Me voici donc connecté sur un de ces fameux CHATs, à épier la chatounette par une nuit divine, une petite chasse à la chatte. Et la voici, la chattelette, Clémentine, qui veut s’éclater entre des bras musclés. Je vais être encore obligé de faire étalage de mes mensurations disproportionnées. Mais non, elle rigole, elle s’en fout, elle veut bien tout et connaître mes caresses… Le problème, c’est que sa copine est là avec elle et qu’elles délirent cul un max. Je lui réponds qu’il n’y a pas de problème, que je ne suis pas jaloux, que je veux bien aussi sa copine. Et gloups, je laisse mon numéro de téléphone en prime, si elles veulent, je suis libre toute la nuit. Et après basta, je coupe la communication et je file au guichet d’en bas pour chercher deux cassettes X. Puisqu’aucune femme ne veut de moi, je vais me contenter d’une bonne branlette !Dring… dring… Je suis de retour, mes deux cassettes sous le bras. Le téléphone sonne comme un détraqué.— Bonsoir, me dit une voix enjouée, bonsoir, me fait l’écho dans le lointain, on croyait que tu nous avais posé un lapin téléphonique. Remarque, normal, vu que tu as l’air chaud comme cet animal. (Et sa copine qui glousse par derrière. Au moins, elles ont de l’humour et n’ont pas l’air de s’ennuyer !) Alors, monsieur Jeannot, qu’avez-vous donc pour nous, dans votre escarcelle ?— Plein d’idées en tout cas, mes toutes douces, mais laissez-moi me remettre de mes émotions. Je pensais sincèrement que vous étiez de petits êtres imaginaires, alors j’avais prévu autre chose pour ce soir. Mais je vois que vous avez au moins de très jolies voix, fraîches et chantonnantes.— Et, en ce qui concerne Myriam, un très joli corps, des beaux seins ronds proéminents et une jolie petite croupe bien rebondie. C’est une belle blonde aux yeux bleus, qui fait 90-60-90 de mensurations, j’entends déjà les boutons de ta braguette exploser.— Je suis certain que ma Mandarine adorée est encore plus parfaite…— Clémentine, Banane. Remarque, une banane, ça peut être intéressant… Mais vous faites fausse route, mon ami : je suis bossue, difforme, vieille, ratatinée, et en plus j’ai une affreuse verrue sur le nez. (Et la dite Myriam d’éclater de rire derrière elle).— Tu es tout ce que j’aime, ma Mandarine adorée, et j’ai hâte de venir sucer ta verrue.Ces gamines ont vraiment l’air tout excitées, un grand feu d’artifice de délire et une bouffée d’air frais. Mais comme les meilleures choses ont une fin, après cette demi-heure récréative, il nous faut bien conclure. Et entre deux « Tes petites gazelles attendent leur grand fauve » ou « Myriam a les seins qui dressent rien que d’entendre ta voix », elles trouvent tout de même le moyen de me glisser discrètement leur adresse. À moi de juger si celle-ci est réelle ou imaginaire, elles ne me laissent aucune garantie là -dessus.Clichy-sous-Bois, c’est à l’autre bout de Paris, presque une heure de route. Je téléphone aux renseignements, le téléphone est sur liste rouge, comme de bien entendu. Et ce foutu plan que je n’arrive pas à trouver, si, la rue est répertoriée sur la carte. Allez, je tente le coup, on verra bien. Je me douche vite fait, me rase de près et enfile un costume sport pour me rajeunir. Un pchit de parfum là -dessus et je suis prêt. J’attrape vite fait la bouteille de champagne que je garde toujours au frigo et, ça peut toujours être un sujet d’entrée en matière, les deux cassettes pornos au passage. Et hop, me voici sur le périph.Et une fois arrivé là -bas, je ne suis pas au bout de mes peines. Je n’arrive pas à trouver la rue de la V…, ce n’est pas sur le plan. Si, c’est bien sur le plan, mais je n’arrive pas à lire le plan. Je m’excite un certain temps sur la carte, je ne vais quand même pas leur téléphoner, elles vont se payer ma bobine. Finalement je tombe sur la rue par hasard, le 28, les appartements de ce côté de la rue sont tous éteints, en tout cas. Je ne sais pas pourquoi, je sens que je vais avoir l’air d’un con, mais qui ne risque rien n’a rien, alors je gravis les quatre étages quatre à quatre et voici la porte du milieu. Et puis merde… Madame Juliette L… Elles m’ont raconté n’importe quoi, ces petites salopes.Je sonne, je sonne pas, je ne sais plus très bien. Il est presque minuit et après tout, zut ! je n’ai pas fait tout ce trajet pour rien, quand même. Alors je sonne, une fois, deux fois, trois fois. Sur le point d’abandonner, mais la porte s’ouvre comme par miracle alors que je m’engouffre dans l’escalier, une jeune femme blonde apparaît, petite, pas spécialement belle et un peu renfrognée.— Oui, monsieur ? Vous désirez ?— Excusez-moi de vous déranger, je suis bien chez Clémentine et Myriam ?— Euh, non pas du tout, je pense que vous faites erreur.— Pourtant je suis bien au 28 de la rue de la V…, quatrième étage, porte du milieu. Je les ai eues au téléphone tout à l’heure et elles m’ont dit de passer. Leur numéro de téléphone est le 01 xx xx xx xx.— C’est possible, monsieur, c’est effectivement la bonne adresse, mais ce n’est pas ici.— Et dans l’immeuble, vous ne connaissez personne de ce nom ?— Je ne sais pas moi, je connais presque tout le monde ici, elles ressemblent à quoi, cette Clémentine et cette Myriam, elles ont quel âge, elles s’appellent comment ?— Ben, euhh, je ne sais pas trop, euh, si, Myriam est blonde aux yeux bleus… Et je pense qu’elles sont assez jeunes.— Et comme ça vous venez les voir en pleine nuit et vous ne savez même pas à quoi elles ressemblent ? En tout cas, je ne vois aucune jeune fille blonde aux yeux bleus dans tout l’immeuble, à part moi, évidemment, mais les miens sont plus gris que bleus… Je crois surtout que l’on vous a fait tourner en bourrique.Mais soudain, dans l’échancrure de la porte, apparaît une autre femme, un peu plus pétillante que la première, en particulier ses yeux noirs qui étincellent. Taille moyenne, longs cheveux châtain clair, elle n’a rien d’un canon elle non plus, mais sa vitalité lui donne beaucoup plus de charme.— Et moi, je ne connais aucune Clémentine dans tout l’immeuble, à part moi, évidemment.Et les voici qui éclatent d’un fou rire à réveiller tout l’immeuble, en observant mon désarroi. Les salopes, elles m’ont joliment piégé ! Et Clémentine d’ajouter :— Avoue que si c’était moi qui t’avais ouvert, tu aurais reconnu ma voix… Alors, on le fait entrer, Myriam, il n’a pas l’air bien méchant ?Remis de mes émotions, j’ajoute :— Si vous faites entrer le loup dans la bergerie, il pourrait bien vous croquer toutes les deux.Et Clémentine, toujours aussi alerte sur la répartie :— Oh ! mais le loup a une grande gueule, à ce que je vois, mais a-t-il aussi une grande queue ? (En voici au moins une qui est à l’aise pour parler cul… Mais est-ce une allumeuse ou l’est-elle aussi sur un plumard ?)Voilà donc les filles qui rallument les lumières et qui sortent les coupes de champagne.— Et qu’as-tu d’autre dans ta besace ? Oh ! le coquin, des films cochons ! Mais tu crois vraiment que des filles de bonne famille comme nous peuvent regarder ça ?Assis confortablement sur le canapé, je les regarde évoluer toutes les deux, c’est vrai qu’elles sont toutes deux très ordinaires, comme nanas. Le côté effacé de Myriam la rend tout de suite très insipide. Myriam, c’est la suiveuse, celle qui se contente d’imiter sa copine. Clémentine, elle, c’est autre chose, une nana comme ça pourrait être hideuse (et dans son cas elle ne l’est pas) qu’elle n’en serait pas moins attachante et, pourquoi pas, séduisante. Clémentine, c’est un ouragan, un bouillonnement perpétuel d’idées, et l’on ne peut guère que tomber sous le charme. La voici justement qui met une cassette dans le magnétoscope et vient se coller à Myriam, qui est immobile près de la porte. J’ai la très nette impression qu’il y a un peu plus qu’une simple amitié entre elles deux. Et la voici qui commente ce qu’elle voit et je dois dire que les commentaires sont plus intéressants que la cassette :— Oh ! quel chibre ! Même si je suis sûre que Jeannot Lapin en a un bien plus gros. Regarde-moi ça, la noire, comme elle se fait brouter la foufoune. Oh ! je le crois pas, tu vas pas me dire qu’elle savait pas qu’il allait le lui mettre dans le cul…Notez bien qu’elle tient la télécommande entre ses doigts et qu’elle en joue et en abuse. On ne voit pas le dixième du film, ou alors quelques passages en avance rapide. Mais bon, c’est vrai qu’il n’y avait pas grand-chose à comprendre de toute façon.Pendant que Myriam nous sert une deuxième coupe de champagne, elle change de cassette. Cette fois-ci, ça a l’air de lui plaire un peu plus. La séquence se passe dans les cuisines d’un château et le maître de céans fait allonger une domestique sur une grosse table en bois plein, puis lui enduit le corps et remplit tous ses orifices de produits divers et variés. Une carotte, de la crème Chantilly, du caviar, de la confiture… Très américain, comme menu. Et voici ce brave homme qui lèche, qui lape, qui aspire, qui dévore ce savoureux déjeuner avec un appétit d’ogre. Ça traîne un peu en longueur, mais la fille a vraiment l’air d’y prendre goût. La voici même qui s’enduit le corps de nouveaux produits et se caresse avec la crème pâtissière. On termine par la boisson. Il lui remplit le sexe d’un délicieux breuvage dont il s’asperge ensuite le visage en en buvant la moitié.Après, stop, plus rien à voir, les avances rapides reprennent, on coupe tout, on rembobine, c’est terminé. Et Clémentine qui nous dit, aussi bien en s’adressant à moi qu’à Myriam, d’ailleurs :— Ça vous dirait, un petit encas ? Nous avons tout ce qu’il faut dans le frigo, et même une ou deux carottes, je présume.Et toujours aussi vivace, elle file comme une fusée vers la cuisine. Si elle s’écoutait, Myriam voudrait bien la suivre, mais elle lui demande expressément de tenir compagnie à leur invité. Du coup, je me retrouve seul avec elle. Elle est timide, gênée, fuyante. Elle s’assoit à l’autre bout du canapé et se tord les doigts. Je lui ressers une coupe de champagne. Et, l’alcool aidant, elle finit par se dérider un peu. Dieu ce qu’elle peut être perdue sans sa copine ! J’essaie de la faire rire, je lui parle gentiment, et tout et tout. Finalement, elle finit par m’avouer qu’elle se sent mal à l’aise dans cette situation, que c’est une idée de Clémentine, et qu’elle est un peu perdue. Je lui prends gentiment la main, en signe d’amitié, simplement pour la rassurer, je lui dis de se détendre, de prendre la vie du bon côté, que de toute façon, ici, personne ne lui fera faire ce qu’elle ne veut pas. Essayer d’aller plus loin la ferait fuir. (Je ne sais pas si Clémentine se rend compte à quel point son amie est fragile.)Justement, la voici qui revient, Clémentine, avec dans les mains un impressionnant plateau de produits divers et variés. Je fais rapidement la place sur la table basse. Il y a vraiment de tout. Ce qui peut s’étaler, évidemment : beurre, crème fraîche, yaourt, confiture, miel, Nutella, ketchup, moutarde… Ce qui peut s’écouler : eau, huile, grenadine, Coca, liqueur de cassis… Ce qui peut s’enfoncer : banane, carotte, poireau, concombre… Un seau à glace rempli de glaçons et une bouteille de menthe fraîche…— C’est moi qui commence, annonce-t-elle avec entrain.En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, la voici déjà nue. Je dis bien entièrement nue, aucun complexe, la bougresse, et c’est elle qui s’allonge sur la table basse. Je reste bouche bée un certain temps en détaillant son corps. Finalement, elle n’est pas si mal que ça. Des seins ronds, sans doute trop petits à mon goût, avec des gros tétons saillants. Et le reste assez bien proportionné. Comme je traîne un peu :— Alors, Monsieur le loup, c’est pas le moment d’hiberner…Et me voici donc à genoux à ses côtés, en train de lui badigeonner le corps. L’huile, la crème, le yaourt, tout y passe. Je la masse de façon de plus en plus appuyée, ce jeu commence à m’exciter. Du coup, Myriam nous rejoint et se met de l’autre côté. Chacun notre sein, le mien est enduit de crème fraîche et le sien collé par la confiture. Et nous commençons à la manger. D’abord les épaules, le ventre, les seins. Puis les jambes, les cuisses et enfin sa chatte. Nos deux langues y vont de bon cœur, mais aussi nos doigts, nos lèvres, baisers collés, succions fatales. C’est désormais à pleine bouche que nous la dévorons, en la saupoudrant de temps à autre de nouveaux produits.Visiblement elle y éprouve beaucoup de plaisir, ses seins sont durs, dressés, son sexe est juteux et elle se cambre en se mordant les lèvres. Myriam a l’air d’être très au fait des points sensibles de sa maîtresse, ce qui indique qu’elles n’en sont pas à leur round d’essai. Au moment crucial, elle se met carrément entre les cuisses de Clémentine et lui enfonce une banane en lui broutant la toison. L’autre jouit comme une bête par cette double stimulation. Elle éclate de spasmes incontrôlables tandis qu’un bout de banane à moitié écrasée est englouti par son con.À mon tour de me glisser entre ses cuisses pour aspirer ce morceau de banane au goût de mouille. Le goût de son jus m’excite au plus haut point et c’est à pleine bouche que je la dévore, en triquant comme un âne, tandis que Myriam lui lèche les fesses qu’elle a badigeonnées de miel. Hum, nouvel orgasme, puis un autre, et encore un autre. Partout où nos bouches semblent se poser, elle éclate de jouissance, son corps hypersensible ne peut plus s’arrêter.Quelque temps après, je deviens à mon tour l’objet de gourmandise. Mes tétons excités par la menthe, les glaçons sur mon ventre me font me consumer sur place. Puis les coquines enduisent mes couilles de Chantilly et mon gros braquemart de Nutella et elles le dégustent à deux, comme un gros eskimo au chocolat. Même mon petit trou subit leurs outrages, se fait soigneusement enduire de margarine et pénétrer par une carotte. Hum, les gourmandes font durer le plaisir, ralentissent la cadence pour repartir de plus belle. L’une d’entre elles me sodomise avec la carotte ou une banane, tandis que l’autre me pompe le nœud.Myriam tout comme Clémentine, Myriam sans doute encore plus que Clémentine, car sa timidité et sa peur initiales se sont complètement envolées. Elle se déchaîne comme une folle sur mon chibre, jusqu’à ce que je n’en puisse plus, et Clémentine vient la rejoindre au dernier moment pour qu’elles se fassent toutes les deux copieusement asperger de foutre. Et après, ces deux vicieuses se lèchent mutuellement la figure, pour ne pas en perdre une goutte.La dernière à passer sur le billard, c’est bien entendu Myriam. Elle est déjà à point et tout excitée. Les poils blonds de son pubis sont tout luisants de mouille et ses bouts de seins sont durs comme du marbre. Alors cette fois-ci, Clémentine et moi allons nous déchaîner sur elle, l’aspergeant littéralement de tonne de produits, il y en a partout. Ses nichons, plus émoustillants que ceux de sa copine, couverts de ketchup. Le pubis englué dans le sirop de grenadine, son petit fion sodomisé par les doigts de Clémentine enduits de yaourt, sa chatoune remplie de Coca. Nos attouchements délirants ne tardent pas à la faire jouir. Et comme nous continuons de plus belle, à re-jouir une nouvelle fois.Ça se termine en orgie, en bagarre générale. Tous les trois avec nos propres produits à exciter les autres avec. Il y en a partout, sur la moquette, le canapé, tout est taché par les aliments lorsque nous nous affalons enfin tous les trois, vers trois ou quatre heures du matin. Les filles m’invitent à prendre une douche, ce que je fais, tandis qu’elles essaient de ranger un peu. Puis je prends congé et rentre chez moi après ce festin de roi.