Femme mature… merci (2)Après avoir quittĂ© Denise, je me suis demandĂ© si je ne venais pas de vivre un rĂŞve … Heureusement, pour m’en dĂ©tromper, j’avais encore sur moi l’odeur de notre accouplement et surtout, j’avais ce rendez-vous pour demain après-midi.Je me suis endormi le sexe blotti dans ma main mais sans me masturber…. Je voulais, demain, pouvoir prouver Ă Denise toute ma virilitĂ© et pas la dĂ©cevoir. NĂ©anmoins j’ai eu difficile de rĂ©sister car tout Ă©tait encore tellement prĂ©sent devant mes yeux.. cette femme somptueuse qui s’offrait Ă moi dans un total abandon, cette femme qui prenait plaisir Ă mes caresses un peu maladroites, cette femme qui, elle-mĂŞme a introduit mon sexe en elle ….Le lendemain venu, j’ai prĂ©textĂ© n’importe quoi Ă mes parents pour ne pas aller Ă la plage et vĂŞtu d’un beau pantalon sport et d’un T Shirt je me suis rendu chez elle. Nous devions ĂŞtre tranquilles puisque son mari Ă©tait retournĂ© au boulot et son fils en stage de plongĂ©e. La belle-mère qui habitait l’appartement voisin devait Ă©galement ĂŞtre absente pour l’après-midi… nous avions donc des heures câlines devant nous, avec plus de confort que dans la cabine de plage .. !!Elle rĂ©pondit Ă mon premier coup de sonnette et j’entendis dans le parlophone : « monte, mon grand loup «Elle m’attendait lĂ©gèrement maquillĂ©e, ce qui rendait très joli son teint de rousse et habillĂ©e d’une robe lĂ©gère qui virevoltait autour d’elle. Elle Ă©tait pieds nus. L’appartement de location Ă©tait coquet et la fenĂŞtre du living donnait en plein sur la mer.J’étais un peu gĂŞnĂ©, ne sachant pas trop bien quoi faire. Elle me mit Ă l’aise en me faisant asseoir dans le canapĂ© et en me servant un dĂ©licieux cafĂ© avec des biscuits de Furnes. Lorsqu’elle se penchait pour me servir, je voyais le sillon de sa poitrine par la robe qui baillait un peu.. Il ne m’a fallu plus pour qu’il y ait de l’agitation dans mon slip. Faut dire que cela a de la mĂ©moire ces petites bĂŞtes lĂ .Denise est venue s’installer Ă cĂ´tĂ© de moi, sa cuisse contre la mienne et en guise d’ouverture mis ses lèvres sur les miennes, très tendrement, comme si nous Ă©tions des amants de toujours. Ses genoux Ă©taient nus sous la robe un peu retroussĂ©e et j’y mis la main, remontant mĂŞme lĂ©gèrement sur la cuisse soyeuse.Denise me laissait faire et se blottissant encore plus contre moi, elle me mordilla le lobe de l’oreille en me disant ; « Tu sais mon grand loup, qu’hier tu m’as donnĂ© du plaisir comme jamais je n’en avais eu avant. Je vais te faire un aveu… j’ai eu mon premier orgasme alors que tu me mettais de l’huile sur l’intĂ©rieur de mes cuisses et le second, lorsque tu as empoignĂ© ma poitrine longuement dans l’eau… ma seule crainte Ă©tait que tu sois timide et que tu n’oserais pas allez plus loin… lorsque je me suis dĂ©shabillĂ©e dans la cabine pour me changer, j’avais une envie folle que tu viennes et que tu me prennes comme cela, debout et nue, nos corps sentant encore le sel marin et l’huile solaire…. «Je ne savais que rĂ©pondre et j’ai prĂ©fĂ©rĂ© les gestes aux paroles. Je lui ai pris la bouche et, du bout de ma langue, comme par jeu, je la lui ai fait ouvrir pour aller chercher sa langue et jouer avec, encore très doucement comme pour un long prĂ©liminaire…Ma main Ă©tait remontĂ©e le long de sa cuisse et s’était arrĂŞtĂ©e Ă son pubis, encore revĂŞtu de son slip. Je la caressais sur le tissus, recherchant ses lèvres intimes et la protubĂ©rance de son bouton d’amour… je sentais que son slip se mouillait sous mes doigts et qu’elle ouvrait bien la fourche de ses cuisses pour me permettre encore un meilleur accès. Mes doigts se sont infiltrĂ©s sous son slip et se sont mis Ă jouer avec sa toison abondante bien humidifiĂ©e par ses secrĂ©tions intimes….Elle ne restait pas inactive non plus et, tout en continuant notre long baiser amoureux, elle ouvrit mon pantalon et fit sortir ma queue… Elle a eut un murmure d’admiration en voyant comme je bandais bien pour elle et, quittant mes lèvres, elle prit mon sexe en bouche. C’était ma première fellation habile… Denise parcourait toute la hampe de ma queue après avoir dĂ©capuchonnĂ© le gland par un habile mouvement de ses lèvres. Sa bouche allait et venait sur moi, allant aux testicules, au gland, comme un papillon voleteur… mon sexe Ă©tait presque muni d’une vie propre car il cherchait lui-mĂŞme le plus de contact possible avec ce chaud fourreau mobile…. Le bruit de ses succions augmentait mon plaisir tandis que ma main fourrageait toujours dans sa grotte …. Nous ne pouvions rester ainsi comme des adolescents en train de se peloter … il fallait aller plus loin …Denise me dit « Viens.» Et, me tenant la main, elle m’entraĂ®na vers la chambre. Le vaste lit Ă©tait dĂ©jĂ ouvert….Sans mot dire, elle se mit devant moi et, lentement elle enleva sa robe, non pas comme un strip-tease mais bien comme un geste d’abandon. Comme je le pensais, elle n’avait pas de soutien. Son slip fut Ă©galement enlevĂ© et, comme hier, elle Ă©tait nue devant moi. FĂ©brilement, j’avais vite dĂ©fait mes vĂŞtements et j’étais nu quasi en mĂŞme temps qu’elle.SĂ©parĂ©s d’un mètre, nous nous regardions… La somptuositĂ© de son corps m’apparaissait encore mieux que dans la pĂ©nombre de la cabine… comment dire autre chose qu’elle Ă©tait admirable dans sa plĂ©nitude !Ses regards parcouraient aussi mon corps et s’attardaient sur mon sexe.Cette scène d’observation rĂ©ciproque Ă©tait d’un Ă©rotisme torride et bientĂ´t nous n’avons pu rĂ©sister Ă nous rejoindre et Ă tomber ensemble sur le lit, jambes mĂŞlĂ©es, bouches soudĂ©es pour une longue Ă©treinte prĂ©parative. Denise se dĂ©tacha de moi et se retournant, elle repris ma queue en bouche, me prĂ©sentant son impressionnant fessier. Cette position classique de 69 m’était peu connue mais je compris très vite ce qu’elle attendait de moi et, langue pointĂ©e, je me mis Ă lui lĂ©cher le sexe largement ouvert. Il en sortait des effluves de jouissance et un lĂ©ger Ă©coulement tĂ©moignait de son excitation. C’était diantrement bon et je m’amusais Ă titiller son bouton d’amour et Ă introduire un, deux, trois doigts dans son vagin, m’amusant un peu Ă ainsi dĂ©couvrir un corps de femme mature. Ma langue allait et venait en un ballet que je rendais habile jusqu’à ce que, remontant sa raie fessière, je me suis attardĂ© Ă son petit trou, hĂ©sitant Ă savoir si elle aimait cela. Ses grognements de plaisir ne me laissaient aucun doute Ă ce sujet et j’ai donc continuer Ă saliver autour de son petit trou en y introduisant un doigt. Denise se tortillait sous mes attouchements prĂ©cis mais n’abandonnait pas ma queue.Je dus lui dire : « Attention, je vais jouir … » car je ne savais plus me retenir… elle a continuĂ© imperturbablement Ă me sucer tout en jouissant comme une folle contre ma figure. Je lui ai lâchĂ© toute ma semence, me vidant complètement en elle sans retenue…. Elle se pourlĂ©chait tandis que de mon cĂ´tĂ© je buvais avidement toute sa jouissance abondante….Denise se redressa et elle est venue vers moi pour un long baiser oĂą nous avons mĂ©langĂ© nos salives mĂ©langĂ©es Ă nos jouissances… Je continuais Ă caresser son corps, m’attardant Ă ses seins que je trouvais si merveilleux….Repus de sexe, nous nous sommes allongĂ©s cĂ´te Ă cĂ´te, ma main traĂ®nant entre ses cuisses et elle, me tenant la queue ramollie.C’était un moment agrĂ©able et doux oĂą le sexe devient amour…..Je n’ai pas tardĂ© Ă rebander sous la main de ma compagne et avec Ă©merveillement elle dĂ©posa un lĂ©ger baiser d’effleurement sur mon gland…« Que c’est merveilleux avec toi.. tu rebandes si vite… avec mon mari, c’est vite une fois et pour la suite c’est la semaine d’après !! tu es mon premier jeune amant… je ne t’oublierai jamais… excuse-moi mais je dois aller faire un petit pipi… je reviens de suite…. » me dit-elle.SubjuguĂ© par son corps, par sa gentillesse, par son expĂ©rience, je n’ai pas voulu rester seul et je l’ai suivie Ă la salle de bain oĂą elle s’asseyait juste pour son pipi…« Tu es un petit cochon, me dit-elle en souriant et en pissant avec un bruit bien sonore … »Je mis ma main entre ses cuisses et j’ai senti ainsi le liquide chaud me couler dessus… elle y prenait plaisir et, par jeu, sa bouche tentait de s’emparer de ma queue qui oscillait bien dressĂ©e devant elle …« Tu m’excite comme ce n’est pas permis…. Viens vite … »Elle m’entraĂ®na Ă nouveau su le lit et lĂ , elle s’est mise Ă califourchon sur ma queue, s’embrochant profondĂ©ment et s’agitant pour trouver son plaisir. C’était dantesque de voir ce corps nu se dandiner sur mon sexe, les seins ballottant de gauche Ă droite au fil des mouvements. Je m’en suis emparĂ© et, sans beaucoup de dĂ©licatesse je les malaxais et pinçais les pointes, au plus grand plaisir de ma cavalière qui se trĂ©moussait sur moi. Nos deux bassins avaient trouvĂ© le rythme idĂ©al et c’est maintenant lentement, sans hâte que nos corps s’en allaient ensemble vers une jouissance. Je sentais bien que Denise avait dĂ©jĂ eu plusieurs orgasmes car Ă chacun d’eux ses yeux se rĂ©vulsaient, sa bouche se crispait et elle miaulait comme un petit chat attendant son lait …Je me suis demandĂ© alors si dorĂ©navant je saurais encore me contenter de faire l’amour Ă des copines de mon âge et si, toute ma vie je ne resterais pas marquĂ© par cette femme.Nous faisions durer le plaisir, usant et abusant de notre pĂ©nĂ©tration profonde, de nos mains sur nos corps …. Lorsque soudain, la porte de l’appartement s’ouvrit en grand pour laisser entrer une femme d’une cinquantaine d’annĂ©e.« Merde, voilĂ la belle-mère » lança Denise.La nouvelle entrante Ă©ructa : « Ah ! VoilĂ ma salope de belle-fille qui se fait baiser par un jeunot. Et tu croyais que je ne m’en doutais pas !! Hier, Ă la plage je vous ai observĂ©s et lorsque vous ĂŞtre rentrĂ©s dans la cabine, j’ai bien pensĂ© que ce n’était pas pour compter les grains de sable. »Moi, très surpris, j’avais continuĂ© machinalement mon mouvement de va-et-vient dans le corps de ma maĂ®tresse. La belle-mère hurla :« Vous, le gamin, vous pourriez bien arrĂŞter de baiser ma belle-fille quand je vous parle !! »Denise pleurait et je sentais ses larmes couler sur moi. Fini le beau rĂŞve.. il va falloir assumer…J’ai alors regardĂ© attentivement regardĂ© l’intruse. Elle avait une cinquantaine bien conservĂ©e, pas très grande mais bien proportionnĂ©e et habillĂ©e BSBG d’un joli pantalon de toile blanche et d’un chemisier bleu clair transparent, sous lequel on devinait un soutien Ă dentelle. Elle Ă©tait maquillĂ©e comme pour sortir en ville et donc pas du tout plage. Elle n’était certes pas vilaine !! Je me demande bien pourquoi d’ailleurs je me disais tout cela !!Pour moi, que devais-je faire ? Ainsi enfourchĂ© par Denise, je cachais une partie de ma nuditĂ© mais on n’allait quand mĂŞme pas rester ainsi embrochĂ©s toute l’après-midi devant la belle-mère !!!C’est Denise qui a eu le premier mouvement et s’est dĂ©tachĂ©e de moi pour, sans couvrir sa nuditĂ© aller pleurer au fond du lit. La situation Ă©tait grotesque !!La belle-mère qui, je l’ai appris après s’appelait Anne-Marie m’a attentivement regardĂ© pendant que je passais devant elle, encore Ă demi bandĂ© pour aller Ă la salle de bain.« Bien montĂ©, ce gamin… » dit-elle Ă ma grande surprise. Elle m’accompagna Ă la salle de bain et lĂ , sans attendre, me mit la main au sexe en me disant :« Tu sais, mon beau garçon, moi je m’en fous si ma belle fille se fait baiser car je sais que mon fils est aussi con et aussi couilles-molles que son père… et ce n’est pas peu dire… mais, en te voyant, je me dis que Denise pourrait bien partager son bel Ă©talon…. »Tout en me parlant elle avait dĂ©fait la ceinture de son pantalon et avait fait tomber celui-ci Ă terre. Tout en l’enjambant, elle a Ă´tĂ© son chemisier et m’est apparue en une large culotte Ă dentelles et un soutien bien garni….J’entendais toujours Denise pleurer sur le lit et je me suis dit qu’il fallait dĂ©bloquer la situation… C’est donc hardiment que j’ai pris Anne-Marie par la taille et me suis mis Ă dĂ©grafer son soutien. Misère, quelle belle paire !!! Dans un autre genre, plus discret que Denise, c’était une poitrine attirante avec de très petits tĂ©tons pointus sensibles sous les doigts…. Sa bouche cherchait la mienne et elle agitait une petite langue acĂ©rĂ©e sur mes lèvres, mon nez, mon menton pendant que moi je lui retirais sa culotte dĂ©voilant sa chatte noire bien taillĂ©e.Elle me murmura Ă l’oreille : « Tu me semble douĂ© mon gars… tu vas voir ce que c’est que de me baiser… cela fait trois mois que mon mari me dĂ©laisse et j’ai la marmite qui va exploser !!! Viens vite sur le lit et continue avec moi ce que tu n’as pas conclu avec cette salope de Denise… »Son langage me plaisait et, me suis-dit, si elle en veut… elle en aura !!!Le visage de Denise quand elle a vu sa belle-mère nue m’entraĂ®ner vers le lit oĂą elle se trouvait encore…..Anne-Marie, sans faire de manière, s’est couchĂ©e sur le dos et a ouvert largement ses cuisses, remontant ses genoux et me dĂ©voilant comme cible son sexe bĂ©ant…. Je m’y suis engouffrĂ© sans trop de prĂ©caution et l’ai trouvĂ© plus serrĂ© que celui de Denise. Ce n’était certes pas dĂ©sagrĂ©able. Ă€ grands mouvements amples je me suis mis Ă labourer cette belle terre fĂ©minine offerte qui gĂ©missait de plaisir sous moi.Denise avait vite compris et me laissant continuer l’extase de sa belle-mère, elle se mit Ă m’embrasser…. GoulĂ»ment …. J’avais deux maĂ®tresses Ă la fois et quelles femmes….Anne-Marie roucoulait sous moi et se montrait encore plus demandeuse que Denise… Une nouvelle fois cela a Ă©tĂ© long… très long et nous avons inversĂ© les positions plusieurs fois pour enfin… comme apothĂ©ose avec mes deux fĂ©es ( !!) a genoux sur le lit et moi les prenant l’une après l’autre…. Ă€ plusieurs reprises j’ai vu la bouche d’Anne Marie rejoindre celle de Denise et les doigts s’égarer dans des chattes consentantes ……Lorsque finalement au bout de notre frĂ©nĂ©sie sexuelle, nous nous sommes reposĂ©s sur le lit, nos corps encore emmĂŞlĂ©s, Denise m’a dit « Tu ne m’en veux pas, mon grand fou, d’avoir invitĂ© ma belle-mère ?? Elle aime partager et je sais que tu tiendrais le coup pour deux…. Hier c’était pour moi seule que je t’avais… aujourd’hui j’ai offert ton partage Ă ma belle-mère… Tu m’en veux ?? »Comment lui en vouloir de ces moments dĂ©licieux…… c’est de nouveau bouches, doigts et corps mĂŞlĂ©s que nous avons poursuivi tard dans la soirĂ©e… Anne-Marie n’avait jamais fait pipi devant quelqu’un… moi, tout jeunot, je le lui ai fait faire ainsi que bien d’autres choses que votre imagination vous inspirera.La semaine s’est bien terminĂ©e et chaque après midi nous avons repris nos parties Ă©rotiques, inventant de nouveaux jeux de couple et de trio…. Vendredi le mari de Denise revient et je me rĂ©jouis d’avoir Anne-Marie toute Ă moi car elle a un sacrĂ© tempĂ©rament et une sacrĂ©e soif d’amour.FIN