle a quelques fantasmes à assouvir qu’elle me dévoilera à midi.Le reste de la matinée me paru long, mais l’heure du déjeuner arrive et M. s’installe en face de moi pour manger. Elle est habillée d’un haut noir moulant à longues manches, qui met sa fine taille et ses petits seins en valeur. Elle porte une jupe courte avec des collants. Quand elle décroise ses jambes je m’aperçois que se sont des bas, je lui fais remarquer que ce genre de détail m’excite fortement. Elle rit et me dit qu’on est bien tous les mêmes et ajoute que ce n’est pas tout. Je ne comprends pas ce qu’elle veut dire. Elle décroise les jambes et les écartent, je vois maintenant, elle ne porte rien en dessous et je vois son petit minou. Elle me confie qu’elle était exciter toute la matinée à l’idée que quelqu’un le remarque. Dans cette petite entreprise, un ragot pareil se serait propagé en quelques dizaines de minutes, c’était risqué mais elle est fière d’elle et moi je commence à furieusement bander. Visiblement excité par les situations dangereuses, je compris que réaliser ses fantasmes, n’allait pas être de tout repos ! A peine finis de manger, elle m’entraîne dans la salle de réunion à quelques mètres de son bureau, me pousse contre une table et s’accroupie en déboutonnant mon jeans. Elle sort ma queue à moitié raide, l’enfourne et commence à me sucer comme jamais. Si on se fait surprendre ici, ça va être dur à expliquer. Sa main remplace sa bouche le temps pour elle de me lécher et de me gober les couilles, un vrai délice. Elle reprend sa fellation et je sens un doigt venir me titiller mon anus, j’écarte un peu les jambes pour lui faciliter l’accès et je m’abandonne à ses caresses. Je n’en peu plus, son doigt fait de léger va-et-vient, elle me suce de plus belle et me regarde toujours droit dans les yeux. Quelques instant plus tard, je jouis dans sa bouche et sur son visage, elle à une longue traînée de sperme qui descend de son œil droit vers sa lèvre, elle continue à me sucer doucement, en me caressant les couilles. Elle finit par se lever et va dans son bureau chercher un mouchoir.Il est 12h30, les bureaux sont vides, je me reboutonne, sors de la salle de réunion et je vois M. allongée sur la table, à côté du photocopieur, la jupe relevée, une main sur la chatte. Je me disais qu’elle me réservait encore pas mal de surprise pour ce midi. Je suis attentif au bruit alentour, mais rien ne trouble le silence ambiant, de toute façon on est en face de mon bureau, au moindre bruit on s’y réfugiera.Je m’approche, me mets à genoux, lui prend les jambes et la fait glisser au bord de la table et commence à lui butiner le minou. Je lui écarte les lèvres avec deux doigts pour la lécher à grand coup de langue. Elle mouille abondamment, excité par la situation, je peux entrer deux doigts sans problèmes, tandis que ma langue s’occupe de son petit bouton. Elle jouit de plus en plus fort, j’insère un troisième doigt et la masturbe de plus en plus vite, quelques instants plus tard, elle laisse échappé un long râle de jouissance. Bien décidé à la faire crier encore, je l’entraîne jusqu’à son bureau, repousse ses affaires et l’assoit dessus. On s’embrasse langoureusement pendant que je lui enlève tant bien que mal son haut et son soutien-gorge, libérant ses petits seins gonflés par le plaisir. Je baisse mon pantalon, mon boxer et la pénètre sans ménagement. J’y vais à grands coups de reins, excité comme jamais de la voir allongée sur le bureau, avec la jupe retroussée et ses jambes gainées dans leur bas. Je me retire et lui demande de se mettre à quatre pattes sur la moquette et la prend en levrette, pendant que je la prends, je lui caresse l’anus avec le pouce. Elle à l’air d’aimer ce que je lui fais, c’est la première fois que j’entends des mots aussi grossier sortir de sa bouche, elle me dit que putain c’est bon, me demande de la déchirer. Ce langage me surprend de sa part, mais m’excite encore plus. Son corps se crispe, elle jouit à nouveau pour le deuxième orgasme de la journée. Je me retire mais ne compte pas en rester là , je m’occupe de son petit trou, le lèche consciencieusement, y insère délicatement un doigt, puis deux, une fois prête, je présente mon gland à l’entrée et pousse doucement. Je la laisse s’habituer, lui demande si ça va, me dit que oui et je commence à aller et venir en elle, elle est bien serrée, c’est trop bon, j’ai dut mal à me retenir, j’accélère un peu, elle gémit, fait passer sa main sous elle pour se masturber. Je sens ses doigts frotter contre mon sexe à travers la mince paroi qui sépare les deux orifices. Je n’en peu plus et j’éjacule dans son cul, un vrai régal, je suis épuisé, je m’étale sur la moquette les genoux brûlés par les frottements.Des bruits de pas commencent à se faire entendre, on se rhabille en quatrième vitesse, il est 13h25 et les gens reviennent de leur pause déjeuner, c’était juste. On est épuisés, en sueur, on reste quelques minutes à discuter dans son bureau pour se calmer. Elle me confie n’avoir jamais joui comme ça, elle m’embrasse et me remercie d’avoir été doux avec son petit trou, qu’elle a apprécié, mais me dit de ne pas avoir de regret, qu’elle n’a jamais réussi à jouir par-là .On se quitte sur un baiser et chacun retourne à ses occupations.