je me souviens
Première fois avec un homme. Tu as la bisexualité encré en toi, tu as su me faire découvrir des plaisirs inconnus.
Proposée le 14/04/2016 par zila51 Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Première foisPersonnages: HHLieu: A la maison, intimeType: Fantasme
Je me souviens de la première fois ou nos regards se sont croisĂ©s. Tes yeux noirs m’ont happĂ©s. J’Ă©tais clouĂ©s sur place, impossible de bouger ou de me dĂ©tacher de toi. Tes cheveux blancs, tes rides souriantes, ta barbe parfaitement taillĂ©. tout en toi respirait la virilitĂ© et la maturitĂ©. A cette instant prĂ©cis, je ne saurais dire pourquoi mais tu m’attirais.
Il y avait beaucoup de monde sur cette jetĂ©e ce jour la, et pourtant je ne voyais que toi. Tu t’es approchĂ©, tu m’a souris et moi j’ai succombĂ©. Puis tu m’as dit : – Bonjour, puis-je vous poser une question ? Sa voix grave me fit dĂ©faillir instantanĂ©ment. je mis quelques instants Ă rĂ©pondre. – Euh, oui je suis seul, enfin non, pas seul, je suis mariĂ© mais ma femme n’est pas lĂ aujourd’hui. – Ah donc, vous ĂŞtes mariĂ©s. Dommage pour moi. dit-il. – Dommage ? Pourquoi dommage ? retorquais-je.- Disons que ma femme non plus n’est pas la cette semaine, que je m’ennuie et que pour tout vous dire vous m’attirais beaucoup. J’Ă©tais stupĂ©faits par tant de sincĂ©ritĂ©. Inconsciemment je rĂ©pondis. – Ne vous ai-je pas dit que ma femme n’Ă©tais pas la aujourd’hui ? Il me regarda avec un sourire bienveillant. Et me dit. – Jeune homme, je pourrais vous prendre au mot. J’habite Ă deux pas et je pourrais vous inviter Ă prendre un verre et peut ĂŞtre plus…J’avoue que mon esprit Ă©tait en Ă©bullition, j’Ă©tais mariĂ©, hĂ©tĂ©ro et pourtant j’avais envie, très envie de lui. Il faut dire que depuis que ma femme m’avais trompĂ© rien n’Ă©tait comme avant. En fait je n’ai pas hĂ©sitĂ© longtemps et je lui dit avec un sourire complice. – ça tombe bien j’ai très soif. Il m’invita donc et nous remontâmes la jetĂ©e en nous prĂ©sentant. Il s’appelait Pierre, avait 63 ans. Sa femme travaillĂ©e encore et donc il Ă©tait seul dans sa maison du centre de FĂ©camp toute la semaine. Il me dit qu’il avait dĂ©jĂ eu plusieurs aventures avec des hommes et aussi des femmes. Il aime le sexe et sa femme aussi donc ils avaient dĂ©cidĂ© d’ĂŞtre plus ou moins libre de faire ce qu’ils voulaient. Il HabitĂ© vraiment Ă deux pas, et donc nous fĂ»mes rapidement arrivĂ©. A peine la porte fermĂ©e, nous nous sommes fait face. Je n’avais jamais fais l’amour, ni mĂŞme embrassĂ© un homme. Mais vu la bosse qu’il y avait dans mon pantalon, cela ne me semblait pas un problème. D’abord nos mains se sont effleurĂ©, puis entrelacĂ©es. Nos lèvres se sont rapprochĂ©es, doucement puis dans un souffle elles se sont unis. Nous Ă©tions maintenant enlacĂ©. Notre baiser s’Ă©tait transformĂ© en Ă©treinte torride, nos langues tournant l’une autour de l’autre. Ses mains encadrĂ©s mon visage, pendant que les miennes dĂ©boutonnaient sa chemise. Je la fis glissĂ©e Ă terre et me reculant je dĂ©couvris un torse puissant couvert de poils blancs. Je ne m’arrĂŞtais pas la, je m’attaquais Ă son pantalon, dĂ©grafant sa ceinture et faisant glissĂ© sa braguette. J’embrassais et suçotais frĂ©nĂ©tiquement ses tĂ©tons. Puis j’embrassais son ventre lĂ©gèrement rond pour enfin me retrouver Ă genoux face Ă un bosse de tissus tendu. Mes deux index se placèrent le long de ses hanches, s’immiscèrent entre sa peau et le slip, puis dans un geste dĂ©licat j’ai libĂ©rĂ© son sexe de prisons. Il avait un sexe splendide, une cambrure incroyable, une taille ni trop ni trop peu. Il Ă©tait parfaitement proportionnĂ©. J’ai avancĂ© la bouche pour l’embrasser. Pierre respira un peu plus fort, il Ă©tait la devant moi, nu, le sexe tendu, attendant que mes lèvres enserre son gland rouge de dĂ©sir. Pourquoi le faire attendre, ma bouche s’ouvrit et descendant le long de sa tige, elle ne se referma que fois Ă la garde, Pierre poussa alors un gĂ©missement. © Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
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