« Mais que ce réveil est horrible ! » Voilà ce que je me répète depuis des années quand cette satanée sonnerie vient me sortir de mes rêves. Le pire cette fois-ci est que je commençais vraiment à prendre mon pied, je venais à peine de sucer cet inconnu rencontré dans le métro… Et oui comme vous venez de le comprendre je phantasme sur des relations homosexuelles.Pourtant je suis marié depuis bientôt dix ans et j’approche de la trentaine, j’ai 29ans. La raison est peut être un mariage effectué trop jeune et des désirs enfouis avec la cérémonie de mariage qui clôtura définitivement ma vie sexuelle à la seule personne qu’est ma femme. Plus j’y pense et plus le mariage me semble triste, comment peut-on jurer à une personne de n’avoir aucun autre désir à satisfaire extérieurement à sa vie de couple ? Comment peut-on savoir à l’avance ses orientations sexuelles ? Et comme chaque matin je m’embarque dans des pensées délirantes jusqu’à interdire le mariage avant 50ans.Toujours est-il que je dois me préparer et sortir de mon lit si je veux pas être en retard à mon travail. Ma femme se rendort dès que le réveil est éteint, elle peut dormir, elle est chômage et ne travaille pas. Je ne peux m’empêcher de la regarder avant de me lever et d’admirer sa beauté, elle est aussi belle que le jour de notre mariage. Elle mesure un petit mètre 60, ne pèse pas plus de 50kilos mais à une poitrine qui en fait rêver plus d’un, 95C. La différence entre sa taille et ses seins m’a toujours excité.Après avoir bu un petit café, je me rends à la salle de bain et passe toujours 5 petites minutes à me regarder, comme si j’avais besoin de me confirmer que j’étais toujours le même qu’hier; Chaque matin je me trouve de nouveaux petits défauts, des petites rides, des petits cheveux blancs… Je ne m’en fais pas trop car selon ma femme je suis le seul à voir tous ces défauts et, à ses yeux bien sûr, je suis le plus beau. Pour ma part je mesure 1m77 je fais 70kilos, j’ai les yeux verts et on peut dire que je m’entretiens plutôt pas mal puisque je fais au moins deux heures de sport trois fois par semaine.Toujours la même voiture qui a du mal à démarrer avec le froid pour m’emmener à cet immeuble toujours d’allure aussi peut accueillante, enfin nous y voilà, mon bureau.Une fois assis je remarque quelque chose d’étrange, une mallette est posée sur le petit bureau situé en fin du mien. Bureau qui n’a jamais servi car trop petit pour que l’on travaille dessus et trop grand pour que l’on en fasse une sorte d’étagère. Intrigué je m’approche et au moment même où je la prends pour l’ouvrir j’entends la voix de mon chef de service :— Ah Bertrand, enfin vous voilà, j’ai ce jeune stagiaire qui va rester une semaine avec vous pour découvrir les joies du métier de comptable !Les joies ???? Il veut rire j’espère, compter toute la journée, rester dans un bureau, tout seul, sans valorisation… Enfin bon s’il veut.— Bien sûr je me ferais une joie de lui montrer tout ce que je sais sur ce merveilleux métier dis-je avec un sourire crispé.— Parfait Bertrand je vous laisse vous présenter j’ai du travail.Après une courte discussion j’appris qu’il s’appelait Pierre, venait d’avoir un bac stt et avait tout juste 18ans. Il était plutôt mignon, grand, brun, bien foutu…Je lui donne une série de factures à trier et j’en profite, prétextant des comptes à consulter sur mon ordinateur, pour me connecter sur REVEBEBE et lire les histoires entre hommes dont je raffole. Je les connais déjà toutes et à ma grande surprise une histoire venait d’être éditée dans les nouveautés. Elle étai pas encore noté mais j’espérais qu’elle serait bonne.Mon petit stagiaire, en face de moi, tentait de se débrouiller comme il pouvait. L’écran était dos à lui ce qui me permit de fantasmer tranquillement.L’histoire qui parlait d’un jeune homme avait une description semblable à mon petit stagiaire et je me mis à l’imaginer dans les situations mit en place par l’auteur. Je n’en pouvais plus, je lisais et je le regardais et j’avais de plus en plus envie de lui. J’entrepris de sortir mon sexe et de le caresser doucement, que c’était bon. Je retenais mon souffle ainsi que mes mimiques afin de ne pas me faire remarquer. »Oh merde » Dit le stagiaire qui venait de faire tomber une facture de son bureau minuscule, il se baissa pour la ramasser et resta baissé en observant ce dont il ne se serait jamais douté un instant. Je fus pris de panique et la honte me gagna. Dans quelle situation je m’étais embarqué, j’aurais du me retenir.Je ne pouvais pas laisser s’instaurer un silence de la sorte et je dus le briser « Tu vois à quel point tu me plais, je n’ai pas pu m’empêcher de me caresser, ça ne te dérange pas j’espère ? Si tu veux, tu peux m’aider sinon remonte t’occuper de tes factures et laisse-moi finir stp ».Je ne sais pas comment j’ai fait pour sortir une phrase aussi ringarde et comment il a fait pour ne pas éclater de rire. Toujours est-il que pour seule réponse j’eus »Je ne sais pas je ne l’ai jamais fait ».Le petit stagiaire s’était rapproché et je sentais son souffle près de mon sexe. Je mis ma main derrière sa nuque, pris mon sexe dans mon autre main et le guida. Sa bouche était bien mouillée et me faisait penser à la bouche de ma femme. Le petit stagiaire commençait à accélérer la cadence et avait l’air d’y prendre goût. Je ne pouvais pas le voir prendre mon sexe en bouche mais l’imaginer suffisait à me donner un plaisir intense, j’allais éjaculer dans sa bouche. Je voulus le prévenir mais c’était trop tard, il accepta sans problème et avala toute ma semence sans broncher.Il poussa ensuite mon siège baissa son pantalon et me demanda de lui laisser de la place sur le siège: Ça voulait tout dire ! J’allais passer sous le bureau !!Je me mis sur les genoux. Et de la même façon que moi il prit ma tête et me mit en position de le sucer. Enfin je réalisai mon phantasme et en plus, sur un beau jeune homme. Seulement il avait beaucoup de poils, ça faisait une grosse touffe, ce jeune homme devait être puceau et je décidai d’y aller doucement. Je le masturbais doucement, les yeux fixés vers son visage qui se crispait à la mesure de l’accélération de mes mouvements. Légèrement enhardi par les grimaces que procurait ma caresse, j’avançai ma langue juste sur le dessus de son gland que je titillais même avec mes lèvres, jusqu’à le faire pénétrer enfin entièrement dans ma bouche. Après deux ou trois allers-retours je l’entendais déjà gémir et je sentais sa bite grossir dans ma bouche. J’entrepris de faire glisser un doigt dans son anus. Ça aurait pu soit le bloquer et tout casser ou bien l’exciter plus. C’est la deuxième chose qui se passa et quelques minutes après il éjacula dans ma bouche et comme lui j’avalai tout d’un trait.Cependant je profitai du répit dans lequel il se trouvait pour continuer d’explorer son petit trou et, après avoir enlevé mon doigt je commençai à lui lécher le petit trou. Il n’était pas très propre mais après quelques coups de langue il devint tout lisse et très agréable. Le petit stagiaire commençait alors à gémir de plus en plus fort, au fur et à mesure que je lui enfonçai mon doigt. Il ne tenait plus en place et bougeait ses fesses et ses hanches dans tous les sens. Il s’empalait lui-même sur mon doigt, ce qui eu pour effet de me faire bander encore plus fort que la première fois.J’arrêtai un bref instant ce délicieux mouvement, remontai près de son visage et l’embrassai.— « Tu te retournes et tu t’appuies sur le bureau ? »— « Oui, mais vas-y doucement s’il te plaît, je ne l’ai jamais fait, c’est même mon premier rapport sexuel ! »A peine sa phrase finie il était déjà appuyé contre mon bureau, ses deux joies fesses blanches écartées, attendant que je me décide à porter l’estocade. Je m’approchais donc de mon beau jeune homme et me collai tout contre lui, ma bite entre le sillon de ses deux fesses. J’entrepris de faire coulisser ma verge entre ses deux globes et je caressais son torse en même temps, en lui léchant l’oreille. Je lui glissais même des petits mots crus dans l’oreille, tout doucement afin de ne pas faire trop de bruit du genre « Tu es ma petite salope » ou « Tu aimes être dans les bras d’un vrai mec ».C’était maintenant lui qui bougeait ses fesses contre mon sexe, et avec une main que je venais de libérer, je commençai par poser mon gland sur son anus encore mouillé de ma salive. Ce précieux liquide m’aida pour le sodomiser plus facilement, jusqu’à ce que mes couilles touchent ses fesses. Une fois à l’intérieur, je m’immobilisai quelques instants histoire de ne pas trop le brusquer. Il était dos à moi, ne faisait pas de bruit et je ne pouvais deviner s’il prenait du plaisir. Cependant moi, j’étais trop excité et je commençai alors mes petits vas et viens dans ses fesses qui s’étaient élargies et devenaient vraiment très accueillantes. Je devinais qu’il devait prendre beaucoup de plaisir, il bougeait ses fesses contre moi, dans tous les sens, je l’entendais gémir timidement et silencieusement.Je sentais que j’allais enfin jouir et afin de ne pas brusquer les choses, je m’arrêtais bien au fond de son cul et commençais à le branler. En deux mouvements, ma main était pleine de sperme. Moi-même je refis deux allers-retours en plus et me vidai complètement dans son anus.Dans un grand silence, nous nous rhabillons en osant à peine nous regarder et le travail repris son cours ! Dans ma tête j’étais aux anges de ce qui venait de se passer et en le regardant d’un coin de mon œil j’imaginais tout ce que j’allais pouvoir lui faire faire durant la durée de son stage. Nous allions pouvoir prendre du plaisir ensemble et tout ça aux frais du patron….