Une longue histoire, je vais la partager en deux voir trois pour ne pas vous lasser et me laisser le temps de rassembler mes souvenirs pour vous la narrer. À vous de me dire si elle vous plaît, n’hésitez surtout pas, que je n’écrive pas ce « mini-roman  » pour rien. Bisous à tous.Quel con, mais quel con ! Je n’en pouvais plus de l’écouter de le voir même m’irritais. Je regardais mon mari, et cru éclater de rire, les nerfs peut-être. Il ouvrait de grands yeux ne croyant pas ce qu’il voyait et entendait, il se tourna vers moi et je lus dans ses yeux, un appel au secours, du genre :  » S’il te plaît, on se tire de là « . Ok ce n’est pas mon habitude d’être impolie mais là franchement il y avait de quoi. En plus c’était de ma faute !Nous ne partons qu’une semaine en vacances, mais dans un club ou avec une agence, c’est un peu cher et c’est pourquoi une semaine suffit à notre bourse. Là c’était vraiment le paradis et moi j’y avais rencontré le « beauf  » le plus « bof  » de la planète ! Le personnage pourtant est plutôt beau garçon, la quarantaine sportive, et m’avait matée toute la matinée sur la plage avec de petits sourires en coin. Moi vous me connaissez un peu maintenant, je n’ai rien fait pour. Qu’il arrête !Je ne bronze jamais les seins à l’air, je ne suis pas folle, j’aime le soleil mais pas les coups. Je mets plutôt un maillot classique deux pièces mais je le choisis avec soin qu’il soit le plus craquant possible et souvent blanc ou jaune comme ça, une fois mouillée, tous les mâles dans un rayon de 10 mètres ont les yeux sur moi ! De toute façon les hommes aiment deviner le corps des femmes et moi j’aime qu’ils en aient envie. Je me suis donc amusée à l’allumer ce matin là , y allant de poses subjectives, allongée sur le sable « oubliant  » la simplicité de mon habillement, croisant et décroisant les jambes, me caressant les cuisses, arrangeant régulièrement mon maillot (çà sa marche à tous les coups). Me passant de la crème à bronzer en forçant un peu sur les endroits stratégiques, levant mon maillot pour ne pas oublier les contours ! Bref un allumage en règle, de quoi le clouer sur sa serviette et lui faire attraper une insolation. Sa femme à côté ne voyait rien, pas plus que mon mari d’ailleurs qui passe sa vie dans l’eau comme un gamin. Elle lisait un roman, assise avec un chapeau sur la tête, pas moche mais invisible pour la race masculine alors pour moi !Quand mon mari sortit de l’eau je commençais à être passablement excitée, j’étais couchée sur le ventre il vint s’allonger sur moi, son corps mouillé me fit du bien, j’avais besoin d’être refroidie. Il me trouva chaude, avec un air malicieux je lui dis qu’il en était de même partout. Je savais qu’il ne manquerait pas de vérifier, sa main glissa sous mon ventre et essaya de passer sous mon maillot. Avec son poids sur moi sa main me fit mal au ventre et tout en riant, je me dégageai en roulant et le fis tomber, mon regard croisa celui de l’homme que j’avais « un peu  » allumé, il n’en perdait pas une miette. Cela m’amusa et, comme je suis un peu garce parfois, je décidai de l’achever.Je fis celle qui, anxieuse, regarde autour d’elle pour être sure de ne pas être remarquée. En fait, je vérifiais que le malheureux ou bienheureux après tout, ne manquerait rien de ce qui allait suivre, et pris la main de mon mari pour la porter entre mes cuisses. Mon époux toujours près aux galipettes n’en demandait pas tant. Immédiatement ses doigts écartèrent le tissu et il commença à me caresser. Il s’était collé à moi, lui sur le côté, moi sur le ventre mais quand même légèrement sur le coté, normalement personne ne pouvait voir ce que nous faisions, mais je repliais une jambe pour que mon voyeur suive nos ébats bien qu’il ne devinait plus à mon avis qu’il ne voyait réellement. De toute façon au bout de quelques secondes je l’avais complètement oublié, tout entière aux caresses de mon mari. Je n’étais pas de reste et lui frottais le sexe, le faisant rouler sous le maillot, ce ne fut pas long avant de le voir franchir l’élastique et sortir largement de son slip de bain. Je le branlais maintenant doucement pendant que lui usait de tous ses doigts entre mes lèvres toutes mouillées, pénétrant mon vagin, pinçant et branlant mon clitoris. Je lui rendis la pareille en jouant avec son gland si sensible, le caressant et le pinçant de moins en moins doucement. Maintenant très excité, il en oubliait la plage et les gens autour, se collant à moi je compris vite qu’il voulait me prendre là , il allait trop loin, les personnes autour s’en rendraient compte.Je m’écartai et en réponse à son air tout triste j’accentuai ma pression sur sa verge, il ferma les yeux, les dents serrées, je le connais trop bien il allait prendre son pied d’une seconde à l’autre. Je le regardais j’adore le voir partir, on jouit l’un après l’autre, lui d’abords moi ensuite de le voir prendre son pied ainsi sur la plage, je sentais son sperme chaud couler le long de mes doigts. Je lui souris et mis mes doigts dans ma bouche, je n’aime pas vraiment, ça ne me dérange pas c’est tout. Lui adore, et moi j’aime trop son plaisir malgré le goût tenace.Il y à un avantage d’être une femme dans ces moments là , j’arrange un peu ma tenue et me voilà comme si de rien était tout juste le bas du maillot un peu humide. Mon homme, lui, a le ventre sale sans parler de son pénis et des restes dans son maillot, il est tout rouge et n’a plus qu’une solution : courir se laver dans la mer traînant derrière lui une odeur que toutes les femmes sur son chemin reconnaîtront sans peine ! Je me cache la tête entre les genoux pour qu’il ne se vexe pas, je suis morte de rire. Tiens, je l’avais oublier celui là , mon bonhomme de tout à l’heure fuit lui aussi vers la mer à toutes jambes, snif ! Snif ! Trop tard pour lui aussi.Nous avions commencer de dîner dans cette belle salle de restaurant, quand je les ai vus arriver, je l’ai de suite reconnu, et j’étais sure qu’il allait nous demander de s’asseoir à notre table. Ça se fait, les grandes tables sont faites pour ça, pour que les gens ne restent pas tout seuls et se rencontrent. Un sourire charmeur, un bagou d’enfer sur le coup cela ne me déplaisait pas. La situation était juste embarrassante comme je l’aime après mon exhibition du matin. La femme elle ne disait rien juste des sourires et acquiescer à tout le baratin de son mari. Tout en parlant, il ne me quittait pas des yeux, ne s’adressant qu’à moi, ça en devenait embarrassant mais surtout chiant, pas un instant de répit, j’étais de toutes les discutions, mon mari s’amusait à me donner de petits coups de pied sous la table, y allant d’une main baladeuse pour me déconcentrer.Mais le repas s’éternisait et notre homme de se laisser aller à plus de naturel, il devenait lourd très lourd, c’était lui le plus beau le plus fort, moi la plus belle, mon mari n’existait pas et sa femme tout juste bonne à le servir, odieux ! Le café arriva enfin, on le goba, quitte à se brûler, et l’on prit congé. Plus tard dans le lit on en riait encore, pensant ne plus avoir affaire à eux.Le lendemain le temps est gris, pas envie d’aller à la plage, le club a un super court de tennis, on y va.Je ne sais pas bien jouer, surtout comparée à mon mari, mais on est là pour s’amuser et il a une patience d’ange.Surtout que j’aime à lui jouer un autre jeu, avec ma toute petite jupette blanche si légère on lui fait oublier le score et les règles du tennis très facilement ! Je saute et virevolte laissant apparaître ma culotte, sans parler du ramassage des balles sans plier les genoux. Il adore, en redemande et rate de plus en plus de balles, c’est moi la meilleure !Pose, mon homme à soif. Mes jeux de jambes et ma jupette on fait de l’effet il a chaud, et, est très amoureux ! Ces mains baladeuses se promènent sous ma jupe tandis que l’on s’embrasse. Il me dit qu’il aime quand je l’allume ainsi mais il voudrait que pour une fois j’en rajoute un peu, que j’enlève ma culotte.Le bar est le terrain de boule sont à deux pas, pleins tous les deux et des jeunes jouent au basket à peine plus loin, je refuse gentiment. Il n’insiste pas mais retourne sur le court en bougonnant, il sait que je ne résiste pas quand il fait le petit garçon triste, je regarde autour de moi et vite je m’enlève la culotte. Mon cœur bas très fort, je me sens nue, ce n’est pas possible tout le monde va s’en apercevoir c’est sûr. En tout cas lui n’avait encore rien vu et il faillit lâcher sa raquette lorsque je ramassai une balle, me tournant dos à lui de façon à ce qu’il ait une vue imprenable sur mes fesses à l’air.Je trouva vite la situation agréable à chaque mouvement de ma jupette mon voyeur de mari se délectait du spectacle, finalement j’avais trouvé le truc pour le gagner, il ne rattrapait plus une balle ! L’air frais sous ma jupette, l’excitation de mon mari, l’idée que d’autres pouvaient me voir, tout ça devenaient bien plus que plaisant, très excitant.J’avais trop envie de faire l’amour maintenant, je le lui dis, par provocation j’en rajoutais lui donnant le choix soit, on rentrait soit, il me prenait là sur le court. L’idée était plaisante mais peu réalisable dans la réalité, pourtant elle avait fait son chemin dans son esprit, tout en m’embrassant, il me coinça contre la chaise d’arbitre et glissa sa main entre mes cuisses, je ne pus retenir un petit cri de plaisir en sentant ses doigts entre mes lèvres à la recherche de mon clitoris, je passa ma main dans son short, il bandait vraiment très fort. Il me remonta le tee-shirt d’un coup sec et m’embrassa les seins, j’étais perdue entre mon désir et un reste de pudeur. Je devais offrir un beau spectacle les seins à l’air, le soutien-gorge ayant suivi le tee-shirt, la jupe retroussée et un mâle en chaleur contre moi, bon c’est mon mari, mais quand même ! Je ne trouvai qu’une solution pour le calmer, aller plus loin que lui dans son jeu. D’un seul coup il se retrouva le short avec son slip sur les genoux, il se bloqua, me regarda incrédule et vite remonta son short me traitant de folle, il plaisantait mais je la trouvais un peu forte quand même, et oui c’est çà les hommes on peut voir nos fesses mais pas les leurs.On décida donc de retourner à l’hôtel, c’était quand même mieux.C’est en sortant du court bras dessus bras dessous comme deux amoureux que nous étions, pressés de retrouver notre chambre et d’étancher notre soif de plaisir que tout s’écroula, nous vîmes arriver face à nous, le couple maudit ! Lui comme d’habitude toujours super bien habillé, que de la marque pour sa tenue de tennis. Elle pantalon de jogging large et tee-shirt blanc le tout de la boutique  » Des Chiens « .Evidemment il voulait faire un double, on s’excusa poliment, il insista bêtement, adieu notre sieste crapuleuse ! Je le détestais déjà depuis le repas d’hier soir mais là je le haïssais de nous couper dans nos ébats amoureux.La partie commença, mon mari jouait quasiment tout seul, je n’avais pu remettre ma culotte et comme il était hors de question que je me redonne en spectacle pour ce mec là , je restais plantée n’osant bouger. Mais son talent compensant, les autres « caves » se prenaient une vraie raclée. Et le mec de râler, de critiquer le jeu de sa femme, à l’entendre c’est elle qui le faisait perdre. J’en avais marre, il m’énervait trop et de toute façon je ne pouvais pas jouer sans culotte avec lui. Une idée me vint, je proposai à sa femme de laisser les deux hommes jouer ensemble prétextant que nous étions décidément trop mauvaises ! Elle ne se fit pas prier, lui par contre sentit le piège, trop tard pour lui, il allait en baver mon homme était vert de rage de n’avoir pas pu faire l’amour il devait en avoir mal au bas ventre.J’étais morte de rire, entre lui qui ne touchait pas une balle face à mon champion et elle qui contenait difficilement son plaisir de le voir ainsi. Elle faisait plaisir à voir, tout sourire, elle rayonnait. Je pris le temps de la détailler, la quarantaine, pas très grande mais à priori vu les habits trop amples pas mal foutue, par contre la coiffure d’un autre âge quelques cheveux blancs et un maquillage raté de chez raté. C’est là que j’ai eu l’idée, il y aurait du boulot mais je voulais la « relooker « .Je la branchais sur la soirée, un repas dansant était prévu, elle était catastrophée, elle n’avait rien prévu d’habillé et pensait ne pas y aller. Je lui proposai de venir fouiller dans ma garde robe ce quelle accepta, on laissa les hommes et monta dans ma chambre. Je lui sortis les trois tenues un peu habillées que j’avais amenées, elle était horrifiée, les trouvant plutôt déshabillées ! J’insistais lui montrant une robe jaune serrée sur la taille et évasée avec des dentelles sur le bas, courte mais sans trop. Elle abdique et se déshabille, là je n’en perds pas une miette, pas terrible les dessous à 20 balles mais par contre un joli corps. Des seins lourds mais non tombants, une taille de guêpe, des fesses de rêve. S’il me fallait être méchante son seul défaut se situe au niveau des chevilles, on dirait quelle n’en à pas ! Les mollets arrivants sur les pieds, dommage.Malgré quelle soit serrée au niveau de la poitrine, la robe lui va à ravir. Malicieusement je lui demande de tourner sur elle-même, immédiatement la robe suis le mouvement et monte, monte à l’horizontal de sa taille lui laissant les cuisses et jusqu’au bas du ventre à l’air, je rigole de bon cœur, je n’aurais pas dû !Elle l’enlève immédiatement prétextant quelle n’osera jamais la porter et de toute façon son mari s’y opposerait. Je la prends par la main, la fait asseoir à côté de moi, la rassure, lui dis que l’on va trouver autre chose. Tiens, on va faire les boutiques, je dois aller au coiffeur elle devrait m’accompagner et par la même occasion je lui ferai connaître mon petit génie de la coiffure, il trouvera la coupe géniale qu’il lui faut. Elle hésite, réfléchit, s’inquiète de la réaction de son mari, non décidément elle ne peut pas, c’est impossible.Je suis horrifiée, je l’interroge sur ces rapports avec son mari, de quel droit il l’interdirait de se faire belle. Là elle se lâche et parle, parle d’elle de son mari des enfants quelle n’a pas eu, de ce divorce tant de fois décidé puis remis. Elle s’appelle Eliane, a 42 ans, mariée depuis 15 ans à Didier, comme beaucoup, du bonheur puis de l’ennui, enfin du mépris, la joie quoi ! Elle est à cran et finit par pleurer, je la serre contre moi sa tête sur mon épaule. Ma main est posée sur une de ses cuisses, mon autre bras autour de son cou. Elle est toujours en sous-vêtement, ses seins grossissent au rythme de ses sanglots, je ne peux m’empêcher de les regarder, trop envie de les caresser. Je laisse courir ma main sur sa cuisse, puis glisse sur le tissu de sa culotte et m’arrête sur son ventre qui lui aussi suis la cadence de ses pleurs. Je lui parle doucement comme à une petite fille et pose un baiser sur son front, elle me regarde, me sourit entre deux sanglots. Ma main continue sa progression et vient s’enrouler à la base d’un de ses seins, je ne respire plus attendant la réaction. Elle se blottit un peu plus contre moi, passant ses bras autour de mon cou, je sens ses larmes chaudes sur ma joue et elles coulent dans mon cou. Ma main un peu tremblante est maintenant sur son sein, j’étouffe. Il est chaud, doux et ferme, je suis bloquée, n’osant aller trop loin, ne voulant la brusquer. Elle se retire, un sourire magnifique aux lèvres et me dit :  » Ok on y va, ce soir on sera les plus belles ! « A SUIVRE.