Centre de recherche de Nanterre, 8 janvier 2014.— Karl, montez la puissance du générateur à 26,000 pulsions.— Professeur, la puissance sera disponible dans 5 secondes… 3, 2, 1, TOP.— La sphère atteint les 30% et la température grimpe toujours, mais faiblement. Maintenez cette puissance Karl, je crois que nous avons trouvé le bon filon.— Le générateur #1 atteindra ses limites dans 2 minutes, j’allume le second générateur?— Met-le en mode préchauffage.Les deux hommes sont dans un état de jubilation de par la performance de leur nouvelle sphère de révanium. Cette petite sphère vitrifiée, grosse comme une balle de base-ball, est faite pour contenir assez de bioénergie pour alimenter une petite ville pendant un an. Cette nouvelle forme d’énergie a été découverte quelque année auparavant par cette même équipe.Karl, l’assistant du docteur, est à la table de contrôle des générateurs de pulsions qui grondent dans la pièce voisine. De l’autre côté du laboratoire, le professeur Lefèvre, Prix Nobel de physique, examine les écrans de contrôle qui mesurent les performances de la sphère, enfermée dans la petite chambre à vide du laboratoire.— 65% pour une température de 480°. Synchronisez le deuxième générateur avec le premier.— Générateur synchronisé. Le déclenchement automatique est activé.Pendant ce temps, dans une autre salle du complexe, un petit groupe d’étudiants de l’université, est attentif aux recommandations de leur responsable de stage.— …Vous devez me remettre votre rapport de stage à la fin de chaque mois sur mon bureau.— Vous avez dans l’enveloppe un badge optique qui vous permettra de circuler dans les secteurs du centre qui vous sont autorisés.— Le professeur Kachel, responsable du centre de recherche, va vous conduire individuellement, dans quelques instants, sur le lieu de votre stage.— Bonne chance à tous.Les 6 étudiants, avait été sélectionné pour participer à un stage de 6 mois. Les 3 filles et les 3 garçons sont de très bons élèves. Marc, le moins séduisant des garçons, avait passé le début de sa vie qu’à étudier. Sa vie sociale est constituée de longues après midi à la bibliothèque ou devant son ordinateur. Son physique n’attire pas l’attention des filles. Il est maigre et pas du tout athlétique, mesure 1m75, cheveux bruns peignés sur le coté. 22 ans et toujours vierge. Il en a marre du statut de puceau. Il se masturbe régulièrement en pensant aux étudiantes qu’il fréquente.Les autres garçons qui l’accompagnent, ne sont guère mieux. Il y a Jean-Paul un macho de chez macho et Guy, un petit gros passionné de physique quantique. Les filles sont peu attirantes en général. Sauf peut-être la grande Nadine, la plus jeune du groupe. Elle a un physique très agréable, mais ses tenues vestimentaires se limitent à des banalités plus pratiques que seyantes. Ses cheveux blonds sont toujours dans un chignon. Elle semble posséder une paire de seins généreux, mais ses éternels pulls cachent bien ses formes. Elle est belle, mais ne désire pas attirer l’attention des autres. Elle fait passer ses études avant toutes choses. Elle est inaccessible en général et encore moins pour Marc. Elle fait uniquement partie des fantasmes nocturnes du garçon.Marc a été sélectionné pour assister le professeur Lefèvre. Il a passé sa dernière année à étudier les propriétés de la bioénergie découverte par ce dernier. C’est un grand moment pour lui. Rencontrer en personne, le célèbre professeur Lefèvre.Le professeur Kachel l’accompagne jusque dans le fameux laboratoire du professeur Lefèvre.— Professeur Lefèvre, puis-je vous déranger? Le stagiaire est arrivé!— Je suis très occupé pour l’instant. Mais faites-le entrer. Qu’il ne touche à rien.— Bien professeur.Marc est figé sur place. Il est dans le plus fabuleux des laboratoires de la planète. Il reconnaît la majorité des instruments et des machines du laboratoire. Il entend le ronronnement caractéristique des générateurs à pulsions, il identifia la chambre à vide au milieu de la pièce. C’est un paradis technologique!— Karl, préparez-vous à couper les générateurs à mon signal, nous atteignons les 95%, pour 560°. Nous ne pourrons pas aller plus loin avec cette chaleur.— Bien professeur.— Attention, dans 5, 4, 3, 2, 1, Coupez!Le silence prend place. Le professeur termine d’enregistrer dans l’ordinateur les données de cette expérience. Karl vient à la rencontre de Marc.— Bonjours, je suis le professeur Karl Thomas, mais vous pouvez m’appeler simplement Karl.— Enchanté Karl, je suis Marc Dupuis, étudiant en 4ième année de physique de l’université de Nanterre.— Voici le professeur Lefèvre, Il dirige le laboratoire de bioénergie.— Ça me fait plaisir de vous rencontrer professeur Lefèvre, j’ai étudié assidûment vos recherches en bioénergie au cours de la dernière année.— Bienvenu M. Dupuis. Votre chargé de stage vous avait recommandé. Vous étes, de loin, le meilleur élève de l’université en cette matière.— Je connais par cœur votre dernier ouvrage sur la production de bioénergie naturelle générée par le cerveau humain que vous avez écrit l’année passée. Je compte bien faire ma thèse sur ce sujet. Je crois qu’il est possible d’augmenter les capacités du cerveau avec de la bioénergie synthétique.— Effectivement, le cerveau est baigné dans cette bioénergie, mais avec une proportion plus infime que les capacités des sphères que nous développons aujourd’hui.— Ça me fait plaisir d’être à vos côtés professeur Lefèvre— Nous venons de faire une expérience très intéressante. Nous travaillons à la conception de sphère en révanium, pour emmagasiner de l’anti-énergie. Nous devons synthétiser une sphère capable de contenir 300,000 UBE (Unité de BioEnergie), mais en évitant de dépasser les 500°, sinon les matériaux synthétisés ne résisterons pas à la chaleur longtemps.Plusieurs semaines passent. Marc a parfaitement intégré l’équipe de recherche du professeur Lefèvre. Il assiste les expériences avec rigueur et intérêt. Il est chargé de la manipulation des sphères de révanium qui sont testé. Il doit classer les sphères et les identifier. Il aime beaucoup son stage.Un matin, il s’est rendu à la bibliothèque de l’université pour faire des recherches. Puis vers 11h00 il retourne au centre de recherche. Il rencontre Nadine à la cafétéria. Les autres ne sont pas encore arrivées. Ils discutent de leurs expériences de stages. Il aime bien la présence de Nadine. Elle porte une blouse de laboratoire qui lui va très bien. Pour une fois, ses formes sont bien visibles à travers le tissu de coton. Il peut apercevoir les détails de la dentelle de son soutien-gorge à travers la blouse. De plus, lorsqu’elle bouge, il peut entr’apercevoir la naissance de ses seins dans le décolleté. Il a de la difficulté de la regarder dans les yeux. Il ressent une émotion dans son pantalon. Pour une fois, c’est « le physique » qui l’intéresse plus que « la physique ». Il prend son courage à deux mains et lui dit:— Tu aimerais aller prendre un pot ce soir après notre journée?— Ha non! Je suis désolée! J’ai mon rapport de stage à terminer et j’ai pris du retard!— Tu as raison, c’est important les études.— Et je ne veux pas de petit ami avant la fin de mes études…Marc rage d’avoir été renvoyé de la sorte par cette coincée de bourgeoise. Il lui répond:— Je dois y aller, j’ai une expérience à préparer.Marc repart vers le laboratoire en broyant du noir.— Ho la garce! Grrrrr…Il entre dans le laboratoire. Les professeurs ne sont pas revenus du déjeuner. La sphère de l’expérience du matin est toujours dans la chambre à vide. Il examine les derniers résultats de l’ordinateur. La sphère avait atteint les 99,9% pour une température de seulement 75°.— Wow! Ils ont réussi! C’est fantastique! 75 degrés seulement!Comme son travail est de classer les sphères testées, il entreprend les manœuvres post-opératoires d’usages. Avec une pince spéciale, il prend la sphère dans la chambre à vide. Lorsqu’il tente de la déposer sur un socle de l’étagère, il se prend les pieds dans un câble électrique. La sphère se libère de la pince. Sans trop y penser, pour éviter que la sphère tombe par terre, il fait un geste qui va changer sa vie: Il attrape la sphère et entre en contact avec elle!La bioénergie contenue dans la sphère, se déverse à grand flot, dans sa boite crânienne. La bioénergie de la sphère est attirée comme par un aimant vers les parties de son crâne baigné dans la bioénergie naturelle du cerveau. Un rideau noir lui voile sa vision…Hôpital Sainte-Geneviève, 30 octobre 2014.Marc est allongé dans un lit d’hôpital. Des électrodes sont branchées en permanence sur son corps. Il n’est toujours pas sorti du coma depuis l’accident de laboratoire en mars dernier. Une étincelle apparaît dans le corps inanimé de Marc. Une alarme se fait entendre sur le moniteur placé près du lit. 30 secondes plus tard, une infirmière entre dans la chambre en courant. Elle vérifie le moniteur et les signes vitaux du patient. Elle prend le téléphone et appela le médecin de garde.— Docteur Andrew, le patient de la chambre 343 se réveille! Venez vite!14 jours plus, tard, Marc prend son petit-déjeuner dans sa chambre. Une infirmière entre dans la chambre.— Comment allez-vous ce matin monsieur Dupuis?— Je me sens bien Rosetta. Mon café était chaud comme je l’aime.— Vous avez de la visite ce matin, une certaine Nadine vous attend de l’autre côté de la porte.— Nadine? Ici!?!?— Je la fais entrer?— Oui bien sur! Et laissez-nous seuls SVP.Une jolie femme entre dans la pièce. Marc ne la reconnaît plus. Elle s’était habillée en… femme! Elle porte un tailleur moulant gris, avec une petite camisole à bretelles. Ses courbes féminines sont mises en valeur. Ses cheveux blonds, défaits, tombent sur ses épaules. Sa courte jupe dévoile de superbes jambes bien galbées. Elle porte des talons d’une hauteur raisonnable.— Bonjour Marc! Je suis heureuse de te voir en forme. On a eu très peur pour toi.— Et toi tu es très jolie. Que t’arrive t’il?— Je vais passer une entrevue d’embauche cette après-midi chez Mediklab. Je suis très nerveuse. Mais toi, comment vas-tu?— Je suis un peu perdu, je ne me rappelle plus de l’accident. Il parait que c’est le professeur Lefèvre qui m’a trouvé, étendu par terre, dans le laboratoire. Une sphère vide et une pince de manipulation se trouvait à mes cotés. Ils ont déduit que je m’étais assommé sur un meuble en trébuchant sur un câble électrique.— Oui, je sais, on a tous été mis au courant après l’accident. Jean-Paul et les autres étudiants te souhaitent un prompt rétablissement.Nadine lui tend une grande carte remplis de mots d’encouragement venant de ses connaissances universitaires.— Nadine, je t’envie, pendant que je dois reprendre mes forces pour aller terminer mes études, tu es là, toute jolie, diplôme en main, et prête à aller passer une entrevue dans une grosse firme. Tu sais, j’aimerais être à ta place!Nadine, avec un air de désolation, prend sa main pour le réconforter. Mais soudainement, le rideau noir réapparaît dans les yeux de Marc. Nadine a simultanément un fort mal de tête. Une alarme se fait entendre de nouveau. Le corps inerte de Marc gît dans le lit. L’infirmière se précipite dans la chambre. Le moniteur, relié au corps inerte de Marc, montre des lignes continue, accompagné d’un son aigu et continu. Un bien mauvais signe…Le médecin de garde tente en vain, de réanimer Marc. Sa mort est très rapide et mystérieuse. L’enregistrements de l’encéphalogramme indique que son cerveau a subi une grosse crise d’épilepsie juste avant sa mort clinique.Marc a mal à la tête. Il est assis sur la chaise près du lit. Il voit des médecins et des infirmiers s’afférer autour du lit. Il se lève et jette un coup d’œil sur le lit. Ses yeux fixent le corps, son corps!— Ce n’est pas possible, je rêve???Un infirmier s’approche et lui dit— Mademoiselle, vous devez ne pas rester ici, je vous en prie!Marc, debout devant l’infirmier reste figé quelques secondes. L’infirmier insiste de nouveau:— Mademoiselle, suivez-moi.Marc leva une main devant ses yeux, il ne reconnaît plus sa main. Il baisse la tête pour voir son corps, il voit un corps de femme, dans un tailleur gris.— Non, ce n’est pas possible, j’hallucine!— Venez mademoiselle, vous êtes en état de choc, suivez-moi, je vais vous donner un calmant.Marc se laisse guider par l’infirmier. Il est placé dans une petite salle d’attente de l’étage. Il s’examine de nouveau. Il n’a plus le même corps. Il a le corps de Nadine. Il se dirige vers la salle de toilette. Il entre et se met devant le miroir. Un homme sort d’une cabine de toilette. Il lui dit.— Mademoiselle, je crois que vous êtes trompé de coté.Marc fait mine de ne rien entendre. L’homme quitte la pièce. Marc examine son nouveau corps. Un corps qui a fait partie de ses fantasmes. La première chose qu’il fait, c’est de sentir ses nouveaux seins par-dessus sa camisole. Ils sont réels car il ressent bien cette caresse sur sa poitrine. Cette masse de chair, lourde et sensible fait bien partie de son corps. Il sent aussi le soutien-gorge lui comprimer la poitrine. Il n’a jamais ressenti de telle sensation.— Que m’arrive t-il?— Mon esprit a pris possession du corps de Nadine?L’esprit scientifique de Marc n’arrive pas le croire.— C’est impossible! Ce n’est pas logique! Je rêve ou quoi?Marc tente de se remémorer les événements du laboratoire.— Il y a sûrement un rapport avec la bioénergie de la sphère? Je ne vois rien d’autre!Marc décide de ne pas rester sur place. Il ouvre le sac à main de Nadine pendu à son épaule. Il le fouille et trouve un portefeuille, ses papiers, un téléphone, des clés, un agenda, un carnet téléphonique et quelques babioles féminins . Parmi les clés, il aperçoit la clé optique de la 309 rouge de Nadine. Il sort de l’hôpital et tente de retrouver la voiture!— Pas facile, le parking est grand!De plus il n’est pas habitué à porter des talons!— Je vais me bousiller les chevilles avec ça!Au bout de 15 minutes de recherche, il trouve la voiture et s’assied à l’intérieur. Il presse la commande d’occultation des fenêtres. Les vitres de la voiture sont maintenant noires comme du charbon.Il descend un petit miroir et s’examine de nouveau. Il enlève la veste du tailleur et puis la camisole. Il ne reste qu’un superbe soutien-gorge en dentelle qui cachait des gros seins.— J’avais raison, elle est bien gaulée la meuf! Ca c’est du nibard!Avec sa main droite, il sort un des lourds seins d’un bonnet du soutif. Le caresse, le soupèse et le tripote. Le téton durcit entre ses doigts. Il apprécie ses caresses. Il les malaxe sans relâche. Il est très excité par ses propres caresses. Mais contrairement à l’habitude, il ne ressent pas de queue durcir entre ses jambes. C’est différent. Il ressent une chaleur dans son ventre. Une chaleur douce, agréable, envoûtante. Il frotte ses cuisses entres-elles, l’effet est très agréable, inhabituelle. Il remonte la jupe du tailleur. Il s’aperçoit que Nadine avait mis des bas DimUp. Il se trouve très sexy, il est encore plus excité! Il se caresse les cuisses couvertes par le nylon noir et aussi la peau nue plus haut.Il découvre un joli string sous la jupe, fait avec la même dentelle que le soutif. Il passe la main dessus pour découvrir le motif de la dentelle. Il apprécie le contact de sa main sur son sexe de femme. Il a comme un choc électrique qui parcoure tout son corps. Il vient de jouir par ce simple touché et en veut encore! Il retire le string, qui est déjà tout humide. Il glisse ses doigts sur ses lèvres toutes rasées, entre ses petites lèvres, et finalement dans le creux de son vagin. C’est humide, chaud, doux, palpitant. Il enfonce les doigts dans la chatte de Nadine.Il en veut encore plus. Ses doigts glissent rapidement sur les parois vaginales qu’il peut atteindre. Sur la face antérieure de son vagin, il trouve une partie de chair encore plus sensible aux caresses. Il active ses doigts dessus encore plus vite. La chaleur envahie tout son corps. Il augmente la pression de ses caresses sur ce point précis. Il ne se contrôle plus. Des cris s’échappent de sa gorge. L’orgasme le prend comme une morsure douce et violente. Le temps disparaît.— Haaaaaaaaaaaaa, hoooooooooooooo, mmmmMMMMMMwwwaaaaaaaaaaaaaammmmmmIl a la main posé délicatement entre ses cuisses. L’autre est toujours sur le sein. Il reprend ses esprits. Il ne sait pas pourquoi il en est dans le corps de Nadine, mais il compte bien en profiter.Il redescend la jupe en place mais ne remet pas le string. Il recouvrire sa poitrine avec la camisole.Il examine le permis de conduire de Nadine et ses autres papiers. Elle habite toujours la même adresse. Il démarre la voiture électrique. 30 minutes plus tard, la voiture est devant la porte d’un immeuble parisien. Il est devant le digicode de la porte.— Merde, comment je fais! Je ne sais pas son code!Il tente de retrouver le code parmi les papiers du sac de Nadine. En vain! Une voix d’homme résonne derrière elle.— Alors mademoiselle Nadine, on a oublié son code? Vous êtes tout pareil les intellectuelles. Essayez avec « B8423 » par hasard!— Merci monsieur…— Bonne journée!Marc tape le code et la porte s’ouvre. L’homme la suit dans l’immeuble. Pour ne pas se retrouver au dépourvu encore une fois, il cherche la boite aux lettres de Nadine et utilise le trousseau de clé pour l’ouvrir. Il y a 3 lettres. Grâce à l’adresse complète de l’une des enveloppes, il sait qu’elle habite au 3ième étage gauche.Il prend l’ascenseur et se retrouve dans l’appartement de Nadine. Il comporte 2 pièces et une salle d’eau. La décoration est digne d’une étudiante sérieuse comme Nadine.Il se déshabille complètement. Devant le miroir du lavabo, il aperçoit, pour la première fois, la nudité complète d’une femme, de lui-même en fait! Ses seins sont très généreux. Les grandes aréoles rose sont surmontées d’un petit téton cachottier. Ces 2 grosses glandes mammaires sont bien positionnées sur sa poitrine.— Ils sont bien ferme en plus!Son pubis est complètement rasé sauf un petit ticket de métro au-dessus du clitoris. Marc comprend que Nadine est bien moins coincé qu’il y a 8 mois! Il prend une douche pour décompresser un peu de cette journée de fou.Il examine la garde-robe de Nadine dans la chambre. Outre la présence de vieux vêtements banals qu’il connaît bien, il découvre des vêtements beaucoup plus sexy, qu’elle n’a jamais eu le courage de porter à l’université. Il y a des robes courtes, des hauts transparents, des minis jupes moulantes…Ses dessous sont tous très sexy. Beaucoup de dentelles, De toutes les couleurs. Il y a un ensemble rouge en satin qui attire son regard. Il enfile le string. Ça lui faisait bizarre de ne pas avoir de services 3 pièces à positionner dans le slip. Il sent sur son sexe rasé, la douceur du satin. L’étiquette sur le soutifs indique 95D. Il l’enfile avec un peu de difficulté. Mais il se rappel d’une technique qu’il a vue à la TV. Il agrafe le soutif par-devant et le tourne de 180°. Puis il enfile les bretelles. Il replace bien ses seins dans les bonnets.Marc, se sent très sexy dans ce corps. Il se regarde de nouveau dans le miroir pour se contempler dans cet ensemble. Il ne résiste pas à se caresser de nouveau. Il glisse une main dans son string pour caresser ses lèvres de nouveau. Il découvre l’existence d’un point très sensible où la fente débute sur son pubis.— Ça doit être son clitoris. Mmmmmm, c’est excitant de le titiller.— Et dire que mon ancien corps était encore vierge. Quel gaspillage!Il continu de se caresser le clitoris et de ressentir les premiers frissons. Il se couche sur le lit pour mieux se caresser. Ses 2 mains s’activent sur et dans son sexe de femme. Il jouit de chaque nouvelle sensation. Mais un bruit interromps son plaisir. Il y a un gars qui se tient dans le cadre de la porte. Marc le connaît!— Jean-Paul?— Ne t’arrête pas Nadine. Tu sais bien que j’aime te voir jouir.Marc est troublé. Il est dans le corps de Nadine, presque nue sur un lit, avec un gars, qui semble être le petit ami de Nadine. Jean-Paul sourit jusqu’au oreilles. Il lui demande de continuer de se masturber. Il a sorti sa queue de son pantalon. Une belle queue, plus grosse que celle que Marc possédait. Il n’a jamais fait l’amour à une femme, mais il risque d’avoir une première relation sexuelle, avec un… homme! La situation l’excitait, malgré ses croyances hétérosexuelles.— Nadine, tu es belle. Tu es très sexy dans cet ensemble que je t’ai offert l’été dernier.Jean-Paul s’approche de Nadine/Marc. Il installe sa tête entre les 2 jambes de Nadine. Enlève le string délicatement. Marc sent la langue de Jean-Paul lui fouiller le sexe, lui caresser le clitoris. Le plaisir de Marc redouble. Il apprécie les caresses buccales de Jean-Paul. Ce dernier utilise maintenant ses doigts pour écarter ses lèvres. Sa langue lui fouille le con. Marc en profite pour caresser à 2 mains ses énormes seins sous le soutif. Les seins de Nadine qui lui appartient maintenant. Les pointes des tétons se sont durci entre ses doigts. Il n’a jamais pensé qu’une femme pouvait avoir tant de plaisir avec les différentes parties de son corps. Il sent la respiration de Jean-Paul sur son sexe. Jean-Paul l’emmène sur le bord de l’orgasme. Il se relève sur ses genoux. Son pénis est droit comme un « I ». Il l’enfonce d’un coup sec dans le vagin de Marc.— HaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaLe son vient de Marc. Il a bien senti le gourdin toucher le fond. Il aime sentir cet homme entre ses cuisses. Il apprécie se retrouver dans le corps d’une femme. Une belle femme de surcroît!— Nadine, je t’aime! Je veux labourer ta chatte jour et nuit!— C’est comme une première fois pour moi!— Ha bon ?!?!?— Laisse tomber, et continue de me baiser.Il s’active de plus belle. Le gland fait des allers et retours entre ses lèvres et le col de l’utérus. Les veines de la verge sont saillantes. Marc les sent bien. La chaleur dans son ventre est caniculaire. Le premier orgasme par pénétration surprend Marc. Des cris féminins, ceux de Nadine, sort de sa bouche. Jean-Paul est un baiseur très endurant. Marc continue de se faire pénétrer par Jean-Paul pendant quelques minutes. Il a plusieurs autres orgasmes féminins par le plaisir que lui donne Jean-Paul. Avec une main habile, il dégrafe le dernier morceau de dentelles qui couvrait le corps de Nadine, se retire du vagin pour aller positionner sa queue entre les gros seins libérés.— Oui Jean-Paul, baises les gros lolos de Nadine.— Ha ouiiiiiiiiiiiii, je vais t’arroser avec ma lance.La queue, bien calée, au chaud dans la vallée de Nadine, Jean-Paul fait des va et viens de plus en plus violents. Marc lui caresse les fesses pendant ce temps. L’autre ne pouvait plus tenir plus longtemps. Il s’agrippe aux 2 seins de Marc, et lâche la sauce. Le sperme gicle dans le cou de Marc et sur sa figure. Il reçoit un peu de sperme dans la bouche et goûte ce liquide blanc et salé.Jean-Paul est toujours installé au-dessus du corps de Nadine. Des filaments de sperme, s’accrochent encore au bout de sa verge.— Dit Jean-Paul? Tu aime bien baiser Nadine?— Pourquoi parles-tu de toi à la troisième personne?— C’est mon nouveau style… Tu sais, j’aimerais bien baiser une femme comme moi avec une grosse queue comme la tienne! Je voudrais bien être à ta place…Mais, un nouveau rideau noir réapparu dans les yeux de Marc. Son énergie vitale quitte le corps de Nadine. Sa gorge voulait lancer un cri du désespoir.Jean-Paul a un mal de tête. Il se prend la tête entre ses deux mains pendant quelques secondes. Puis un son sort de sa boucheLe corps de Nadine est inerte. La bioénergie de Marc, a envahi le cerveau de Jean-Paul.— Noooooooooooonnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn!!!!!!!!!!!!!!!! Je l’ai tué!!!!!!!!!!!!!