Dimanche, les retrouvailles.Cette histoire est le troisième volet des aventures de Linda. Vous pouvez vous reportez aux deux premiers épisodes référencés sous les numéros 4595 et 4662.Deux semaines déjà sans voir Linda, nous avons bien échanger des mails quotidiennement et quelques appels téléphoniques mais autant pour elle que pour moi l’envie de nous rencontrer se fait pressante.Maria a terminé ses congés et a repris son service. Linda m’a raconté qu’elle était revenue bronzée et que son retour avait été fêté avant même qu’elle ne défasse ses valises. Le mari de Linda étant toujours absent, les deux femmes et Kim ont repris leurs habitudes relationnelles avec cependant un léger éloignement pour Kim qui a fait la connaissance d’un homme de son âge.Ma femme et les enfants devant partir une semaine en vacances à la montagne, nous avions pris rendez vous pour nous retrouver. Nous avions déjà parlé ensemble de cette semaine commune et de ce que nous pourrions faire et parmi nos objectifs nous avions placé une soirée dans un sauna. Linda avait envie de connaître cette univers qu’elle n’avait jamais fréquenté. Je connaissais un établissement de ce type dans sa ville pour y être allé quelques fois en après midi lorsque qu’il est réservé aux hommes et j’y avait connu des expériences sympathiques.Ma femme et les enfants prennent la route ce dimanche. J’attends leur appel à la maison pour savoir si le voyage s’est bien passé. Trois heures après, elle me confirme leur arrivée, la route s’est passé sans encombre et ils se sont installés dans notre petit appartement. Je leurs souhaite un bon séjour et raccroche. Mon sac et mes affaires sont prêtes dans la voiture. J’appelle Linda pour lui confirmer mon arrivée. Je prends la route en direction de chez Linda, dans moins d’une heure je retrouverai ma belle anglaise, son adorable belle-fille et sa charmante femme à tout faire Maria. Sur l’autoroute, je pense aux trois femmes qui m’attendent et je rêve de ce que nous allons vivre ensemble. Mon envie de les revoir est tellement forte que mon sexe commence à se sentir un peu à l’étroit. Il faut absolument que je me ressaisisse et que je me concentre sur ma route. Il n’est pas sérieux d’être étourdi de la sorte quand on conduit et il serait dommage de gâcher une semaine de plaisir.Me voici enfin arrivée chez Linda. Elle devait sans doute me guetter car le portail automatique s’ouvre aussitôt et je peux entrer ma voiture dans la cour de sa maison. Linda m’attend sur le pas de la porte avec un grand sourire. Elle est rayonnante. Je m’approche. Elle me tire à l’intérieur et m’enlace aussitôt. Nos lèvres se joignent et nous échangeons un long baiser. À ce moment je pense que nos relations ont pris une tournure passionnée. Ce n’est plus des rencontres à caractères sexuels comme la première fois. Déjà lors de notre second rendez-vous j’avais trouvé Linda différente à mon égard. Elle était toujours aussi avide de sexe mais elle devenait plus tendre, plus attentionnée vis à vis de moi, comme si un amour naissait. J’en étais flatté et j’en avais peur. Même si mes relations avec ma femme était maintenant souvent tendues et nos rapports de plus en plus espacés, je l’aimais et je n’envisageais pas de la quitter. Elle savait que j’allais parfois voir ailleurs et cela lui était d’ailleurs arrivée aussi, elle me savait libertin, elle connaissait mes besoins et mes tendances pour les deux sexes et elle n’en disait rien. J’avais bien essayé d’en parler avec elle. Je lui ai proposé des rencontres ou des sorties avec des couples, des femmes ou des hommes mais elle ne voulait pas franchir le pas. Je pense qu’elle en avait envie mais son éducation lui interdisait d’aller plus loin et chaque fois que je pensais à cela je me mettais à haïr ma belle-mère qui est à l’origine de cela. Je savais qu’un jour elle avait également eu une relation avec une autre femme. Cette autre femme est une amie avec qui j’ai moi-même eu une aventure et elle me lâcha ces confidences sur l’oreiller. Elle avait semble t il aimé faire l’amour avec cette femme et s’était fort bien débrouillée selon ses dires. « Ta femme est une vrai salope » m’avait-elle dit. « Je n’ai jamais subi un cunnilingus aussi agréable, elle n’arrêtait pas de me lécher et m’a fait jouir plusieurs fois ». Ces paroles m’avaient surpris. Je n’imaginais pas que ma femme soit ainsi. Il est vrai que certain de nos rapports, il y a quelques temps déjà , étaient très forts. Elle acceptait la fellation qu’elle pratiquait à merveille. Nous avions fait l’amour dans des endroits et avec des positions insolites. Elle avait même accepté plusieurs fois la sodomie et m’avait un soir godé. Elle adorait me mettre un doigt ou un gode dans les fesses quand je l’a prenais et j’aimais beaucoup cela. Les années sont passées et notre couple sans renouvellement d’aucune sorte et tombé dans la monotonie. Quelques problèmes dans sa famille l’ont affecté et ont provoqué chez elle une prise de poids qui lui est dur à supporter.Linda me dit de laisser mon sac de voyage dans l’entrée et que Maria ira le mettre dans notre chambre. Le « notre chambre » m’interloqua. Elle m’entraîna au salon ou Kim et un jeune homme nous attendaient. Il était de la même taille que moi, plutôt musclé, peut-être un adepte des salles de musculation. Il paraissait être imberbe et avait encore un visage de gamin. Il allait bien avec Kim mais je ne sais pas pourquoi je ressentais un peu de jalousie.— Kevyn je te présente Antoine me dit Kim.— Bonjour, enchanté de faire votre connaissance.— Bonjour Monsieur.— Vous n’allez pas vous faire des politesses sans arrêt, ici nous nous appelons par nos prénoms et le tutoiement est de vigueur lança Linda.— pas de problème pour moi dis-je et toi Antoine— Je vais essayé.Je pris place dans le canapé. Kim vint se placer à côté de moi et son ami se mit à l’autre extrémité.— Je vais chercher des boissons dit Linda.— Je vous aide répliqua Antoine en se levant et en emboîtant le pas de Linda.A peine avait-il quitté le salon que Kim s’approcha de moi, me déposa un baiser sur ma joue et me dit— Ne t’inquiète pas, j’aime toujours autant le sexe et je ne veux pas prendre une vie de nonne mais j’ai eu le coup de foudre pour Antoine. Il est gentil, attentionné mais complètement coincé et je ne sais pas comment lui annoncé mes besoins aussi comme j’en ai parlé à Linda, nous comptons sur cette semaine pour l’initier aux plaisirs. Je te rassure il n’est plus puceau. Nous avons déjà fait l’amour ensemble mais il est très traditionnel et j’en veux plus. Et sache qu’il est très bien membré, je suis certaine que la vue de sa queue te donnerai envie de l’avoir dans la bouche ou dans ton joli petit cul plein de poil. Tu sais contrairement à toi il n’est pas du tout poilu. Es-tu d’accord pour nous aider à le décoincer ?— Je suis d’accord, il est beau gosse et j’ai hâte de le sentir en moi si il est vraiment comme tu dis.— Tu verras tu ne seras pas déçu.Elle me pris la tête dans ses mains et me donna un fougueux baiser. Sa langue avait pénétré ma bouche et me fouillait. Nous entendîmes Linda et Antoine qui revenaient et nous reprîmes une position normale.— Vous paraissez bien sage dit Linda avec un petit sourire.Antoine nous passa nos verres et revint prendre place à côté de Kim. Linda se mit dans le petit canapé deux places qui nous faisait face et dit.— Tu sais Antoine, Kevyn est un très bon ami. Nous nous connaissons depuis un mois seulement et nous nous voyons trop rarement à mon goût mais il est marié et habite à une cinquantaine de kilomètres. C’est un homme intéressant et je suis certaine que tu vas vite l’apprécier. N’hésites pas à lui parler de toutes choses, il pourra t’être un bon professeur. Il est gentil et doux.— Arrêtes Linda, lui dis je, n’en rajoute pas de trop il va me prendre pour un saint.— Un saint peut être mais qui sait être démoniaque pour certaines choses.Nous avons tous ris et avons continuer à discuter de la pluie et du bon temps. Il était maintenant vingt heures, nous finissions notre apéritif quand Maria fit son entrée dans la pièce.— Le dîner est prêt Linda, vous pouvez passer à table.— Qu’as tu préparer ?— Un repas léger et froid avec ces grosses chaleurs cela devrait convenir.— C’est parfait Maria, si c’est un repas froid poses tout sur la table et met toi un couvert pour dîner avec nous.Antoine ouvrit de grands yeux et Kim s’en étant rendu compte lui dit.— Maria n’est pas vraiment une employée, elle fait totalement partie de la famille et comme tel elle mange presque toujours avec nous. Comme nous avons des invitées ce soir et surtout toi qu’elle ne connaît pas elle restait à l’écart.Nous passâmes à la salle à manger. Une belle table ovale était dressée et Linda nous plaça, c’est ainsi que je me retrouvais en face de Kim, Antoine étant à ses côtés. Il restait une place près de moi et une en bout de table. Je pensais que Linda allait présider le repas et Maria également. D’ailleurs elle commençait à tirer la chaise à côté de moi pour s’asseoir quand Linda dit.— Non Maria, je dîne vers Kevyn, mets toi en bout de table, tu es la maîtresse de maison pour la soirée et d’ailleurs comme jeu je propose que ce soir ce soit toi qui donnes tes désirs et nous les accomplirons.Maria avait rougi malgré son bronzage et prenait place en bout de table. Linda vint s’asseoir près de moi. Elle me caressa la nuque en passant et me déposa un petit baiser sur le front avant de prendre place. Antoine nous regardait éberlué. Il devait à cette instant se demander dans quelle famille il était tombé. Le repas se déroulait assez calmement. De temps en temps je voyais bien la main de Kim aller rejoindre Antoine sous la table et celui-ci rougir à chaque fois. Je distinguais son bras qui bougeait légèrement et j’en déduisais qu’elle devait le caresser et connaissant Kim, elle ne devait sûrement pas s’occuper de sa cuisse mais plutôt de son entre cuisses. Il reprenait parfois sa respiration fortement en jetant un regard à Kim. Linda et moi nous regardions avec de petits sourires. Je sentis soudain un pied se poser sur ma cuisse. C’était Maria. Elle me jeta un regard et me lança un petit baiser en arrondissant ses lèvres. Personne n’avait remarqué et ce contact eu pour effet de provoquer sur moi un début d’érection. Linda voulu imiter Kim en glissant sa main sur ma verge et dit.— Mais tu bandes, qu’est ce qui te fait cet effet, est ce les caresses de Kim sur Antoine ?Antoine failli s’étouffer.— Non c’est Maria qui commençait juste à me provoquer et n’étant entouré que par de charmantes personnes il ne m’a pas fallu longtemps pour que mon excitation prenne forme.— Mais c’est très bien ça. Comme Maria n’avait pas encore fait part de ses désirs je pensais que la soirée allait être traditionnelle.Nous nous mimes tous à rire sauf Antoine qui d’une part ne comprenait plus très bien et qui semblait être déranger par nos propos. Je me sentis obligé d’intervenir.— Antoine, tu sais nous sommes assez libertins et nous n’avons pas beaucoup de tabous. Les relations entre les différentes personnes de la maison sont rarement ainsi dans d’autre famille. Il n’est pas nécessaire de te faire un dessin ou de te laisser aussi mal à l’aise pendant le reste de la soirée. Nous aimons avoir toutes sortes de relations. Je sais que pour certaines gens c’est inconcevable mais pour nous c’est normale et nous aimons pimenter nos rencontres. Bref pour tout te dire et Kim ne m’en voudra pas, nous adorons le sexe et nous sommes tous bi. Nous aimons faire l’amour ensemble, les femmes ensembles et moi avec elles. Il nous manquait un autre homme et je suis heureux que tu sois ici.— Mais… dit Antoine— Tu es libre de penser ce que tu veux et si tu ne veux pas assister à nos séances tu es libre. Qu’en penses-tu ?— Euh…— Tu ne trouves pas les femmes de cette maison belles ?— Si bien au contraire mais je n’ai jamais fais cela.— Ce sera ton apprentissage du libertinage et tu verras après c’est toi qui en redemandera. Alors es-tu d’accord sinon nous n’insisterons pas et resterons calmes devant toi.— Je veux bien essayer mais…— Mais si tu as un blocage et que nous n’arrivons à le résorber nous stopperons.— D’accord.Nous avons applaudi la réponse d’Antoine et il rougit à nouveau.Nous continuâmes de dîner. Rien d’autre ne se passa. Nous avons beaucoup parler et ri. Les mains s’étaient bien promenées sur les autres corps. Quelques attouchements et baisers avaient bien été donné mais nous n’allâmes pas plus en avant. Je pense que nous ne voulions pas choquer Antoine. Maria en bonne Reine de la soirée resta digne. Je sais pourtant qu’elle devait avoir envie d’aller plus loin. Son pied n’avait cesser de se promener sur ma jambe allant même parfois chercher mon sexe. Il rencontrait souvent la main de Linda et les deux femmes échangeaient des regards complices.Nous primes le café au salon. Nous discutâmes environ deux heures de choses et d’autres. Kim et Antoine étaient dans le petit canapé et Linda, Maria et moi étions face à eux dans le canapé trois places. Les deux femmes s’étaient lovés contre moi et tout au long de la soirée, elles ne cessèrent de chercher mes lèvres pour de tendres baisers. Nos mains inspectaient les autres corps à travers les tissus des vêtements. Kim en faisait autant à Antoine qui semblait se débrider petit à petit. Vers onze heures Maria proposa que nous allions nous coucher. Tout le monde fut d’accord mais tout le monde avait des idées derrière la tête. Nous nous sommes tous embrassés pour se donner le bonsoir et même Antoine vint m’embrasser. Linda et moi partîmes dans la même chambre. Nous nous déshabillâmes rapidement et nous allâmes prendre une douche. L’eau qui ruisselait sur nos corps nous faisait un bien immense. La grosse chaleur de la soirée nous avait à moitié endormi et cette douche nous redonnais vitalité. Vitalité qui commençait à s’exprimer pour moi pendant que Linda me savonnait le dos et les fesses. Elle s’en rendu compte quand je me tournais et elle me rinça avec la pomme de douche. Elle ne la raccrocha pas, la laissant au fond du bac et enfourna ma verge dans sa bouche au plus profond qu’elle pu allé.— Tu en avais envie n’est-ce pas ? lui dis je.Elle sortit mon pénis de sa bouche et me dis :— Enormément, je n’ai pas arrêté de mouiller toute cette soirée, je sentais ma cyprine se déverser entre mes cuisses. Cela fait deux semaines que je t’attends, que je n’ai pas eu d’hommes, j’aime jouer avec Maria et Kim mais il me faut aussi un homme.— Que penses-tu d’Antoine ?— Il est pas mal, je ne garderai pas une liaison soutenue avec lui comme avec toi, mais de temps en temps, pourquoi pas. Il faudra qu’on s’occupe de lui au plus tôt, qu’on l’initie car il a l’air pincé.— Qu’en dit Kim ?— Elle m’a dit qu’il était un bon amant mais dans la tradition et c’est pour cette raison qu’elle lui a proposé de venir passé la semaine ici en attendant qu’il ai son appartement, c’est afin de l’initier à l’amour avec un grand A et à toutes ses variantes.— Et moi à quoi vas tu m’initier ?— Je ne sais pas encore, ce sera suivant l’inspiration du moment mais toi n’oublies pas que tu m’a promis de m’emmener dans un sauna.— Je n’ai pas oublié mais il faudra que tu sois docile et soumise et accepter tout ce qui te sera demandée.— N’ai aucune crainte, je ferai ce que tu voudras, j’aime autant être dominatrice que dominée.Tout en discutant, nous avions quitté la douche, séché nos corps et regagné la chambre. Je n’étais jamais venu dans la chambre de Linda. Le mobilier était de style ancien, c’était en fait une chambre très classique. Seul le lit était spécial. Il était vraiment grand. On aurait dit que deux grands lits avaient été placé côte à côte. Linda m’entraîna par la main et me poussa dessus. Je tombai sur le lit et j’eus l’impression de rebondir.— C’est un matelas à eau me dit elle.Elle me fit basculer pour m’étendre. Seul mes pieds étaient dans le vide et elle entreprit immédiatement de reprendre sa fellation ou elle l’avait laisser sous la douche. Je voyais mon gland entrée et sortir de sa bouche. Elle m’aspirait carrément. Cette femme savait faire une pipe comme personne. Elle jouait de sa langue, léchant le méat, le gland, la grosse veine, mes testicules. Parfois je sentais sa langue s’approcher de mon petit trou. Elle savait que j’adorais cela. Elle remontait doucement me faisant frémir. Elle remettait le gland dans sa bouche, puis elle entra tout mon sexe et commença de monter et descendre dessus. Je sentais venir ma jouissance. Elle lâcha soudainement ma verge et se mit un doigt dans la bouche. Elle le ressorti plein de bave et le présenta à ma rosace qu’elle caressa. Je sentais l’entrée se dilater et enfin son doigt entra dans mon cul. Elle me dit :— Je vais te faire jouir très fort dans ma bouche, je te veux tout et je partagerais ton jus avec toi en t’embrassant après.Elle repris ma queue dans sa bouche et recommença son jeu si divin. Le doigt dans mon anus s’agitait dans tout les sens. Je me sentais venir. Mes jambes se contractaient. Je sentais monter des crampes. J’approchais de l’orgasme. Elle appuya tout à coup sur ma prostate et je ne pus me retenir plus longtemps. Je crachais ma semence dans sa bouche en longues giclées abondantes. Linda ne laissait rien perdre. Elle gardait mon jus dans sa bouche. Quand j’eus terminé de lui envoyer mon sperme, elle se redressa et vint m’embrasser comme elle sait si bien le faire. Sa salive mélangée à mon sperme emplissait nos bouches. Nous emmêlions nos langues et nous ne voulions pas avaler ni l’un ni l’autre. Nous nous régalions de cette mixture. Notre baiser dura de longues minutes. Nous étions à bout de souffle. Nos bouches se séparèrent enfin et nous nous effondrâmes sur les draps. C’est ainsi que nous nous sommes endormis dans les bras l’un de l’autre.Lundi, début de libertinage en groupe.Nous fûmes réveillé le lendemain par de petit bruits qui semblaient venir du salon. Il était près de midi et Linda alla voir et revint me chercher. Kim et Antoine étaient en train de faire l’amour dans le canapé.Il nous dévoilait une verge d’une très belle longueur et grosseur. Elle était aussi épaisse que la mienne mais en pleine érection elle devait bien faire trois ou quatre centimètres de plus.— Regardes Kevyn, il est bâti comme les mecs dans les films dit Linda. Kim ne doit pas s’ennuyer et j’espère que je pourrai en profiter également.Je ne dis mot. Maria avait sans doute entendu aussi le bruit et était maintenant avec nous. Nous avançâmes un peu et Linda alluma la lumière. Antoine semblait avoir oublié sa nudité se dressa face à nous et nous présenta le bel objet qui était entre ses jambes. Il faisait très chaud, le temps était orageux. Les corps étaient brillant par le suintement de la transpiration. Nous étions tous aussi nu qu’à la naissance.— Si nous prenions notre petit déjeuner au salon, dit Maria, restés avec nous et si c’était les hommes qui nous le préparent.Il n’y eu aucune réclamation. Les femmes se dirigèrent au salon et Antoine et moi allâmes à la cuisine préparer le petit déjeuner. Pendant la préparation, plusieurs fois nous nous frôlâmes avec Antoine et à chaque fois il se recula en s’excusant. Je lui dis que cela ne me dérangeais pas, bien au contraire. Je lui expliquais que j’aimais aussi les hommes et que ce type de relation me permettait d’avoir des envies décuplées avec les femmes ensuite. Il écoutait ce que je lui disais et m’expliquait qu’il n’avait jamais pratiqué parce que l’occasion ne s’était pas présenté et que si cela se présentait, il ne sait pas comment il réagirait. Je passais la paume de ma main sur sa verge, il se recula contre le plan de travail de la cuisine, je revins à la charge et comme il était coincé je pu le caresser et je m’aperçu qu’il recommença aussitôt à bander. Je le branlais pour voir jusqu’où il accepterait d’aller et il ferma les yeux et se laissa faire. Je stoppais nette et lui dit que nous devrions rejoindre les femmes.Nous regagnâmes le salon avec les bols et le nécessaire à un bon petit déjeuner. Les femmes saluèrent notre entrée et des mains se promenèrent sur nos fesses et notre pénis pendant le service. Maria nous remercia même en prenant nos sexes dans ses mains et en les approchants de sa bouche. Elle embrassa nos glands qu’elle avait auparavant pris soin de mettre en contact. La réaction fut immédiate et l’érection commençait à revenir. Antoine ne cessait de regarder Kim attendant une réaction de sa part mais elle restait impassible. Tout au plus elle passait le bout de sa langue sur ses lèvres et ce geste sensuelle nous excitait encore plus. Maria fit monter et descendre ses mains une dizaine de fois puis nous lâcha et nous dit :— Ça va comme ça, allez vous asseoir et restaurons nous rapidement car je commence à avoir de fortes pulsionsKim était seul dans le canapé deux places. Je vins m’asseoir près d’elle. Antoine, prit de court par mon action, resta un moment debout au centre de la pièce en tournant sur lui même. Linda lui fit signe de venir entre Maria et elle en tapotant le coussin centrale du canapé trois places. Il vint s’asseoir en posant juste ses fesses sur le bord du coussin et en croisant les jambes. Nous ne purent nous empêcher de rire. Il bu rapidement un thé, reposa son bol sur la table et se remit bras croisés. On aurait dit qu’il boudait. Maria s’approcha de lui et demanda à Linda d’en faire autant. Il était pris en étau entre les deux femmes qui commençaient à le caresser. Son sexe reprit de suite de l’ampleur et il se mit alors plus dans le fond des coussins et les jambes écartées. Il nous dit alors :— Je n’ai jamais fais ça et je ne sais pas si je pourrais. Cela ne te dérange pas Kim ?— Laisses toi faire, tu verras qu’après tu en redemanderas et tu m’aimeras encore plus fort.Maria se leva et alla chercher un bandeau qu’elle lui demanda de mettre sur ses yeux. Antoine regarda Kim interrogatif. Elle lui fit un oui en clignant des yeux. Il prit le bandeau, se le posa sur les yeux et Maria l’aida à l’attacher. Pendant ce temps Linda s’était penchée et avait entrepris de sucer son gland avec la pointe de sa langue s’amusant avec le frein. Elle joua un moment à le faire tressaillir à chaque coup de langue puis elle engloba le gland dans sa bouche. Elle commença ensuite à monter et descendre sur la belle queue fièrement dressée. Antoine râlait et s’agitait. Il avait pris la tête de Linda entre ses mains et accompagnait le mouvement. Pendant ce temps Maria lui caressait les couilles d’une main et lui pinçait les seins de l’autre. Comme il râlait de plus en plus fort, elle approcha sa bouche de la sienne et l’embrassa. Leurs deux bouches étaient collées, leur baiser n’en finissait plus. Kim et moi ne loupions pas une miette de la scène. Linda arrivait maintenant à faire entrer presque les trois quart du dard à Antoine et il était de belle taille. Kim n’en pouvant plus écarta les jambes et commença à s’écarter les lèvres avec ses doigts. Elle était bien mouillée et cette vue me fis réagir. Je la forçais à se mettre à quatre pattes sur le canapé et je la pénétrais d’un seul coup. Elle poussa un grand cri et m’insulta en me traitant de salop, puis elle me dit que je lui avait fais mal. J’avais d’ailleurs moi même ressenti une douleur mais elle se mit immédiatement à onduler et me dit :— Vas y Kevyn, baise moi comme une brute, j’aime ça, je suis une chienne en chaleur, vas y fort, fais moi hurler de bonheur.Je ne me fis pas prier et je lui administrais de grands coups de butoir. Je ressortais presque entièrement à chaque fois et je rerentrais en elle avec violence. À chaque fois que j’arrivais au fond, elle poussait un soupir accompagné d’un petit râle. Ses seins lourds remontaient à chaque fois et parfois venaient heurter son menton. Je la retournais sur le dos, revint en elle et repris mes vas et vient. Elle avait sur le visage comme un masque ou se mélangeait bonheur et souffrance, joie et haine. Elle criait de plus en plus fort et me disait qu’elle allait jouir et effectivement, peu après elle m’enserra fortement entre ses cuisses en joignant ses jambes derrière mes reins et se mit à hurler mon nom très fort. Je ne pouvais continuer mon activité et je l’embrassais pour l’empêcher de crier. Lorsque nos lèvres se décollèrent, elle avait toujours les yeux fermés et sa respiration était toujours aussi soutenue. Son visage redevenait petit à petit ce visage d’ange qu’il lui allait si bien. Je jetais un regard du côté de l’autre canapé et je vis Linda se redresser. Elle avait reçu le sperme d’Antoine dans sa bouche et sur son visage. Elle approcha sa tête de celle d’Antoine et Maria qui s’embrassaient encore. Maria se tourna vers elle et la lécha une fois puis elle pris les nuques de ses compagnons et les approcha pour qu’ils s’embrassent. Antoine eu un mouvement de recule quand il goutta son jus et Maria lui dit :— Lèches la, c’est à toi, c’est bon, vas y.Linda était collée à lui et il n’eut pas d’autre choix que d’obéir. Il devait trouver cela bon car il tenait la tête de Linda et l’embrassait et la léchait de partout. Il ne voulait plus la lâcher et Linda jouait le jeu.— C’est bon n’est ce pas dit Maria— Oui dit il— C’est la première fois que tu gouttes ton sperme— Oui, j’y avais pensé plusieurs fois mais je n’avais jamais osé.— Tu y pensais quand tu te masturbais ?Antoine était rouge de honte.— Ne rougis pas, tout le monde se masturbe, il n’y a que les idiots pour dire le contraire. Alors tu te masturbe ?— Oui souvent, enfin avant de connaître Kim car avec son appétit sexuel, je suis toujours vidé.— Donc maintenant tu boiras ton sperme ?— Certainement j’ai aimé.— Et celui d’un autre homme ?— Je ne sais pas, je n’ai jamais fait.— Viens ici Kevyn, me dit MariaJe m’approchais d’eux la queue encore raide car je n’avais pas joui avec Kim.— Prends son sexe dit Maria à Antoine et comme il n’osait pas elle prit sa main et la posa sur ma verge.Il leva les yeux pour me regarder mais Maria le força à refermer sa main sur mon sexe et à faire un mouvement de va-et-vient. Elle le laissa bientôt faire seul et il me sembla qu’il y prenait un certain plaisir. Il ne me branla pas longtemps avant que je sente la jouissance venir. Je les prévint et Maria lui ordonna d’ouvrir sa bouche face à mon gland. Il ne voulait pas mais les deux femmes mirent sa tête en position et il s’exécuta. J’envoyais mon sperme dans bouche. Le premier jet fut assez violent et alla jusqu’au fond de sa gorge. Comme il ne s’y attendait pas il failli tout recracher. D’autres jets allèrent rejoindre le premier de manière moins violente. Il gardait mon jus dans sa bouche sans avaler. Les femmes lui fermèrent le menton et le forcèrent à déglutir, ce qu’il fit.— As tu aimé lui demanda Maria— Il est plus salé que le mien mais c’est vraiment bon.— Bien sur qu’il est plus salé, le tien était mélangé à la salive de Linda alors que là tu n’as eu que sa laitance, nettoies le avec ta bouche maintenant.Et nous fûmes tous surpris de voir Antoine s’exécuter immédiatement en mettant ma verge dans bouche pour me la rincer.— Tu aimes ça, sucer un homme ? dit Kim— À vrai dire j’avais depuis un moment ce fantasme en me promenant sur Internet sur des sites gays mais je n’osais pas franchir le pas, c’est l’occasion et c’est vrai que jusque là ça me plaît.— Es tu prêt à accepter une sodomie ?— Je ne sais pas, je n’ai jamais sodomisé personne, donc je ne connais pas les sensations d’être dans quelqu’un comme ça alors de recevoir quelqu’un en moi…— Tu verras tu auras ton initiation cette semaine si tu veux.— Pourquoi pas, d’accord, mais si je demande de tout stopper vous le ferez.Nous nous levâmes tous et nous acceptâmes les propos d’Antoine. Le reste de la journée se déroula sans excès, Maria s’acquitta de ses tâches ménagères, Kim et Antoine passèrent un long moment au salon à regarder des DVD et Linda et moi allâmes nous promener.Mardi, l’initiation d’Antoine à la sodomie.Le soleil est déjà haut dans le ciel lorsque j’ouvre les yeux. Il est près de onze heures et Linda dort encore près de moi. Il a fait tellement chaud cette nuit que nous avons repoussé le drap au pied du lit. Je la regarde étendue, nue. Elle est vraiment très mince. Lorsqu’elle respire j’arrive à voir ses côtes légèrement se dessiner sous ses minuscules seins mais c’est cette finesse qui fait son charme. Nous avons eu une longue discussion avant de nous endormir et elle m’a avoué qu’elle se sentait tombé amoureuse de moi. Je ne veux pas que cela arrive. Je ne suis pas prêt à quitter ma femme et surtout mes enfants. Elle dit cela parce qu’elle n’a pas vu son mari depuis de longues semaines mais son retour devrait la faire changer d’avis. Nous nous sommes mis d’accord pour ne plus en reparler cette semaine que je passerai chez elle. Sa peau blanche , son ventre plat, ses fines cuisses et ses longues jambes, ses bras presque squelettiques, ses longs doigts si bien entretenus, tout m’attire chez elle. Je promène mon regard de haut en bas et comme à chaque réveil je suis plutôt en bonne disposition, sa vue ne fait qu’attiser mon envie de la prendre. Je pose délicatement ma main sur son épaule. Elle ne bouge pas, toujours endormie. Je la glisse doucement, l’effleurant juste du bout des doigts et je vais ainsi jusqu’à la pointe de ses seins. Malgré leurs petitesses elle est sensible à cette endroit mais c’est normal, n’est ce pas une zone érogène et les hommes sont également sensibles des seins. Je m’amuse avec son mamelon avec le bout de mon index. Elle commence de bouger imperceptiblement. Je décide de le pincer délicatement et de le faire rouler entre mes doigts. Elle lâche un murmure et se met sur le dos m’offrant son autre seins et une vue sur son pubis. Petit à petit elle est prise de soubresauts, ses seins tétonnent et gardant toujours les yeux fermées elle me dit :— Je t’aime, fais moi l’amour.C’est le feu vert que j’attendais. J’approche ma bouche de la sienne et y dépose un baiser. Je descends ensuite sur son menton, son cou, ses seins que je lèche, je tête, je mords, elle soupire. Je continue mon exploration de son corps en descendant encore plus loin et j m’attarde sur son nombril. Je pénètre la pointe de ma langue, elle frissonne et me prends la tête entre ses mains. Elle l’accompagne en me triturant les cheveux, elle me masse le crâne. Je décide d’aller encore plus avant et me voici maintenant au bords de ses lèvres. Je glisse tendrement ma langue sur elles. Elle ouvre les jambes, les écartent grandement, offerte. Son sexe est complètement à moi. Elle me le donne en échange de douceur. Je tente de l’explorer et passe ma langue sur ses grandes lèvres, je les lèche et les lèche encore, puis je tente de pénétrer plus à l’intérieur, son jus s’écoule maintenant avec force et vient dégouliner sur ma bouche. Je me délecte de sa cyprine mélangée à ma salive. Elle commence à émettre des petits sons qui deviennent rapidement de plus en plus fort. Je joue avec son clitoris qui a grossi et force le passage. Je le décalotte et le prends de suite entre mes lèvres pour le téter. Elle hurle presque, des râles sortent de sa bouche ainsi que quelques mots et elle me dit :— Donne moi ton sexe, je veux te rendre ce plaisir.Je me tourne et me mets à califourchon sur son visage. Nous sommes maintenant en soixante-neuf. Elle englobe immédiatement ma verge dans sa bouche et commence à me faire une fellation comme elle en a le secret. Je sens mon corps se parcourir de frisson et je plonge à nouveau ma tête entre ses cuisses pour finir le cunnilingus que j’avais commencer. Nous nous léchons comme des fous et nous jouissons chacun dans la bouche de l’autre. Quel régal, quelle mise en appétit pour le petit déjeuner. Petit déjeuner qui servira d’ailleurs de déjeuner vu l’heure tardive. Je me retourne et viens l’embrasser. Nos langues explorent le palais d’autrui. Nous nous communiquons nos salives mélangés au jus de chacun. Nous nous buvons comme des assoiffés. Avant de nous lever, nous sommes déjà effondrer côte à côte et ruisselant de sueur. Nous sommes repus et nous dirigeons pour prendre une douche. La douche est bienfaitrice et nous redonne du tonus. Après avoir juste passé un short et un tee shirt nous allons à la cuisine pour nous restaurer. Kim et Antoine sont déjà là .— Bonjour, ça va nous demande Kim, avez vous bien dormi ?— Très bien, merci lui répondis je.— Et le réveil ?— Quoi le réveil ?— A-t-il été bon ?— Oui, pourquoi cette question ?— Oh rien, nous avons juste entendu en passant devant votre chambre quelques bruits, on se demandait juste si ça allait ?— Très bien, je te remercie de t’inquiéter pour nous.— Je ne m’inquiète par pour vous mais pour nous, nous ne voudrions pas que vous en profitiez ensemble et que nous soyons mis à l’écart. Antoine m’a reparlé de notre aventure d’hier, il a aimé, n’est ce pas Antoine ?— Euh… Oui…— Et je vous signale que vous avez promis d’aller plus avant dans son initiation à la bisexualité.— Nous n’avons pas oublié— J’espère que vous avez gardé des forces car Antoine est d’accord pour tout tenter et ce avec chacun de nous sans différence, n’est ce pas une bonne nouvelle ?— Très bonne dis-je— Excellente tu veux dire repris Linda mais où est Maria.— Elle ne devrait pas tarder, elle est allé au marché pour rapporter des fruits et légumes frais. Avec cette chaleur cela passera mieux et en plus comme nous sommes pas mal décaler dans les horaires des repas…Nous prenons notre petit déjeuner ensemble, thé, café, lait, pain beurré et confiture. C’est un réconfort qui requinque les corps et les esprits. La porte d’entrée s’ouvre.— C’est toi Maria ?— Oui c’est moi, je suis vannée, traîner les halles avec cette chaleur, c’est inhumain. Je vais prendre une douche.— On t’accompagne disent en cœur Linda et Kim.— Antoine et moi prendrons l’autre douche dis je, il faut que l’on se prépare.Nous nous séparons, les femmes dans la grande douche du rez-de-chaussée et les hommes à l’étage.— C’est quoi cette préparation me demande Antoine en pénétrant dans la salle de bain.— Tu es d’accord pour tout essayer.— Oui— Avec les filles et avec moi ?— Oui— Alors il faut que nous fassions une bonne toilette, tu comprends ?— Je crois comprendre mais ce ne sera pas douloureux ?— Nous ne voulons que ton plaisir et le notre bien sûr et en aucun cas il ne doit y avoir de douleur. Tu verras c’est une sensation formidable.— Tu as déjà fait ça ?— Oui plusieurs fois.— Avec un homme ?— Oui, avec un homme et parfois je me gode et tu sais il y a ici des jouets qui permettent aux femmes de jouer aussi.— Alors tu aimes ?— Oui, j’aime ça surtout avec un homme. Sentir la chaleur d’une bonne queue dans mon cul est un régal. La pénétration doit être faite avec douceur. C’est le sodomisé qui doit diriger et ensuite il faut laisser faire l’autre. Mais si il a de l’expérience tu dois t’en reporter à lui. En général ce ne sont pas des brutes et si ils te font mal ils se feront mal aussi. On entre dans la douche ?— OKNous entrons ensemble. Je prends la pomme de douche, règle l’eau à bonne température et nous asperge l’un et l’autre. Je joue à mettre la pomme plus ou moins loin du sexe d’Antoine et je m’aperçois que cela lui fait de l’effet. Il a les yeux fermés et me laisse totalement maître du jeu. Après l’avoir bien mouillé, je prends la savonnette et le savonne partout. Une fois la savonnette reposée, je le frotte avec mes mains. Antoine, les yeux toujours fermés me laisse faire. Je prends son sexe dans ma main et le caresse avec le savon. Il ouvre les yeux et me dit :— Tu es doux, je suis heureux que ce soit toi mon initiateur.Je ne dis rien et approche ma bouche de la sienne. Voyant qu’il ne recule pas, je sors ma langue et l’enfonce au plus profond de sa bouche à la recherche de sa langue. Il me rend mon baiser. Nous nous lavons mutuellement à grand renfort de caresses.— Dis moi Antoine, tu apprends vite, n’avais tu pas envie depuis longtemps d’essayer avec un homme ?— Si, ça me trottais dans la tête mais je n’osais pas et le fait de me l’avoir proposer m’a réjoui.— Je vais te laver intimement maintenant. Laisses moi faire.Je baisse un peu plus la température de l’eau et je démonte la pomme de douche du flexible. Je demande à Antoine de se tourner ce qu’il fait sans discuter. Il se met en appui contre le mur, fesses tendues, complètement offert. Je savonne son petit trou et le caresse avec mon majeur. Il se dilate assez rapidement et je peux entrer un doigt. Il gémis mais ne bouge pas.— Ça va, tu n’as pas mal.— NonJe prends le flexible, ôte la pomme de douche et le pénètre doucement dans son anus.— Je vais t’envoyer de l’eau dans l’anus, tu devras essayer de la garder le plus longtemps possible et quand tu ne pourras plus tu iras sur les toilettes, tu as de la chance elles sont dans la salle de bain. OK ?— D’accord, compris.J’ouvre doucement le robinet. Antoine ne bronche pas. Je laisse l’eau le remplir lentement. Après un bon moment et voyant que cela commence à goutter par son anus j’arrête le robinet.Il se retourne et sort de la douche et se pose sur le siège des toilettes. Il garde l’eau le plus longtemps possible en lui et j’en profite pour me faire la même toilette. Il relâche l’eau dans les toilettes et me voyant crispé il me laisse la place. J’en fais de même et je le rejoint sous la douche. Il se remet en position comme je lui demande et je le rempli à nouveau. Cette fois il ne se contracte pas et le rinçage se fait simultanément.— Rien que ça c’est bon, j’ai hâte de connaître la suite.— Tu as le temps, ça viendra bientôt.J’arrive maintenant à pénétrer trois doigts dans son anus. Je les écarte et il se vide de l’eau restée contenue dans ses entrailles. J’en fais de même pour moi. Nous nous séchons et redescendons au salon uniquement vêtu d’un short et d’un polo. Les femmes ne sont pas encore revenus de la douche. Nous nous asseyons dans le grand canapé en laissant la place extrême libre. Je suis au milieu et Antoine et au bout. J’ai très envie de le prendre dans mes bras, de le sentir dans ma bouche, dans mon cul. Sa belle queue bien chaude dans mon cul, je la veux, je n’y résiste plus. Je pose une main sur sa cuisse et je vais immédiatement caressé son sexe. Il ne dit rien et se laisse faire. Mieux encore il me caresse également le sexe. Nos visages se rapproche et nous nous embrassons. Mais il est trop tôt pour continuer ce jeu et je m’écarte de lui.— Attendons les filles, elles seraient vexées de ne pas participer.Nos trois déesses viennent enfin nous rejoindre. Maria et Kim ont revêtu chacune un maillot de bain deux pièces et Linda juste un short moulant. Elle n’a rien sur son torse. Elle vient s’asseoir près de moi et les deux autres femmes se posent à nos pieds sur le tapis du salon.— Que faisons nous ? demande Linda.— Comme vous voulez mesdames, répondis-je.— Il n’y a rien de prévu au programme de la journée et de la soirée et je pense qu’il est temps de faire franchir le pas à Antoine, dit Kim, Kevyn pourrait s’en occuper et nous trois nous assisterions au spectacle.— Je suis d’accord, dis-je, qu’en penses-tu Antoine.— Je pense être prêt.J’approche ma bouche de la sienne et sans hésitation il vient à ma rencontre. Nos bouches se soudent l’une à l’autre, il est beaucoup plus entreprenant et insère sa langue en moi à la recherche de la mienne. Elles s’entremêlent, le baiser est intense, il fouille ma bouche, mon palais, se retire. Nos deux langues sont sorties et les deux pointes se rencontrent à nouveau. Je mordille ses lèvres et force l’entrée de sa bouche. C’est à mon tour de lui rendre ce baiser passionné. Je caresse son visage, il est très doux, comme ses bras et ses jambes. Mes mains se promènent sur son corps offert. Je retire son polo et il en fait de même avec le mien. Puis je le force à se lever pour ôter son short. Je me redresse et ôte également mon short. Nous sommes à présent entièrement nus offerts en spectacle à nos hôtesses. Je m’arc-boute et prends sa verge dans ma bouche. Son érection n’est pas totale et je la sens se bander entre mes lèvres. Il me remplit de plus en plus. Quel bel engin et en plus il est imberbe, doux, et n’a que quelques poils courts sur le pubis, assez rare pour quelqu’un qui ne se rase pas et ne s’épile pas. On dirait un jeune garçon, la douceur de sa peau, ses muscles fermes, la beauté de son corps et de son visage, il paraît être une sculpture. Tout cela fait de lui l’amant parfait et je me délecte du cadeau qui m’est offert. Mes pensées sont toutes entières pour lui et ma fellation que je n’ai point cessée commence sérieusement à faire son effet sur mon apollon. Il me dit que c’est bon, de continuer. Pas de problèmes, je n’ai pas envie de m’arrêter, je vais le pomper jusqu’à la dernière goutte. Et comme toute première expérience, cela ne tarde pas et il déverse en de grands jets dans ma gorge. Je garde sa semence en essayant d’en avaler un minimum, je le nettoie et remonte l’embrasser en partageant avec lui son jus. Un jus si délicieux, presque sucré, je me régale de ce bel âtre.— Ça t’as plu ? lui dis-je.— Beaucoup et maintenant c’est moi qui vais m’occuper de toi.Il me pousse en arrière dans le canapé, se met à genoux entre mes jambes et commence à me faire une fellation. Pour un débutant il se débrouille très bien. Déjà la veille il m’avait prouvé qu’on pouvait s’attendre à quelques choses de bien mais là il confirme. Je sens ma jouissance monter tellement il me travaille à merveille, on croirait qu’il pratique depuis longtemps et pourtant ce n’est que le début. Linda est allé au bahut. Elle ouvre un tiroir et prends un préservatif et le gel. Elle revient vers nous, ouvre le tube et met une noisette sur son index. Elle se place vers les fesses d’Antoine qui est à quatre pattes en train de s’affairer après mon sexe. Elle écarte ses magnifiques globes et approche son doigt de sa rosette. Antoine a un léger mouvement lors du contact avec la pommade froide. Immédiatement, Linda s’occupe de lui préparer le petit trou, elle lui caresse et assez rapidement elle arrive à pénétrer un doigt puis deux dans ses entrailles. Il doit ressentir un plaisir assez fort car sa fellation se fait beaucoup plus appuyée. Linda tente maintenant d’entrer un troisième doigt et elle y arrive relativement facilement. Elle entreprend de lui masturber le cul et entre et sort ses doigts de son anus. Ses mouvements sont de plus en plus rapide et les mouvements de la bouche d’Antoine sur ma verge suivent ceux des doigts de Linda. Elle ôte ses doigts, reprend un peu de gel qu’elle dépose sur ses index et annulaires. Elle présente d’abord deux doigts vers le trou resté béant puis les deux autres viennent rejoindre les premiers. Les deux doigts de chaque mains sont maintenant dans le cul d’Antoine. Elle écarte ses mains et entrouvre les fesses de mon soumis.— Il est près, me dit Linda, à toi de jouer et à vous de nous donner un beau spectacle.Maria et Kim ont écarté leurs soutien-gorge et leur slip et sont en train de se masturber. Linda les rejoint. Je retire la tête d’Antoine et lui dis :— Vas-y doucement, je suis bien dur maintenant et toi tu es suffisamment ouvert pour perdre ton pucelage anal, je vais donc te sodomiser, es tu d’accord ?— Oui, j’ai hâte de connaître cela.Je me lève du canapé et je prends un préservatif et le gel.J’enfile la capote sur ma queue et j’enduis sa rosace et mon gland de gel.Les femmes sont maintenant nues mais c’est presque habituel dans cette maison. Nous sommes comme deux exhibitionnistes et j’avoue que cela ne me dérange pas outre mesure. J’appuie mon pénis contre son trou et commence à pousser doucement. La pointe de mon gland entre mais il y a une forte résistance pour faire pénétrer le gland en entier. Je lui demande de pousser comme s’il était aux toilettes ce qui a pour effet de dilater sa rondelle et mon gland entre enfin.— Tu n’as pas mal— Non, juste une légère douleur quand tu as pousser mais c’est déjà fini.Je prends ses hanches et je continue lentement ma pénétration. Je suis enfin entièrement en lui. Je veux m’interrompre mais c’est lui qui se met aussitôt à onduler de la croupe. Je l’accompagne et commence un va-et-vient dans ses entrailles.— Ça va, tu aimes, tu sens la chaleur de mon sexe en toi.— Oui c’est bon, pourquoi je n’ai pas essayé plus tôt, une queue chaude dans le cul, c’est bon, vas y Kevyn encule moi bien profond.Ses paroles me surprennent un peu mais il est vrai que parfois les personnalité sont différentes lors de l’acte sexuel. Ses hanches dans mes mains j’entre et je ressors. J’ôte totalement mon sexe de son anus qui reste ouvert, près à m’absorber. Je le pénètre à nouveau. Je répète plusieurs fois ce mouvement et Antoine en redemande.— Je vais jouir du cul, c’est trop bon, je vais éjaculer de me faire sodomiser, c’est génial, encore…Je le caresse et je glisse ma main vers son sexe, il est dur et je sens du liquide séminal perler du méat. L’appui de mon sexe sur sa prostate et le bonheur de se faire prendre par un homme et d’assouvir son fantasme l’amène petit à petit à la jouissance. Je vais de plus en plus vite en lui et je sens ma sève monter. Je me retire, le force à se mettre sur le dos, lui relève ses jambes que je pose sur mes épaules, il est bandé comme un âne et a le trou du cul grand ouvert. Je remet ma bite dans son cul violemment mais elle rentre sans aucun problème, le passage est maintenant fait. Je recommence mes mouvements. Nous nous embrassons. Les femmes n’en perdent pas une miette et elles ont toutes trois leurs doigts dans leur vagin. Je sens à nouveau ma semence venir, je lui signale et je m’enfonce au plus profond. Je jouis au fond de son cul et il se jouit dessus. Je reste un moment en lui. Il me tire la tête à lui et m’embrasse fougueusement. Les femmes nous applaudissent ce qui nous fait revenir à la réalité . Nous sommes effondrés l’un sur l’autre. Je suis resté en lui et je sens que je suis en train de débander. Je me retire et ôte ma capote pleine de jus. Kim s’approche d’Antoine et l’embrasse. Nous voyons sa langue entrer dans la bouche d’Antoine. Elle se retourne vers moi et m’embrasse à mon tour. Quand elle arrête son baiser elle me dit :— Merci de l’avoir dépuceler, ce ne sera plus pareil maintenant— Pourquoi plus pareil ? dit Antoine— Parce que j’espère que tu seras plus libéré et je pourrais aussi me lâcher car jusqu’à présent je me retenais quand nous étions ensemble— J’ai découvert l’amour différemment et ça me plais, je ne vais pas abandonner.— Tu as encore beaucoup à apprendre dit Linda— Beaucoup à apprendre ? Mais quand vous voulez, je suis impatient.Antoine se lève et se dirige vers Linda, il approche sa bouche pour l’embrasser. Linda à un mouvement de recul et me jette un regard. Je cligne des yeux pour lui dire oui et elle tend alors ses lèvres à Antoine. Il ne lui donne pas longtemps le baiser et se laisse glisser pour embrasser ses seins, puis son ventre. Il lui écarte les jambes et plonge sa tête vers le puits d’amour. Sa tête et entièrement enfoui entre les cuisses de Linda. Elle ferme les yeux, bascule son visage en arrière puis se laisse tomber dans le canapé. Elle gémit rapidement. Le spectacle que nous avons donné a du fortement la chauffer et elle hurle aussitôt son plaisir. Je la regarde jouir et je retrouve ce beau visage d’adolescente. Son corps et rempli de soubresauts. Maria n’est pas resté sans rien faire. Elle est allé mettre le gode ceinture, est revenu vers Kim et après l’avoir caressé un instant, elle la pénètre. Les deux jeunes femmes s ’embrassent sans relâche. Maria entre et ressort de Kim très rapidement. Kim atteint l’extase en quelques petites minutes. Maria se retire et me regarde. J’imagine qu’elle veut me sodomiser mais je la vois retirer la ceinture. Je suis toujours allongé sur le sol et regarder ce qui se passe devant moi me redonne quelques vigueur. Maria prend mon sexe dans sa main et entreprend de me branler d’abord doucement puis de plus en plus vite. Après quelques instants de ce vigoureux et tendre traitement, je suis à nouveau bandé au maximum et sans hésitation, Maria m’enjambe et fait entrer ma verge en elle, d’un seul coup, presque violemment. Elle reste un instant immobile et comme elle me tourne le dos, j’ai le spectacle de ses fesses rebondies sur mon ventre. Elle s’incline en arrière, pose ses mains de chaque côté de mes épaules et commence à bouger son bassin sans se décoller juste en ondulant. Je sens mon gland frotter les parois de sa vulve. Les trois autres nous regardent. Je prends les gros seins de Maria dans mes mains et les malaxe. Elle monte et descend maintenant sur ma verge, d’abord lentement puis accélère comme une folle. Sa respiration est entrecoupée de petits cris. Je lui triture les seins, les pinces sans ménagement, tire sur ses pointes. Je brutalise sa poitrine. Les pointes sont érigées, obscènes. Maria lâche enfin un grand soupir et s’effondre à la renverse en pleine jouissance. Elle reste couchée sur moi, étendue un long moment. Mon sexe est toujours très dur en elle et je n’ai pas joui. Mes complices se proposent alors de s’occuper de moi mais je décline l’offre et je retourne prendre une douche.Mes compagnons ont fait comme moi et nous nous sommes tous douchés en solitaire cette fois-ci. Nous avons tous besoin de calmer un peu les esprits car la semaine est encore longue et il faudra tenir. La canicule étant toujours là , nous avons passé le reste de la journée nus. Les volets des fenêtres entrebâillés pour ne pas laisser entrer trop de chaleur et pour ne pas être vus par le voisinage. Nous avons longuement discuté, regardé la télé et joué à divers jeux. Nous avons aussi beaucoup ri. Linda ne m’a pas quitté d’une semelle. Elle ne cesse de m’enlacer, de me donner de petits baisers, de promener ses mains sur moi. Son regard est troublant et touchant mais il m’inquiète. Nous avons tous participé à la préparation du repas du soir et après avoir avalé le dîner, nous nous sommes étalés dans les canapés pour regarder le film. Linda et moi sommes allé nous coucher et Kim et Antoine ont invité Maria à partager leur couche. Nous nous sommes promis de nous raconter notre nuit demain.Réveil matinal aujourd’hui car je dois repasser au bureau pour des réunions. Tout le monde dort lorsque je pars. J’ai hâte d’être à ce soir pour retrouver mes amis. Demain étant jour férié, il y a une soirée couple dans un sauna de la ville que je connais et j’ai promis à Linda de lui faire découvrir ce genre de lieu. J’espère que nous passerons une bonne soirée car je ne suis moi même jamais allé au sauna pour une soirée couple mais j’ai plusieurs fois fréquenté ce lieu les après midi alors qu’il est réservé au gays et je dois avouer que j’ai fais des rencontres formidables et que j’ai passé de bonnes demi journées. Nous en avons longuement parlé avec Linda hier soir avant de nous endormir dans les bras l’un de l’autre comme deux jeunes amants. Elle est impatiente de connaître ce lieu mais elle est également anxieuse. Ce sauna est dans sa ville et elle est assez connue et même si son couple est libertin, elle appréhende une éventuelle rencontre avec une connaissance dans cet endroit.La journée m’a paru d’une longueur incroyable, d’autant plus que les réunions au programme étaient pour une délocalisation de production sur un autre site à l’étranger. Il y a quand même plus intéressant dans le monde industriel que de voir partir des chaînes de fabrication.Me voici enfin de retour chez Linda. Elle vient m’accueillir à la porte d’entrée et m’enlace sitôt la porte refermée. Je lui rends son baiser et lui demande de se calmer. Nous avons une grosse heure devant nous pour prendre un léger repas et pour nous préparer.Il est 21 heures lorsque nous arrivons au sauna. Il est situé au centre de la ville, près des rues piétonnes. Il faut passer sous un porche et aller au fond d’une petite cour. Une porte sur la gauche donne accès à un hall avec un escalier. Nous montons au premier étage. Sur le palier il y a la porte d’entrée avec une plaque signalant le sauna. Nous sonnons et entrons comme il est indiqué. Une petite pièce avec une banque nous sépare d’un homme. Nous nous dirigeons vers lui et payons notre droit d’entrée. En échange il nous donne à chacun une serviette, une clé de placard et un bracelet à mettre à la cheville orné d’une petite poche contenant un préservatif et un sachet de gel.La porte d’entrée au vestiaire est à gauche de la caisse. Nous y pénétrons et nous dirigeons vers nos armoires qui sont mitoyennes. Linda est intriguée et pour la première fois depuis que je la connais, je ne la trouve pas sure d’elle. Je la sens inquiète, sur ses gardes. Comment cette femme qui m’avait paru si libérée, si maîtresse femme, si hautaine, pouvait-elle changer ainsi ? Je ne reconnaissais plus la Linda de mes deux premières rencontres. Déjà les propos amoureux qu’elle tenait envers moi, son attitude, ses regards et son attention à mon égard m’intriguaient et m’inquiétaient. J’aime bien Linda comme compagne pour de folles aventures mais je n’en suis pas amoureux au point de laisser ma vie de famille actuelle. Nous trouvons nos placards et commençons à nous dévêtir. J’attache ma serviette autour de ma taille et Linda met la sienne juste au-dessus de ses seins. Je lui dit de laisser son bracelet et je met les deux clés de cadenas dans ma pochette avec les préservatifs. Je le fixe à une de mes chevilles, prends la main de Linda et nous nous dirigeons vers une porte donnant accès au sauna. Nous pénétrons dans une pièce avec un bar. Linda me dit qu’elle a la gorge sèche et nous nous arrêtons pour prendre une consommation. Il y a quelques personnes au bar, des couples et des hommes seuls. Ils sont également acceptés lors de ces soirées mais le droit d’entrée et beaucoup plus onéreux. Depuis le bar nous avons une vue sur une pièce contenant des banquettes et une télévision diffusant un film pornographique. Linda ne cesse de scruter les alentours. Elle inspecte les lieux du regard. Je lui demande si ça va et elle me répond par l’affirmative en ajoutant « mieux ». Je comprends que son stress est en train de baisser. Elle me signale un couple d’une trentaine d’année assis à une table proche du bar. Il y a une table vide à proximité de la leur et je propose à Linda d’aller nous y asseoir. Nous prenons donc place à côté d’eux. L’homme est assez grand est fort, velu, et fortement dégarni sur le sommet du crâne. La femme est une blonde très belle. Sa serviette est attachée à sa taille est elle nous dévoile une belle poitrine. Ils nous sourient et nous disent bonjour. C’est elle qui engage la conversation.— On ne vous a jamais vu ici, c’est la première fois que vous venez ?— Oui, nous avons entendu parler des soirées pour couples qui étaient de temps en temps organisées et nous voulions venir voir.— Si vous n’êtes pas coincés, vous allez vous amuser. Nous sommes déjà venus plusieurs fois et j’ai toujours été comblée et mon mari a toujours trouvé satisfaction. Vous êtes hétéro ?— Non, nous sommes bi tous les deux.— Super ! Nous aussi, voulez-vous que nous vous fassions visiter ?— Je suis déjà venu en après midi, mais pourquoi ne pas faire le tour ensemble pour permettre à Linda de découvrir les lieux.— Nous sommes Lucie et Alain.— Et nous Linda et Kevyn.L’atmosphère est feutrée avec un éclairage tamisé et il fait très chaud. Nous déambulons d’une pièce à l’autre, du sauna au hammam, et nous faisons une halte à la douche. Nous laissons nos serviettes sur des porte manteaux et nous pénétrons pour nous rafraîchir. Nous avons le choix entre douche chaude ou froide. Linda et moi nous mettons ensemble sous une pomme et nos nouveaux amis se placent en face de nous. Je jette un regard sur eux. Elle est de taille moyenne avec un sexe très poilu et blond comme ses cheveux, c’est la première fois que je vois une vrai blonde nue, et lui, aussi grand qu’elle, a un pénis d’une belle taille au repos. À voir en érection… Ils nous invitent à les suivre au hammam et nous acceptons. Après avoir laisser nos serviettes à l’entrée, nous entrons. La pièce n’est pas grande et il y déjà un couple assis dans un coin. Linda est moi nous asseyons sur une banquette et nos amis se placent de chaque côté de nous, elle près de moi et lui vers Linda. La vapeur est étouffante à l’entrée mais après quelques instants l’air est respirable est c’est même agréable. Nos corps ruissellent rapidement. Je jette un oeil vers Linda et je vois la main d’Alain sur son genou. Il remonte lentement sur sa cuisse et Linda tourne la tête vers moi, interrogative. Je m’approche d’elle pour lui poser un baiser et lui dis de se laisser aller. Elle pose une main sur ma cuisse près de mon pénis qui commence à prendre une taille honnête rien qu’en pensant à la suite. Alain n’ayant pas été interrompu dans sa progression a maintenant la main sur le pubis de Linda et je vois très nettement qu’il est en train de lui caresser les lèvres. Linda écarte ses cuisses petit à petit et s’offre à son voisin tout en serrant ma verge entre ses doigts. Lucie qui est restée calme jusqu’à présent passe une main dans mon dos et descend jusqu’à la raie de mes fesses alors que son autre main vient empoigner mes testicules et les masser. Je tourne la tête vers elle et nos lèvres se joignent pour un petit baiser. Ce petit baiser est l’accord qu’attendait ma voisine qui se place à genou entre mes jambes et me lèche les couilles alors que Linda ne m’a pas toujours pas lâché la verge et qu’elle a commencé à me masturber mais elle a également dans son autre main le pénis d’Alain qui est maintenant entièrement bandé et qui est d’une taille tout à fait correcte voire même à classer dans les belles proportions. Le couple qui était en place à notre arrivée n’a pas bougé un membre depuis que nous sommes là . Malgré la pénombre, je peux constater que l’homme n’est pas indifférent à ce qui se passe devant lui et j’imagine que sa partenaire ne doit pas être insensible non plus. Je les observe jusqu’à ce que nos regards se croisent. Je leur adresse un large sourire et un petit mouvement de tête qui est une invitation à participer. L’homme se lève et vient se placer derrière la femme qui me fait la fellation. Sa main se promène dans sa raie culière et descend vers son vagin. J’imagine que les événements ont du faire effet et la chaleur et la vapeur aidant, elle doit être bien mouillée et prête. Ce que l’homme doit constater aussi, car je le vois sortir un préservatif de son bracelet, il se le place sur le sexe et il pénètre immédiatement Lucie qui enlève ma verge de sa bouche pour lâcher un petit râle. Voyant que la femme reste seule, je me lève et me dirige vers elle. J’approche ma bouche de la sienne et je prends les pointes de ses petits seins entre mes pouces et index. Elle prend mon pénis dans sa main et me masturbe rapidement. Je laisse ses seins et je prends possession de son vagin entièrement lisse. Elle ne me laisse pas la caresser longtemps. Elle s’étend sur la banquette, prend une capote qu’elle place sur mon sexe et me dit :— Viens en moi, baise-moi.Je ne me fais pas prier et après m’être glissé entre ses jambes je commence lentement ma pénétration. Elle place ses jambes autour de mes reins et m’attire violemment avec ses mains. J’entre donc d’un seul coup en elle et je commence un va-et-vient qu’elle accompagne avec ses fesses. Je tourne la tête pour voir Linda et je m’aperçois qu’elle s’est placée sur la verge d’Alain tout en lui tournant le dos. Il l’enserre de ses bras et ses mains sont sur ses seins qu’il caresse. Elle se lève et redescend sur la verge qui est en elle. Elle a l’air de trouver satisfaction dans cet échange et son visage change de masque et devient angélique. Je besogne toujours ma partenaire qui me demande d’aller plus vite en se mordant les lèvres. Elle doit avoir environ 25 ans, les cheveux roux, la peau blanche avec quelques tâches notamment sur le nez et les joues ce qui lui fait un joli minois. Elle est assez large des hanches et a de fortes cuisses musclées. Cuisses qu’elle serre de plus en plus fort autour de moi en haletant de plus en plus vite au rythme de mes pénétrations. Elle atteint l’orgasme rapidement et me bloque en elle avec ses jambes. Je ne peux bouger tellement elle serre et je me contente donc de m’allonger sur elle et de l’embrasser. Son baiser est aussi violent que le rapport que nous venons d’avoir. Cette fille est une vrai sauvageonne. L’homme qui est avec elle est toujours en train de besogner Lucie en levrette. Il se retire tout à coup rapidement, ôte son préservatif et éjacule sur ses reins. Il étale ensuite sa semence sur ses fesses avec son gland. Il se relève, regarde sa compagne qui me libère en ouvrant ses jambes et ils quittent le hammam. Linda a cesser de bouger sur Alain qui nous propose d’aller reprendre une douche et d’aller à l’étage supérieur où il y a des salles avec des matelas. Nous quittons donc le hammam est après la douche nous devons traverser tous le sauna pour nous diriger vers un escalier en colimaçon. De ci de là , des couples se sont formés, mélangés et sont en train de se caresser ou de faire l’amour devant les autres. Il y a beaucoup moins de personnes avec la serviette autour du corps. Une femme mure, apparaissant avoir près de 70 ans, les seins pendants, les bras et les jambes ridés est en train de se faire prendre à la missionnaire par un jeune homme pendant qu’un autre présente sa verge à sa bouche. Un homme tout aussi âgé que la femme est assis à proximité et se masturbe en regardant la scène. La femme prend en main le pénis du deuxième jeune et le branle vigoureusement. Elle l’approche de sa bouche et le lèche avant de l’engloutir. Pendant ce temps l’autre la besogne. Il a la tête à quelques centimètres du sexe de son copain. Il s’en approche encore plus et il n’a plus qu’a sortir sa langue pour l’atteindre, ce qu’il fait. La femme lui présente alors cette verge tendu et tout en limant toujours il gobe le pénis de son camarade et entreprend de lui faire une fellation. Le vieux se branle de plus en plus vite à ce spectacle et la vieille traite les jeunes de pédés et demande a celui qui est en elle d’accélérer. Nous quittons cette salle et arrivons au pied de l’escalier que nous gravissons pour arriver dans un long couloir. Sur la gauche, il y a plusieurs box avec des matelas. Certain sont occupés et les portes coulissante sont fermés. D’autres, occupés également ont la porte ouverte et des hommes regardent en se branlant. Nous entrons dans un box vide et Alain demande si nous voulons laisser la porte ouverte ou si nous voulons la fermer. Linda lui demande de la laisser ouverte. Nous nous couchons tous sur le matelas sauf Lucie qui reste à genou et prend mon sexe et celui d’Alain en main. Linda est entre nous et Lucie se laisse glisser pour approcher sa bouche de sa vulve. Elle lui embrasse et commence à la lécher. Elle quitte nos pénis pour s’occuper de Linda, lui écarte les lèvres, pénètre sa langue dans son vagin. Elle l’oblige à remonter ses jambes et à poser ses genoux sur sa poitrine. De cette façon elle a les fesses décollés du matelas et présente ses deux trous à Lucie. Cette dernière laisse coulée de la salive sur le vagin de Linda. Salive qui s’écoule jusqu’à l’anus. Elle la récupère avec la pointe de sa langue et force le passage du petit trou de Linda. Je viens me placer vers Lucie et lui caresse tendrement son petit trou. Je ne savais pas comment elle allait réagir mais je me rends compte par son cul qui se tend vers moi qu’elle apprécie ce que je lui fais. Je porte mes doigts à ma bouche, les lubrifie de salive et je reviens à l’anus de Lucie qui s’occupe toujours de celui de Linda qui a pris la verge d’Alain en main et qu’elle masturbe. Après avoir pénétrer l’index dans Lucie, je me redresse et prends du gel dans le distributeur fixé au mur. J’en enduis mes doigts et la rosace de Lucie. Grâce à cela je peux facilement entrer deux puis trois doigts dans son trou. Elle doit certainement pratiquer la sodomie régulièrement car son anus s’écarte aisément. Voyant cela, j’enfile une capote, l’enduit de gel et je me présente contre ses fesses. Je n’ai nullement besoin de forcer pour la pénétrer et je me retrouve immédiatement entièrement dans son joli petit cul blanc. J’entreprends aussitôt des va-et-vient dans cet antre si chaud et si accueillant. Elle gémit à chaque coup de butoir que je lui inflige et abandonne son labeur sur Linda qui nullement décontenancée enfile un préservatif sur la grosse pine à Alain qui est resté étendu est se la met dans la vulve en tournant encore une fois le dos à son partenaire. Nous nous regardons et comme nous sommes très proche l’un de l’autre nous échangeons un baiser. Lucie se caresse le clitoris pendant que je l’encule et elle se met à jouir plusieurs fois de suite et finie par s’effondrer en me retirant de ses entrailles. Linda s’active sur Alain. Je tourne la tête vers la porte et je vois les deux jeunes qui étaient avec le couple de personnes âgées nous regarder et mon petit côté exhibitionniste me donne une idée. Je retire ma capote et en met une autre. J’oblige Linda à se coucher sur Alain. Je prends ses chevilles dans mes mains. J’écarte mes bras et ses jambes et je présente ma verge à son vagin contenant déjà celle d’Alain. Elle m’aide à la pénétrer avec une de ses mains et nous voilà les deux en elle. La sensation est agréable. Je commence à bouger et je lime la vulve de Linda et le pénis raide d’Alain. Un des deux jeunes voyeurs lance ceci :— Wouah ! ! ! Cool…Quelle chatte d’enfer…Ce pied…Et il est vrai que je suis en train de prendre mon pied mais également Linda et Alain qui me guide dans mes mouvements. Linda à appuyer ses mains sur le matelas et Alain a mis ses mains sous ses fesses qu’il décolle légèrement. Nous pouvons maintenant bouger tout les deux en elle et l’excitation monte rapidement en nous trois et c’est Linda qui jouit en premier en criant son bonheur. Je me retire d’elle et Alain la pose à côté de lui. Nous nous relevons tous deux, ôtons nos capotes et nous nous branlons jusqu’à éjaculer sur les femmes. Elles s’étalent le sperme l’une sur l’autre et se nettoient avec leur langue avant de s’embrasser longuement. Elles sont vraiment très belles toutes deux.Nous quittons la salle est après une douche réparatrice, nous allons boire un verre au bar. L’heure à avancer rapidement sans que nous nous en apercevions et il n’y pas plus grand monde. Nous décidons de quitter l’établissement et nos nouveaux amis en font de même. Nous quittons les lieux ensemble. Sur le trottoir devant le porche nous saluons Lucie et Alain qui nous donne une carte de visite et nous disent :— Nous organisons une soirée libertine avec deux autres couples samedi soir et nous serions heureux de vous avoir avec nous. Voici notre adresse et notre téléphone. Si vous n’appelez pas c’est que nous pouvons compter sur vous.Nous sommes d’accord sur le principe et décidons d’en discuter. Nous nous embrassons et nous séparons.Jeudi, le repos des guerriers.Cette journée est férié et nous avons décidé de la passer à nous reposer. Nous sommes aller au bord d’un lac avec Kim, Maria et Antoine et sommes restés à bronzer et dormir jusqu’à tard le soir. Ensuite repas et lit car demain il faut que je retourne travailler. Nous nous sommes raconter nos journées et nuitées passées. Kim et Antoine ont adopté Maria dans leurs échanges et il apparaît qu’Antoine c’est cette fois totalement débridé.J’ai travaillé toute la journée et c’est vers 20 heures que je suis de retour chez Linda. Grande surprise à mon arrivée lorsque Maria m’ouvre la porte. Elle est vêtue d’une robe hyper courte en latex rouge d’où ses seins cherchent à bondir, de bas rouge et d’une paire de cuissardes rouges à talons hauts. J’entre dans le salon ou les deux autres femmes m’attendent et Kim et Linda sont aussi habillée très sexy. Robe longue fendue haut pour Kim avec petites chaussures à aiguilles et bas retenus par un porte jarretelle dont j’aperçois une attache et pour Linda, une tenue vraiment particulière. Elle porte des chaussures à semelles compensées et hauts talons, sans doute plus de dix centimètres, ce qui l’a grandi encore plus. Une paire de bas auto fixant noir. Un body en cuir noir avec une fermeture éclair partant des omoplates et finissant sous les seins. Seins qui sont à l’air libre. Les femmes sont excitantes et à ce moment je m’imagine plein de choses pour la soirée. Antoine fait son entrée à son tour. Il porte un short en latex du plus bel effet avec une superbe verge et j’imagine son sexe à l’intérieur, bien bandé, et je me surprends à penser que j’aimerais bien l’avoir en moi. J’imagine ce magnifique organe noir luisant me fouillant les entrailles. Il porte également des jambières comme les cow boy sur ses jambes nues, des santiags, et un gilet en cuir. Il est magnifique dans cette tenue. Je reste sans voix face à eux et Linda s’approche pour m’enlacer et m’embrasser.— Mon chéri, nous avons décidé que cette soirée serait placée sous le signe de notre soumission envers des partenaires du même sexe. C’est à dire que tu seras soumis aux demandes d’Antoine et moi à celles de Kim et Maria. Les échanges devront se réaliser devant les autres, ils auront le droit d’exiger de nous ce qu’ils veulent ou presque car il ne faut pas que cela aille au delà de la morale ou des réticences des uns et des autres. Es-tu d’accord ?— Oui, pourquoi pas, cela peut-être marrant mais vous savez que si je suis sans avoir beaucoup de tabous il y a quand même des choses que je ne pratique pas.— Ou que tu n’as pas encore pratiqué, mon chéri, n’ai crainte, chacun est libre et il est impensable d’aller contre la volonté de qui que ce soit.— Avez-vous prévu une tenue spéciale pour moi ?— Bien entendu, nous avons préparé cette soirée tout l’après midi, nous sommes allés au sex-shop faire des emplettes et nous piaffons d’impatience. Tiens, voilà un short pour toi dans ce sac. Ce sera ta tenue. Tu n’auras que cela à mettre.— Puis-je prendre une douche ?— Oui, et rejoins-nous dans la grande pièce au fond du couloir.La grande pièce, celle au lit énorme, avec ses tentures rouges sur un mur cachant des miroirs. Ça promet. Je prends une bonne douche en prenant soin de faire une bonne toilette intime. Après m’être séché, je fouille dans le sac que Linda m’a donné et je découvre un short en latex ressemblant à celui d’Antoine. Je le sors du sac et l’ouvre pour l’enfiler et surprise, il y a une petite verge en caoutchouc au fond, une fente verticale sur le devant pour laisser passer la verge et une horizontale en dessous pour les testicules. Je comprends immédiatement son utilisation et la démarche bizarre d’Antoine tout à l’heure. Je trouve un tube de gel dans le sac. J’en enduis le gode et mon anus qui est dilaté après la toilette soignée que je viens de m’infliger. Je glisse mes pieds dans le short, le remonte sur mes cuisses et fais pénétrer le gode dans mon fondement. Je suis déjà tellement excité que je commence à avoir une érection. Je passe mon sexe et mes couilles dans les fentes. Il me moule et j’ai une agréable sensation à porter ce type de vêtement. Je me regarde dans la glace et je trouve cette tenue affriolante et très sexy. Je décide de rejoindre les autres.Mon entrée dans la grande pièce en acclamée par des sifflets d’admirations. Maria et Kim sont allongées côte à côte sur le lit, Linda est debout contre le mur, immobile, elle a des bracelets aux poignets et chevilles. Antoine vient à ma rencontre, me donne un baiser enflammé et me prend le sexe. Il m’attire vers un paravent. Arrivée devant, il me lâche, repli les trois morceaux et le met contre le mur. Je découvre alors un objet de torture moyenâgeux. Il y a deux barres verticales en fer soutenant un morceau de bois avec trois encoches et je comprends que celles des extrémités sont pour les poignets et celle du centre pour la tête. Antoine m’attire et me fait mettre en place. Je m’exécute trouvant cela assez amusant et Antoine place au-dessus un autre morceau de bois similaire au premier qu’il coince avec des goujons dans des trous. Me voici prisonnier et à sa merci. Je ne le connais pas beaucoup et j’ai une certaine appréhension. Il prend sur une commode une espèce de grosse tapette et viens se mettre derrière moi et me dit.— Je vais t’enfoncer le gode de ton slip.Je suis surpris mais pense comprendre et aussitôt un premier coup m’atterrit sur les fesses ce qui a pour effet d’enfoncer un peu le gode. Ce n’est pas douloureux et je trouve cela plutôt agréable. Les coups se succèdent, de plus en plus rapides et appuyés et je ressent maintenant comme un échauffement, ce n’est pas que j’ai mal, j’ai chaud et cela m’excite tellement que ma verge est bandé comme jamais. Je n’avais jamais essayé ce type de relation et j’aime assez. Antoine a lâché sa tapette et est revenu face à moi. Les filles nous regardent sans mots dire. De temps en temps, une langue se promène sur les lèvres mais rien de plus. Antoine s’est agenouillé devant mon sexe qu’il se met aussitôt à sucer. Il le fait d’ailleurs très bien. Pour quelqu’un qui n’avait jamais eu de relations homos, il a vite appris et je sens ma sève monter à grands pas. Je tente de me retenir en essayant de penser à autre chose. J’aimerais que cela dur longtemps. Je ne veux pas jouir, il me traite tellement bien avec sa bouche que je voudrais être sucé comme ça l’éternité. Tout à coup il se relève. Il enlève son slip. Prend un tube de gel, s’en enduit l’anus dilaté par le gode de son slip et m’en enduit le pénis.— Tu vas m’enculer et jouir en moi, je veux sentir ton sperme dans mes intestins, je le veux dégoulinant entre mes fesses. Je te rassure, j’ai fait des tests et je ne suis porteur d’aucune maladie et je sais par Linda que toi aussi tu es clean.Que dire à cela ? Je n’ai jamais sodomisé un homme sans protection mais l’idée de me répandre en lui ne me déplait pas. De toute façon je suis toujours attaché et je n’ai pas le temps de dire quoi que ce soit qu’il enfourne mon pénis dans son anus en une seule poussée. Il était vraiment bien prêt à m’accueillir car je suis entrée sans aucun problème. Il se met aussitôt à bouger et il vient écraser ses fesses contre mon ventre. Je vois ma verge disparaître totalement entre ses deux masses de chairs musclées. J’ai envie de le peloter mais mes mains sont prisonnières. Il halète maintenant à chaque mouvement, il accélère, ralentis, accélère à nouveau. Je sens ma sève monter et je lui signale que je vais jouir. Il accélère encore plus et je ne peux retenir des gémissements, c’est vraiment divin. Je suis un esclave et mon maître se sert de ma bite pour son plaisir mais cela me procure aussi un plaisir intense. J’hurle et je joui dans son cul. Il sent mon sperme se déverser dans ses entrailles et hurle également son bonheur. Il a cessé de bouger et a mon pénis enfourné jusqu’à la garde dans son cul. Le plaisir qu’il m’a donné est si fort que je n’arrête pas de l’arroser. Après quelques instants il avance doucement et retire ma verge de ses entrailles. Mon jus coule entre ses fesses et sur ses jambes.— C’est trop bon me dit-il, se faire inonder par un homme est un moment sensationnel et je recommencerais dès que l’occasion se représentera. Je t’aime Kevyn et je vous aime tous de m’avoir si bien initier.Ses paroles m’excite tout comme ce que nous venons de vivre et je m’aperçois qu’il est bandé comme un âne. Je n’ose lui demandé mais j’aimerais tant avoir à mon tour son sexe dans mon cul à la place du petit gode de mon short. Je pense que je ne suis pas le seul à avoir cette idée car il me dit :— Maintenant c’est moi qui vais m’occuper de ton petit cul poilu.Il remet son short en prenant bien soin d’enfiler sa verge dans l’artifice qui l’orne et en enduit aussitôt toute la longueur de gel. Il se branle en prenant soin de bien lubrifier ce si beau pénis. Il se place derrière moi, m’ôte mon short, me met une bonne dose de gel sur mon trou et sans ménagement, sans autre forme de préparation il m’encule comme une brute. Je ressens une douleur qui me fait crier, je souhaiterais me retirer mais je ne peux bouger, je suis prisonnier. J’ai des larmes dans les yeux et j’ai très chaud. Il reste immobile en moi et petit à petit la douleur s’estompe. J’ondule de la croupe et je lui demande de bouger et de me limer, ce qu’il fait immédiatement. Mon sphincter est maintenant bien ouvert et je sens les lèvres de mon anus glisser autour de son objet. Il me tient par les hanches et me besogne de toute la longueur de son membre. Il sort plusieurs fois entièrement et revient aussitôt en moi. Je le reçois avec délectation. Je tends mon cul en arrière pour qu’il puisse aller encore plus au tréfonds de mon corps. J’ai l’impression de jouir du cul. C’est vraiment trop bon et je lui signale mon bonheur. Il accélère et ralenti puis accélère de nouveau. Un liquide sort de ma verge complètement débandée et Maria ordonne à Linda de venir m’essuyer avec sa bouche, elle ne doit pas laisser tomber une seule goutte. Linda s’exécute sans broncher. Je sais que cela ne la dérange pas et que pour elle c’est un plaisir. Elle avale mon sexe dans sa bouche et me tête comme si c’était une tétine. Je suis mou et je n’arrive pas à bander mais c’est agréable de se sentir au chaud dans cette bouche. Antoine va maintenant de plus en plus vite, il ne ralenti plus et me besogne en continu sur le même rythme. Tout à coup il hurle comme une bête et joui dans l’artifice de son short. À ce moment je ne sais ce qui m’arrive mais je joui dans la bouche de Linda, mon sperme gicle en elle et pourtant je ne suis toujours pas dur, juste un peu regrossi mais mon sexe n’a pas rebandé et je lui envoie des giclées de sperme sur le visage et dans son palais. Elle me nettoie copieusement. Antoine et toujours en moi et n’a pas rebougé. Nous sommes bien ainsi et si la position avait été plus confortable j’aurai aimé m’endormir avec mon bel étalon dans mon cul. Il décide de se retirer et baisse son short. Il a la queue englué de son foutre et dit à Linda de le nettoyer. Pendant qu’elle s’exécute, Kim vient me donner un long baiser et me libère. Je suis courbaturé par la position que j’ai tenu pendant presque une heure. Antoine me prend par la main et m’entraîne vers le lit que les filles ont laissé.Maria et Kim sont en train de s’occuper de Linda. Elles lui retirent son body, son corps est nu, ils ne lui reste que ses chaussures et ses bas. Elles descendent deux cordes du plafond et accroche les poignets de Linda. Elles remontent les cordes jusqu’à ce que Linda se retrouve écarteler, bras en l’air. Elles l’ont tellement remonter qu’elle est presque obligée de se mettre sur la pointe des pieds malgré ses hautes chaussures. La position est inconfortable mais Linda est très belle ainsi. Elle lui attache les chevilles avec d’autres cordes et lui écartent les jambes, elles sont obligées de la redescendre un peu pour permettre de l’écarter encore plus. Les deux jeunes femmes enfilent à présent de grands gants moulants. Elles se frottent contre Linda et engagent autour d’elle une danse sensuelle. Danse qui ne nous laisse pas insensible Antoine et moi. Je vois mon voisin prendre son sexe en main et commencer à se branler lentement. Je désire résister le plus longtemps possible et me retient pour ne pas en faire autant. Maria est accroupie devant Linda, elle lui caresse ses jambes gainées de bas. Elle approche sa bouche et lui lèche ses jambes recouvertes. Elle embrasse ces longues jambes, laisse la pointe de sa langue en découvrir les reliefs. Son geste est d’une sensualité formidable et ma verge est maintenant en train de redevenir droite et raide. J’aimerai participer avec les femmes mais ce ne serait pas bien maintenant de rompre le thème de la soirée. Kim est derrière Linda. Elle l’a encerclé de ses bras et ses mains gantées se promènent sur le buste de sa belle-mère. Elle dépose de petits baisers sur son dos, entre ses omoplates. Que ces trois femmes sont belles ainsi. Petit à petit les mains de Kim descendent vers le pubis de Linda et quand enfin l’une d’elle commence un mouvement circulaire sur son clitoris, Linda bascule sa tête à la renverse, la bouche grande ouverte. Elle s’offre complètement et demande qu’elles la fassent jouir. Kim s’occupe toujours de son clitoris et Maria, tout en continuant de s’occuper de ses jambes avec sa bouche, pénètre un, puis deux, et trois doigts dans le vagin de Linda. Linda qui accompagne les gestes des deux jeunes femmes en ondulant son bassin. Et Maria ne s’arrête pas là , elle enfile un quatrième doigt puis le cinquième et c’est bientôt la main entière qui entre dans le vagin de Linda. Elle la fist et son mouvement est accompagné par un bruit glauque de ventouse. Depuis le lit où nous sommes allongés avec Antoine, nous voyons un jus s’écouler le long du bras de Maria et des cuisses de Linda. Elle crie de plus en plus fort sa jouissance. Je suis certain qu’elle a atteint l’orgasme déjà plusieurs fois mais les deux autres ne veulent pas la laisser ainsi, elles ne veulent pas s’arrêter comme leur demande Linda et elles la travaillent toujours avec la même conviction pour notre plaisir de voyeurs. Le spectacle qu’elles nous donnent est grandiose et Antoine commence par s’énerver sérieusement sur son sexe. Je retire sa main, la pose sur ma verge et prends possession de la sienne. Nous nous branlons en admirant les trois déesses qui sont au centre de la pièce. Linda hurle tellement que Maria et Kim s’arrêtent de la caresser. Kim part vers la commode et revient avec une cravache. Elle en donne un coup sec à Linda qui crie de surprise puis elle place l’extrémité sous le menton de Maria toujours accroupie et l’oblige à se relever. Elle l’attire vers elle et lui roule une pelle magistrale. Elle retient Maria de son bras gauche en enserrant sa nuque et sa main droite tenant la cravache, elle donne des petits coups sur les fesses et les cuisses de sa partenaire. Elle cesse son baiser. Entraîne Maria vers un mur. Lui impose de s’appuyer contre avec les mains. Relève sa jupe rouge. Sa croupe est offerte au-dessus de ses cuissardes. Elle recule légèrement et assène un coup de cravache sur les fesses de Maria qui ne bronche pas. Cette coquine a même l’air d’aimer ça et elle en redemande. Kim la fouette de plus en plus vite et de plus en lus fort. Maintenant Maria crie et demande à Kim de s’arrêter. Quand celle-ci décide enfin de stopper, Maria a le derrière rouge, près à éclater, à la limite du sang. Kim s’agenouille alors et lui lèche les fesses tendrement pour apaiser la douleur. Maria ne tarde pas gémir. Elle se retourne et offre son sexe à Kim qui plonge immédiatement sa langue entre les lèvres. Elle ne reste pas longtemps ainsi et embrasse et lèche maintenant les bottes de Maria jusqu’à la pointe des pieds. Elle remonte, se lèche deux doigts, les enduit de salive et les pénètre dans le vagin de Maria. Elle la fouille avec ses doigts pendant que sa langue joue avec son clitoris. Maria ne tarde pas à lui signaler son bonheur. Elle saisie la tête de Kim entre ses mains, elle lui caresse la nuque, laisse ses doigts glisser dans les cheveux de Kim. Elle gémit de plus en plus vite, de plus en plus fort et elle jouit. Kim ne cesse pourtant de s’occuper d’elle, Maria lui dit son envie d’uriner. Kim la regarde, ôte ses doigts, ouvre grand sa bouche sort sa langue et Maria déverse son urine dans la bouche de sa compagne. Elle lui pisse dessus, Je suis surpris, je n’avais jamais assisté à une douche dorée et Antoine encore moins que moi. La surprise à pour effet de le crisper. Il serre tellement fort ma verge qu’il me fait mal et je suis obligé de lui écarter les doigts. Il est comme tétanisé. Kim se redresse et embrasse Maria, les deux jeunes femmes s’enlacent et se touchent. L’urine sur leurs tenues en latex à pour effet de rendre leurs habits brillants. Quel beau et étonnant spectacle elles viennent de nous offrir ! Antoine m’a éjaculer sur les doigts et j’en fait autant sur sa main. Les deux filles libèrent Linda et nous allons tous nous doucher pour reprendre nos esprits.Samedi, la soirée chez Lucie et Alain.C’est ma dernière soirée avec mes hôtes, demain ma femme et les enfants rentrent et je devrais rejoindre le domicile conjugal pour les accueillir. Nous n’avons pas réfléchi longtemps Linda et moi pour nous décider à accepter l’invitation de Lucie et Alain. Nous prenons la route à dix neuf heures pour nous rendre chez nos nouveaux amis. Nous arrivons devant une grande maison moderne entourée d’un magnifique jardin et d’un étang coupé en deux par le chemin d’accès, le portail est ouvert et nous pénétrons en voiture jusque sur un petit parking où se trouvent déjà trois autres voitures. Lucie et Alain nous ont vu arrivés et viennent nous accueillir. Ils sont tous deux en maillot de bain.— Nous étions en train de nous baigner en attendant votre arrivée, dit Alain, suivez-nous, nous allons vous guider vers la piscine.Il y a une grande terrasse à l’arrière de la maison. On peut accéder à la cuisine et à un immense salon avec mezzanine par de grandes portes-fenêtres qui sont aujourd’hui grandes ouvertes. Sur le côté de la terrasse il y a un autre bâtiment, c’est la piscine couverte.— l’eau est été comme hiver à vingt six degrés dans la piscine, celle du jacuzzi à remouds est à plus de trente degrés et la température de l’air est en permanence à environ vingt quatre degrés grâce à une climatisation. Nous pouvons créer un courant dans la piscine et ainsi nager face à lui sans être obligé de faire des demis tours sans cesse puisque cela permet de faire du sur place, nous explique Alain.— Avez-vous des maillots de bains ? Demande Lucie. Si non ce n’est pas grave, vous pouvez aller vous changer dans le petit vestiaire attenant, il y a une armoire avec ce qu’il faut, nous vous attendons ici et après nous vous présenterons à nos invités de la soirée qui sont en train de barboter.Linda et moi allons dans le vestiaire. Nous ouvrons une armoire est nous trouvons un stock de maillots de bains de toutes sortes et de toutes tailles pour hommes et femmes emballées dans des sacs étanches avec l’adresse d’un pressing local. Linda choisie un petit ensemble deux pièces blanches et je prends un slip noir très brillant avec une bande rouge à la ceinture. Je l’enfile et je m’aperçois que le textile qui compose le maillot permet de mouler mes fesses et surtout mon sexe et j’ai vraiment l’impression d’être nu. Il n’est pas nécessaire de faire des efforts pour deviner mes formes sous ce léger vêtement. J’hésite à en changer mais Linda insiste pour que je le garde et me signale que de toute façon nous sommes venus pour une soirée libertine et que nous n’allons certainement pas garder nos maillots très longtemps. Nous rejoignons nos hôtes qui nous attendent sur la terrasse avec les autres convives en prenant un verre.— Mes amis, lance Alain, je vous présente Linda et Kevyn qui nous ont offert une soirée sensationnelle avant hier au sauna. Vous pouvez être certain que si nous les avons invité à se joindre à nous ce soir c’est qu’ils n’ont pas vraiment de tabous comme nous tous. Venez Linda et Kevyn je vais vous présenter nos amis.Nous nous approchons et Alain nous entraîne vers un jeune couple. La fille est très brune et se prénomme Monica et je devine à son accent quand elle nous dit bonjour qu’elle est italienne. C’est une vraie beauté, son corps est parfaitement sculpté, elle est grande, vraiment magnifique, guère plus de vingt ans, peut être vingt deux ou vingt trois, latine et belle comme je les adore, la copie conforme de Monica Belucci et en plus elle a le même prénom. Je me surprends à déjà fantasmer sur cette fille. L’homme qui l’accompagne s’appelle Kristofer. Il est blond. Il nous dit venir des pays nordiques, avoir 27 ans, être le patron de Monica et pratiquer la musculation pour entretenir son corps et cela se voit car il est vraiment très large d’épaule et très musclé sec. L’autre couple vient des pays de l’Est, ce sont des clients d’Alain. Elle, Tatiana, blonde comme les blés, environ 40 ans, de très gros seins pendants, petites et un peu rondouillarde. Lui, Alexeï, cheveux poivre et sel, la quarantaine également, petit, et plutôt bedonnant. Alain nous signale que tous sont bisexuels et qu’ils ont déjà fait plusieurs soirées très chaudes ensemble. Une jeune fille en jupe au raz des fesses et petit chemisier nous apporte deux verres de cocktail. Elle est de taille moyenne, environ un mètre soixante cinq, châtain et d’une minceur incroyable. Nous pouvons distinguer ses seins à travers son chemisier et je constate que comme Linda, elle est pratiquement plate, ses aréoles sont minuscules et comme j’adore ça, j’ai beaucoup de peine à les quitter des yeux. Elle fait demi-tour et comme elle s’éloigne, je regarde les ondulations de son bassin. Alain me dit :— Elle s’appelle Martine et travaille pour nous depuis ses seize ans, elle n’a pas changé physiquement depuis et je ne m’étais jamais intéressé à elle jusqu’à il y a deux mois où je l’ai trouvée en train de se faire lécher par notre chien, un briard. Elle ne m’avait pas vu et je l’ai regardé jouir. Elle se pinçait les lèvres pour ne pas faire de bruit. Quand le chien a eu terminé, il a quitté la pièce et je suis entré comme si de rien n’était. Elle était gisant sur le sol, les jambes écartées et j’avais le sexe au plus dur. Quant elle m’a vu, elle s’est mise en boule pour se cacher. Elle a balbutié des excuses, elle me disait qu’elle ne voulait pas être licenciée et qu’elle était prête à faire ce que ma femme ou moi voulions. Je lui ai signalé que nous n’étions pas des monstres, que nous étions pas au moyen âge et qu’il n’était pas question de se séparer d’elle, bien au contraire, ce que j’avais découvert me plaisais au plus haut point et plairait certainement à Lucie. Elle s’est alors levée en mettant ses mains devant son sexe et elle m’a dit que c’était la première fois que ça arrivait, qu’elle n’avait jamais connu de garçon et que parfois elle se donnait un peu de plaisir seule. Je me suis approché d’elle et je l’ai serré dans mes bras comme pour la pardonner et la consoler car elle s’était mise à fondre en larmes. Elle a relevé les yeux pour me regarder et m’a demandé de l’embrasser. J’ai pris sa tête entre mes mains, ai déposé mes lèvres contre les siennes et lentement, très lentement mais longuement, j’ai fouillé sa bouche avec ma langue. Quand je me suis écarté elle m’a demandé de l’initier à l’amour mais j’ai décliné son offre car l’émotion était trop grande et je n’avais pas vraiment envie de passer après mon chien.— Et depuis ?— Depuis, elle atteint l’age de la majorité et nous avons régulièrement des rapports à deux ou trois avec Lucie. Elle joue toujours de temps en temps avec le chien mais devant nous.— Vraiment ?— Oui, oui. Tu semble fortement intéressé !— Pourquoi pas ! J’aime sa jeunesse et son style.— Je lui demanderai de venir participer tout à l’heure, je suis certain qu’elle sera d’accord et d’ailleurs nous pouvons la mêler à nous dès le repas.Nous sirotons notre cocktail en discutant et en riant. L’alcool et la chaleur aidant, nous décidons d’aller nous baigner encore un peu avant d’attaquer le barbecue. Nous sommes maintenant tous dans la piscine et Kristofer lance l’idée d’un concours de plongeon. Nous passons les uns après les autres sur le plongeoir et sautons dans la piscine. Linda se fait un peu tirer l’oreille pour participer mais sous l’insistance de tous elle se décide à aller faire une bombe. À sa sortie de l’eau, il n’y eu plus aucun bruit. En effet, son maillot de bain blanc mouillé était comme inexistant et laissait visible son anatomie. Des sifflets d’admirations se firent entendre. Linda, aucunement gênée, monte sur le plongeoir et au lieu de se jeter dans l’eau elle dit :— Ça vous plait de mater comme ça ?Bien entendu nous acquiesçons tous et elle réplique :— Alors profitez en encore plus. Elle enlève son maillot et nous dévoile sa nudité dans le soleil couchant. C’est vraiment une belle femme.Elle se lance et saute dans la piscine et je voie Alain et Alexeï nager vers elle. Ils l’entourent et se mettent à la caresser sur tout le corps. Pendant ce temps, Tatania est venue à moi et dit :— Je vais aussi me mettre nue, m’occuper de toi et tu vas prendre soin de moi.Et aussitôt dit, aussitôt fait. Elle ôte son maillot, plonge sous l’eau et je sens des mains tirer sur mon slip de bain. Je ne tente aucune résistance et je me retrouve nu comme un vers très rapidement. Tatania remonte prendre son souffle. Ses gros seins flottent à fleur d’eau. Ses rondeurs sont sensuelles mais elles paraissent encore plus importantes avec l’eau. Elle se tourne vers Monica et lui dit :— Viens m’aider, il y a de quoi s’amuser là dessous.Monica ne se fait pas prier et en quelques brasses elle nous rejoint, se déshabille et me prenant la tête, plaque ses lèvres aux miennes et m’embrasse presque violemment. Cette déesse est une tigresse. Je lui prend les cheveux pour l’écarter de moi et je la maintient à distance.— Oui, vas y me dit-elle, j’aime bien être secouée et dominée, je suis ta chienne, fais de moi ce que tu veux.Son regard est perçant et provocateur. Elle agite sa langue dans une bouche ouverte pour m’inviter à entrer la mienne ce que je fais en la tirant à moi.Nous n’allons pas plus en avant car Lucie crie :— À table— Non après lance Alain.— Pas question réplique Lucie, tout est près, mais vous pouvez venir manger dans cette tenue, d’ailleurs comme vous êtes majoritaire, je propose que Kristofer qui m’aidait au barbecue, Martine et moi-même prenions une tenue similaire à la votre.En deux temps, trois mouvements, leurs vêtements volèrent vers le sol. Nous sortîmes de la piscine. Alain, Alexeî et moi étions bandés à l’extrême. Lucie nous tendit des peignoirs. Ils étaient blancs et court, ils descendaient juste au-dessous des fesses.Le repas se déroula jusqu’au dessert sans trop d’encombres. Les mains étaient souvent sous la table et les pieds se promenaient beaucoup ce qui me permis de découvrir que Kristofer était bi et que je l’intéressais. Il me décrocha un magnifique sourire quand je lui rendis sa caresse. Je pense qu’il était heureux de voir que j’étais partant pour ce type de relation. Avant le dessert nous décidâmes de faire une petite pose dans le jacuzzi. Les peignoirs allèrent rejoindre le sol et nous nous retrouvâmes tous dans l’eau très chaude. À neuf dans le jacuzzi, la place était plutôt exiguë et le contact avec ses voisins serré. Kristofer s’était placé à ma gauche et j’avais Martine à ma droite. Les mains reprirent rapidement l’inspection des corps voisins, comme pendant le repas. Je glissais lentement une main le long de la cuisse de Martine. Elle s’en saisit et l’amena directement à son pubis en me regardant. Elle me força à la caresser et m’indiqua le rythme à prendre. Dès qu’elle estima mes caresses à son goût, elle posa sa main sur mon pénis qui était déjà assez dur et il ne fallu pas longtemps pour que je soit bandé à l’extrême. Kristofer avait passé son bras autour de mon cou et attirait ma tête et surtout ma bouche à la sienne. Je me laissais faire et il m’embrassa fougueusement, me fouillant la bouche de sa langue. Chaque recoin de ma bouche, mon palais, mes dents, ma langue furent inspectés. Quand il me lâcha je jetais un regard autour de moi, Martine avait posé sa tête sur mon épaule et me branlait, Kristofer me massait les couilles, j’avais maintenant deux doigts dans le vagin de Martine. Les autres, autour de nous, n’étaient pas en reste. Linda était remontée sur le bord du jacuzzi et Monica lui faisait un cunnilingus pendant qu’elle administrait une fellation à Alexeï. Quant à Tatiana elle était assaillie par Alain qui l’avait retournée et qui était en train de la prendre en levrette. Lucie qui était la seule à ne pas participer s’approcha de nous et dit :— Martine, tu ne vas garder ces deux beaux mecs pour toi seule, veux tu partager avec moi.— Oui Madame répondit Martine.Elle se plaça entre les jambes de Kristofer et entrepris de lui faire une fellation. Elle dégagea doucement son gland avant de l’engloutir dans sa bouche. Elle se contenta de jouer avec ce gland tout en branlant le reste de la verge. Kristofer était totalement épilé et très doux au toucher ce qui contrastait avec son imposante carrure. Il commençait à avoir des spasmes et Lucie cessa son traitement. Elle leva la tête vers Martine et lui dit de me prendre en bouche. Martine s’exécuta aussitôt. Elle présenta sa bouche en rond face à mon gland, l’appuya contre et entrepris de faire entrer mon sexe dans sa bouche lentement. Au fur et à mesure de la pénétration ses lèvres s’ouvraient un peu plus et le contact avec ma verge emprisonnée dans ce fourreau était vraiment très agréable. Elle recula sa tête, ressorti mon sexe et recommença, c’était divin. La pression sur mon gland et mon pénis était telle que je ne me sentais pas capable de me retenir longtemps. On ne m’avait jamais fait une telle pipe. Lucie s’en aperçu et avant qu’il n’y ai du sperme plein le jacuzzi elle nous proposa de tous sortir et de nous mettre sur les matelas de plage. Nous nous dirigeâmes tous sur les matelas, Martine me fit coucher et sans plus attendre, elle s’empala sur moi. Elle approcha sa bouche de la mienne et nos langues se mêlèrent dans un long baiser. Tout en m’embrassant, elle commençait à onduler son bassin. Elle se redressa et entrepris de monter et descendre sur ma verge. Ses mouvements étaient parfois lents et longs, parfois courts et rapides. Elle lâchait de petits râles à chacun de ses mouvements. Tout à coup elle accéléra encore plus la cadence, se mit à hurler et s’effondra sur moi. Nous ne bougeâmes pas un instant puis petit à petit je repris à mon compte les mouvements dans sa chatte.— Doucement, me dit-elle, je doit reprendre mon souffle. Tu m’as fais jouir comme une folle.Elle se retira de mon sexe et demanda ceci :— Je n’ai jamais été sodomisé car je n’ai connu qu’un homme jusqu’à présent et c’est Monsieur Alain et son sexe est trop gros alors j’aimerais que ce soit toi qui le fasse, que tu me prépares et ensuite que tu me pénètres par le petit trou.Elle se retourne à quatre pattes et me présente ses belles petites fesses. Je les prends dans mes mains et commence à les masser. Le mouvement circulaire s’approche de plus en plus de la raie culière et mes pouces flirtent maintenant avec sa rosace. Je fais couler un peu de salive dans cette raie et l’intercepte avec mon index au niveau de son petit trou. Je la sens contractée. Je lui administre une petite tape sur la fesse et lui demande de se laisser faire. Mon index chargé de salive tente de se frayer un chemin dans son petit trou mais impossible de le pénétrer sans lui faire mal. Je mets mes mains sur ses fesses, les écarte, et présente la pointe de ma langue. Je lui fais une feuille de rose et je me rends compte à ses ondulations de ses reins et aux légers râles qu’elle apprécie cette caresse. La pointe de ma langue arrive dorénavant à se frayer un passage. Je commence à lui branler la rosace avec ma langue qui pénètre beaucoup plus loin. Elle se dilate de plus en plus. Comme elle semble plus disposée je représente mon index et la première phalanges de celui-ci entre cette fois sans peine ! Elle redresse la tête, la tourne pour me regarder, me demande de continuer et s’excuse de son appréhension. Je sors mon doigt, met une bonne dose de salive dans la raie de son cul et replace mon doigt face à l’entrée de sa grotte. Cette fois le doigt entier pénètre dans ses chairs. J’entreprends de faire de petits vas et vient et je sens son anus s’ouvrir, je le triture dans tout les sens pour écarter les parois et elle gémit. Je tente de pénétrer un deuxième doigt et cela se fait rapidement. Sans plus attendr,e je présente donc un troisième doigt face à l’orifice. La pénétration est difficile et je m’interromps. Lucie qui n’avait rien loupé de la scène, s’approche et me donne des petits sachets qu’elle retire d’une corbeille en osier. Ce sont des sachets de gel.— Il y a aussi des préservatifs si vous en voulez mais je puis vous assurer que nous sommes tous clean et qu’il n’y a aucun risque.J’ouvre un sachet et enduit le trou de Martine avec le gel. J’en ouvre un autre pour m’en couvrir les doigts que je rentre facilement cette fois dans l’anus. Elle ondule de tout son corps sous mes doigts qui plongent et replongent dans son fondement sans peine. Je retire mes doigts, prends un sachet de gel, en enduit ma verge dur. Je pose mon pénis à l’entrée de son antre restée un peu ouverte après le passage de mes doigts et appuie doucement pour le faire pénétrer. Elle se contracte et interdit toute pénétration.— N’ai pas peur, tu n’auras pas mal, laisses moi faire et pousse comme si tu étais aux toilettes, cela facilitera ma pénétration.Elle obéit, et je pousse pour entrer en elle. Mon gland est presque entrée mais je doit vaincre le dernier rempart. Ce qui est fait aidé par Martine qui à vite apprise la leçon. Je continue ma pénétration et mon sexe est bientôt entièrement gobé. Je reste immobile un instant au fond de son anus. Elle tourne la tête et je perçois une larme coulant sur sa joue.— As-tu mal— Pas du tout, je suis heureuse, limes moi maintenant.Elle bouge son bassin pour sortir ma verge et revient vers moi. Je prends la relève en commençant une pénétration douce et lente. Petit à petit j’accélère le rythme. Je me dresse sur mes jambes que je place de chaque côté de ses reins. Je peux ainsi la pénétrer encore plus profondément. Elle hurle son plaisir et avec une de ses mains elle se caresse le clitoris. Alain s’est approché de nous. Il se glisse sous Martine, s’arrête vers sa bouche pour l’embrasser et lui dit :— Maintenant que le passage est fait je vais pouvoir m’occuper aussi de ton petit trou Martine.— Oh oui Monsieur.Alain glisse sous Martine et ils se retrouvent en position de 69. Martine prend le sexe d’Alain dans sa bouche et commence une fellation. Pendant ce temps Alain s’occupe du vagin de Martine. Cette scène m’excite et je sens la sève monter en moi. Martine et également sur le point de jouir et quand je me déverse en elle, elle crie sa jouissance et son bonheur. Je reste un instant au plus profond de son cul, inerte, sans bouger. Martine et Alain ne bougent pas non plus jusqu’à ce qu’Alain dise :— À mon tour maintenant, laisse-moi la place Kevyn, le passage est fait et lubrifié pour mon gros sexe.Gros sexe effectivement. Alain est vraiment très bien membré. Son pénis fait environ vingt centimètres de long et facilement six centimètres de diamètre. Moi qui suis bi, je n’ai jamais été pénétré par un si gros sexe et je pense que j’appréhenderais même si la vue de cette verge qui va bientôt tenter d’entrer en Martine m’attire et sans réfléchir je lâche :— Gardes en aussi pour moi, je n’ai jamais connu le plaisir d’une aussi volumineuse verge et il est temps que je me fasse enculer par un beau braquemart comme le tien.— D’accord Kevyn, je m’occupe de Martine car j’en ai envie depuis longtemps, le temps de recharger mes batteries et ce sera ton tour. Je vois que tu es déjà d’attaque pour recommencer et qu’il perle encore un peu de sperme sur ton gland, tu devrais te faire nettoyer. Tu n’as pas vraiment le choix car entre Monica qui s’occupe d’Alexeï avec Lucie, Tatania qui joue avec Linda, il reste Kristofer et comme pendant le repas il semblait fort intéressé par toi et que c’est un plutôt beau gosse, vous devriez rapidement trouver des affinités et il pourrait te préparer pour m’accueillir tout à l’heure.Tout en me parlant, il avait pointé son gland sur le trou béant et gluant de mon sperme de Martine et commençait une poussée lente, précautionneuse et régulière dans l’entrée de ce si beau petit cul. Martine grimaçait mais ne disait rien. Etait ce parce que c’était son patron ou parce qu’elle aussi en avait très envie, mais elle restait muette et les lèvres pincées. Une bonne partie du gland disparaissait maintenant entre les fesses qu’Alain écartait de ses mains. Après chaque petites poussées, il s’interrompait et se penchait pour embrasser la nuque de Martine. La moitié de sa verge avait disparu dans l’antre qui m’avait si tendrement massé tout à l’heure et en dernière poussée, le ventre d’Alain vint s’encastrer contre les fesses de Martine. Ils restèrent un long moment ainsi avant que Martine ne commence à onduler du bassin. Son geste donna le feu vert à Alain pour ses vas et vient qu’il se mit à faire de plus en plus rapidement et énergiquement. Martine qui gémissait en petits râles au départ, faisait à présent des bruits de plus en plus fort, elle hurlait presque et tout le monde se retourna pour voir Alain la besogner. J’était debout près d’eux et sentit une agréable chaleur humide autour de mon pénis. Kristofer était en train de me nettoyer la verge. Il m’avait gober en entier dans sa bouche. De sa main gauche il me pétrissait les testicules et il promenait la droite dans la raie de mes fesses. Ses caresses étaient fort agréable et je ne résistait aucunement. Cet amant me plaisait assez. Je posais mes mains contre ses tempes et je dirigeais sa bouche vers mon sexe en signe d’approbation. Il joua longtemps avec mon gland qui devint violacé sous ses succions. Je sentais la jouissance monter en moi et c’est avec grande peine que je me retenais pour ne pas lui éjaculer dans la bouche. Sa langue se promenait sur ma grosse veine et descendait sur mes couilles. Ses mains écartaient mes fesses et un de ses doigts avait trouvé l’entrée de ma grotte et y était pénétré. Il avait mon gland dans sa bouche et avec son autre main il me branlait de plus en plus frénétiquement. J’allais jouir. Je n’allais pas pouvoir tenir encore éternellement ainsi. Il vint appuyer sur ma prostate avec son doigts et je me déversais dans sa bouche en longues giclées en gémissant. Il me nettoya jusqu’à la dernière goutte. Il se redressa, me roula une pelle d’enfer. J’aimais le goût de sa salive mélangée à mon sperme. Notre baiser dura de longs instants. Nous nous caressions mutuellement. Il avait une peau très douce comme celle d’un bébé. Il me fit me retourner et me mettre à genoux. Il se plaça derrière moi, m’enduisit le cul et surtout mon orifice de gel. Enfila un préservatif et me pénétra rapidement sans effort. Il m’avait vraiment bien préparé pour le recevoir. Je pris appuie sur mes mains, les bras tendus et je basculait ma tête en arrière en la tournant vers lui. Il approcha sa bouche et nos langues se trouvèrent et s’emmêlèrent. Il me sodomisait doucement, précautionneusement. Un liquide blanchâtre coulait de mon prépuce. Il le récupérait avec ses doigts et me le portait à la bouche. Je recommençais à bander. À ce rythme et avec autant de tendresse j’allais à nouveau jouir. Jouir de me faire prendre par ce bel apollon. Tatiana qui venait de faire jouir pour au moins la quatrième fois de suite Linda, la laissa pantelante et vint se placer sous moi pour prendre mon sexe dans sa bouche. Elle se plaça sur le dos, les jambes écartées et son pubis au niveau de ma bouche. Je posais mon torse sur son ventre en j’enfouis ma tête entre ses cuisses. J’avais à peine commencé à lécher son clitoris qu’elle m’interpellait déjà de toutes sortes de mots que je ne comprenais pas. Un flot de liquide sortait de son vagin. Elle était clitoridienne et j’avais immédiatement trouvé son point faible. Elle jouissait coup sur coup. Ses orgasmes se répétait à l’allure d’une mitraillette. Kristofer qui pendant ce temps n’avait cessé ses aller et retour en moi se raidit. Il m’empoigna très fort aux hanches, se bloqua au fond et se déversa dans le préservatif. Alain, avait fini depuis un bon moment avec Martine. Elle l’avait entièrement nettoyée avec sa bouche et cela eu pour effet de lui redonner vigueur. Il poussa Kristofer et se plaça derrière moi à sa place.— Tu es ouvert alors je vais satisfaire ton fantasme et te mettre ma grosse bite dans le cul.Et sans coup férir il s’enfonça en moi avec violence ce qui me fit hurler. Il m’avait fait très mal et j’avais des larmes aux yeux. Les autres se retournèrent tous et vinrent me consoler. Sans attendre un instant, Alain avait commencé d’entrer et sortir. Après quelques instants, la douleur se dissipa et je commençais à prendre du plaisir. Plusieurs fois il se retira complètement pour revenir ensuite. Il appuyait sur ma prostate à chaque pénétration et du jus sortait de ma verge à chaque fois. Monica avait prise la place de Tatiana et avait englouti mon sexe dans sa bouche. Alexeï se mis entre ses jambes. Lui leva les fesses et enfonça son pénis entre ses lèvres. J’étais aux premières loges pour voir sa verge dans le vagin de Monica qui ne cessait de me sucer. Le ventre bedonnant d’Alexeï frappait les fines et belles cuisses de sa partenaire. La mollesse de l’un et la fermeté des autres tranchaient vraiment. Le sexe d’Alexeï n’était pas très long mais par contre très large avec de grosses veines.Kristofer faisait maintenant l’amour avec Linda pendant que Lucie et Martine se gouinaient. Seule Tatiana était restée tranquille dans son coin. Le cunnilingus que je lui avais affligé l’avait rendu amorphe. Les râles se transformaient ça et là en cries et pendant qu’Alain me remplissait de son sperme, Alexeï se retira de la splendide Monica et m’envoya son jus au visage. Il se finit en se branlant face à moi et s’offrit une belle éjaculation faciale. J’avais horreur de subir pareille chose et je n’avais jamais accepté auparavant mais là , je n’avais rien pu faire, coincé entre ses deux hommes. Je gardais les yeux fermés et avec les petits soins que m’apportait toujours Monica je finis également par jouir dans le palais de ma belle Italienne. Les deux se retirèrent et je sentis Monica glisser sous moi. Je n’osais ouvrir les yeux sentant le sperme couler sur mon visage. Bientôt une langue se mit à l’œuvre pour me nettoyer. J’ouvris un œil et j’eus la joie de voir Monica s’occuper de moi. J’étais ravi et je la laissa faire. J’étais vraiment attiré par cette fille et je pense que je ne lui était pas insensible. Nous restâmes ensemble le reste de la nuit et elle s’endormit dans mes bras.Linda qui devenait de plus en plus possessive à mon égard me signala sur le retour le lendemain, qu’elle n’avait pas trop apprécié mes ébats avec Monica. Elle me supplia de quitter ma femme et de venir vivre avec elle mais nos accords étaient clairs et depuis nous ne nous sommes jamais revus.Je vais toujours de temps en temps chez Lucie et Alain et nous faisons l’amour ensemble avec Martine. Nos parties carrées sont souvent très chaudes étant tous bi. Ils organisent parfois des soirées avec d’autres invités et j’ai plusieurs revu Monica. Elle n’est plus avec Kristofer et vient à présent seule. Il nous arrive de nous éloigner du groupe et de nous réfugier dans une chambre pour nous ébattre comme de vieux amants mais l’un comme l’autre nous ne voulons interférer sur notre autre vie et nos rencontres même si elles sont aujourd’hui fréquentes –Monica pouvant se déplacer facilement- restent du domaine de relations entre amants.Je n’ai jamais revu Linda et nous ne nous sommes plus jamais envoyé de mail. Kim m’a écrit pour m’annoncer son mariage et pour m’inviter. Le mari de Linda est revenu et elle est reparti avec lui. Maria a touché de fortes indemnités et est rentrée au Portugal. J’ai accepté l’invitation de Kim et je suis venu à son mariage avec ma femme en lui faisant croire que c’était la fille d’un gros fournisseur. Bien entendu, Linda était là mais en grande dame, elle ne laissa rien paraître. Je sortis un instant pendant le repas pour prendre l’air et Kim vint me rejoindre. Elle me remercia de ma présence et me dit qu’elle m’écrirai pour qu’on se rencontre avec Antoine. Nous nous sommes un peu promené dans le parc du restaurant et nous aperçûmes derrière un bosquet ma femme avec Linda et son mari. Elle avait la robe retroussée et il était en train de la prendre pendant qu’elle embrassait Linda qui lui pétrissait les seins. Linda devait être heureuse de tenir sa vengeance. Depuis ce jour, nous avons eu une conversation sur le sexe et nos envies avec ma femme. Nous sommes maintenant un couple libre en plein accord l’un avec l’autre. Nous avions auparavant des relations chacun de notre côté sans en parler à l’autre, aujourd’hui, nous nous empressons de tout raconter. Nous pratiquons l’échangisme et nous fréquentons les clubs de la région. Nous avons même une fois retrouvé des amis de longues dates que nous rencontrions au moins deux fois par mois auparavant pour faire des repas chez les uns ou les autres. J’avais d’ailleurs eu à une époque une relation avec la femme que j’aimais bien pour ses énormes seins, elle fait du cent cinq D. Nos repas ont aujourd’hui une autre forme et c’est plus de chairs humaines que nous nous nourrissons lorsque nous sommes ensemble et ma femme a initié notre amie au plaisir féminin et adore aussi jouer avec sa poitrine. Kim et Antoine ont gardé la maison des parents pour domicile et nous invitent souvent à dîner. Antoine et fanatique des rondeurs de ma femme et s’occupe d’elle à merveille pendant que nous nous amusons Kim et moi. Ma femme a mise un peu de temps avant d’accepter de me voir avec un homme sans gêne mais nous partageons à ce jour un bonheur que nous n’aurions pu imaginé il y a quelques mois et nos aventures homosexuelles nous comblent à merveille.