— Chérie, c’est moi… Chérie ! … Maggy ? …Comme aucune réponse ne lui parvenait, Robert en conclut que son épouse n’était pas encore rentrée de son travail. Se versant un verre de whisky, qu’il dégusta lentement, il interrogea son répondeur téléphonique. La voix de mon père retentit dans le silence de la pièce : une voix altérée :— Robert ! Ton oncle Pierre vient d’être hospitalisé… Les médecins ont découvert un cancer de la prostate, et ils doivent l’opérer dans les jours qui viennent… Essaye de téléphoner à ta tante elle est catastrophée, cela lui remontera le moral, elle en a bien besoin…Comme il était encore tôt dans l’après-midi, Robert décida d’aller immédiatement rendre visite à sa tante qui habitait quelques kilomètres plus loin, dans un lotissement d’une cinquantaine de maisons. Griffonnant un message à l’intention de son épouse, il se rendit aussitôt chez celle qui durant son adolescence lui avait servi de seconde mère. En effet, Jeanne n’avait pu avoir d’enfant, aussi s’était-elle toujours proposée pour le garder lors des nombreuses vacances scolaires, et Robert gardait un souvenir ému des séjours passés chez son oncle et surtout de la tendresse avec laquelle Jeanne l’avait entourée. À peine une demi-heure plus tard, il se trouva devant la porte du pavillon de son oncle, ému et ne sachant trop comment réconforter sa tante, quels mots employés pour la rassurer et calmer la détresse qui devait l’habiter.Surprise par le timbre de la porte d’entrée, se demandant qui pouvait bien venir lui rendre visite à cette heure, Jeanne abandonna la préparation de son dîner à laquelle elle était occupée, pour se hâter d’aller ouvrir à ce visiteur inattendu. Découvrant la haute silhouette de son neveu qu’elle chérissait, elle se jeta à son cou, l’embrassant passionnément, heureuse de sa visite :— Oh mon Robert ! Tu es venu… Je suis tellement contente… Mais entre mon chéri… Ne reste pas là  !Précédant son neveu, Jeanne le conduisit jusqu’à la cuisine. Mais à peine eut-elle atteint la pièce, que ne pouvant réprimer l’angoisse qu’elle portait en elle depuis l’hospitalisation de son mari, elle se jeta au cou de son visiteur auquel elle s’accrocha désespérément pour y éclater en sanglots.Emu par la détresse de sa tante pour qui il éprouvait une immense tendresse, Robert tenta de la consoler en lui murmurant des petits mots de réconfort à l’oreille et en lui embrassant tendrement la nuque. Mais ces marques d’affections ne réussirent qu’à accroître encore les sanglots de Jeanne. Désemparé, Robert, dans un geste de tendresse entreprit de caresser affectueusement le dos de sa parente éplorée, tachant ainsi d’apaiser le chagrin de cette dernière.Mais dans ces frôlements, pourtant bien anodins, il sentit à plusieurs reprises le renflement que faisait l’agrafe du soutien-gorge de sa tante et la découverte de ce détail vestimentaire lui fit prendre conscience soudain ; que depuis un moment les volumineux seins de sa parente s’écrasaient mollement contre sa poitrine et que malgré les vêtements qu’ils portaient l’un et l’autre, il pouvait sentir avec émotion, la douceur moelleuse des lourdes mamelles féminines contre son torse. Cela lui procura une sensation bizarre. Un sentiment fait d’excitation mêlé à un instinct de honte d’éprouver ce genre d’attrait sexuel dans un moment pareil. Mais au contact terriblement sensuel des deux masses élastiques contre sa poitrine, il ne tarda pas à refouler la sensation d’embarras qui le paralysait pour savourer avec plaisir la tendre élasticité des deux fruits de chair. Des souvenirs d’adolescent lui revinrent en mémoire. Avec émotion il se remémora les congés scolaires passés chez son oncle, et les fantasmes que faisait naître dans son esprit de jeune garçon la plantureuse poitrine et la large croupe de sa tante. Combien de soir, seul dans son lit avait-il imaginé les lourds fruits de chair libres de toute protection, avant de s’endormir le ventre souillé de son sperme fluide.Or avec l’âge, Jeanne devait maintenant avoir dans les quarante-huit ans, calcula rapidement Robert ; sa tante, qu’aucune grossesse n’était venue empâter, avait gardé une silhouette élancée, même si celle-ci s’était sensuellement rembourrée à certains endroits, ce qui lui donnait encore plus d’attrait. Avec ses longues jambes, fortes mais d’un galbe parfait, qui lui donnait l’allure d’un mannequin, sa poitrine au volume impressionnant, ses hanches sensuellement rebondies et sa croupe haute et agréablement arrondie, Jeanne restait une femme encore très attirante et très désirable.Même après son mariage avec Maggy, dont la poitrine n’avait certainement rien à envier à celle de sa tante, Robert, à vingt-huit ans ne pouvait se retenir de lorgner en douce les sensuels appâts mammaires de la femme de son oncle, chaque fois qu’il rencontrait celle-ci.Etrangère à ce qui perturbait son neveu, Jeanne ne pouvait abréger les sanglots qui la secouaient toute.Tout en continuant de cajoler sa tante, d’une manière un peu plus sensuelle qu’il n’aurait fallu, Robert ne pouvait s’empêcher d’éprouver une certaine excitation au contact de la lourde poitrine féminine écrasée contre son torse. En plus depuis un moment, du fait de ses sanglots, Jeanne avait des soubresauts convulsifs de tout son corps, qui faisait que son bas-ventre venait par instants se frotter au sien, faisant naître un émoi gênant au niveau de son membre viril. Soudainement affolé, il sentit aux frémissements de son sexe, qu’une érection prenait naissance dans son slip. Paniqué, il tenta de repousser ce corps chaud et sensuel qui le perturbait tant. Mais sa tante abandonnée contre lui et tout à son chagrin s’accrochait désespérément à son cou, inconsciente du trouble qu’elle créait bien involontairement chez son neveu.Sentant sa verge se dilater inexorablement au bas de son ventre, en se durcissant, Robert tenta de concentrer son esprit sur le fait que le corps féminin qui se tenait étroitement lové contre lui, était celui de sa tante, la femme du frère de son père. Mais les frôlements incessants du bas-ventre de sa parente contre sa virilité prompte à s’émouvoir fit échec à sa volonté. Bientôt son membre se trouva dans un état d’érection telle, qu’il songea, affolé, qui allait être impossible à sa parente de ne pas s’apercevoir de la transformation qui s’était opérée au niveau de son sexe. Surtout que ce jour là , Jeanne était vêtue d’une jupe extra courte, comme elle avait toujours aimé en porter.Cependant, même les plus grandes détresses ont toujours une fin, et peu à peu Jeanne reprit le contrôle d’elle-même. Ses sanglots s’atténuèrent doucement. Mais désirant profiter encore un peu de ce doux réconfort que son neveu lui offrait, elle demeura immobile contre lui en reprenant doucement ses esprits.— C’est gentil à toi d’être venu, murmura-t-elle à l’oreille de son jeune parent… Ta présence m’a fait du bien…Mais, étant redevenue maître d’elle-même et alors qu’elle allait rompre cette tendre étreinte, elle sentit soudain l’énorme protubérance qui lui meurtrissait le bas-ventre. Surprise devant cette découverte, dont elle comprit immédiatement la cause, elle demeura immobile ne sachant qu’elle contenance adopter vis à vis de son jeune compagnon. Que son neveu ait une telle érection dans un moment pareil, et à cause d’elle, la déconcertait au plus haut point. Qu’elle puisse à son âge provoquer un tel désir chez un jeune homme de vingt ans son cadet la perturbait totalement, tout en la troublant énormément. Aussi, éprouvant une douce félicitée à sentir cette jeune virilité raide et dure s’écraser contre son bas-ventre, elle s’ingénia à faire durer ce contact terriblement excitant et angoissant en même temps. La fermeté de ce jeune sexe masculin contre son pubis lui procurait un plaisir insolite qu’elle aurait aimé faire durer le plus longtemps possible.Les deux protagonistes demeurèrent ainsi accolés, ne sachant comment rompre ce contact aussi gênant pour l’un que pour l’autre.Mais à sentir cette jeune verge arrogante se presser contre son ventre, Jeanne ne tarda pas en ressentir les effets sexuels. Affolée elle sentit une douce chaleur prendre naissance au plus intime de son sexe, lui irradiant inéluctablement la vulve, sans qu’elle ne puisse rien faire pour calmer ce brasier intime. À ce qu’elle pouvait percevoir à travers leurs vêtements respectifs, son neveu lui sembla posséder une virilité d’une longueur peu commune. Et pour elle dont le sexe avait tout au long de sa vie été sa passion et sa raison d’être, cette constatation lui échauffa les sens. Depuis un mois que l’on avait découvert la terrible maladie qui rongeait son mari ; le choc émotionnel avait fait que depuis ils n’avaient plus eu de rapports sexuels, et cette continence forcée commençait à mettre ses sens à rude épreuve. Aussi la présence de ce jeune membre viril à quelques centimètres de sa chatte soudainement liquéfiée lui fit perdre toute retenue. Il fallait qu’elle calme la bête qui tapie au fond de son ventre, s’était réveillée, presque à son insu. Ne pouvant décemment demander à son neveu de la satisfaire sexuellement, elle décida de tenter de se calmer elle-même en se frottant lascivement contre cette raideur qui avait réussi à la bouleverser, frottant habilement le haut de sa fente à l’extrémité du sexe masculin qu’elle percevait à travers leurs vêtements respectifs :— Oh ! Robert ! … Qu’est-ce qui t’arrive ? Murmura-t-elle à l’oreille de son neveu, au cou duquel elle était toujours accrochée, d’une manière tout à fait hypocrite.Terriblement gêné, Robert se contenta d’émettre un grognement en guise de réponse. Puis pris d’un désir subit ; comme sa tante se frottait vicieusement contre son membre bandé, il referma ses doigts dans les hanches évasées de celle-ci et l’attira plus étroitement contre lui, lui faisant sentir la dureté de son membre raidi.— Ce n’est quand même pas moi qui te mets dans un tel état ? Bégaya Jeanne, affolée par le contact de cette virilité dressée contre son bas-ventre…— Et qui veux-tu que ce soit, lui répondit Robert…— Oh, Robert ! Gémit Jeanne, la gorge nouée par le désir. Tu te moques de moi… Qu’est-ce qu’un jeune homme comme toi pourrait trouver d’attirant chez une femme de mon âge ?— Tu sais, il y a beaucoup de femmes plus jeune que toi qui aimerait avoir le corps que tu as… Aujourd’hui, je peux bien te l’avouer… Lorsque je venais passer mes vacances chez vous, j’étais déjà attiré par ton corps aux courbes si sensuelles… Par ton abondante poitrine… Tu ne peux t’imaginer combien tes seins ont occupés mes nuits d’adolescent.Surprise par ces révélations, Jeanne recula son torse, sans toutefois rompre le contact de son bas-ventre avec la virilité raidie de son neveu, pour fixer ce dernier d’un air ébahi, et machinalement elle posa ses mains sur les volumineuses bosses que faisaient ses seins opulents sous son corsage, comme pour les cacher aux désirs de son compagnon.— Ce n’est pas possible ! … Tu n’étais qu’un gamin !— Peut-être, reconnut Robert, n’empêche que déjà tes seins m’attiraient, et encore aujourd’hui je ne peux m’empêcher de les désirer… Je meurs d’envie de les contempler… D’en sucer les bouts.Comme Jeanne, ahurie par ces révélations, ne répondait pas, se contentant de fixer son neveu d’un air absent, celui-ci ne pouvant contenir le désir qui le tenaillait depuis des années, repoussa la main avec laquelle sa tante tentait de protéger son sein pour poser la sienne à la place, palpant avec émotion à travers les tissus qui l’abritaient, le lourd fruit de chair, souple au toucher.Le bas-ventre en fusion, Jeanne demeura figée, la bouche entrouverte sur un souffle haletant. Eprouvant une sournoise jouissance sous le voluptueux attouchement dont était l’objet son sein, elle laissa le neveu de son mari lui caresser la poitrine, attentive à la monté du plaisir dans son corps torturé.— Ils ne sont plus aussi fermes qu’auparavant, bégaya-t-elle, comme pour excuser la lourdeur de ses appâts.Terriblement excité par cette situation extraordinaire, Robert posa alors sa main gauche sur le second sein et sans un mot, de peur de rompre cette espèce de complicité tacite qui s’était établie entre lui et sa tante, il entreprit de palper les lourdes mamelles, objets de ses fantasmes d’adolescent. Longuement il caressa ainsi l’abondante poitrine de sa sensuelle tante, prenant un plaisir extrême à presser les deux énormes seins élastiques entre ses doigts, tout en surveillant le visage de sa parente, pour y lire les émotions que ses caresses lui procuraient. Très vite il constata que le regard de sa tante devenait plus trouble au fil des caresses qu’il prodiguait à ses appâts mammaires, alors que sa respiration s’accélérait, se faisait haletante. Comprenant que sa sensuelle parente appréciait les attouchements dont elle était victime, il tenta alors de déboutonner le corsage qui lui cachait encore les fruits de chair qu’il convoitait tant depuis sa plus tendre enfance.Se rendant compte soudain que les doigts de son neveu essayaient de faire sauter les boutons de son chemisier, Jeanne, malgré le désir qui lui travaillait le bas-ventre et lui gonflait les mamelons, dans un dernier mouvement de pudeur tenta d’échapper à cette initiative en enlaçant étroitement son trop hardi neveu, écrasant ses volumineuses mamelles contre le torse dur et musclé du jeune homme.Ne désirant pas brusquer sa tante qu’il sentait sur le point de capituler, Robert laissa descendre ses mains le long du corps féminin lové contre lui, appréciant au passage la courbe sensuelle des hanches rondes et évasées en forme d’amphore grecque, avant d’atteindre la croupe charnue, ferme et opulente. Pour ne pas effaroucher sa tante dont il sentait l’émoi, il se contenta d’effleurer d’une caresse légère les rondeurs jumelles des fesses tendues, appréciant la dureté des chairs sous ses doigts. Puis comme Jeanne ne semblait pas s’offusquer de ses frôlements sournois, il accentua ses attouchements. Tel un boulanger pétrissant sa pâte, il pressa avec volupté cette croupe large et encore compacte.Sous cette nouvelle caresse, pratiquée à l’encontre d’une de ses zones particulièrement érogènes, Jeanne, le corps parcouru d’un long frémissement érotique, cambra ses reins afin de mieux se prêter aux attouchements virils et terriblement affolants dont son postérieur était l’objet. Accrochée à son neveu, le visage dans son cou, elle ne put étouffer le gémissement de plaisir que lui procuraient les caresses voluptueuses que Robert lui dispensait avec insistance. Le brasier qui depuis un quart d’heure lui dévorait les entrailles devint de plus en plus ardent, au point qu’elle sentit sa vulve palpiter doucement comme pour réclamer une introduction qui l’aurait comblée, tandis qu’un flot brûlant s’échappait de son vagin en fusion, prélude à une jouissance qu’elle sentait proche, trempant abondamment l’entrejambe de sa culotte de soie. Les sens exacerbés, elle ne put résister au désir de frotter langoureusement son bas-ventre contre ce membre dressé qu’elle percevait à travers le pantalon de toile, en une sensuelle ondulation du bassin, s’excitant à sentir cette force virile contre son pubis… Aussi lorsqu’elle se rendit compte qu’imperceptiblement son neveu retroussait sa jupe sur ses cuisses, le désir qui lui tenaillait les entrailles fut plus fort que la raison qui lui enjoignait de repousser les avances incestueuses du jeune homme. Gémissant doucement sous l’impatience érotique qui la submergeait, elle s’immobilisa afin de ne pas entraver l’opération engagée par son jeune partenaire.Si elle l’avait osé, elle se serait troussée elle-même pour accélérer l’instant ou les doigts masculins viendraient palper ses fesses déjà frémissantes.Comprenant à son immobilisme soudain, que sa tante s’abandonnait enfin à ses sens en complet désarroi, Robert ne prit plus aucune protection pour retrousser la mini-jupe sous laquelle l’attendait ce merveilleux fruit féminin, chaud et juteux, que chaque homme rêve de goûter. L’étroit vêtement résista quelque peu au passage des hanches rebondies, et enfin, Robert put saisir à pleines mains les fesses rondes et fermes, étroitement sanglées dans un slip de soie arachnéen qui crissa doucement sous ses doigts impatients. La gorge nouée par l’émotion, il empauma la croupe ferme et dure qu’il pressa avec ardeur, avant de glisser ses doigts dans le vêtement intime afin de caresser les chairs nues des fesses rondes et musclées. Longuement il fit glisser ses paumes sur la peau satinée et frémissante, la palpant avec douceur ou la pinçant délicatement. Dans son cou Jeanne gémissait furtivement, tandis que son bas-ventre se collait avec passion contre le sien dans une offrande pressante. Mais à sentir les fesses drues et chaudes s’écraser mollement sous ses doigts fit naître un nouveau désir dans la tête de Robert. Sournoisement il laissa glisser un doigt entre les masses fessières si dures de sa sensuelle tante, pour explorer avec excitation la profonde raie séparant les deux rondeurs jumelles, à la recherche de l’orifice anal qu’il trouva étonnamment moite.Terriblement excité par cette découverte, mais appréhendant la réaction de sa tante, ne sachant comment celle-ci allait accepter son excursion indiscrète, il appuya doucement son majeur contre la collerette qu’il trouva étonnamment humidifiée, pour la forcer à s’ouvrir. Aussitôt il enregistra la soudaine immobilité de sa parente, comme si celle-ci attendait et espérait la suite qu’il allait donner à son attouchement pervers. S’enhardissant, il appuya légèrement sur la rosace qui donnait accès aux profondes et mystérieuses entrailles féminines. Qu’elle ne fut pas sa stupéfaction lorsqu’il sentit son doigt s’enfoncer entièrement et sans aucune peine dans l’anus assoupli de sa tante, qui dans un gémissement lança sa croupe en arrière, comme pour mieux se prêter à cette introduction indiscrète.La facilité avec laquelle il avait réussit à forcer le cul d’une souplesse incroyable de sa tante, fit comprendre à Robert que celle-ci avait certainement l’habitude de se faire sodomiser. Malgré lui, il ne put s’empêcher de penser à son oncle, et aux nombreuses de fois qu’il avait du enfoncer son membre dans l’anus accueillant de son épouse.Pris alors d’une idée perverse, il présenta son index à l’entrée des intestins déjà perforée par son majeur et comme il l’avait deviné, son second doigt s’enfonça pratiquement aussi facilement que le premier dans le cul élargi de sa tante. Mais comme il entamait un mouvement de piston dans l’anus évasé, Jeanne cambra brusquement ses reins, lançant désespérément sa croupe à la rencontre des doigts qui l’enculaient, tandis qu’une longue plainte s’échappait de sa gorge.Lorsqu’elle avait senti l’un des doigts de son neveu venir fureter entre ses fesses, Jeanne avait senti une bouffée de chaleur l’envahir : son cul avait toujours été une zone extrêmement sensible et extraordinairement érogène, presque autant que les mamelons enflés de ses volumineux seins. Aussi lorsque ce doigt s’enfonça délicatement dans ses entrailles, elle sentit son cœur louper un battement, son bas-ventre se crisper, tandis qu’une onde de plaisir lui parcourait l’échine, la faisant longuement frissonner. Et quand le second doigt vint prendre place aux cotés du premier entre ses fesses relâchées, lui dilatant l’anus de façon si délectable, cette onde voluptueuse la submergea toute, lui faisant perdre la réalité des choses. Une seule chose compta alors pour elle : atteindre cet orgasme qu’elle sentait prêt à exploser en elle, et qu’importe que celui qui lui dispensait soit le neveu de son époux, qui actuellement était cloué sur un lit d’hôpital. Et pour cela elle était prête à toutes les audaces, sans souci du lien de parenté qui l’unissait à son entreprenant complice.Ce qu’elle espérait tant se produisit sans qu’elle ne puisse rien faire pour l’en empêcher. Au moment ou Robert entamait, à l’aide de ses deux doigts accolés, un mouvement de va-et-vient dans son cul dilaté. Elle ressentit comme une explosion à l’intérieur de ses organes féminins qui la tétanisa toute. Incapable de se contrôler, elle poussa une longue plainte de bête blessée, libérant ainsi tout le flux sensuel emmagasiné en elle depuis de longues semaines. Les jambes soudain coupées par la violence de son orgasme, elle s’accrocha désespérément au cou de son neveu qui l’avait si rapidement mené à la jouissance, et dont les doigts lui fouillaient toujours l’anus d’une manière terriblement voluptueuse. Entre ses cuisses sa chatte n’était plus qu’un torrent brûlant et son vagin un magma incandescent, et malgré la honte qu’elle éprouvait à cette idée, elle se força à espérer que son neveu viendrait éteindre l’incendie qu’il avait allumé au plus profond de ses entrailles, à l’aide de ce membre gigantesque qu’elle sentait si dur contre son bas-ventre.Aux gémissements prolongés que sa tante poussa dans son cou, Robert devina que cette dernière venait d’atteindre la jouissance et le fait qu’elle ait pu jouir aussi rapidement, sans qu’il n’ait fait autre chose que de lui explorer le cul le surprit énormément. Décidé à se rendre compte de la véracité de sa supposition, il retira doucement ses doigts de l’anus élastique, ôta sa main de l’intérieur de la culotte, pour la glisser avec émotion dans la fourche brûlante et d’une douceur extrême de la jointure des cuisses de sa tante gémissante. La moiteur qu’il y découvrit le laissa ébahi. L’entrejambe de la culotte qui protégeait ce sexe tant désiré était littéralement trempé, comme si sa tante dans son abandon sexuel avait uriné dans sa culotte. Peut-être était-ce ce qui s’était passé. Jamais dans les quelques aventures amoureuses qu’il avait eues avant son mariage, il n’avait rencontré de femme qui lâche une telle quantité de foutre lors de leur jouissance.Complètement affolé par cette découverte il sentit le désir qu’il ressentait pour la femme de son oncle croître encore plus. Repoussant le morceau de tissu archi-trempé de la culotte, il glissa sa main dans l’entrecuisse moite de sa parente afin d’accéder à la vulve imbibée. La jupe retroussée jusqu’au nombril, les jambes largement écartées pour permettre à son neveu de l’atteindre au plus intime d’elle-même, Jeanne le bas-ventre en fusion poussa un petit gémissement de contentement et d’impatience en sentant les doigts du jeune homme frôler les grandes lèvres de sa chatte ruisselante.La verge raidie à l’extrême, dure et frémissante de désir contenu, prête à exploser et à lâcher sa semence, Robert avança ses doigts dans l’abondante pilosité au cœur de laquelle s’ouvrait la longue fente béante et dégoulinant d’un jus chaud et onctueux. La gorge nouée, terriblement ému par ce qu’il osait, il enfonça son majeur dans le magma liquide torride et poisseux qui enduisait l’intérieur du sexe en fusion. Comme cinq minutes auparavant, lorsqu’il s’était rendu compte de la souplesse de l’anus de sa tante, il demeura de nouveau fort étonné en découvrant la largeur étonnante du vagin dans lequel il enfonçait son doigt : une véritable cavité démesurée et aux parois spongieuses et ruisselantes d’une liqueur brûlante. Son majeur barbota dans un océan de lave ardente avec un excitant bruit de clapotis. L’orifice sexuel dans lequel il avait entrepris d’agiter son doigt lui sembla d’une telle dimension et si spacieux qu’il décida d’y enfoncer aussi son index ; puis comme ses deux doigts s’agitaient toujours aussi aisément dans l’antre féminin, il y ajouta son annulaire, auquel il joignit immédiatement son auriculaire. Si bien que ce fut sa main entière, à l’exception de son pouce, qui se trouva enfoncée dans le vagin béant et ravagé de sa tante écartelée et haletante. Tandis que de son pouce il écrasait et titillait sensuellement le merveilleux bouton de chair érigé de sa parente suffoquée, il commença à fouiller en profondeur le vaste vagin, repoussant avec délectation les chairs gorgées de jus chaud et poisseux.Complètement bouleversée par cette situation incestueuse, et victime de ses sens enfin comblés, Jeanne se mit à agiter vivement son bassin d’avant en arrière, dans une frénétique danse du ventre, tentant par ses mouvements désordonnés d’aider cette main qui lui pourfendait le vagin et qui la fouillait si profondément.— Oh oui, gémit-elle… Branle-moi bien mon chéri… J’en ai tellement envie ! …Ne demandant pas mieux, éprouvant même un plaisir pervers à fourrager dans l’immense chatte de celle qui l’avait tant fait fantasmer durant son adolescence, Robert enfonça le plus profondément possible ses quatre doigts réunis, les agitant fiévreusement à l’intérieur du vagin brûlant, grattant les parois spongieuses de ses ongles, pressant avec ivresse les chairs trempées. De son pouce, le seul de ses doigts hors de la vulve béante, il écrasa en le faisant rouler, le clitoris qui depuis le début avait jailli de son abri. Un véritable torrent embrasé s’échappait de la chatte affreusement élargie de sa parente, lui engluant la paume, alors qu’une odeur musquée et terriblement aphrodisiaque lui montait aux narines.Sous ce traitement délirant, Jeanne ne tarda pas à sentir la jouissance prendre possession de ses organes sexuels exacerbés. Se démenant comme une démente sur les doigts qui s’affairaient dans sa vulve détrempée, elle réussit à se faire jouir. Dans une crise frisant l’hystérie elle se laissa emporter par un orgasme violent et dévastateur en laissant échapper de longs vagissements de nourrisson.La main trempée par l’abondance des sécrétions vaginales que sa tante avait lâchées dans ses nombreux spasmes sensuels, Robert laissa cette dernière reprendre ses esprits avant de retirer lentement ses doigts de la chatte béante et ruisselante cyprine odorante pour les porter à ses lèvres afin de les lécher avec une gourmandise perverse.Ouvrant enfin les yeux, Jeanne remercia son adorable neveu par un sourire gêné :— Il y a longtemps que je n’avais joui aussi fort, murmura-t-elle… Mais qu’est-ce que tu vas penser de moi ! … Et pendant que ton pauvre oncle se trouve à l’hôpital… Mon Dieu j’ai honte !— Pourquoi culpabiliser ainsi, tenta de la rassurer Robert, dont le membre toujours en état d’érection réclamait une prompte conclusion … Tu étais trop perturbée pour vraiment te rendre compte de ce que tu faisais… Mais si j’ai pu te procurer un peu de plaisir, j’en suis réellement content… Et puis ça restera notre secret…— Tu es un amour, murmura Jeanne le regard embrumé de larmes.Puis, après quelques secondes de silence, elle osa de nouveau dans un souffle, s’adresser à son neveu, comme si elle n’osait exprimer sa pensée :— Mais toi ? … Tu as toujours envie !Et comme pour se rendre compte de ce qu’elle avançait, elle posa sa main sur l’énorme protubérance qui déformait le devant du pantalon de son neveu.Sentant le volumineux contour du membre viril en pleine érection, un frisson de désir la parcourut toute. Une irrésistible envie de contempler cette jeune virilité la saisit— Mon pauvre chéri, dans quel état te voilà , chuchota-t-elle, comme si quelqu’un d’étranger pouvait l’entendre …… Tu veux que je… je te… branle ?…— Je pense que se serait la solution, s’empressa d’accepter Robert tout excité à l’idée que sa tante allait saisir sa verge dans sa main pour la branler, comme il se l’était tellement imaginé dans ses rêves d’adolescent.Alors, comme prise d’une impatience érotique, Jeanne s’attaqua à la ceinture du pantalon de son neveu, qui s’écroula mollement aux pieds de son propriétaire laissant ce dernier en slip. La gorge nouée par l’incestueux désir qui maintenant la faisait agir, Jeanne soudain fébrile s’empressa de descendre le sous-vêtement, afin de libérer cette jeune verge dont elle avait tellement envie et qui l’avait tant affolée par son contact contre son pubis. Devant l’imposant gourdin qui jaillit au milieu d’une touffe épaisse de poils drus, elle ne put s’empêcher de s’exclamer admirative :— Oh ! Comme tu es fort !…Devant ses yeux ébahis se dressait le membre viril gonflé de son neveu ; si le pieu de chair qui oscillait doucement devant son visage n’avait rien d’exceptionnel au point de vue de la longueur, par contre son diamètre anormalement élevé étonna grandement Jeanne. Jamais elle n’aurait imaginé que son tendre neveu qu’elle avait maintes fois baigné alors qu’il n’était qu’un enfant, puisse avoir hérité d’un sexe si énorme. Malgré elle, elle ne put s’empêcher de comparer cette énorme queue tendue qui semblait la narguer, avec la virilité de son mari. Si ce dernier possédait une verge de bonne taille qui lui avait procuré d’innombrables jouissances, celle de son neveu lui apparut nettement plus grosse. Une étrange émotion la saisit en imaginant le plaisir qu’une femme devait ressentir à être pénétrée par un engin d’une telle dimension.— Tu es monté comme un mulet, complimenta-t-elle…Les yeux brillant d’un nouveau désir, Jeanne se laissa alors tomber à genoux aux pieds de son neveu. Les yeux fixés sur la hampe de chair turgide qui oscillait doucement à quelques centimètres de son visage, autour de laquelle elle referma ses doigts avec émoi.Sentant la main de sa tante enserrer sa verge, Robert ne put réprimer le tremblement voluptueux que lui procurait cet attouchement follement excitant. Tremblement qui ne passa pas inaperçu à la sensuelle Jeanne :— Tu aimes ? Demanda-t-elle doucement à son neveu terriblement émoustillé.Dans un grognement de satisfaction, Robert lança son bas-ventre en avant, faisant ainsi comprendre à sa tante son désir d’être plus amplement caressé. Comprenant le message, Jeanne entreprit aussitôt d’agiter sa main refermée, la faisant coulisser de haut en bas le long du membre dressé, repoussant délicatement le prépuce mobile afin de dégager complètement le gland gonflé. Durant quelques minutes elle activa ainsi ses doigts le long de la puissante verge tendue, branlant avec un plaisir extrême cette jeune virilité qui la ramenait trente ans en arrière, lorsque dans la pénombre d’une salle de cinéma elle masturbait ainsi ses flirts du moment, jusqu’à ce que ces derniers, dans des grognements étouffés lui décharge leur semence grasse et épaisse dans le creux de la main. Malgré sa récente jouissance elle sentit son sexe s’embraser de nouveau, tandis que dans son soutien-gorge ses mamelons se gonflaient un peu plus. Se rappelant soudain d’une caresse bien précise que son mari appréciait particulièrement au temps de leurs fiançailles, elle avança sa seconde main pour enserrer le membre viril tendu entre ses paumes, entre lesquelles elle le fit rouler sensuellement tout en continuant à le branler vivement.Sous cette caresse nouvelle pour lui, et qui ne fit qu’accroître encore l’intense désir qui lui taraudait les entrailles, Robert se cambra en laissant échapper un petit gémissement de contentement. Il lui sembla que sa verge allait exploser irrémédiablement :— C’est bon ? Lui lança Jeanne tout heureuse du résultat de sa voluptueuse caresse. Tu aimes ?Ravie de constater combien sa caresse inédite avait troublé son neveu, elle entreprit de presser plus fortement le gland cramoisi entre ses paumes qu’elle frotta alternativement d’avant en arrière et de bas en haut. Tout en branlant ainsi son jeune compagnon, elle fixa le visage de celui-ci pour y lire le résultat de sa sensuelle masturbation. En connaisseuse, elle devina au visage crispé de Robert, que ce dernier accomplissait un intense effort pour essayer de contenir l’explosion finale qui le libérerait. Comprenant que l’instant fatidique n’allait pas tarder, elle s’empressa d’aspirer entre ses lèvres l’extrémité cramoisie de la verge frémissante, et goulûment elle aspira le gland congestionné au fond de sa gorge, absorbant entièrement la queue affreusement gonflée dans sa bouche. Avec une avidité gourmande, elle entreprit de sucer l’énorme pal de chair en refermant ses doigts sur les couilles velues et gonflées qu’elle pressa délicatement.Alors, malgré les efforts désespérés qu’il faisait pour retenir l’éjaculation qu’il sentait sur le point de jaillir, Robert ne put résister longtemps aux différents attouchements terriblement voluptueux que sa perverse tante lui faisait subir. Agrippant la chevelure de sa sensuelle parente aux lèvres expertes, il la força à absorber la totalité de sa verge dans sa bouche avant de décharger avec force son sperme abondant au fond de sa gorge.Fermement immobilisée, le visage collé au bas-ventre de son neveu, Jeanne ne put qu’avaler précipitamment l’abondante semence virile qui lui emplissait dangereusement le gosier, déglutissant avec peine…Ce n’est que lorsque sa source intime se fut tarie et que son membre apaisé commença à perdre de sa rigidité que Robert accepta de relâcher son éteinte sur le crâne de sa virtuose parente. Celle-ci s’empressa alors de recracher le gland quelque peu ramolli afin de finir d’avaler les résidus de sperme qui lui obstruaient encore les voies digestives :— Hé bien ! Tu en avais une sacrée réserve ! S’exclama cette dernière… J’ai bien cru ne pas pouvoir tout avaler… Cela aurait été dommage de perdre une telle liqueur… Tu jouis toujours aussi abondamment ?— En général oui, lui répliqua Robert, éprouvant une certaine fierté.— Ça va mieux ? Tu es calmé ? Continua ironiquement Jeanne en se relevant et en palpant doucement le membre revenu à des dimensions plus normales… Il fait moins le fier ! Il va être tranquille pour un moment maintenant !— Qu’est-ce que tu paries ? S’empressa de répliquer Robert, bien décidé à abuser encore une fois des bontés de sa tante…Laisse-moi te lécher à mon tour et tu verras si je suis calmé !« A suivre »N’hésitez pas à me donner votre avis à  : Fulvia69@club-internet.fr.Réponse assurée.