Tout d’abord, un grand merci aux critiques de ne m’avoir pas trop « taillé », et croyez bien que je vais tenter d’appliquer vos conseils, et ensuite, pour la quinzaine de personnes qui m’ont Ă©crit, mĂŞme si je n’ai pas trouvĂ© l’âme sĹ“ur (je pense Ă vous Margot et Christelle!), je vous remercie de vos encouragements et de vos propos sympathiques. Ne serait ce que pour vous, je me permets de me lancer dans mon deuxième ’best seller » en espĂ©rant qu’il soit aussi apprĂ©ciĂ© que le premier (n° 5810)Etudiant bon chic mais pas tous les jours bon genre, dans la belle ville de Versailles, j’aimais traĂ®ner mes guĂŞtres du cĂ´tĂ© du château et plus particulièrement vers la pièce d’eau des Suisses. En effet, nombre de jeunes mamans venaient y faire gambader leurs bambins et, assis sur un banc, je prenais plaisir Ă les mater, espĂ©rant trouver lĂ une jeune femme de la bourgeoisie en mal d’amour. (Ah!, les fantasmes, lorsqu’ils vous tiennent).C’est lors d’un nouveau retour bredouille vers ma chambre d’étudiant que je l’ai vu. Ou plutĂ´t, que j’ai vu son cul. Magnifiquement moulĂ© dans un pantalon en cuir noir, bombĂ© Ă souhait, je pouvais aisĂ©ment deviner la marque du string qui lui faisait office de culotte. Je suis restĂ© 2 ou 3 minutes Ă regarder ce petit cul qui s’animait devant moi, derrière cette vitrine car, en fait, elle Ă©tait tout simplement en train de l’amĂ©nager avec les diffĂ©rents produits de la nouvelle collection. Mais qu’acheter dans un magasin d’ …. Animalerie lorsque vous n’avez ni chat, ni chien et que vous ne supporter pas les oiseaux en cage ?La clochette venait de teindre et je me retrouvais au milieu de cette jungle, les poissons m’accueillant par de grands « gloups gloups », avant qu’une femme d’un âge certain ne m’accueille par un bonjour monsieur des plus banals. »Vous dĂ©sirez ? » »A vrai dire, je suis intĂ©ressĂ© par le petit animal que vous avez en vitrine » »En vitrine, mais Ă part les cages, et les litières, il n’y a pas d’animaux » »Ah bon, j’en ai pourtant vu un des plus charmants »La pauvre ne comprenait rien Ă ce que je lui racontais, et un peu dĂ©stabilisĂ©e, elle me demanda de le lui montrer. Elle me suivi dehors et devant la vitrine, la charmante petite biche nous regardait avec ses yeux ronds et interrogatifs. »Vous voyez bien qu’il y a un charmant animal » lui dis je très sĂ©rieusement »Monsieur, vous n’ ĂŞtes qu’un malotru , faire perdre son temps aux commerçants respectables, c’est une honte. Au revoir monsieur ! »Et Ă disparaĂ®tre aussitĂ´t dans sa boutique en prenant soin de me fermer la porte au nez.Ma petite biche me regardait tristement, ayant compris mon dĂ©sarroi suite Ă l’attitude de sa patronne, puis descendit de sa vitrine et disparue dans le magasin.Il Ă©tait 18H45, soit un quart d’heurs avant la fermeture et comme Jeanne D’arc, une voix me dit d’attendre Ă quelque pas de lĂ . Comme prĂ©vu, Ă l’heure dite, je vis une grille descendre devant la vitrine, et très rapidement, le petit animal et sa respectable commerçante en sont sorties et ont baissĂ© le dernier rideau. LĂ , il y a des jours oĂą tout va mal, ou elles auraient pu partir ensembles de l’autre cotĂ©, ou encore ensemble de mon cotĂ©, ou alors chacun d’un cĂ´tĂ© me laissant bien entendu avec la patronne, mais il y a aussi des jours oĂą tout va bien, car c’est exactement ce que je souhaitais qui arriva (vous voulez un dessin ou une explication ?). Rapidement, elle dĂ©passa l’arrĂŞt de bus ou je me trouvais embusquĂ©, et prenant sa suite, je l’abordais: »Dites Mademoiselle, votre patronne est toujours aussi coincĂ©e? » »Ah, c’est vous! Mais que c’est il passĂ© pour l’avoir mise de si mauvaise humeur » »Bien je dĂ©sirais tout simplement caresser le joli petit animal qui Ă©tait en vitrine » »Mais je peux vous assurer qu’il n’y avait pas d’animal dans la vitrine, d’autant plus que j’étais en train de la refaire » »C’est bien ce que je disais, mais lĂ , il vient de s’échapper »Elle eut le rĂ©flexe de se retourner vers la boutique et d’un coup, elle s’arrĂŞta net, comprenant d’un coup qui Ă©tait le petit animal ce qui l’a fit rougir. »Puis je me permettre d’accompagner quelque peu cette petite biche et la protĂ©ger des mĂ©chants chasseurs? » »Je vais prendre mon train Ă la gare! «  »C’est ma direction »Et lĂ , j’ai tout appris de sa vie professionnelle qui l’ennuyait Ă mourir, obligĂ©e de supporter sa « charmante » patronne qui en fait Ă©tait une amie de l’amie de l’amie de …. je ne sais plus qui, et qui l’avait embauchĂ©e Ă titre de service qu’elle devait rendre, soit, en clair, Ă contre cĹ“ur, avec tous les inconvĂ©nients qui en dĂ©coulaient pour mon petit Bambi. Bref, cette discussion nous amena Ă Versailles Chantier, terminus de notre promenade, mais ponctuĂ© d’un « merde » qui marquait le fait que son train venait de partir, laissant le prochain dans 45 mns. »Ecoutez, je me sens entièrement responsable de vous avoir retarder, alors pour m’excuser je vous propose trois possibilitĂ©s. Un, je vous offre un verre dans cet infâme buffet de la gare enfumĂ© et bruyant en attendant votre prochain train, deux je vous offre le dĂ®ner dans un petit restau sympa, ou trois, je me propose de vous ramener chez vous avec ma petite voiture de sport »LĂ , mon air con a du se remarquer dans tout le hall de gare, ayant sorti mes propos comme tout jeune homme en Ă©tat de drague avancĂ©, attendant bĂŞtement sa rĂ©ponse qu’elle prĂ©parait en me regardant en souriant. »Et bien pour la peine, puisque vous m’avez gâcher ma soirĂ©e, je prendrais la proposition numĂ©ro 2″ ……un petit silence et elle ajouta « Puis la 3 ! »Un petit coup de portable et la table Ă©tait rĂ©servĂ©e, le temps de passer dans la rue des lilas et nous Ă©tions dans ma twingo (de sport), et 15 mns plus tard, je saluais JosĂ© qui, vu que j’étais accompagnĂ©, se dispensa de ses blagues limites. Il a au moins ça de bon le JosĂ©, quand il faut se faire discret, il sait le faire et nous proposa mĂŞme une table tranquille, Ă l’écart du reste de la clientèle. Oh, ce n’est pas Maxim’s ou le regrettĂ© Loiseau, c’est une petit restau sympa, bonne bouffe simple, ambiance calme sauf quand l’on dĂ©barquent Ă 20 Ă©tudiants pour des soirĂ©es que la morale m’empĂŞche de vous dĂ©crire.Mais revenons Ă ma petite biche »Bien, voila une heure que j’ai ramassĂ© un petit animal perdu et je ne sais toujours pas comment il s’appelle » »Caroline, et mon sauveur ? » »Pascal, tout simplement, pour te servir. Euh, vous permettez que je vous dises tu? » »C’est quand mĂŞme plus sympa, non? »Plus je la regardais et plus je sentais de bonnes vibrations entre mes jambes. Et oui, cette fille me faisait bander, Oh pas une Ă©rection Ă ne plus tenir, mais une lĂ©gère grosseur, une de celles qui viennent toute seules, lorsqu ’une idĂ©e, une image ou une situation coquine vous traverse l’esprit. Ces yeux verts, son petit nez en trompette, ces quelques taches de rousseur sur ces joues, ses lèvres parfaitement dessinĂ©es, le tout encadrĂ© dans une jolie chevelure brune qui lui arrive Ă mi Ă©paules, qu’est ce qu’elle est belle! »Mais dis moi, sans vouloir ĂŞtre indiscret, mais un peu curieux quand mĂŞme, personne ne t’attends Ă la descente du train? » »On m’attendait il y a encore 3 semaines, et puis vu qu’il arrivait de plus en plus en retard Ă la gare, et bien, un jour, je lui ai dis que ce n’était plus la peine qu’il se dĂ©place et je crois que cela l’a arranger, qu’il devait mĂŞme avoir un autre train Ă attendre! » »Ah!  » Telles furent les seules paroles qui ont pu sortir de ma bouche Ă cet instant (quel vocabulaire impressionnant !) »Tu vois que tu ne te trompais pas beaucoup lorsque tu parlais d’un petit animal perdu. Au fait, que m’as tu dis tout Ă l’heure?, qu’elles Ă©taient tes intentions lorsque tu as vu le petit animal en vitrine » »Euh je ne sais plus trop, tu sais c’était juste pour t’accoster » »Je crois que tu as dis que tu aurais bien voulu caresser ce petit animal » me rappela t elleSilence »Et je crois que le petit animal a besoin de caresses » ajouta elle de manière très coquine.Tout le monde, je pense, aura compris que c’était, comme on dit, dans la poche, surtout que sa main est venue se poser sur la mienne (un peu de romantisme dans un monde si cruel !) Et ses yeux plantĂ©s dans les miens »Et je suis sure que tu dois ĂŞtre très caressant »Les dĂ©s Ă©taient jetĂ©s et comme je l’avais personnellement cherchĂ©, je ne me voyais pas faire marche arrière, d’autant plus que ce que j’avais entre les jambes, qui des lors, Ă©tait presque Ă son maximum, m’interdisait cette issue. J’ai simplement demandĂ© Ă JosĂ© l’addition, faisant l’impasse sur le dessert que je comptais bien lui proposer plus tard, et comme celui ci est vraiment intelligent, c’est avec une grand sourire qu’il dit Ă Caroline »Bonne soirĂ©e, Mademoiselle »Et se tournant vers moi, clin d’œil Ă l’appui »J’espère que Monsieur n’es pas trop ’lourd’ après ce petit repas, bonne soirĂ©e Monsieur »Une fois dehors, juste avant de reprendre ma voiture de sport, Caroline se fit plus pressante contre mon Ă©paule, allant jusqu’a me bousculer pour en fait me plaquer le long d’une porte cochère, me prendre par le cou et me rouler un patin de chez patin. »Excuses moi, mais j’en avais trop envie » me dit elle après de longues minutes de baiser enflammĂ© ou j’ai pris grand plaisir Ă goĂ»ter sa langue agile et gourmande. »Mais je t’en prie »En voiture, après m’avoir indiquĂ© la direction Trappes, elle me commença Ă me parler du restau en me disant que j’avais l’air de bien connaĂ®tre le patron. Que voulez vous rĂ©pondre si ce n’est qu’en effet, pratiquement tous les vendredi soirs, ce lieu rassemblait un certains nombre de personnes triĂ©es sur le volet pour de folles soirĂ©es de dĂ©lire. Bien sur, je ne lui ai pas dis que la salle de jeux situĂ©e au sous sol (tout Ă fait lĂ©galement, je tiens Ă le prĂ©ciser, ce n’est pas un tripot clandestin) devenait lors de ses soirĂ©es, un lupanar ou chaque couples pouvaient s’envoyer en l’air, comme si j’allais dĂ©voiler tous mes petits secrets le premier soir.C’est un petit appartement sympa qui nous a accueilli, et mĂŞme si le rangement Ă©tait loin d’être parfait, je me rappelle d’une petit culotte et d’un soutif qui traĂ®nait sur la table, c’était assez douillet »Ne regarde pas le bordel, mais ce matin, je ne pensais pas ramener un charmant jeune homme ce soir »Et ramassant ces dessous, elle me les montra »Je comptais mettre cela ce matin mais je me suis ravisĂ©e » »Il est certain que le string que j’ai devinĂ© sous ton pantalon dans la vitrine est beaucoup plus sympa » »Parce que tu m’a matĂ© le cul! » »Bien oui, c’est toi qui me le montrer » »Salaud! Aller sert nous un verre, je vais prendre une petit douche, je pue trop »Ah, au moins quelqu’un de propre. C’est important la propretĂ©, non. Personnellement ayant terminĂ© la journĂ©e par 2 heures de sports, j’étais encore ’frais’ et le dĂ©odorant faisait encore largement sont effet (Adidas Sport Field pour ceux que cela intĂ©resse)Apres cette pause publicitaire, entendant la douche couler, je criais pour lui demander ce qu’elle voulait boire »Comme toi » me rĂ©pondit elleAlors ça, je n’aime pas. Comme moi et si elle n’aime pas ce que j’aime, on fait comment? Un coup d’œil dans les bouteilles et j’opte pour une boisson au goĂ»t peppermint ,vais chercher des glaçons dans la cuisine, faisant comme chez moi, et sers deux verres. Apres, et bien comme tout le monde dans ces cas lĂ , je fais le tour du propriĂ©taire, regardant les bibelots, les diverses photos, les revues, cherchant je ne sais quoi de la vie de ma nouvelle compagne. Lorsque la douche s’arrĂŞta, toujours comme tout le monde, je me suis installĂ© sur le canapĂ© pour attendre son arrivĂ©e. En la voyant sortir, je ne pu m’empĂŞcher de penser Ă toutes ces histoires qui racontent le mĂŞme scĂ©nario, car la belle m’apparut en peignoir de satin, assez court, simplement fermĂ© par une petite ceinture nouĂ©e sur son ventre. Elle aurait pu apparaĂ®tre dans un dĂ©shabillĂ© transparent avec le porte jarretelle, ou alors tout simplement toute nue, et bien non. »Tiens tu aime le …(bip), moi j’adore cela surtout avec des glaçons, et je vois que tu as pensĂ© Ă tout, tu as l’air d’un petit gars bien »Et lorsqu’elle vint s’asseoir a mes cotĂ©s, mes yeux n’ont pu s’empĂŞcher de lorgner vers le pan de son peignoir lĂ©gèrement ouvert me dĂ©voilant une poitrine dont je suis aussitĂ´t tombĂ© amoureux. »Comme je vois que tu ne te gĂŞne pas pour me mater oĂą les fesses oĂą les seins, laisse moi Ă mon tour voir ce qu’il y a l’a dessous »En dans la foulĂ©e, vint se mettre a genoux sur mes cuisses, Ă´ta mon sweet et mon tee shirt, dĂ©couvrant un torse pratiquement imberbe mais assez bien musclĂ© (je vous l’ai dit, je fais du sport!) sur lequel sa bouche commença Ă courir quelques instant avant de reprendre la mienne pour un nouveau baiser. »Tu sens bon, j’ai envie de toi » (Adidas, je vous dit!)Et de redescendre sur mon torse mais sans s’y arrĂŞter cette fois puisqu’elle se fixa entre mes cuisses, s’agenouillant sur la moquette. Alors, telle une petite coquine que l’on ne rencontre que dans les films pornos, elle passa sa main sur ma queue, jugeant son volume et un petit sourire aux lèvres, commença Ă me dĂ©boutonner le jeans. L’aidant Ă l’enlever complètement en soulevant les fesses, il se trouvait sur mes chevilles lorsque sa bouche s’est posĂ©e sur mon membre a travers mon caleçon. Hum quel dĂ©lice, rien que cette caresse m’a mis dans un Ă©tat indescriptible. Que vous dire alors une fois qu’elle eut dĂ©couvert tout cela. Et bien tout simplement que c’était divin. Je ne me souviens pas d’une pipe si sensuelle, si raffinĂ©e, jouant de sa langue, ses doigts, ses lèvres, mon pompant, me lĂ©chant me branlant, caressant mes couilles comme si elle voulait en extraire le maximum de jus, me reprenant en bouche, me relĂŞchant. Bref, vous l’avez compris qu’à ce rythme, et bien le père Pascal n’en pouvait plus et j’ai eu beau l’avertir de mon plaisir imminent, elle ne m’a pas lâcher pour autant, me faisant jouir dans sa bouche, avalant tous les jets crĂ©meux que je sentais sortir de mon sexe (Je vous l’avez bien dis qu’elle aurait son dessert).Terminant ma toilette pendant que je me remettais doucement de ce traitement de choc, elle me dit tout simplement »Au moins comme cela, tu seras plus endurant pour mon plaisir » (Ben voyons!)Le temps de me dĂ©faire de l’étreinte de mes vĂŞtements, j’étais nu devant elle, la bite lĂ©gèrement ramollie mais sachant très bien que ce n’était que temporaire. Je me suis alors agenouillĂ© pour prendre la mĂŞme position qu’elle occupait et mes mains remontèrent doucement sur ses cuisses bronzĂ©es, passant par dessus le peignoir, remontant sur son ventre et ses seins avant d’aller Ă mon tour l’embrasser. Puis, comme elle l’avait fait prĂ©cĂ©demment, je redescendais sur son corps ayant pris soin de dĂ©nouer sa ceinture et tomber sur ses deux globes appĂ©tissants et rĂ©ceptifs Ă mes caresses. Mon dieux qu’ils Ă©taient beaux, ronds et bien fermes, un bonheur de petits seins. C’est elle qui m’a poussĂ© Ă descendre plus bas, et Ă©cartant complètement le peignoir, ma langue se coinça sur un petit anneau qui ornait son nombril »Hum ça c’est super mignon » lui dis jeJe continuais alors ma descente au paradis pour trouver un petit string en tulle transparent qui laissait deviner une jolie petite chatte brune appĂ©tissante, et les marques de mouille qui imprĂ©gnaient l’entre jambes dĂ©montraient le plaisir de la belle. »Puisqu’ apparemment tu as aimĂ© deviner mon string tout a l’heure, j’ai pris l’initiative d’en mettre un autre » »Tu ne crois pas si bien dire ma belle » (moi qui suis un fou de lingerie, j’étais aux anges)Ma langue s’appliqua alors Ă mĂ©langer ma salive Ă sa mouille, mĂŞme si ce fut impossible, avant d’écarter ce petit bout de tissus et d’offrir le premier orgasme Ă Caroline, qui, gĂ©missant gentiment, m’en mis plein la bouche. »Hum, c’était divin comme hors d’œuvre. J’attends le plat de rĂ©sistance avec impatience, mais viens »Et elle me pris la main pour m’amener dans sa chambre. Le lit dĂ©fait, sa nuisette qui traĂ®nait, cela ne nous a en rien arrĂŞter et très vite, nus l’un contre l’autre, nos avons repris nos activitĂ©s par de nouveaux baisers et sentant ma bite sur son ventre, elle me tendit un prĂ©servatif et me demanda de la prendre. Me sentant d’humeur faignante, je me suis allongĂ© sur le dos et la queue fièrement dressĂ©e je lui ai dis de se servir toute seule. Elle m’a protĂ©gĂ© d’un geste que je qualifierais d’habituĂ©, c’est ensuite placĂ©e au-dessus d’elle et la tenant bien en main, se l’ai guidĂ©e vers son minou et s’est tout doucement empalĂ©e dessus. Elle me regardait, la bouche entrouverte mais d’oĂą ne sortait aucun son jusqu’au moment ou complètement au fond, elle lâcha: »Mouiii, qu’est ce que c’est bon »Elle menait elle mĂŞme le rythme, montant et descendant le long de mon membre, accĂ©lĂ©rant, ralentissant, alors que mes mains plaquĂ©es sur ses seins, je mettais tout mon ardeur Ă lui faire durcir les bouts. Et ce qui devait arriver arriva, elle jouit comme une folle, râlant, jurant son plaisir. Moi j’étais content car ayant rĂ©ussi a supporter ce traitement, j’étais toujours d’ardeur Ă la satisfaire (C’est comme cela que l’on se fait une rĂ©putation) et la laissant quelques instant se remettre: »ça c’était le premier plat, passons au deuxième »Je la fis mettre Ă quatre pattes et c’est en levrette que je me remettais en elle (Ca, j’adore!) Que c’était bon, que c’était beau, son petit cul qui remuait devant moi, ma queue qui entrait et sortait de sa chatte trempĂ©e, ses seins qui ballottaient son corps et ses halètements Ă chaque fois que je m’enfonçais au plus profond d’elle, Ă ce rythme, c’est moi qui suis venu en premier, dĂ©chargeant dans la capote ce qu’elle ne m’avait pas pomper prĂ©cĂ©demment. »Quel gâchis » me dit elle alors que je retirais cette dernière »DĂ©solĂ©, cela sera pour plus tard » »C’est que je re veux du dessert moi! »Quelle gourmande cette CarolineVous pensez bien qu’une petite pause Ă©tait bien mĂ©ritĂ©e et me relevant pour aller chercher les verres qui n’étaient pratiquement pas entamĂ©s, j’ai failli tomber en glissant sur un …. GodemichĂ©. Je m’en saisis et le lui montrant »Eh, que veux tu, je t’ai dis que cela fait trois semaines que j’ai changĂ© de compartiment, mais d’après ce que j’ai vu ce soir, je peux le ranger » me dit elle dans son plus beau sourireAlors lĂ , ma fiertĂ© Ă©tait au top du top et c’est en 69 que nous avons repris notre lutte amoureuse. Elle sur moi, me prĂ©sentant son petit minou ouvert et offert, alors que bien vite, ma bite retrouva une forme raisonnable entre ses lèvres actives, sa langue fouineuse et ses mains caressantes. Prenant ses fesses Ă pleines mains, ma langue s’agitait Ă partir de son petit clito gonflĂ© jusqu’à son petit trou serrĂ©, sa petite rosette qui m’attirait de plus en plus. Et comme ce traitement avait l’air de lui plaire; a en croire ses mouvements et gĂ©missements, c’est tout naturellement que mon doigt a forcĂ© le passage Ă©troit de son anus, si bien que, comme tout homme qui se respecte, je n’avais qu’une idĂ©e en tĂŞte, l’enculer. Et bien, non! A peine s’être sortit de ce « tĂŞte Ă queue » endiablĂ©, lorsque j’ai pointĂ© mon gland devant ce petit trou Ă l’origine de mes nombreux fantasmes, j’ai entendu »DĂ©solĂ©e, mais pas par lĂ Â ! » »et pourtant la porte Ă l’air ouverte ! » »Oui, mais trop douloureuse pour t’accepter »Bon, mĂŞme si le dĂ©sir s’efface devant le respect, c’est une nouvelle fois dans son sexe que ma petite copine de biroute s’est plongĂ©e avec joie. Et lĂ , vous pouvez me croire, elle s’est dĂ©foulĂ©e comme une bĂŞte, plongeant, sortant, re entrant, prenant un immense plaisir Ă visiter cet âtre chaud, doux et humide. Et la belle Caroline avait l’air d’apprĂ©cier mes coups de reins, gĂ©missant, haletant, criant Ă chaque plongĂ©e aux royaume des dĂ©lices. Si bien que ce qu’il devait arriva, la belle partit dans un orgasme terrible, prenant, Ă©mouvant mĂŞme. Et moi, au bord de l’ Ă©jaculation, me rappelant alors sa dernière rĂ©flexion, je me suis empressĂ© d’ôter ce petit capuchon de latex si dĂ©sagrĂ©able (mais o combien important de nos jours!) pour glisser Popaul dans la bouche de ma chère et le laisser dĂ©verser le fruit de notre union, emplissant sa bouche du dessert tant rĂ©clamĂ©. Alors lĂ , dans le feu de l’action, je me suis retrouve Ă partager ce nectar lors d’un baiser passionnĂ©. Et, pour tout avouer, autant l’idĂ©e d’avoir du sperme en bouche ne m’était jamais venu Ă l’esprit, trouvant mĂŞme cela d’une rĂ©pugnance indescriptible, et bien, oui, j’ai partage ma semence avec Caroline.Cet acte, aussi simple soit il (en y repensant maintenant) fut en fait le dĂ©but d’une relation amoureuse, torride, entière, et surtout complice dans l’amour.Depuis, Caro est ma muse, ma complice, ma confidente. Nous savons tout les deux qu’entre nous l’acte sexuel n’est que plaisir et qu’il en sera toujours ainsi, heureux que nous sommes de nous retrouver quand le besoin s’en fait sentir.Et pour vous le prouver, je ressortirais bientĂ´t ma plume (mes doigts sur mon clavier, bande d’obsèdĂ©s!) pour vous raconter d’autre passage de notre union sensuelle et Ă´ combien tumultueuseA bientĂ´tPascal