Résumé des épisodes précédents :Enquêteur magique embauché sous couverture dans un parc où se produisent des meurtres très spéciaux, je me lie avec Anka, une sorcière, et nous cherchons ensemble la meurtrière qui a dû se lier avec un démon.Anka et moi sommes attablés et faisons notre petit briefing. Ses cousines Carla et Zika hors de cause, nous savons que la solution n’est plus très loin. Après de longues discussions, je réussis à la convaincre de nous occuper de Katia. Si c’est une cousine d’Anka, c’est aussi la cheffe du bureau informatique. C’est une jolie brune aux cheveux mi-longs, joliment proportionnée, sympathique, tout à fait normale, de celles qu’on ne remarque pas au premier abord, ce qui a été mon argument final et a entériné notre choix. J’ai aussi emporté le choix de la méthode qui m’a paru le plus en adéquation avec son tempérament romantique. Anka et moi avons rompu pour la galerie et j’avoue que jouer ce rôle de déprimé m’est facile rien qu’en pensant à la rupture de notre lien. Je traîne donc ma peine ou plutôt mon ressentiment au bureau, car n’oublions pas que l’invocatrice du démon doit avoir des raisons d’en vouloir à Anka et ses parents. Anka qui a par ailleurs découvert un sacré manque à gagner dans leur comptabilité, mais sans parvenir, à ce stade, à trouver comment et où l’argent est parti. En attendant qu’elle trouve, je poursuis mon travail de sape.Si au début j’ai juste eu droit à quelques regards un peu apitoyés, rapidement Katia se montre plus compatissante et, ses propres sources de renseignements la confortant sur une rupture entre Anka et moi avec évidemment sa cousine en traîtresse, elle passe du temps à discuter avec moi lors des nombreuses pauses au bureau. J’ai droit à quelques confidences sur sa vie, des évocations à mots couverts puis plus directes sur la façon dont elle est traitée ici, dont la reine des glaces et patronne du parc favorise Anka, sur ma détresse, la trahison et je lui renvoie mon désarroi d’avoir été pris au piège avec Anka, d’avoir de vagues souvenirs, comme du brouillard quand j’essaie de me rappeler notre histoire… Bref cela avance bien, même si c’est difficile pour Anka et moi qui devons nous éviter alors que notre lien magique réclame sa dose de contacts.Ce qui contribue évidemment à ma mauvaise mine et rend d’autant plus crédible mon rôle. Katia met des tenues qui la changent de son baggy gris et son t-shirt à message de nerd et me permet de noter qu’elle possède des formes agréables à contempler. Son aura est par contre moins agréable à examiner. Oh, à première vue il est tout à fait anodin, mais lors d’un ou deux incidents, j’ai entraperçu une certaine noirceur, autre chose et je pense que c’est une artiste en matière de camouflage d’aura.Mais je ne suis pas en reste et nous commençons à bien flirter entre le gars qui se remet d’une trahison et elle qui doit en sus de me trouver à son goût et avoir d’autres motivations. Finalement un matin, je la surprends lancer un simple sort d’attraction pour faire venir son café et j’en reste comme deux ronds de flan. Quand elle s’approche de moi, je mime la peur et comme elle me rassure, je lui avoue que j’ai eu comme un flash d’Anka me voulant du mal.Cela n’a duré qu’une microseconde, mais j’ai vu la lueur de triomphe dans ses yeux quand elle a compris que je prends la vraie Anka pour celle dont elle a joué le rôle. Car j’en suis persuadé désormais, c’est bien Katia notre coupable et je me dois de jouer serré. Le Bureau ne veut pas « d’impression », mais des faits et des preuves. Mais quand elle me propose à mots couverts de la rejoindre dans son monde non humain en me donnant des pouvoirs, je ne suis pas en possibilité d’en récolter vu que nous sommes à la piscine du parc où nous nous détendons un peu en dehors des heures du public. Façon simple et efficace de se prémunir de toute tentative d’enregistrement. Évidemment je lui fais part de mon intérêt et le baratin qu’elle me sort, s’il est crédible pour un humain, ne l’est pas pour moi qui sais qu’il n’y a que deux méthodes, la génétique conjuguée à l’étude et le pacte démoniaque. Nul doute que Katia projette d’avoir avec moi un acolyte dédié au mal et pouvant dans les cas les plus dangereux servir d’apéritif à un démon.Cette acceptation de ma part fait monter d’un cran notre relation et un jour, au détour d’une pause-café nous échangeons notre premier baiser.S’il est très doux, je sens qu’elle en profite pour envoyer quelques sorts d’asservissement, je perçois les volutes de magie grimper sur moi, heureusement mes contresorts les absorbent sans difficulté et en toute discrétion. Déclencher un combat dans la salle de pause ferait un peu trop de dommages collatéraux. Mais c’est désormais plus facile pour moi de l’entraîner ailleurs en faisant le gars totalement amoureux. Je réussis à lancer un signal d’urgence à Anka qui pourra ainsi nous suivre. Je propose donc à Katia de passer chez moi après le boulot et elle accepte, désormais sûre de son pouvoir sur moi. Mon adresse de location est, outre son isolement permettant d’éviter de gros dégâts annexes, insonorisée et prête. Anka doit planquer sur le toit plat, du moins je l’espère, car je sais par expérience qu’un combat peut générer de sacrés dommages.Quand nous arrivons chez moi, je suis vite rassuré, le pot de fleurs placé à gauche de l’entrée est anodin pour les autres, mais pour moi il signifie que ma complice est à son poste.Un petit verre de champagne est l’occasion pour Katia de lancer d’autres sorts sur moi et elle me croit désormais totalement en son pouvoir. Le petit intermède aux toilettes est l’occasion d’un contact discret par talkie-walkie (les mages pensent peu à utiliser de la technologie humaine) avec Anka, ce qui ne laisse aucune émanation magique et sa seule consigne « baise-la comme une chienne » est en quelque sorte la voix des absents, ces hommes anonymes, utilisés comme paiement à un démon.Sur sa demande, j’indique le chemin de ma chambre à Katia. « Viens à moi », fait l’araignée à la mouche, mais cette fois la mouche est bien différente !Si le début est classique avec un déshabillage plutôt rapide et des baisers un peu sauvages, cela change insidieusement. Je la laisse se vider de son énergie magique en m’envoyant des sorts d’attachements et, pire encore, de soumission. Mais nous avons prévu le coup et les amulettes chargées de gros sel sous le lit absorbent toute cette énergie et me la renverront purifiée si nécessaire. Quand je la vois nue, elle est pourtant fort agréable à l’œil. De petits seins ronds en pomme, un fessier un peu rebondi, mais doux au toucher, un triangle brun très classique sous un ventre presque plat ; physiquement elle n’avait nul besoin de se lier à un démon, elle aurait fait le bonheur de n’importe quel homme. Mais son besoin de pouvoir est immense et elle aime dominer. Si cela ne me dérange pas du tout avec Anka (et d’autres avant je l’avoue), je n’aime absolument pas le faire sous une contrainte magique. Ainsi, si au début, c’est amusant de lui donner ce qu’elle veut et de lui sucer les seins ou de la caresser, ses consignes, sa façon de faire et la hargne dans son action sont de vrais tue-l’amour. Aussi, quand elle semble ne plus rien m’envoyer, je commence à y aller plus fort.Mais comme cela arrive parfois avec certaines dominatrices, elle cherche aussi l’autre face, heureusement pour moi qui aurais été bien incapable de forcer une femme, même un monstre comme elle, car pour moi un non est un non, pas un peut-être.Quand je tire ses seins, quand je happe les tétons entre mes dents, elle soupire, je lui donne quelques tapes sur les seins et elle gémit plus fort, lâchant même un « encoooore » du plus bel effet. Je claque ses seins, les faisant rougir, mais sa seule réaction est d’avoir la bouche ouverte et d’essayer d’attraper ma queue.Nul besoin de l’obliger pour qu’elle se mette à genoux et me prenne en bouche. Tout son être crie son envie, son besoin. Je m‘enfonce dans sa bouche, la faisant tousser, mais elle en veut encore. Quand je suis entièrement dans sa bouche, son nez dans mes poils, je lui bloque la tête quelques secondes puis la relâche, mais à peine a-t-elle happé un peu d’air que, d’elle-même, elle vient chercher ma queue. Je n’ai absolument pas l’habitude d’être ainsi, mais quand je lui annonce qu’elle va être objet et que je vais la défoncer, elle ne répond que oui.Oubliée la soi-disant romantique que m’avait décrite Anka ! Je lui baise vraiment la bouche et elle en demande encore. Soudain j’ai une illumination, c’est tout simplement que la Katia que connaissait ma chérie n’est plus vraiment là depuis longtemps, un pacte démoniaque laisse des traces et vous change à jamais…Je lui caresse le visage avec le bout de mon gland laissant des traînées humides dessus et elle se caresse comme une dératée pendant ce temps tout en essayant de happer mon gros bout entre deux phrases très crues. Du rimmel a coulé de ses yeux, lui faisant un masque pervers. Je me recule un peu, debout devant elle et la biffle. Je crois l’espace d’un instant qu’elle va se jeter sur moi, non pas pour me rejeter, mais pour se faire prendre !Je la retourne d’un geste, la mettant en levrette, position idéale pour se lâcher de toutes mes tensions, de toutes les horreurs vues à cause d’elle. J’entre en elle sans ménagement et, si j’avais encore un espoir de revoir l’ancienne Katia, il disparaît, tant la nouvelle est inondée et braille :— Bourre-moi, bourre-moi !—  Je vais t’en donner salope !La réponse a jailli d’un coup, mais plus rien ne la choque et je me laisse aller comme jamais, plongeant et replongeant en elle de toutes mes forces comme si je voulais l’expurger de tout le mal.C’est évidemment peine perdue, car elle en réclame encore. J’empoigne ses hanches et la bourre comme un ado pour son premier bal, la faisant tressauter en avant à chaque coup de reins. Elle bouge ses fesses et j’ai alors une autre envie. Je me retire, badigeonne un peu son anus avec sa mouille, crache sur son cul et entre en elle. Son anneau résiste un peu, mais cède rapidement, elle geint un instant, mais, là aussi, je lui prends le cul avec force. Je la fais se pencher un peu avant, lui fait s’écarter les fesses avec ses mains et lui défonce littéralement le cul.Elle gémit, crie des mots sans suite, le tatouage démoniaque apparaît et c’est bien celui dont j’ai gardé le souvenir, même en y allant comme un mort de faim, elle a pris son pied. La vague monte en moi et quand je suis presque au sommet, je me retire d’un coup, laissant son cul un peu ouvert, la retourne et m’enfonce dans sa bouche de toute ma puissance, juste le temps qu’elle m’aspire pour la jouissance finale. Je jouis dans sa bouche et c’est si puissant qu’elle n’arrive plus à tout avaler, mon sperme coule de la commissure de ses lèvres et, partie dans un délire, elle utilise ses mains pour récolter le surplus et s’en badigeonner le visage et la poitrine.Je la regarde faire, presque fasciné et il me faut entendre le « Top » que lance Anka pour réagir et procéder à son arrestation.Ou plutôt tenter d’y procéder, car quand elle comprend qu’elle n’est pas la maîtresse du jeu et sent une menotte sur son poignet, elle se redresse et semble grandir. Je comprends alors que le pacte est allé bien plus loin que prévu pour elle et qu’elle ne sera bientôt plus humaine !Un vrai combat s’engage alors entre sorts et contre-sorts, et ce ne sont pas de simples passes de pousse de cheveux, mais des choses bien pires. Heureusement je peux puiser dans l’énergie stockée dans les gemmes et lui répondre du tac au tac. Heureusement aussi, Anka arrive et, à deux, nous parvenons à neutraliser ce qui n’est plus vraiment sa cousine, en la liant magiquement. Mais mon logis ressemble à un champ de bataille, meubles éparpillés aux quatre coins, murs éventrés laissant briques et moellons à nu, toit presque envolé, pour la discrétion on repassera !C’est là que d’un coup, le teint de Katia commence à virer au rouge brique, signe de la tension intérieure qui se joue en elle, sa voix est devenue différente et commence à lancer des imprécations dans une langue aux accents durs, aiguisés, son dernier sort, son dernier atout qui me force à user du mien. Je sens qu’elle/il arrive presque au bout de l’incantation et je ne peux le permettre. Soudain le temps se fige, nos regards fixés sur la lumière brillante de la croix d’argent consacrée que j’ai lancée. Nous n’avons que le temps de nous baisser et de lancer une bulle de protection quand le contact avec le petit crucifix se fait et que tout explose.Quand nous relâchons notre protection après un long, très long moment de lumière et de noirceur, il ne reste plus rien des murs, du toit, ni surtout de Katia. Il y a juste les étoiles au-dessus de nous, témoins muets des événements. Et puis une voix s’élève près de nous :—  Tu peux m’expliquer ce que tu fais avec un Dell’oro totalement nu près de toi et dans une maison dévastée par la magie ?On se regarde, on part dans un éclat de rire commun et Anka lâche :— Enchantée moi aussi, maman, je te présente mon mage lié.Et je crois que ce doit être la première fois qu’elle entend sa mère, la renommée Reine des Glaces lâcher un vulgaire !