Coloc sentimentale
Julia, ma coloc, ne se balade jamais qu’en leggins. Qu’elle fasse le cafĂ©, vide le lave-vaisselle, ou frappe Ă ma porte pour me demander oĂą j’ai cachĂ© les sacs-poubelle… Un beau jour, je dĂ©cide de tenter le tout pour le tout, et cuisine…
ProposĂ©e le 14/01/2018 par D’outre-reins Votre note pour cette histoire Ă©rotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs Ă poster leurs histoires Ă©rotiques.
Thème: extra-conjugalPersonnages: FHHLieu: A la maison, intimeType: Histoire vraie
J’avais envie de dĂ©mĂ©nager depuis très longtemps. Quand Jonathan m’a proposĂ© d’habiter avec lui, je n’ai pas hĂ©sitĂ© une seule seconde. Pas l’ombre d’un doute qu’on s’entendrait bien. Nous avons les mĂŞmes passions: le cafĂ©, et la musique.
Après deux semaines de bonheur viril (café le matin, musique le soir), Jonathan me demande si, théoriquement, ca me poserait problème que Julia vienne habiter avec nous. Julia, c’est sa copine. Je lui réponds que « non, bien sûr ! », je suis un garcon assez cool.
Sauf que une semaine plus tard en effet, Julia emménage.
Moi, je l’aime bien, Julia ! Elle est gentille, elle est polie, elle a jamais empêché mon pote d’aller boire des bières le samedi soir, et surtout elle l’a sorti d’un célibat qui traînait en longueur.
Mais habiter avec elle, c’est une toute autre histoire. Habiter avec un couple !
Tenir la chandelle à tous les repas ! Les cloisons trop fines, moi tout seul dans mon lit à m’astiquer le gland pendant qu’ils se font des attouchements romantiques !
Ça aurait pu marcher, si elle n’avait pas été aussi allumeuse.
Julia, dès le premier jour, se sent tout à fait chez elle.
La preuve en est : elle ne se balade jamais qu’en leggins. Je ne veux pas lui prêter de mauvaises intentions. Elle ne se rend peut-être pas compte de l’effet que ça me fait.
Mais, s’il vous plaît, soyons honnête. Moi quand j’ouvre mon Larousse à Leggins, je lis : invention moderne qui permet, depuis le retour de la pruderie étatique, d’être nu partout.
Le café, elle le fait en leggins. Elle vide le lave-vaisselle en leggins. Elle passe l’aspirateur en leggins. Elle frappe à ma porte pour me demander où j’ai caché les sacs poubelle en leggins.
Alors oui, je bande énormément. Disparu, la paix de mon logis. Moi, je suis musicien, incapable de travailler mon violon avec cette paire de leggins qui se balade dans l’appartement.
Au début, j’ai des scrupules. C’est la copine de Jonathan, quand même. Je ne suis pas censé bander comme ça. Mais le désir est trop fort, et quand je me branle, je ne pense plus qu’à elle, et sa pair de leggins. Que je ne prends même pas la peine d’enlever, je les arrache, et la pénètre à travers.
Julia.
Si elle n’était pas la copine de mon coloc (et si elle le voulait bien), je la prendrais sur le champ.
J’ai l’impression qu’elle a deviné que malgré mes frêles épaules et le fait que je fasse du violon, j’ai une énorme bite et un corps assoiffé de leggins.
Un jour, je fais le potage de ma grand-mère. Jonathan achète du vin, et je tiens la chandelle.
Nous finissons la bouteille, et débouchons la vodka.
La conversation est animée, Julia est en leggins et Jonathan a un sourire en coin. Il finit par prendre la parole.
« Sébastien, Julia m’a expliqué »
« Quoi donc ? », rétorqué-je en rougissant déjà .
« Qu’en permanence, tu la mates. »
« Comment, pas du tout ! »
« Tu nies ! Comment oses-tu ! Très bien, je te défie, mon cher coloc. Ma petite Julia va se lever, puis se pencher en avant, très bas, devant toi. Nous verrons ta réaction. »
Je ne proteste qu’à moitié, et Julia pas du tout. Elle se lève, elle a les cheveux noirs, les yeux noirs, un débardeur beaucoup trop court (ses seins s’échappent par le dessous). Elle se retourne, et se penche en avant.
BAM, forcément.
Jonathan pointe mon entre-jambe du doigt. Julia Ă©clate de rire et pose la main sur mon pantalon.
Je n’ose rien dire, Jonathan nous ressert de la vodka.
« Tu peux t’asseoir, si tu veux », dit-il à Julia, qui ne se fait pas prier deux fois, et pose son cul sur mes genoux.
J’ai un scrupule, au début. C’est la copine de Jonathan, tout de même. Mais puisqu’il me force.
« Vous ĂŞtes certains que… »
La fin de cette phrase s’égare dans ma bouche, car Julia commence à danser sur moi. Elle fait face à Jonathan, qui la regarde dans les yeux, et son cul va et vient sur mon pantalon. J’ai l’impression de n’avoir jamais bandé aussi fort. Je me dis qu’il faut agir, sinon ils ne vont pas me prendre au sérieux, alors j’enlace Julia. Son ventre, d’abord, qui est nu. Puis je remonte, jusqu’aux seins, je soulève son débardeur, et les prends à pleine mains. Quelle merveille !
A tout moment, je m’attends à ce qu’un « NON ! » tombe du ciel. Mais je n’entends rien d’autre que les soupirs de Julia.
Je crois halluciner quand Jonathan se lève et sort sa bite de son pantalon.
Je crois halluciner une seconde fois en voyant la taille de sa bite. Lui qui est si timide ! Il n’a pas eu de copine pendant quatre ans ! Sa bite est franchement énorme, et surtout, beaucoup plus large que la mienne. Je suis jaloux, et bande encore plus fort.
Julia l’attire contre elle et englobe sa bite. On sent qu’elle la connaît. Aucune hésitation.
Jonathan la tient amoureusement par la chevelure.
Moi, je me dis que je ne parlerai pas de tout ça à ma mère, et je soulève un peu Julia pour pouvoir déboutonner mon pantalon. J’en sors ma bite, Jonathan dit : « C’est pas mal non plus ! », Julia se retourne en souriant, je vois à travers son leggins la raie de son cul.
« Vas-y, dĂ©chire-le ! », me dit Jonathan – je le dĂ©chire d’un grand coup sec, en plein milieu, la peau de Julia apparaĂ®t, son vagin, et sa vulve dilatĂ©e – « Et rassieds-toi ! », dit-il Ă Julia.
Julia lâche un moment la bite de Jonathan pour s’empaler sur la mienne.
Jonathan nous regarde et guide les mouvements de Julia. « Plus vite ! », ordonne-t-il, et je me mets à la baiser complètement. Julia est trempée, je sens mon bas-ventre ruisseler de sa mouille. Elle crie tout à fait maintenant.
Je suis sur le point de jouir, quand Jonathan tout à coup nous arrête, et nous ordonne (je ne le savais pas si autoritaire) de le suivre, sans nous décrocher. Je prends Julia dans mes bras, me lève en prenant soin de laisser ma bite en elle, et suis Jonathan dans sa chambre.
Il nous indique le grand fauteuil qui trône dans le coin. Je jouis presque en m’y laissant tomber, Julia pousse un cri. Je griffe son dos.
Jonathan, la bite toujours à l’air, se décide enfin à participer. Il s’approche de Julia, je crois qu’il va la forcer à le sucer. Je me trompe.
D’abord, il m’ordonne de sortir du vagin de sa copine pour la pénétrer par derrière. Je m’exécute. Julia pousse un grand cri quand je pénètre son anus. Puis Jonathan pose sa bite à l’entrée de la chatte de son amoureuse.
Je retiens mon souffle. Jamais – au grand jamais – je n’ai jamais pensĂ© que cela m’arriverait, mĂŞme s’il m’arrive très souvent de regarder des vidĂ©os de double pĂ©nĂ©tration sur internet. Tous les trois, nous sommes un instant immobiles. Julia semble nerveuse, tout Ă coup, elle a cessĂ© son va-et-vient sur ma bite.
Enfin, Jonathan la pénètre. Doucement, d’abord. Son énorme gland. Puis le reste de sa bite. Puis il commence à lui faire l’amour.
Ce qui est incroyable, c’est que je sens sa bite, de l’autre côté de la paroi. Moi, je ne peux plus bouger. Je suis coincé. Julia est empalée sur moi, complètement renversé, et Jonathan la pénètre de plus en plus rapidement.
J’ai l’impression de n’être qu’un voyeur en train d’observer un ébat, alors que j’y prends part.
Enfin Jonathan pousse un grand cri, se crispe, tombe sur Julia. Je sens Julia trembler, tout son être se secoue – je pourrais jouir, mais je n’ose pas.
Jonathan se penche sur Julia, et l’embrasse. Julia se relève et pousse un cri en s’apercevant que je n’ai même pas joui.
« Même pas joui ! »
Jonathan vient à ma rescousse : « Peut-être pourrais-tu l’aider à jouir, Julia ! »
« Volontiers ! »
Elle se penche sur moi, mais au lieu de s’occuper de ma bite, elle me donne un bisou sur la joue. « La prochaine fois qu’il nous fera le potage de sa grand-mère ! »
Jonathan et Julia Ă©clate de rire, moi je souris Ă peine.
Mais j’ai changé d’avis. Oui, c’était un bonne décision, finalement, de vivre avec Jonathan !
Dès demain, je cuisinerai mon potage de nouveau !© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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