Les noms ont été modifiés pour garder lanonymat———————————————————————–Je me nomme Eric, un homme tout ce qu’il y a de plus normal. Cela fait bientôt 9 ans que je suis avec Tessa. C’est une femme sublime : brune, 1m74, des petits seins (85B) et de légères rondeurs au niveau des fesses. En gros tout ce que j’aime.D’ordinaire lors de nos ébats, les mêmes positions dans le même ordre revenaient toujours. Mais depuis la naissance de notre fils, et après de longues conversations, Tessa s’ouvre un peu plus sur le sujet du sexe. J’ai eu le droit à des gorges profondes et même le droit d’essayer de la sodomiser. Malgré les lubrifiants et la douceur, la sodomie ne semble pas être son truc : un peu douloureux au début et sans plus de sensations par la suite. Et depuis elle tente de nouvelles positions ou de nouvelles façon de me satisfaire, et je dois dire qu’elle est douée 🙂Mais un soir tout a été différent. Nous étions partis avec ses collègues voir un match de basket en VIP : buffet et champagne à volonté. D’entrée elle me dit que ce soir c’est moi qui conduit car elle veut profiter et boire avec ses collègues. Il est vrai que depuis la naissance de notre fils, elle n’a pas vraiment eu l’occasion de s’amuser de la sorte.Et c’est parti, 1 coupe, puis 2, 3, 4 … la match continue et ma douce continue de boire, 5, 6 … 10 coupes. C’est la fin du match et ma chérie me signale qu’elle a un peu la tête qui tourne. Julien, l’un de ses collègues, propose un coup à boire chez lui. J’accepte, espérant que Tessa continue de boire un peu. Je ne l’ai jamais vus saoule et je suis curieux de voir comment elle devient quand elle a bu.Et c’est reparti, 1, 2, 3 coupes ! Tessa est guillerette, elle ne sait plus tenir debout mais elle s’amuse. La voyant pompette et pour plaisanter, je dis à voix haute : « encore 2 ou 3 coupes et je peux la sodomiser en rentrant ». Réponse de la concernée : » Ah non ! encore 2 ou 3 coupes et c’est le plan à 3 ou 4″. Hilarité générale, là c’est sûr, elle est ivre. Elle boit encore 2 coupes et la voyant avoir du mal à se tenir à table et rire pour un rien, je décide de rentrer à la maison.Julien lance un défi à Tessa avec de partir : « Je suis sûr que tu es incapable de tailler une pipe à Geoffrey dans l’état où tu es »Tout en rigolant et en essayant de ne pas tomber dans les escalier, elle lui réponds : « j’accepte le défi ».On arrive à la maison, elle s’allonge nue dans lit car elle a chaud semble t’il. Je m’allonge à côté d’elle. Elle roule sur moi sans plus de douceur, descend au niveau de mon sexe et dit dit : « Je vais lui montrer que je peux y arriver, c’est juste une pipe ». Je ne refuse pas et la regarde peiner à garder le sexe en bouche. Les vas et vient sont difficiles . Elles arrêtent la fellation et se rallonge à côté de moi, me dit « J’y arrive pas. Si tu veux la fin de la pipe, fais le tout seul », puis elle ouvre la bouche. Ayant le sexe raide, je me voyais mal en rester là.Je décide donc de mettre ma bite dans sa bouche, de faire de lent va et vient pour ne pas lui faire de mal jusqu’à ce que la jouissance arrive. Et c’est parti, je la mets sur le côté et je commence. L’une de ses mains se pose sur mes fesses et me fait accélérer le mouvement. Je garde le rythme jusqu’à me dire qu’après tout, quitte a ce qu’elle reste bouche ouverte pour me satisfaire, autant en profiter. J’accélère en le mouvement tout en entrant de plus en plus dans sa bouche. Elle ne dit rien et accepte ça. Sa bouche est devenu en peu de temps un second vagin pour moi. Je sens le fond de sa gorge à chaque coup, ma bite entre entièrement maintenant et Tessa ne semble pas gênée. J’en profite même pour rester quelques secondes au fond de sa gorge en lui maintenant la tête. Une gorge profonde parfaite.Plein d’idées me viennent dans la tête, est ce que je continue de profiter de la situation ou pas ? J’ai tellement envie de me vider au fond de sa gorge … Pris par un petit remord, j’arrête de lui pilonner la bouche et repart sur quelque chose de plus traditionnel. Je descends pour lui faire un petit cuni avec idée de lui prendre la chatte par la suite. Je lèche son petit bouton, je l’entends gémir. J’en profite pour lui mettre un doigt dans la chatte, puis deux. Les gémissements se font un peu plus fort. A mon étonnement, Tessa commence a mouiller abondamment. J’en profite pour y rentrer un troisième doigt … puis un quatrième. Je vois le début de ma main coulisser dans sa chatte trempée. J’avoue que l’idée de glisser le dernier doigt m’a tentée, mais à peine ai je eu le temps d’y penser que Tessa a un regain d’énergie. La voilà qui se relève d’un coup, me pousse violemment sur le lit et s’empale sur mon dard.Elle se déchaîne, je ne comprenais pas ce qu’il se passait. Elle donne des coups de reins incroyable. Je la vois monter et descendre à un rythme fou. Mais il est hors de question qu’elle me domine ce soir, j’ai commencé à en profiter et je compte bien en profiter encore un peu. Je l’attrape par les épaules et la repousse, comme elle m’a fait avant. Elle est sur le dos, je mets ses jambes sur mes épaules et je commence à lui prendre la chatte, je me donne à fond. Pour rester dans l’ambiance domination, je dis des phrases du genre : « Tu la sens ma bite ! Je vais te défoncer ! » ça a l’air de lui plaire. Je me retire, elle reste allongée et je lui repilonne la bouche en lui tenant les cheveux, histoire qu’elle goûte un peu à son jus. Je la vois qui se masturbe en même temps, elle glisse même 3 doigts dans sa chatte. Oh que c’est bon ! J’ai envie de retourner dans son minou. Je laisse sa tête tranquille, lui relève un peu les jambes et je regarde son trou humide. J’ai une soudaine envie de voir si sa chatte est dilatée. Je mets 2 doigts de chaque mains dans sa chatte et j’écarte. Cela s’ouvre tout seul, même pas besoin de forcer.Je lui reprends la chatte et je lui dit « Putain Tessa t’es bonne ! ». Sa réponse : « Pourquoi tu m’appelles Tessa ? Appelle moi plutôt … … ma petite salope ! ». Cette fois ci c’est sûr, l’esprit de ma femme est absent, jamais elle n’aurait dit ça. Plus question d’hésiter à partir de maintenant. Je la pilonne comme un malade en la tenant par les cheveux, je la retourne et recommence. Elle jouit comme elle n’a jamais jouis en criant « Putain défonce moi la chatte ! oh oui comme ça vas y c’est bon ! ». Je m’arrête net, tire sur sa queue de cheval, elle gémit. Je lui dit : « Tu veux un doigt dans le cul ? », elle me réponds : « Profite de faire tout ce que tu veux, parce que tu sais pas quand t’en auras de nouveau l’occasion mon cochon ! » Il ne m’en faut pas plus pour agir. Je la mets sur le dos, descend au niveau de sa chatte. Je glisse de deux doigts dans sa mouille pour les lubrifier et je les rentre dans son anus. Elle était tellement détendu à ce moment là que les deux doigts sont rentrés comme dans du beurre.J’ai envie d’y aller à fond, mais cette salope est quand même ma femme, et je pense que l’alcool aide à faire passer la douleur dont elle m’avait parlé. Je suis décider à la sodomiser, mais pas comme un sauvage. Je sors de la chambre pour aller chercher le lubrifiant et un petit plug anal. Mais que vois je en arrivant ? Ma femme avec deux doigts dans la chatte et un doigt dans le cul en train de jouir. S’en était trop pour moi. Je la prend pas les cheveux et lui fourre ma bite dans la bouche, puis je lui glisse à l’oreille : « Après tout ce soir tu es ma salope, rien de plus qu’un objet pour me satisfaire sexuellement, tu accepteras tout ce que je ferais sans rechigner c’est compris ? » Et elle qui me réponds un « Oui maître » en souriant. Elle le dos, je lui écarte les jambes, je mets du lubrifiant sur ma bite et je pousse sur son anus doucement. Puis une fois le gland rentré, je continue à pousser pour détendre le passage. J’ordonne à ma salope de se masturber en même temps. Elle se mets des doigts, se caresse le clito, gémit parfois. J’arrive à mettre mon sexe à fond dans son cul. Je commence à reculer doucement, puis je rerentre.Mes vas et vient se font hésitant, j’ai malgré moi peur de lui faire mal. Et en deux secondes, Tessa me retire cette peur : « Vas y, va plus vite dans mon cul! » Ok ma chérie et je commence à accélérer. Je suis au ange, elle qui a toujours été rétissante à ça ou qui acceptait mais en ayant peur d’avoir mal, là elle m’autorise tout sans gêne.Je lui ramone maintenant le cul sans ménagement, c’est le pied. Je me vois la sodomiser, et elle qui se doigte et elle jouit, c’est magnifique. Je sors de son cul pour voir le trou béant et me réinsère sans retenu. J’avoue, j’en profite. Dans coup elle me repousse. Lui ai je fait mal ? Non, la demoiselle se met à quatre pattes et prend la bite dans sa bouche. Sobre elle aurait trouvé ça dégueulasse et n’aurait jamais voulu le faire. Je suis vraiment étonné, cela me certifie que l’alcool à vraiment désinhibé complètement ma femme. Elle arrête net avec un air de dégout : « ça a trop le goût de lubrifiant, remet là moi dans le cul, je préfère ! ».Elle a quatre pattes, je lui remet dans le cul dans cette position et je pilonne. Mais cela déplaît un peu à Tessa, qui préfère être sur le dos pour être « enculée ». C’est la seule fois où je lui ai obéi. Madame sur le dos, je lui remet dans le cul jusqu’à la jouissance. J’attends un peu, puis me retire. Je vois le sperme couler de son anus. Pendant encore 5 bonnes minutes, elle a continué à se faire jouir en se doigtant la chatte et le cul, puis elle s’est endormie aussi vite qu’elle avait retrouvé son énergie tout à l’heure.En peu de temps, ma salope d’un soir avait réaliser 4 de mes fantasmes : qu’elle soit un objet sexuel, que sa bouche devienne un trou comme un autre avec les gorges profondes, de se faire sodomiser sans ménagement et de me laisser me vider dans son cul.Maintenant, j’attends une autre soirée pour le retour possible de la salope d’un soir, histoire peut être d’explorer l’autre possibilité qu’elle même avait dite.