Jacqueline … Suite de Mohamed et SelimJacqueline – 2ième partieMon radio-rĂ©veil ou plutĂ´t ma tĂ©lĂ©-rĂ©veil me tire d’un sommeil très lourd mais aussi rĂ©parateur, vite Ă la douche la journĂ©e va ĂŞtre encore dure. J’entends des coups Ă la porte et après une enveloppe est glissĂ©e dessous, c’est un mot de Jacqueline : nous faisons une petite fĂŞte ce soir Ă la maison et je serais très contente de vous accueillir, bonne journĂ©e, Ă ce soir 19 heures. J’avais prĂ©vu aller ce soir avec mes collègues au restaurant pour la fin de stage. Que choisir ? Un repas sympa oĂą bien sĂ»r on ne va parler qu’essentiellement boulot ou faire la nouba avec mes nouveaux amis, le travail ou le sexe ? Je verrais ce soir suivant mon humeur.La matinĂ©e se passe bien et il est dĂ©jĂ midi. Le repas est pris ensemble dans le restaurant de mon hĂ´tel car la salle de confĂ©rence oĂą se dĂ©roule mon stage ne se trouve pas tellement loin de lĂ . ArrivĂ©e au dessert j’aperçois mon ami Didier dehors qui essaie de regarder par les fenĂŞtres du restaurant pour me voir, je suppose. Il me voit et avec son index il me fait signe de monter.Que me veut-il ? Il a Ă la main un sac Tati.Je m’éclipse et monte Ă ma chambre. Devant la porte il m’attend et me fait signe de rentrer.— Que veux-tu ? Et par oĂą t’es passĂ©Â ?— Par l’entrĂ©e de service, je connais. On n’a pas pris les mesures pour ton godemichĂ© me dit-il tout bas.— Et c’est pour ça que tu es venu ? DĂ©pĂŞches toi mon stage commence dans 1/2 heure.Il pose sur le lit son sac Tati et sort plein d’accessoires. Il prend une poignĂ©e en bois et la fixe sur une autre pièce faite de plusieurs parties. Il visse la poignĂ©e et la tourne.— Tu vois plus je tourne plus l’autre pièce s’écarte, allez enlève ta culotte.Devant ses yeux volontaires et sa voix autoritaire, il parle comme un artisan menuisier qui prend les mesures d’un meuble, j’ôte mon slip et m’assois sur le bord du lit. Il sort une capote anglaise et la pose sur son objet.— C’est pour l’hygiène.Il me force Ă me coucher sur le dos mes pieds posant par terre. Il soulève ma jupe lĂ©gère qui est assez ample.— Ecarte les cuisses !Le braquemart, je ne sais pas son nom mais comment l’appeler ? entre dans mon vagin et il fait des mouvements de va-et-vient.— Dis-moi quand tu trouves que c’est bon !— Encore un peu plus gros, j’aime bien ĂŞtre remplie.Il tourne encore la poignĂ©e, je sens que c’est presque bon. Encore un petit peu et c’est parfait. Il s’arrĂŞte, sort son objet, regarde sur un index graduĂ©.— 45 dit-il ! Bon maintenant quelle longueur, prĂ©fères-tu que cela touche le fond ou le devant ?— Je suis Ă©berluĂ©e, nous avons une conversation surrĂ©aliste. Cela dĂ©pend j’aime les deux.Il me remet son objet et pousse aussi loin qu’il peut. ArrivĂ© bien au fond du vagin bien posĂ© sur le col de l’utĂ©rus, il me demande de le maintenir et pousse une toise sur la poignĂ©e, comme on mesure notre hauteur chez le mĂ©decin. Il retire l’objet de mon corps et regarde les graduations sur la poignĂ©e puis il marque sur un bout de papier toutes les cotes.— Je vais le finir pour demain et je t’en ferai un rĂ©glable comme cela tu pourras mettre la longueur que tu veux.Je me redresse du lit, il me rendra folle ce gamin, je mouille encore, moi les fesses Ă l’air et lui tout habillĂ© entre mes jambes. Assise au bord du lit je ramasse mon slip, je le regarde, il n’est pas très net avec des aurĂ©oles d’humiditĂ© dans le fond, mon corps suinte beaucoup, pas Ă©tonnant avec ce que je lui impose. Je vais en changer mais comme j’en fais une consommation assez importante je dĂ©cide de le laver. Didier me regarde, en prenant ma culotte je me dirige dans la salle de bain.Je suis toujours le cul nu. En lavant ma culotte dans le lavabo, je sens deux mains qui soulèvent ma jupe et remonte le long de mes hanches. Elles les caressent puis remonte sur mon ventre puis vers mon sexe. Didier prend avec ses deux mains mes lèvres intimes, les Ă©carte et titille mon clitoris avec ses pouces. Ses mains m’abandonnèrent et après un très court moment mis par le jeune pour se dĂ©culotter il revint Ă la charge mais en plus des mains qui faisaient la navette entre mon ventre, mon clito et mes hanches je sens très distinctement son membre en Ă©rection Ă l’entrĂ©e de ma grotte. Etant de la mĂŞme grandeur que moi il n’a aucun mal Ă me pĂ©nĂ©trer. SitĂ´t en moi il donne de grands coups de boutoir et me laboure Ă grande vitesse.— Ce n’est pas une course lui dis-je.Et mettant mes mains en arrière je les pose sur ses fesses en l’attirant vers moi et le repoussant.— Pas plus vite que cela !Il me baise maintenant Ă une allure plus lente. Je ressens beaucoup mieux son membre hyper-tendu qui du fait de la position de mon baiseur, dĂ©crit un arc de cercle dans mon sexe. En frottant sur la cicatrice de mon pĂ©rinĂ©e occasionnĂ©e lors de mon accouchement, son membre me procure des sensations très fortes. Il me fait dĂ©faillir, je sens le plaisir arriver et lui reprenant les fesses j’accĂ©lère le va-et-vient, sentant qu’il va Ă©jaculer au plus profond de moi je le maintien fortement. Que c’est bon, les giclĂ©es de sperme qui viennent s’écraser sur le col, j’ai les jambes flageolantes et je me cramponne au lavabo. Didier est toujours rivĂ© en moi, mĂŞme après sa dĂ©charge il bande encore, il s’arrĂŞte et reprend doucement ses mouvements dans mon sexe, il est increvable.Après quelques minutes je sens son membre reprendre de la vigueur. Il ne va tout de mĂŞme pas recommencer, j’ai mon stage dans je ne sais pas combien de temps, je n’ai plus la notion de temps. Il recommence Ă me faire du bien, son pistonnage me comble d’aise. Il s’amuse Ă faire sortir son pĂ©nis de ma chatte et Ă me baiser avec son membre très raide. Son action sur le pĂ©rinĂ©e me tue. Il dĂ©rape Ă plusieurs reprises et je sens le gland frĂ´ler mon anus. Est-ce intentionnel ? Veut-il me tester ? Je ne sais que penser aussi après un nouveau dĂ©rapage je sens très nettement le gland se positionner sur mon petit Ĺ“illet rose, il s’arrĂŞte et après quelques poussĂ©es il entre en moi, facilitĂ© en cela par les effluves abondants sortant de mon vagin. Il reprend sa progression, je sens ses couilles battrent sur mes fesses, il est dĂ©chaĂ®nĂ©, pas moyen de le stopper. Il souffle et dĂ©nudant mon corsage il empoigne mes seins par-dessus le fin soutien-gorge en soie il en pince le bout. Je suis au comble de la jouissance, j’ai des Ă©clairs partout. Je sens son membre cracher en moi ainsi maintenue avec un pieu dans le cul je ne risque pas de tomber heureusement car mes jambes ont du mal Ă me supporter.Après une rapide toilette j’ai remis une autre petite culotte blanche celle-lĂ mais j’ai pris la prĂ©caution d’y mettre une serviette hygiĂ©nique car le foutre de mon jeune amant mĂŞme après la douche corporelle aussi bien que vaginale continue encore Ă couler le long de mes cuisses.Mon arrivĂ©e au stage en presque passĂ©e inaperçue car c’était dĂ©jĂ la pause.— Un coup de fil de mon bureau, une affaire urgente Ă rĂ©gler mentis-je !Il est 16 heures le stage s’achève, je n’ai pas encore pris de dĂ©cision pour ce soir. Du lieu de la confĂ©rence Ă mon hĂ´tel il y juste un peu plus d’un quart d’heure de marche je rĂ©flĂ©chirais pendant ce temps lĂ . Ma collègue de Lyon, CĂ©line avec qui je m’entends bien, d’ailleurs je mange avec elle le midi et bois mon cafĂ© Ă la pause aussi, m’attend Ă la porte du centre de confĂ©rence.— Que fais-tu ce soir tu vas au restaurant ?— Je ne sais pas lui dis-je !— Tu sais Françoise je ne t’attendais pas tellement pour ça, mais j’espère que tu ne vas le prendre mal, je dors dans la chambre Ă cĂ´tĂ© de la tienne et je t’ai entendue hier soir.— Ah !— Et après le repas je t’ai vue entrer dans ta chambre avec le jeune noir. Je t’envie de pouvoir t’éclater comme cela, moi tu vois Ă quarante ans ma vie sexuelle est nulle, mon mari s’endort tout de suite au lit ou alors il bâcle son devoir familial sans aucun prĂ©liminaire.— Prends un amant !— J’habite une petite ville, j’ai 3 enfants et je ressens quand mĂŞme un petit quelque chose pour lui. J’ai essayĂ© une fois avec un ami, cela a Ă©tĂ© dĂ©sastreux, la seule façon de pouvoir me faire plaisir c’est la masturbation. Je t’ai vue avec ce noir, c’est vrai qu’ils ont un sexe Ă©norme ?— Peut-ĂŞtre ! Mais tout se passe dans la tĂŞte. Je suis invitĂ©e Ă une rĂ©ception chez cette famille ce soir, si tu veux je peux t’emmener, ce sont des gens très charmants avec des coutumes diffĂ©rentes mais pour ton problème tu vas voir ils ont des solutions radicales (rires). Si tu le souhaites on partira vers 19 heures moins le quart, il te reste deux heures pour te prĂ©parer.ArrivĂ©e Ă l’hĂ´tel je prends une douche et j’hĂ©site sur ma tenue vestimentaire. Il fait chaud en ce dĂ©but septembre, j’opte pour des dessous coordonnĂ©s en soie rose, je les adore car mon soutien-gorge me remonte bien les seins, et pour un ensemble jupe veste fleuri. Ça sonne Ă la porte, c’est CĂ©line, elle rentre et s’assois sur une chaise.— Je ne sais pas quoi faire ! J’hĂ©site.— Pourquoi ? Allez viens, tu va voir c’est un peu spĂ©cial mais tu ne le regretteras pas.— Tu as raison ! Comment s’habiller ?Elle est vĂŞtue d’un tailleur assez strict, avec un corsage blanc en dessous. Je lui recommande de rester comme cela, elle est très bien, mais la veste de tailleur Ă©tant boutonnĂ©e presque jusqu’en haut, Ă mon point de vue elle peut très bien enlever son corsage.— Je ne suis pas habituĂ©e Ă porter des dĂ©colletĂ©s ! Mais je vais essayer.Elle Ă´te sa veste puis son corsage. Elle soupèse ses seins, elle me dit qu’elle les trouve trop gros et que ses 3 maternitĂ©s ne l’ont pas arrangĂ©e. Effectivement elle doit faire du 105 C ou D mais elle est encore une très belle femme, un peu de ride bien sur et pas de ventre.— Moi si Ă quarante ans on peut me promettre d’avoir une poitrine comme la tienne je signe tout de suite.Elle remet sa veste de tailleur et le reboutonne jusqu’en haut. Je m’approche d’elle et en dĂ©fait deux elle est un peu rĂ©ticente mais en fin de compte elle accepte.— Je n’aime pas les jambes nues aussi j’ai mis des bas, tu crois que ça ira ?Elle ouvre sa jupe portefeuille et me montre ses bas qui tiennent tous seuls sans porte-jarretelles et me dĂ©voile son slip coordonnĂ© avec son soutien-gorge.— (Je siffle) tu va faire fureur !— Tu crois que c’est trop ? Je peux les enlever.Sur mon refus nous partons. Nous marchons bras dessus bras dessous, je sens un lĂ©ger tremblement, je la rassure. C’est Jacqueline qui nous accueille Ă la porte, elle nous embrasse. Je lui prĂ©sente CĂ©line et nous rentrons dans la maison. Avant de pĂ©nĂ©trer dans la pièce principale je prends Jacqueline par le bras et lui murmure Ă l’oreille les problèmes de CĂ©line, elle opine de la tĂŞte et nous dit de la suivre dans la salle aux objets Ă©rotiques. Devant tant des merveilles CĂ©line ouvre grand ses yeux, Jacqueline lui prĂ©sente un Ĺ“uf et lui met dans la main, qu’est-ce vous en pensez ? C’est notre nouveau type toujours en bois Ă©vidĂ© mais au milieu nous avons placĂ© un vibreur miniature de tĂ©lĂ©phone et la ficelle sert aussi Ă activer le système.— Tenez je vous le donne !Puis saisissant un godemichĂ©, elle me le donne. C’est aussi une nouveautĂ©, nos artisans innovent, il est Ă©quipĂ© de deux mini-vibreurs Ă chaque bout pour bien exciter le vagin et en mĂŞme temps le clitoris.— Merci lui dit-on en cĹ“ur !Elle nous entraĂ®ne maintenant dans une grande salle oĂą plusieurs personnes se trouvent dĂ©jĂ , toutes noires nous sommes seulement les seules blanches. Cette salle se compose d’une scène au milieu et d’innombrables poufs autour.— C’est un ancien garage que nous avons transformĂ©. La fĂŞte que nous allons voir ce soir est la fĂŞte de l’initiation au cours de laquelle les jeunes gens, garçons et filles passeront du statut enfant Ă celui d’adulte. Elle n’a rien Ă voir avec celles qui se passaient avant dans notre pays, c’est plus une coutume que nous ne voulons pas perdre.Sur la scène plusieurs groupes se succèdent. Le groupe des jeunes hommes seulement habillĂ©s par une sorte de cache-sexe nous fait admirer leurs torses luisants, ils se dĂ©mènent sur la piste entraĂ®nĂ©s par un adulte qui leur sert de maĂ®tre de cĂ©rĂ©monie, un certain Arsène, joli brun de mâle. Celui des jeunes filles habillĂ©es de la mĂŞme façon mais avec en plus un pagne, se trĂ©moussent aussi leurs seins dĂ©nudĂ©s se balançant au rythme de la musique. Nous avons eu droit Ă trois heures de spectacle et de musiques ininterrompues, il est temps de rentrer.Tout le monde s’embrasse en se quittant, Jacqueline nous demande l’heure de notre train pour nous dire un dernier au revoir.— C’était un plaisir de faire ta connaissance me dit-elle ! Si tu veux revenir Ă ton prochain stage tu connais l’adresse. Puis se tournant vers Arsène, tu ne veux pas les accompagner Ă leur hĂ´tel, il fait nuit je sais que le quartier est calme, mais on ne sait jamais.Du fait Arsène et un autre de ses camarades nous prennent par le bras et en chantant (doucement il est presque minuit) nous entraĂ®nent sur le chemin du retour. Il ne fait pas froid dans cette nuit de septembre, Ă cause de la soirĂ©e ou de la prĂ©sence de nos amis Ă nos cĂ´tĂ©s. En chemin la main de Jean (le copain d’Arsène, joli mâle pas très grand mais assez râblĂ©) qui me tient le bras se dĂ©place autour de ma taille et me caresse les hanches. Bof ! Pour la dernière nuit de libertĂ© sans contrainte, car demain c’est le retour dans mes foyers et le ronron quotidien, je me laisse aller. Moi aussi je lui prends la taille et mĂŞme je lui caresse les fesses, je n’en reviens pas moi si rĂ©servĂ©e que je puisse me permettre cela. En me retournant je vois que CĂ©line est dans le mĂŞme Ă©tat d’esprit que moi, ils se tiennent collĂ©s l’un Ă l’autre, en passant dans un endroit plus sombre Jean s’arrĂŞte, se retourne vers moi, m’attire Ă lui et m’enlaçant m’embrasse sur la bouche. Je lui rends son baiser sa langue pĂ©nètre ma bouche, sa main se dĂ©place et se faufile sous ma jupe, ses doigts se frottent sur mon slip puis essayent de s’immiscer en dessous, je l’aide un peu en levant lĂ©gèrement une jambe. Ça y est ses doigts me pĂ©nètrent, je mouille abondamment, deux doigts sont dans mon vagin et triturent mon clitoris. Il ne va pas me faire l’amour en plein air ! A minuit bien sur, cachĂ©s par des arbres mais dans une rue oĂą les voitures circulent encore. Je m’écarte et lui enlève la main.— Du calme on est presque arrivĂ© devant l’hĂ´tel.— Venez ! Je connais l’entrĂ©e de service on ne va pas se faire remarquer dit Arsène !Jean me prend par la main, CĂ©line fait de mĂŞme avec Arsène et après des ruses de sioux et pas mal de dĂ©tours nous nous retrouvons dans l’ascenseur, arrivĂ©s près de nos chambres j’échange avec mon amie un bonsoir souriant, la nuit va ĂŞtre rude.Mes mains tremblent un peu, j’ouvre la porte et nous voici maintenant que tous les deux. J’aurais prĂ©fĂ©rĂ© prendre l’autre noir, mais si ça se trouve celui lĂ va me faire jouir comme jamais. Jean m’enlace et m’embrasse goulĂ»ment, il essaye de dĂ©boutonner mon corsage mais le voyant un peu empĂŞtrĂ© je le repousse et dĂ©cide de me dĂ©shabiller toute seule, il en fait autant. Nous voici tout nus, ma vue se porte sur son sexe un peu en Ă©rection mais pas encore au top, il est Ă©norme, pas en grosseur mais en longueur, il arrive presque aux genoux. Je vais dĂ©guster mais j’adore les longs membres rien que d’y penser mon esprit s’excite. Je lui prends sa bite dans la main et en le tirant un peu l’entraĂ®ne vers le lit. Bonne idĂ©e qu’ils ont eue de me donner un grand lit plutĂ´t que deux lits jumeaux.Je le pousse et le couche sur le dos. Il se laisse faire, je l’enjambe et me positionne sur ses cuisses. Je soupèse ses petites boules d’une main et de l’autre je dĂ©calotte le gland, je le prends dans la bouche et lui fais une fellation, cela commence Ă faire son effet, je le sens bouger faisant avancer son membre au-devant de ma langue, il bande Ă mort. J’arrĂŞte et me redresse, j’avance sur son ventre et me saisissant de son pĂ©nis je le positionne sur ma grotte et hop ! Mon vagin l’aspire. Oh ! Je n’en vois pas le bout, son sexe longiligne me pĂ©nètre, je descends doucement, il ne va jamais rentrer en entier. Effectivement arrivĂ© en buttĂ©e sur mon col un bon morceau reste encore en dehors. Etant maĂ®tre de la situation je le pistonne Ă ma cadence, mon plaisir est de bien sentir au plus profond de moi son sexe, aussi j’arrĂŞte les va-et-vient et bouge seulement le bassin je sens le plaisir arriver, un orgasme me foudroie, un autre arrive et sa bite se met Ă enfler et Ă cracher, je sens le flot de son sperme m’inonder et un troisième orgasme me transperce. Que je suis bien !J’allonge mes jambes et me colle contre sa poitrine, nous nous embrassons, Jean met ses bras autour de mes Ă©paules et m’attire contre lui. Mes seins dont le bout sont très gros et très sensibles sont Ă©crasĂ©s sur son torse. Je m’écarte un peu juste histoire de les faire balancer pour exciter un petit peu plus les bouts. Je ressens toujours son sexe en moi, j’essaye de ne pas le faire ressortir, je m’emboĂ®te bien sur lui. Je repense Ă mon mari, lui sitĂ´t après l’amour son membre est tellement recroquevillĂ© comme un escargot rentrant dans sa coquille qu’il sort tout de suite de mon corps et j’en suis assez frustrĂ©e. Peut-ĂŞtre du fait de la longueur de son sexe Jean est toujours fichĂ© en moi, et après un court moment de repos je fais bouger les muscles vaginaux et compresse son gland. Mon action de massage interne fait dĂ©jĂ son effet, quelle impression de sentir grandir en soi Ă nouveau son membre. Jean recommence Ă bouger, mais sa position en dessous de moi le prive de la conduite de l’amour ou alors son image de mâle en souffre il me retourne sur le cĂ´tĂ© et me faisant face en me soulevant une jambe il reprend son pitonnage.Sa main m’écarte une cuisse et de l’autre main il me prend le clitoris entre son doigt et le pouce, il le triture, mon vagin dĂ©gouline je suis mouillĂ©e ça coule entre mes cuisses, Ă chaque poussĂ©e les mouvements de son sexe dans mon corps fait des bruits incongrus mais je m’en fous je suis trop bien ! Il est increvable j’ai le temps de jouir plusieurs fois et lui continue toujours son va-et-vient. Il s’arrĂŞte et se retire de moi.— Un peu de repos sinon je vais encore cracher mon venin me dit-il en souriant.— Oui ! Laisse mon sexe se reposer et occupe toi un peu de mes seins, ils sont très sensibles ils rĂ©clament leur dĂ».Jean me met sur le dos et effectivement sur ma demande prend un sein dans la bouche en faisant tournoyer sa langue autour de mon tĂ©ton et se positionne sur l’autre sein en me pelotant et pinçant l’autre tĂ©ton entre le pouce et l’index. Mes seins sont très sensibles et son action me comble d’aise. Sa main se dĂ©place sur mon ventre, me caresse le nombril puis descend sur mon pubis, je maintiens sa tĂŞte sur mon sein et remonte mes talons sous mes fesses en Ă©cartant bien les cuisses, je suis bien ! Ses doigts se promènent sur mon clito sur ma vulve trempĂ©e et aidĂ©s par les flots de mon vagin masse l’entrĂ©e de mon anus. Ils tournent autour de mon petit trou et Jean avec le pouce dans ma grotte en le faisant tourner place son index sur mon cul et après quelques massages dĂ©licats me l’introduit. Je suis surprise de son action, j’ai un moment de sursaut je resserre les cuisses instinctivement mais Jean me maintien fermement, son doigt tourne dans mon cul, je suis vaincue je desserre les jambes, je ne suis pas tellement une adepte de la sodomie mais je comprends qu’un homme puisse en avoir envie.Jean enlève sa main et me retourne sur le ventre, ça y est je vais y passer. Effectivement il se met Ă genoux entre mes jambes et s’appuyant sur ses bras le long de mon corps il retombe sur moi lentement, je sens son gland sur mon anus. Dans ma tĂŞte je me dis que je vais l’aider sinon il va me faire trop mal, aussi je prends son membre et le positionne Ă l’entrĂ©e de mon cul, il est impatient.— Doucement lui dis-je !Je me dĂ©tends et introduit son sexe, quelle facilitĂ©Â ! Bien sur aidĂ© par mes effluves intimes et son sperme sa bite poursuit son chemin dans mon antre. Je me sens envahie il me transperce, ses couilles maintenant battent sur mes fesses il ahane et souffle de plus en plus. Ses mains sur mes hanches accĂ©lèrent le mouvement, mes fesses claquent Ă chaque poussĂ©e je sens son gland grossir et ses giclĂ©es de sperme se rĂ©pandre dans mon cul, il prend mes seins dans ses paumes, les pĂ©trit les malaxe, des Ă©clairs m’éblouissent c’est le pied ! Quel baiseur ! Toujours emmanchĂ©s l’un dans l’autre nous nous couchons sur le flanc ses bras m’encerclent, je me sens en sĂ©curitĂ© mon dos en contact avec son torse. Je lui prends les mains qui se reposent sur mon ventre et les positionne sur mes seins et après je m’endors. Je ne sais pas combien de temps je me suis assoupie. Des coups rĂ©sonnent Ă la porte j’ai du mal Ă ouvrir les yeux c’est Jean qui se lève, d’après les paroles que je perçois c’est Arsène qui ayant fini avec mon amie CĂ©line veut repartir chez lui.— Tu viens Jean ? Dit-il, elle m’a mis la queue en compote.— Eh bien ! Moi c’est pareil. Mais je ne suis pas pressĂ©, personne ne m’attend aussi avant de partir je lui en mettrais bien encore un petit coup.— J’aurais bien voulu aussi, dit Arsène, mais CĂ©line dort profondĂ©ment elle ne doit pas ĂŞtre habituĂ©e de se faire baiser de cette façon.— Rentre ! Viens voir ce beau brin de femme.Je m’aperçois bien que je suis dans une position très incorrecte, nue sur le dos les bras en croix et les jambes Ă©cartĂ©es mais je n’ai pas le courage de bouger aussi quand Arsène pĂ©nètre dans la chambre il ne peut s’empĂŞcher de siffler d’admiration. Je suis crevĂ©e, je ne me sens pas le courage de recommencer une autre sĂ©rie de baise mais mon corps me dit le contraire. Aussi voyant Arsène se dĂ©shabiller je me lève.— Quelle Ă©nergie ! Laissez moi me refaire une santĂ© je vais prendre une douche leur dis-je.— Vas-y me dit Jean ! Fait briquer ton minou et n’oublie pas ton cul ! Ça va ĂŞtre leur fĂŞte.C’est vrai que l’eau de la douche me fait du bien, mon corps entier est engourdi, mes seins me font mal et toutes les parties sexuelles sexe et anus sont endolories. Je suis restĂ©e au moins une demi-heure sous les caresses apaisantes de l’eau, je me sèche et quand mĂŞme je me retrouve excitĂ©e par mon avenir proche, dans ma tĂŞte je repense Ă mes multiples aventures, que puis-je espĂ©rer de plus ? Que vont-ils me faire ? Je prends une serviette de bain pour me couvrir puis je la jette sur la baignoire, ce n’est pas la peine de se montrer pudique Ă ce moment. Ils m’attendent Ă la sortie de la salle de bain aussi nus l’un que l’autre, ils veulent me prendre le bras mais je les repousse. Du calme ! J’empoigne leur sexe dans les mains, de beaux engins. Celui d’Arsène est plus gros, plus trapu, pas question qu’il m’encule il va me dĂ©chirer. Il m’attire sur lui me presse sur son torse, son membre est dĂ©jĂ en Ă©rection je le sens sur moi. Il me soulève par le dessous de mes cuisses, il va me baiser debout ! Effectivement il me hisse un peu mais ayant mis mes bras autour de son cou et les siennes sous mes fesses son sexe bien droit a du mal Ă me l’introduire, aussi c’est Jean qui passant derrière moi lui prend sa pine et qui me la met dans le vagin. D’ailleurs Jean aide son ami en me tenant derrière sous les Ă©paules et suit les mouvements, il en profite aussi de m’introduire l’index dans le cul, je sens bien que derrière moi Jean essaye de m’enculer mais visiblement il a du mal Ă m’introduire son membre n’étant pas visiblement de la mĂŞme grandeur.— Poses-la sur le lit ! Je n’arrive pas Ă atteindre son cul dit-il !Me maintenant solidement par la taille et moi ayant mes jambes nouĂ©es dans son dos et toujours emmanchĂ©e il m’emporte sur le lit. Il me pose dĂ©licatement aidĂ© par Jean, se met sur le dos et me positionne sur lui. Arsène me prend les fesses Ă pleine main, me soulève et me descends Ă son rythme, je me laisse faire, je ne suis qu’un jouet entre leurs mains. En me soulevant il Ă©carte mes fesses.— Tu vois son petit trou ? Il t’attend.Jean Ă genoux derrière moi se mouille les doigts dans la bouche et m’humidifie l’orifice, puis saisissant son membre il se met en position sur mon anus et pousse progressivement, je sens la progression du gland dans mon corps. Il me prend les seins en mĂŞme temps et en pince les bouts. De multiples orgasmes me traversent, je vois des Ă©toiles partout mon corps se met Ă trembler, mes deux amants me ballottent Ă leur volontĂ©, Arsène le premier se met Ă Ă©jaculer de longues giclĂ©es dans mon vagin et maintenant aide son ami en faisant coulisser mon cul sur son membre.— Dit donc, tu es long Ă jouir ! Lui dit-il.— Ça vient je le sens !Il s’arrĂŞte de bouger et sa bite cracha elle aussi dans mon cul son flot de sperme, je ne touche plus terre je ne sais plus oĂą je suis. Quelques instant plus tard mes deux baiseurs se retirent de moi, me couchent en chien de fusil et me remettent les draps dessus.— Je rentre dit Arsène ! Ma femme m’attend elle va se poser des questions elle est très jalouse.— Non je reste avec Françoise, personne ne m’attend, je bande encore dit JeanArsène se lève, s’habille et s’en va. Jean se recouche Ă mes cĂ´tĂ©s son torse contre mon dos et ses bras m’enlaçant. Je m’endors doucement je sens Ă peine son membre se faufiler dans mon vagin il me possède doucement cela me berce puis le sommeil me prend et me suis endormie lourdement, je n’ai pas ressenti la fin du rapport imposĂ© par mon amant.La tĂ©lĂ© se met en marche, il est sept heures, je l’avais programmĂ©e ainsi car je ne veux pas ĂŞtre bousculĂ©e le matin. Je me dĂ©lasse doucement, je m’étire mon merveilleux amant Jean dort profondĂ©ment. Je le laisse tranquille et pars Ă la douche, mon corps est apaisĂ© par cette eau chaude qui coule sur moi. Je me sèche, j’entends le tĂ©lĂ©phone et me prĂ©cipite vite avant que Jean ne dĂ©croche machinalement. Il a presque la main dessus cela l’a rĂ©veillĂ© et en prenant le combinĂ© je lui fais signe de se taire en posant dĂ©licatement un petit baiser sur sa bouche. C’est mon mari ! Je m’assois sur le bord du lit poussant Jean un petit peu, nue comme un ver, je me tourne vers lui et met mon index sur ma bouche en signe de lui faire comprendre de se taire.— Bonjour mon amour ! Je ne te rĂ©veille pas j’espère, dit Claude mon Ă©poux. Ă€ quelle heure est ton train exactement pour que j’aille te chercher ?— J’ai dĂ©jĂ pris ma douche et je me prĂ©pare Ă finir mes bagages. Je crois que je pars de Paris Ă 15h12 et je dois arriver vers 19 heures Ă Nevers. Tu me manques !— Moi aussi !Jean derrière moi s’il ne prononçait pas un mot n’en Ă©tait pas moins inactif. Il se met Ă genoux dans mon dos et en m’enlaçant me pelote les seins et en pince les bouts qui dĂ©jĂ se mettent Ă durcir. J’essaye de me dĂ©faire de son emprise mais il ne lâche pas sa pression, je ne peux pas me lever. DĂ©laissant mes seins, il me masse maintenant le ventre puis descendant s’attaque Ă ma vulve et Ă mon clitoris. Mon mari au bout du tĂ©lĂ©phone et mon amant me pelotant cela me procure une sensation très forte.— J’espère que tu as Ă©tĂ© très sage toute seule dans cette grande ville ?— Mais bien sĂ»r tu me connais !— Tu t’es beaucoup masturbĂ©e en pensant Ă moi ? Me dit-il.— Eh oui ! Tu me manques beaucoup, tiens en ce moment je suis toute nue et rien que de penser Ă toi cela me fait frissonner.Je me couche sur le dos, j’écarte grand les cuisses et en prenant Jean par ses cheveux crĂ©pus je l’attire doucement vers mon sexe. Il comprend tout de suite et se met Ă me lĂ©cher la vulve. Il aspire complètement les lèvres intimes et avec le bout de la langue il titille mon clitoris. Cette situation me fait dĂ©faillir mon amant me procurant du plaisir et mon mari de l’autre cĂ´tĂ© reliĂ© par le tĂ©lĂ©phone.— Tu en fait du bruit me dit Claude !— Prenant mon souffle, bien sĂ»r c’est mon amant qui me baise si tu savais comme c’est bon !— Quoi ?— Mais non, repris-je, c’est la tĂ©lĂ© espèce d’idiot, tu sais bien que je t’aime.— Bon Ă ce soir, je t’embrasse.Il est temps qu’il raccroche car l’orgasme attendu arriva brusquement, je ne sais pas si j’aurais pu le cacher Ă mon Ă©poux. Jean s’aperçoit que je mouille abondamment.— Eh bien ! Madame prend son pied toute seule ! Et moi ?Son membre est dressĂ© et d’un seul coup me l’enfile en moi. Il ne s’occupe de rien, il me laboure me transperce et très vite se met Ă Ă©jaculer.— Tu as encore du jus ? Lui dis-je.Il reste en moi je sens qu’il veut remettre cela. Je n’en ai plus envie, je le repousse et lui son sexe pendant entre ses jambes mais recommençant Ă prendre de bonnes mesures me fait rire.— Va voir CĂ©line ! Je suis sure qu’elle ne te dira pas non.Il se lève, m’embrasse puis en prenant ses affaires sous le bras il s’en va. Il entrouvre la porte ne vois personne et en courant va frapper Ă la porte de mon amie, elle ouvre et je le vois s’engouffrer dans la chambre. Il est vraiment increvable celui-lĂ , CĂ©line si elle est en manque elle ne va pas le regretter. J’ai presque fini mon petit dĂ©jeuner que je vois CĂ©line arriver, toute souriante.— Eh bien ! Tu es contente de repartir ou c’est ta nuit que te rends si guillerette ?— Si tu savais me dit-elle ! Arsène hier soir m’a fait l’amour dans toutes les positions possibles et ton gars ce matin a remis cela. Trois fois ! C’est une machine Ă baiser puis tout bas Ă mon oreille « Il m’a mĂŞme enculĂ©e, je ne connaissais cette pratique que par ouie-dire mais je peux t’assurer que c’est bizarre mais on ne peut pas rester indiffĂ©rente  » !— Tu vois que mes amis sont formidables ! Lui dis-je.— Ton ami Jean m’a donnĂ© rendez-vous chez lui entre midi et deux heures, je ne mangerais pas avec toi ce midi je vais en profiter avant de partir je te rejoindrais Ă la gare de Lyon, attend-moi.Le stage se termine, heureusement car je suis crevĂ©e. CĂ©line est partie vers les onze heures et demie prĂ©textant que son train Ă©tait plus tĂ´t et quelle ne voulait pas passer une autre nuit Ă Paris. Il est plus de deux heures et je suis sur le quai du train de CĂ©line. Encore une demi-heure avant le dĂ©part elle a encore le temps. Puis je la vois qui arrive presque en courant, elle est accompagnĂ©e par tous nos amis africains, Jacqueline en tĂŞte, elle est radieuse ! Ça a du ĂŞtre sa fĂŞte. Après les effusions, c’est le dĂ©part, CĂ©line en premier puis c’est moi dix minutes plus tard.— Reviens quand tu veux me dit Jacqueline !— Oh oui ! reprennent en cĹ“ur Jean et Arsène.— Peut-ĂŞtre ! Pourquoi pas, je connais votre adresse et votre hospitalitĂ© (sourires).Mon train dĂ©marre, je fais des signes d’adieu Ă mes amis puis je vais m’asseoir dans le compartiment. Il est presque vide, un jeune homme placĂ© Ă la fenĂŞtre et seulement moi. Je m’écroule sur le siège, ma jupe en volant remonte assez haut.— Ouf ! C’est fini. C’est dur la vie parisienne dis-je Ă mon jeune voisin, je vais me reposer un peu, si je dors pouvez-vous me rĂ©veiller Ă Nevers s’il vous plaĂ®t ?— Bien sĂ»r madame ! me dit-ilJe me recroqueville sur mon siège les pieds sous mes fesses, mon voisin doit apercevoir ma petite culotte il en est tout rouge. Je repense Ă mon mari et Ă mes amours coupables. Pas le moindre regret, je ne ressens pas de remords car pour moi dans ma tĂŞte faire l’amour sans Ă©prouver de sentiments pour son baiseur n’est pas trompĂ© son mari. Est-ce que je le trompe quand je donne du plaisir avec un godemichĂ©Â ? Sur ces considĂ©rations philosophiques je m’endors.Francoise.p@caramail.fr